Salut à tous, je m’appelle Frank, j’ai 51 ans, 1,76 m pour 77 kg, châtain grisonnant, comme vous pouvez l’imaginer, je ne suis pas un top, loin de là. Ce récit est quasiment la réalité, à quelques détails !
Ce jeudi soir en rentrant du boulot, je dois faire un détour par la grande surface près de chez moi, pour trouver de quoi préparer quelques bons repas.
Je fais un petit crochet par le rayon high-tech. Je regarde les téléphones par curiosité. Il n’y a pas mal de monde autour des présentoirs, surtout des jeunes, je suis le dinosaure de la bande !!!
Parmi toute cette foule, je remarque deux mecs super canon… Type marocain, la vingtaine, plutôt minces, des sourires ravageurs avec des dents d’une blancheur éclatante.
Le plus petit des deux à un visage rond, des lèvres bien dessinées, de jolis yeux clairs, il est brun les cheveux courts, une peau mate, une silhouette un peu trapue, plutôt sportive, mais agréable à regarder ! Il porte un T-shirt beige et un jean assez serré qui laisse entrevoir un joli renflement entre ses cuisses.
Le deuxième est plus grand, plus élancé, son visage a des traits plus fins des yeux noirs légèrement en amande, il porte un simple T-shirt blanc qui met sa peau mate en valeur, lui aussi porte un jean assez serré avec de belles promesses entre les jambes.
Ils regardent un modèle de téléphone.
Ils sont jutes à côté de moi, et soudain un des gars, le plus petit dit au deuxième :
« Tu sais que je viens de changer de conseiller bancaire… Et devine… C’est encore une femme !!!
– Non !!! Comme moi, punaise, on est envahi ! »
Et là, je ne sais pas ce qui me prend, je rigole et je leur dis :
« Bienvenue au club les gars ! On est tous dans le même cas !!! » Et là, le plus petit me regarde et me sourit et me répond oui… On n’a pas de bol… » Puis reprends sa discussion avec son pote…
Et là, je me dis raté, ils sont hétéros et justes, potes… Bref, je repars pour faire mes quelques courses, avec un arrière-goût de raté !!!
Je finis mes achats, passe en caisse et ressors par la galerie commerciale et je décide de m’assoir et boire un truc avant de rentrer, la serveuse, et oui encore une femme, m’apporte mon jus de fruits.
Il n’y a presque personne dans ce coin-bar, décidément… Une fin de journée tristounette ! Je suis prêt à partir quand les deux gars des téléphones se pointent dans la galerie, mais bon, ce sont juste des potes ! Je me replonge dans mes pensées et je finis mon verre et décide de rentrer.
À la sortie, derrière moi, j’entends un : « Alors toi aussi, tu as des problèmes avec les femmes Hahahah !!
Je me retourne et là, je me retourne, et à ma grande surprise la plus grande de deux potes est là, seul adossé à un mur, “Heuuu non, je n’ai pas de problèmes avec les femmes… Mais je préfère les gars !
– Bienvenue au club alors ! Me répondit-il, avec un éclat de rire qui laisse apparaître deux jolies fossettes et des yeux d’un noir profond qui pétillent de malice !!!
Et il reste là à me fixer droit dans les yeux, ma respiration s’accélère, mon cœur va exploser dans ma poitrine et au bout de quelques secondes qui me parurent une éternité, nos yeux se quittent et mon regard descend jusqu’à son pantalon et là je vois une bosse impressionnante… Qui laisse présager de bons moments !
« Au fait moi c’est Frank !
– Enchanté, moi c’est Iyad !
– Enchanté ! Et je lui tends la main, il a la peau douce et une bonne poignée !! Ça te dit de prendre un café ou un verre ?
– Ça aurait été avec plaisir, mais j’ai promis à mon frère de faire à manger et de l’aider à réviser son bac ! Me dit-il…
– Je comprends peut-être une autre fois ?
– Oui peut-être, mais je ne sais pas quand…
– Je te laisse mon 06 si tu veux, tu verras si ça te dit et quand, c’est juste à toi de décider ! »
Je lui donne mon mun et lui serre la main et nos yeux se croisent encore une fois, mon cœur fait des bons tellement son regard est intense et d’un noir profond…
« Je te souhaite une bonne soirée Iyad, un bon repas et une bonne révision avec ton frère !!
– Bonne soirée toi aussi ! »
Me dit-il avec un grand sourire ? Et on se quitte en partant chacun de son côté, je rentre chez moi direct avec un caleçon en feu !! Je me déshabille, j’ai toujours l’habitude de me balader nu chez moi.
Je m’allonge sur le canapé et je me branle en pensant à Iyad et à son pote… Je sens le plaisir grandir dans mon ventre devenir de plus en plus fort, je continue mes va-et-vient… Je n’arrive plus à me retenir, et je finis par lâcher cinq ou six jets qui s’écrasent sur mon torse et mon visage, c’est un feu d’artifice dans ma tête, une explosion de plaisir, je suis secoué de soubresauts de jouissance qui n’en finissent pas, et je reste là étendu, mon sperme coulant sur mon visage mon corps… Je suis complètement vidé par cette branle, ça faisait longtemps que je n’avais pas joui aussi intensément…
Au bout d’une dizaine de minutes, je finis par reprendre mes esprits et me dirige vers la douche pour enlever tout ce sperme qui continue de couler partout !
Une fois laver, rincer, sécher, je vais dans la cuisine pour me faire un petit truc à manger. Tout en cuisinant, je n’arrive pas à me sortir le visage de Iyad et de son pote de ma tête…
Mon portable reste désespérément muet, vers une heure du mat, je finis me coucher, non sans une autre séance de branle tout aussi intense.
Ce matin toujours rien sur mon tel ! Ça fait deux jours que j’ai croisé Iyad à la sortie d’un super marché et que je lui ai donné mon numéro. Mais je n’ai eu aucune nouvelle… Je pense que c’est mort, c’est dommage, il est super canon !!!
Je me douche vite fait et pars au boulot ! La journée se passe triste et ennuyeuse ! Enfin 18 h, fin de la journée, début du week-end !!!
Je rentre vite fait pour me changer et voir ce que je vais pouvoir faire ce samedi soir ! Décidément, tout le monde a pris ça voiture ça n’avance pas Pfff ! Ça commence bien ce WE… Je sens mon tel vibrer, un message ! Mais je vais devoir attendre d’être arrivé.
Enfin arrivé après 20 min de trajet arrivé à l’appart je me dessape comme d’hab et je regarde mon tel : un numéro que je ne connais pas… « Salut Frank ! Ça te dit une sortie ciné ce soir ? Iyad »
Mon cœur résonne comme une batterie à un concert de hard rock !!! « Salut, Iyad, oui ça me va ! » Et comment j’ai envie !!! « Tu as une idée de film ?
- Avengers : Infinity War, ça te dit ? La séance de 21 h
– Parfait ça me va, j’arriverais juste pour la séance, mais pour moi, c’est ok !
OK, c’est cool, à toute ! »
Je n’ai pas intérêt à traîner si je veux être à l’heure, il faut que je me douche, que je me fasse les poils de partout, on ne sait jamais comment va se terminer la soirée, et ça fait un moment que je fais la grève de la tondeuse !!! Au bout de quarante minutes, je suis enfin prêt.
Le trajet me paraît interminable, pourtant, il ne dure que quinze minutes ! Mais me semble durer des heures. Je suis enfin arrivé, je passe la caisse et prends un sachet XXL de confiseries et rentre dans la salle, il n’y a pas trop de monde, mais je ne vois pas Iyad… M’aurait-il posé un lapin ?
Mon téléphone vibre, un message de Iyad : « Je suis en haut sur ta gauche en bord d’allée ». Je lève les yeux et l’aperçois, mon cœur fait un bon dans ma poitrine ! Je le rejoins en marchant aussi lentement que possible !
« Salut, Frank, tu vas bien ?
– Ça va tranquille, je suis content de te revoir !
– Moi aussi, même si j’ai hésité, je pensais que tu allais refuser !
– Pourquoi pensais-tu ça ?
– Je ne sais pas… on s’est à peine vu et on n’a même pas discuté cinq minutes !!
– Oui, c’est vrai, mais pour moi ça ne faisait aucun doute, on ne risque pas grand-chose à rencontrer des personnes qui ont l’air sympas !
– Merci beaucoup ! Attends, excuse-moi ! »
Il prend son portable, lit un message, son joli visage s’assombrit, et me dit :
« Je suis désolé, me dit-il, c’est mon petit frère, sa soirée est tombée à l’eau…
– Et tu dois aller le retrouver, c’est ça ?
– Non t’inquiètes ! Il me demande juste si… Il peut venir nous rejoindre ?
– Bien sûr ça ne me dérange pas, et toi ?
– Ben en fait… J’aurais préféré être seul pour une fois et pouvoir discuter tranquillement avec toi ! Mais je suis désolé, je n’ai pas trop le choix, ça ne te dérange pas ? Vraiment ?
– Non ne t’inquiète pas Iyad, dit lui de venir !
– D’accord, ça marche, merci !
– Mais de rien ! Je comprends ! »
Il textote et range son téléphone.
« Ça ne va pas le déranger qu’il te voie avec un gars ?
– Non, t’inquiète !
– C’est Cool !
– Et tu fais quoi dans la vie de tous les jours ?
– Je suis régisseur dans un musée spectacle.
– Ha, c’est super ça ! Et c’est quoi le thème du musée ?
– Le spectacle vivant en général : théâtre magie cirque…
– Ha, c’est cool ça, j’adore trop le spectacle et le théâtre ! Il faut que je vienne voir ça !!!
– Avec plaisir, tu seras le bienvenu !
– Tien Idris vient d’arriver ! »
Et là, méga surprise… Je vois le gars qui était au rayon téléphone avec lui et que j’avais pris pour son pote, c’est son frérot en fait !
« Salut mec ! Moi c’est Idris ! Me dit-il en me tendant la main.
– Frank, enchanté Idris ! En lui serrant la main, il a une peau douce comme celle d’un bébé !
– Moi de même »
Il se met dans le fauteuil à ma gauche, je suis super bien entouré… Iyad à droite et Idris à gauche !!! Je suis aux anges, mais pour discuter ça va être compliqué…
Les bandes-annonces sont finies et les pubs aussi le film va commencer ! La salle est dans le noir et la séance démarre, il est plutôt cool ! Mes voisins sont absorbés par le film, même si de temps en temps, je sens le regard d’Iyad se poser sur moi !
Je prends le sachet de bonbons et leur dis « si vous en voulez, servez-vous ! » Et ils me répondent en cœur : « Merci, c’est gentil ! ».
Ne sachant pas où mettre les bonbons, je décide de le poser le sachet sur mes genoux, comme ça tout le monde peut se servir comme il a envie ! Idris est le premier à en à en profiter, suivi de son frère quelques minutes plus tard.
Le film est commencé depuis une trentaine de minutes quand la main d’Idris plonge dans le sachet, fouille et semble chercher une friandise particulière, puis la ressort au bout de quelques instants, apparemment satisfait par sa prise !
Iyad est toujours concentré sur le film, et me regarde discrètement de temps en temps. Idris est vraiment le plus gourmand des deux, il engloutit les friandises comme un Packman ! Et pour la Xième fois de la soirée, plonge sa main dans le sachet et reprend sa recherche au milieu des bonbons et là… Erreur trajectoire certainement, il termine sa course sur mon entre-jambes…
Surpris, je ne bouge pas en me disant que c’est un accident… Mais la course de ses doigts ne semble pas s’être perdue « accidentellement » dans cet endroit, mais s’attarde quelques instants le long des boutons de ma braguette, et repart aussi vite qu’elle est venue emportant quelques sucreries au passage ! Au bout de quelques secondes, je tourne un peu la tête vers Idris qui me regarde avec un grand sourire. Je suis un peu surpris et gêné par la situation… Mais pour le moment, je ne peux vraiment rien faire…
Je suis pétrifié, ne sachant pas comment réagir… J’essaye de rester de marbre, répondre à ces caresses ou lui faire comprendre que ce n’est pas mon envie du moment…
Je suis concentré sur les mouvements de Idris, mais je sens le genou de Iyad qui entre en contact furtivement avec le mien puis s’éloigne un moment, et revient au contact et reste là, mon cœur bat la chamade, j’ai complètement perdu l’histoire du film, je regarde fixement l’écran, je n’ose plus bouger. Idris replonge au milieu des friandises et se perd encore une fois le long de ma braguette et continue son exploration systématique de mon entre-jambes, je suis de plus en plus gêné, je commence à avoir une érection de plus en plus forte et incontrôlée. Il est impossible qu’il ne s’en soit pas aperçu, ses doigts insistent et suivent les contours de mont sexe, maintenant complètement dur… Il finit par prendre les vrais bonbons et me laisser respirer.
Le genou de Iyad est toujours fermement contre le mien, mais immobile. Je risque un regarde vers lui et à ma grande surprise, il m’observe du coin de l’œil et sourit timidement, et semble se concentre de nouveaux sur l’écran tout comme Idris.
Un peu de répit, je finis par reprendre mes esprits et mon caleçon fini par se détendre, tout le monde semble avoir retrouvé un peu de sérénité…
Soudain, je sens le dos de la main de Iyad qui touche le bout de mes doigts, et reste là sans bouger… Au bout, quelques minutes, je me risque à poser un doigt sur sa peau, il ne bouge pas, je continue à effleurer le dos de sa main, il la retourne et je continue mes caresses, nos doigts se touchent, se croisent, se mêlent, et Iyad glisse ses doigts entre les miens et les referment, emprisonnant nos deux paumes l’une contre l’autre… Je tourne lentement la tête vers lui et lève les yeux, nos regards se croisent et il me sourit discrètement, ses doigts serrent un peu plus les miens, je vois ses yeux briller malgré l’obscurité, je voudrais que ce moment ne s’arrête jamais…
Idris replonge dans le sachet de bonbons et encore une fois se perd contre ma braguette sous l’œil stupéfait de son frère, qui, aussitôt me lâche la main, et lance un regarde désapprobateur à son frérot.
Le charme est rompu.
Les deux frères restent sans bouger à fixer l’écran, j’appréhende la fin du film, comment vont-ils réagir…
La séance arrive à sa fin, les spectateurs commencent à se lever et quitter la salle. On est toujours assis, tous les trois. Le générique prend fin, je n’avais pas vu que Idris était avec son portable, en train de répondre à des messages, je suppose ! Iyad donne le signal, on se lève et on descend vers la sortie…
Toujours aucune parole, c’est une ambiance pesante…
Nous voilà dans le hall, « Je vais rentrer » nous dit Iyad, et Idris lui répond « je vais rejoindre des potes, bonne soirée, Frank, je suis désolé que ça se termine comme ça… À une prochaine… Peut-être ! »
On se serre la main et il part sans un mot pour son frère… Bonne ambiance !!!
Je suis seul maintenant face à Iyad. Je le regarde et lui dis.
« Je suis désolé Iyad, je n’ai pas voulu ça ! Et surtout pas que la soirée se termine comme ça… »
– Tu n’y es pour rien, ce n’est pas la première fois, et franchement ça m’énerve !
– Je suis vraiment désolé, mais je ne savais pas comment réagir j’ai été tellement surpris…
– Je comprends, je suis désolé, mais je vais rentrer, je ne suis pas de très bonne humeur. »
Il me tend la main, elle est moite, il me salue et s’en va à son tour…
Et je me retrouve là, seul, comme zombi au milieu de cette foule !
Quelle soirée ! Au bout de cinq minutes, planté là, je décide de rentrer à mon tour. Le trajet me parait long triste et ennuyeux.
Une heure et demie… Je vais me coucher, demain sera un autre jour ! Je tourne me retourne dans le lit, j’ai beaucoup de mal à trouver le sommeil, mais je finis par m’endormir en pensant à Iyad…
Un bruit bizarre me tire du sommeil… Qu’est-ce que c’est ? Je regarde mon réveil… Deux heures ! C’est quoi ce bruit ??? C’est mon téléphone ! Je ne reconnais pas ce numéro !
« Allo ?!
– Je t’ai réveillé excuse-moi, c’est Iyad
– Ce n’est pas grave, que se passe-t-il ?
– Je me suis pris la tête avec Idris quand il est renté et là, je marche dehors… Je voudrais m’excuser pour cette soirée de la mort… Je n’aurais pas dû réagir comme ça, tu n’y étais pour rien !
– Ne t’inquiète pas Iyad, en ce qui me concerne, il n’y a aucun problème, pour moi c’est simplement oublié !
– Merci, c’est gentil !
– De rien, c’est normal ! Mais dit moi, il pleut dehors non ?
– Oui, l’orage monte là !
– Tu devrais te dépêcher de rentrer, tu vas être trempé !!!
– Non, c’est bon, si je rentre, je vais encore me prendre la tête avec Idris et franchement, j’ai eu ma dose ce soir !
– Tu es à l’abri au moins ??
– Oui… Ça va… Je suis à un arrêt de tram, il y a un abri !
– Non !!! Arrête Iyad, tu vas être trempé ! Il faut que tu rentres !
– Non non ! C’est bon, t’inquiète !
– Tu es où ?
– Près du centre commercial, juste au-dessus !
– C’est à cinq minutes à pied de chez moi, viens au moins te mettre à l’abri, le temps que l’orage passe, et tu rentres après !
– Non, je ne vais pas te déranger pour si peu ! Ce n’est que l’eau !
– Je suis sérieux là Iyad, ne reste pas dehors avec cette pluie, je t’offre un café, un thé ou un chocolat pour te réchauffer !
– Je ne veux pas te déranger !
– Non, c’est bon, tu ne me déranges pas !
– T’es sur Frank ?
– Mais oui, je te promets !
– Merci !
– De rien, je t’envoie l’adresse et le code.
– D’accord, j’arrive.
– Laisse-moi juste le temps de m’habiller !
– D’accord à tout à l’heure.
On raccroche, je lui envoie les infos pour venir, je sors de mon lit et je cherche un short et un T-shirt pour être présentable. Je range deux ou trois trucs qui traînent ! L’orage est là et tonne fort… Je suis prêt et j’attends.
Au bout, quinze minutes, on frappe discrètement à ma porte ! Je me précipite pour ouvrir et là, je vois Iyad trempé, mais vraiment trempé !!! À tel point que l’eau coule, non seulement sur son visage, mais aussi de ses vêtements !!! Il est vraiment trempé, comme s’il sortait d’une piscine !
« Entre vite, il faut que tu te sèches !
– En plus, je suis vraiment gelé ! Dit-il en tremblant.
– Là, il faut que tu te déshabilles et que tu prennes une bonne douche pour te réchauffer, tu ne peux pas rester comme ça !
– Ça ne se fait pas !
– Là, je suis vraiment sérieux, tu te déshabilles, je sèche tes vêtements, et je nous fais un bon chocolat. Pas de discussion ! »
Je lui indique la salle de bain, lui donne une serviette et un peignoir.
« Passe-moi tes vêtements par la porte dès que tu les auras enlevés, que je les mette à sécher sur l’étendoir. »
Je sors en fermant la porte et attends dans le couloir, au bout de quelques instants, il entrouvre la porte et me passe ses chaussures et toutes ses fringues, laissant juste apparaître une partie de son visage par l’ouverture.
« Merci Frank ! »
La porte se referme et je me dirige vers le séchoir pour étendre tout ça ! Tout est complètement détrempé, cela risque de prendre du temps pour sécher…
Je vais en cuisine pour faire fondre un peu de chocolat dans du lait avec un peu de cardamome, deux ou trois goûtes de vanille et un peu de la cannelle.
Au bout de dix minutes, le chocolat embaume toute la cuisine, et j’entends dans mon dos :
“Ça sent super bon !
– Merci Iyad ! Ça va mieux, tu t’es un peu réchauffé ?
– Pas complètement ! Mais merci, ça m’a vraiment fait du bien !
– Mais de rien, c’est normal, je n’allais pas te laisser sous la pluie quand même ! Installe-toi sur le canapé, c’est prêt ! Le temps de servir et je te rejoins. Je lui tends un grand mug et je m’assois à l’autre bout du canapé.
Il boit une gorgée :
« C’est super bon !
– Merci !
– De rien ça me fait plaisir et en plus ça va te faire du bien, et te réchauffer !
– Écoute, je voulais vraiment m’excuser pour notre comportement à Idris et moi !
– Je t’ai dit que pour moi, c’est du passé et déjà oublié !
– Je ne voudrais pas que tu penses que c’était prémédité, et qu’on t’a piégé !
– Non, ça ne m’est même pas venu à l’idée, alors sors-toi cette histoire de la tête. On oublie d’accord ? Et on repart à zéro ? Ça te va ?
– D’accord, me dit-il, un peu gêné !
– Tu vas bien ?
– En fait, je n’ai pas l’habitude de me retrouver chez un gars que ne connais quasiment pas, en peignoir !
– Je te rassure moi non plus ! Mais je ne pense pas que tu sois un mauvais garçon ! Au contraire ! Et pour te rassurer, je ne suis pas un papi pervers qui saute sur tout ce qui bouge ! »
Et là, il éclate de rire ! Et son visage se détend un peu !
« Tu n’es pas un papi quand même !
– Tu sais, j’ai eu cinquante ans début d’année donc je suis plutôt vieux par rapport à toi !
– Ha ouais, je ne pensais pas que tu avais cet âge-là !
– Merci, Iyad, c’est gentil !!! He ben si !! J’espère que ça ne te pose pas de problème ! Mais si c’est le cas, dis-le-moi !
– Non t’inquiètes pas, si c’était le cas, je n’aurais pas pris contact avec toi, et je ne serais pas là !
– Merci Iyad ! Parle-moi un peu toi, enfin si tu veux bien sûr ! On a un peu de temps, parce que tes fringues vont mettre du temps à sécher !!!
– Ha… Tu crois ?
– Oui j’en sûr, vu comment ils sont trempés !
– D’accord… Je suis marocain j’ai dix-neuf ans, je suis en France depuis deux ans je vais préparer un diplôme d’ingénieur j’aime le spectacle, le cinéma, les balades, la mer, et mon frère ma rejoint il y a un an il a dix-huit ans et veut aussi préparer aussi un diplôme d’ingénieur.
– Des têtes bien faites dans la famille, et en plus vous êtes tous les deux super mignons ! »
Il rougit un peu et me sourit un peu gêné, en se cachant derrière le chocolat chaud, il se replace dans le coin du canapé face à moi, sans faire attention qu’il porte un peignoir sans rien dessous, qui s’ouvre légèrement sous la ceinture, laissant apparaître le haut de ses cuisses ! Il ne s’en n’ait pas aperçu, et cela ne me dérange pas, bien au contraire !!!
L’orage continue de se faire entendre. On continue à parler pendant un bon moment de tout et de rien, on rigole bien, non seulement, il est beau ! Mais il est super sympa en fait !
« Je suis désolé, me dit-il, mais là, je commence à avoir envie de dormir, je pense que je vais rentrer !
– Tu es sûr ? Par ce qu’il pleut toujours et que tes vêtements à mon avis ne sont pas secs !
– Tu crois ?
– J’en suis sûr pour la pluie et pour tes fringues, j’en suis quasiment certain ! Mais on peut aller contrôler si tu veux !
– Non, c’est bon, mais comment je fais pour rentrer ?
– Je te propose de dormir ici, je déplie le canapé, il est super confortable, tu dors là, et demain, tu rentres dès que tes vêtements sont secs ! Ça te va ?
– Je sais pas… Je ne veux pas te déranger !
– Arrête Iyad, tu ne me déranges pas, c’est moi qui te l’ai proposé, et c’est vraiment de bon cœur, tu sais !!!
– D’accord, mais si vraiment ça ne te dérange pas !
– Pas du tout ! Aller, on en parle plus on déplie le canapé et tu dors là ! »
Je déplie le lit et mets tout en place.
« Voilà, c’est prêt ! Tu as tout ce qu’il te faut ? Tu veux un pyjama, un caleçon pour dormir ?
– Non merci, je dors sans tout est parfait merci !
– Je vais te montrer les lieux au cas où !!!
– Là, c’est la salle de bain, tu connais déjà, la cuisine, ma chambre, et les toilettes, et si tu as besoin de quoi que ce soit n’hésite pas !
– Merci, mais je pense que ça, devrait aller !
– D’accord, alors je te souhaite une très bonne nuit Iyad, fais de beaux et doux rêves.
– Merci, à toi aussi !
– Merci. »
Et je me retire dans ma chambre en poussant simplement la porte comme à mon habitude. J’enlève mon peignoir et je me couche. Je bous intérieurement, j’aurais peut-être dû tenter ma chance pour aller plus loin avec Iyad… Mais c’est comme ça ! Et de savoir qu’il dort juste à côté n’arrange rien ! Trop envie de le rejoindre dans le salon !!! Mais ça ne serait pas correct, il est coincé ici, sans habits ! Je ne voudrais pas tout gâcher… Je finis par m’endormir.
Mon sommeil est agité, je tourne dans le lit sans arrêt… Un bruit de pas me réveille, et un bruit d’eau qui coule, il a dû aller aux w.c. !
Et plus un bruit, il a dû se recoucher et se rendormir, à mon tour, je sombre dans le sommeil.
Un bruit de pas dans la chambre, je sens la couette qui bouge et se soulève, et il se glisse sous la couette :
« Iyad, je crois que tu t’es trompé de lit !
– Je ne me suis pas trompé de lit… Mais là, j’ai envie de tes bras autour de moi, s’il te plaît… Je peux dormir avec toi ?
– Oui bien sûr »
Je m’allonge sur le dos, il se colle tout contre moi pose sa tête sur mon torse, je l’enlace doucement, c’est un moment magique…
Sa respiration est rapide, courte et je sens battre son cœur, il tape fort dans sa poitrine et résonne en moi. Ma respiration est plus lente, et plus profonde que la sienne, mais mon cœur bat aussi fort que celui d’Iyad.
On reste là comme ça sans bouger pendant un long moment, je pose ma main sur sa tête dans ses cheveux, je sens un frisson qui le parcourt, son cœur bat plus fort encore. Sa main s’anime sur ma poitrine, ses doigts se perdent dans mes poils et semblent s’amuser dans ma toison.
Sa respiration se calme un peu, mais contre ma cuisse, je sens toute la mesure de son désir grandissant à chaque battement de son cœur ! Cette sensation agréable a pour effet de faire monter la pression du fond de mes entrailles.
Ma main caresse ses cheveux, il reste la comme ça, la main dans les poils de mon torse, je voudrais que ce moment ne s’arrête jamais !
Je m’assoupis…
Une sensation chaude et humide le long de mon cou… Je me réveille et Iyad est en train de m’embrasser, et me donne des frissons de plaisirs dans tout le corps. J’ouvre les yeux et Iyad m’aperçoit et s’arrête net et me dit : ‘Excuse-moi, je n’aurais pas dû… Je mets une main de chaque côté de sa tête en plaçant mes pouces sur ses lèvres pour le faire taire, je plonge mes yeux dans son regard, je pose mes lèvres sur les siennes, elles s’entrouvrent et sa langue cherche la mienne, je lui donne ce qu’il veut.
Nos langues finissent par se trouver, se mêlent, s’emmêlent et explorent tour à tour chaque bouche, pénétrant chez l’un chez l’autre dans un combat délicat, sensuel, fait de va-et-vient, de succion, d’aspiration, de plaisir partagé…
Son corps est parcouru de frisons, il a la chair de poule. Nos langues se séparent, et nous nous enlaçons, Iyad est allongé sur moi, ses caresses et ses mouvements sont un peu maladroits, mais pleins d’enthousiasme !
Son sexe, complètement dur, frotte contre mon ventre, il est un peu brutal et me fait un peu mal, et je lui dis :
« Vas-y doucement Iyad
– Excuse-moi… Je n’ai pas l’habitude…
– Que veux-tu dire ?
– Rien… Juste que je n’ai pas trop l’habitude…
– C’est ta première fois, c’est ça ?
– J’ai fait quelque chose de mal ?
– Non pas du tout, bien au contraire ! Mais tu es sûr de vouloir aller plus loin avec moi ?
– Oui Frank, j’en ai envie, et je le veux vraiment. Et toi ?
– Oui ça me ferait vraiment plaisir, mais dis-moi juste ce que tu veux faire ou essayer…
– … Heu… Les deux… Tout… Enfin si c’est possible…
– D’accord, mais en ce qui me concerne, j’ai toujours été.... Que dans une seule position… Actif, si tu vois ce que je veux dire Iyad ?
– Alors, commençons déjà par ça… Enfin, si tu veux bien…
Il me fait face, je m’approche de lui, je mets, mais une main dans ses cheveux noir de jais, je dépose un baiser sur son front et je descends lentement en l’embrassant sur la joue, sa respiration s’accélère, je pose mes lèvres sur les siennes, ma langue caresses les ses lèvres, il les écarte un peu, m’invitant plus loin en lui, je m’aventure un peu plus à la rencontre de sa langue, elles se rencontrent, se cherchent, ce frottement passe d’une bouche à l’autre, il embrasse divinement bien pour un novice !
Je laisse ses lèvres et glisse la pointe de ma langue le long de sa gorge et l’embrasse en mordillant ce cou jeune et délicat, il penche la tête en arrière en gémissant plus fort, je remonte et enfonce ma langue dans son oreille et mord le lobe, le cartilage, il souffle de plus en plus, ses bras m’enlacent et me sert plus intensément contre lui… Son corps ondule sous mes caresses.
Il me fait basculer et se place sur moi et commence à jouer avec sa bouche sur mon cou, mes oreilles et se met à embrasser mes tétons et commence à les sucer comme un nouveau-né, non sans me donner beaucoup de plaisir.
Ses mains se baladent sur tout mon corps.
Il est allongé sur moi, je sens sa tige se frayer un chemin entre mes cuisses et venir buter contre ma rosette, elle glisse entre mes cuisses va et vient avec beaucoup de détermination, je serre un peu les jambes et il continue en m’embrassant, la fougue des premières fois reprend le dessus sur la douceur et la délicatesse. Il accélère ses mouvements et je le sens se contracter, je l’enlace et le serre fort dans mes bras et il finit par jouir avec un râle presque guttural, libérant une dose de sperme impressionnante !
Il est tout contre moi, les yeux clos, le souffle court…
« Tout va bien, Iyad ?
– Oui, me dit-il dans un souffle… Je suis désolé, je n’ai pas pu me retenir…
– Ce n’est pas grave, on a tout le reste de la nuit et la journée, enfin si tu le veux… !
– Oui…
– Viens avec moi dans la salle de bain. »
Je me lève et prends la main de Iyad et me dirige vers la salle de bain. J’allume la lampe et pour la première fois, je découvre son corps, il est juste magnifique, comme peut l’être un jeune homme de dix-neuf ans… Mince, sec, avec une musculature dessinée, mais discrète, il est totalement imberbe, à l’exception d’un peu de duvet au niveau de son pubis que je devine derrière ses mains qui dissimulent ses attributs.
Je fais couler l’eau dans la baignoire et je rentre en premier, l’eau est à la bonne température Iyad me rejoint timidement, me laissant découvrir son sexe long et bien proportionné… Il s’accorde totalement avec le reste de son corps, il est juste parfait, circoncis et pointe vers le sol séparant parfaitement ces deux testicules totalement lisses… Il avance timidement face à moi, jusque sous la douche, l’eau coule sur son visage, et ruisselle sur son corps créant de petites cascades en harmonie avec son corps et ses muscles… Je prends du gel douche et je commence à lui savonner le torse en suivant les courbes de son corps et je descends sur son ventre et remonte le long de ses cotes, jusque sous ses aisselles rasées, je pose ses bras sur mes épaules et reprends du gel douche et commence à lui frotter le dos je me rapproche de lui en glissant mes mains derrière lui pour le coller contre moi je lui frotte le cou et il pose son visage sur mon épaule, je savonne son dos de haut en bas, et ses fesses légèrement bombées et fermes, il se cambre à chacun de mes allers et retours sur ce joli fessier, il a la chair de poule.
Je sens son pénis remonter doucement entre mes jambes, je serre les cuisses et continue de lui frotter ses deux magnifiques globes, il se cambre chaque caresse et je sens son sexe aller et venir entre mes cuisses… Je glisse une main entre ses deux fesses, le long du sillon, je passe sur sa rosette qui se contracte au passage de mon doigt et pénis fait un bon entre mes cuisses…
Il prend du gel douche et commence à me savonner le dos tout en faisant des allers-retours entre mes cuisses, nous sommes couverts de savons et nos corps glissent l’un contre l’autre, nos mains parcourent chaque recoin de l’autre…
Je m’attarde le long de sa raie et je fais le tour de son anus qui vibre, se contracte à chaque passage, et à ma grande surprise Iyad me réserve le même traitement et je trouve ça très agréable, la maladresse à laisser place à la douceur et à la délicatesse.
Je continue mon exploration et je presse un doigt au centre ce cette rosette serrée, je reste là et je force un peu et rentre juste le bout, je sens son sexe sursauter entre mes cuisses et j’entends un petit cri à mon oreille :
“Ça va Iyad ?
– Oui !
– tu veux que l’on continue ?
– Oui, s’il te plaît…”
On continue nos caresses et il me doigte avec douceur ! Je continue le savonnage en règle et Iyad se retourne et j’ai une vue imprenable sur sa magnifique chute de reins, je lui savonne le dos, le cou, son torse, et il se recule coinçant mon sexe conte son fessier, le savon aidant, je me glisse entre ses fesses et me cale en long dans son sillon, et il agite ses reins le long de ma tige, montant et descendant et je l’entends gémir de plaisir… Je descends les mains le long de son torse et de son ventre tous en le savonnant avec vigueur et je continue la découverte son corps, et descends entre ses cuisses, je saisis son membre à deux mains que je fais monter et descendre sur toute sa longueur, son bassin ondule au rythme de mes caresses sur son sexe… Un plaisir partagé… Et on continue comme ça pendant encore cinq minutes et je rince tout le monde. Je passe une serviette partout sur son corps.
Et je le sèche complètement, et je commence à me sécher, il me prend la serviette et continue à me sécher à son tour, il le fait avec beaucoup de douceur ! »
Il m’embrasse avec fougue, je lui rends son baiser en le retournant sur le lit… Je me retrouve au-dessus de lui.
Je lui mordille le cou, l’embrasse, sa peau à une odeur douce et aphrodisiaque, mon érection en est presque douloureuse tellement son corps échauffe mes sens…
Ma Langue descend le long de sa poitrine et s’attarde sur ses tétons, tourne et tourne encore autour de ses mamelons qui durcissent à chaque caresse… Je mords ces tétines érigées au milieu de ce torse parfait, il se tortille en gémissant de douleur mêlée de plaisir. Je remonte ses mains au-dessus de sa tête laissant apparaître ses aisselles fraîchement rasées.
Ma bouche continue son chemin vers ses dessous-de-bras, je respire le parfum délicat qui s’en échappe, et y dépose un baiser.
Je poursuis l’exploration de ce corps parfait en mordillant sa taille, il ondoie de plaisir à chaque morsure, je fais rouler ses tétons entre mes doigts, et l’enfonce ma langue dans son nombril, je sens ses abdominaux qui se contractent à chaque caresse…
Je continue ma descente dans son intimité et lui relève les jambes, laissant apparaitre une magnifique fleur au cœur vierge et serré, je gobe ses testicules imberbes et les effleure avec ma langue, je les aspire, les relâche, les caresse, et les gobe à nouveau pour le plus grand plaisir de Iyad, qui respire de plus en plus fort. Je replie un peu plus ses cuisses et son anus et complètement offert à mes caresses linguales… Je passe la langue le long de sa raie et je le sens se resserrer à chaque passage, je glisse la pointe de ma langue au centre de cette belle rosette qui se contracte à chaque tentative.
Je mouille abondamment mon index avec ma salive et j’enduis son petit trou en faisant tourner le bout de mon doigt tout autour de cette jolie fleur. Je sens qu’il se décontracte, J’enfonce le bout de ma langue qui entre un peu en lui, il respire de plus en plus fort, je relève un peu son bassin et ma langue pénètre un peu plus en profondément, il gémit doucement, il est de plus en plus relâché, à chaque pénétration, je vois son visage exprimer son plaisir, et son corps qui ondule à chaque coup de langue. Sa rosette luit de salive, j’introduis un doigt, il entre sans résistance, je lèche sa queue qui est devenue bien raide et bien droite, elle bondit à chaque coup de langue.
Je repose ses pieds sur le lit et j’engloutis son sexe jusqu’au fond de ma bouche, son gland vient buter contre ma glotte, et me fais tousser tellement elle est longue ! Mais je suis bien décidé à l’engloutir… Je recommence en respirant bien, elle glisse lentement jusqu’au fond, je me décontracte, je force un peu elle s’enfonce un peu plus encore, mais j’ai un haut-le-cœur, je salive un max, ça coule de ma bouche, j’ai les yeux qui pleurent, je reprends mes esprits et continue à le sucer avec beaucoup de plaisir. Je le garde en bouche, et je finis par le pendre entièrement en gorge, je l’entends gémir et souffler… La salive coule le long de ses boules et sur sa rosace, je retire mon doigt et profite se lubrifiant naturel pour jouer avec sa rondelle, je me retire un peu pour respirer et le reprends en fond de gorge, et dans le même mouvement, je glisse deux doigts en lui, il joue avec son bassin et je sens son pénis qui va et viens au fond de ma gorge son souffle devient plus court, il gémit de plus en plus et fini par se retirer de ma bouche :
« Je ne vais pas résister longtemps si tu continues comme ça !!! »
Je continue à explorer ses entailles avec mes doigts, les enfonçant de plus en plus profondément allant et venant. Iyad ondule à chaque aller et retour, son anus est complètement décontracté et me laisse aller et venir à ma guise… Jouant avec son corps intérieur, je finis par caresser sa prostate, ce qui déclenche un gémissement intense, je continue à la caresser de l’intérieur, elle est dure et chaque caresse déclenche une vague de gémissement de plus en plus fort…
Profitant de ce moment, je glisse un troisième doigt en lui, il rentre facilement, il est complètement ouvert je continue mes allées et venues titillant ça petite noix, transformant les gémissements en petit cri de plus en plus aigu, soudain, je sens son corps se raidir, ses petits cris deviennent plus graves, même rauques et son anus se contracte en rythme et un délicieux nectar s’écoule en cascade de son sexe dresser… Je me précipite pour tout avaler, je lèche tout le jus qu’il libère, sa semence a un goût légèrement sucré et salé à la fois, je lèche chaque goûte de ce précieux élixir sur sa peau, je le prends la bouche et suce pour aspirer jusque la dernière goûte son élixir de vie…
Iyad est étendu sur le lit agité de petits soubresauts incontrôlés, sa respiration est courte et saccadée, je retire mes doigts, et m’allonge tout contre lui.
Il est toujours étendu sur le dos, le calme semble revenir dans son corps et son esprit.
Au bout de quelques minutes, il a toujours les yeux ouverts dans le vide, il est immobile, silencieux…
« Ça va Iyad ?
– Oh putain oui qu’est-ce que tu m’as fait ??? … » Il avale sa salive, et semble reprendre vie !
« J’ai joui comme jamais, sans me toucher !!! J’ai cru que je mourrais !!!
– Mourir de plaisir, ça serait une belle mort ! Je voulais juste te donner plaisir !!!
– Je n’ai jamais ressenti CA !!!
– Merci Iyad ! Je suis super content !
– Je n’arrive pas à redescendre… Je suis… Je sais plus où je suis… Mais je suis bien…
– Aller vient là. »
Je suis allongé sur le côté et, et Iyad me fait face, nos yeux n’arrivent plus à se quitter, à chaque seconde qui passe, plongent un peu plus dans le regard de l’autre, et on respire à l’unisson…
Il finit par se rapprocher et m’embrasse avec fougue et douceur.
« Mais toi, tu n’as pas encore joui ! Me dit-il après un petit moment ?
– Tu n’as pas l’intention de partir tout de suite, si ?
– Alors là, non !!!
Il m’embrasse tendrement et finit par me faire rouler sur lui, je prends appui sur mes coudes pour ne pas l’écraser, nos yeux ne se sont pas quittés, nos lèvres finissent par se retrouver, on s’embrasse à pleine bouche mélangeant nos langues qui se caressent, luttent dans un combat sensuel.
J’abandonne ses lèvres fines et délicates, et je glisse ma langue, le long se sont menton et continue de descendre sur son cou, je le lèche, l’embrasse, le mords, il se tortille gémit, Hédoné semble avoir pris possession de son corps. Je visite ses oreilles avec la pointe de ma langue, je mords ses lobes, je prends chaque oreille dans la bouche comme si je voulais l’avaler, il se trémousse sous mes caresses.
Il passe ses bras autour de mon torse et me plaque contre lui, nos corps se frottent l’un contre l’autre, nos sexes se livrent une lutte pour le plaisir de l’autre.
Il semble insatiable, son sexe, reste dressé malgré sa jouissance, et encore coulant de jus, le pré-cum suinte de mon pénis et facilite la glisse sur nos ventres chauffés à blanc par le désir.
Nos bouches se rejoignent et étouffent les murmures de plaisirs. Je suis toujours allongé sur lui, dans un corps-à-corps langoureux.
Iyad passe ses bras autour de mon corps me caresse les cheveux, la nuque, le dos… Il pose un baiser sur mon front, et me dit :
« Je te veux Frank, je veux te sentir en moi !
– Tu es sur Iyad ?
– Certain… »
Et comme pour me prouver ça détermination, il ressert ses bras, et glisse ses jambes autour des miennes, m’emprisonnant tout contre lui.
Il joue avec son bassin massant mon sexe avec le sien, de plus en plus fort de plus en plus loin… Et me susurre :
« Viens… »
Et passe ses jambes autour de mes reins, relevant son bassin offrant sa fleur, à mon désir.
Je me presse contre lui et mon sexe glisse à plat le long de son sillon faisant des allers et retours, caressant sa rosette offerte à chaque passage.
Après quelques minutes de glisse intense, je change un peu ma position et mon gland se positionne presque directement au centre de la fleur qui attendait d’être cueillie.
Sa respiration est de plus en plus courte, il ferme les yeux, je force un peu, sa rosette résiste, je récupère un peu de gel à la pompe, je m’enduis le gland et la fleur si convoitée, je me replace, tout en appuyant légèrement, je sens le bouton de rose, s’ouvrir doucement et me laisse peu à peu entrer.
Son souffle s’accélère, Iyad a les yeux ouverts et me fixe sans cligner, je laisse la pression faire son travail, et tout doucement, je me glisse dans son antre, qui reçoit pour la première un corps étranger au sien…
Au bout de quelques instants, mon gland est maintenant entièrement en lui, ses yeux sont toujours grands ouvert et plonger dans les miens son souffle est encore court et rapide, je reste immobile pour qu’il s’habitue à ma présence…
Ma main caresse sa nuque, ses cheveux, il me semble plus détendu, sa respiration est plus calme et profonde, ses bras se resserrent sur mon cou, il m’embrasse avec douceur, et sa main droite court le long mon dos et descends jusque sur mes fesses.
Sans prévenir, Iyad fait pivoter son bassin, faisant pénétrer entièrement le reste de mon sexe en lui, nos lèvres collées, étouffe un gémissement… Son étreinte se resserre.
Je n’ose pas bouger de peur de lui faire mal… Il a les yeux fermés. Sa main remonte et se glisse dans mes cheveux, nos bouches finissent par se séparer,
“Ça va Iyad ?
– Oui, me dit-il dans un gémissement mi-douleur, mi-plaisir ? Vas-y, doucement…
Je lui embrasse le cou et comment un lent va et vient, ses bras se contractent autour de mon torse, il respire lentement en rythme avec mes mouvements… La pression de son anus qui coulisse autour de mon sexe, me fait gémir de plaisir, son étreinte se dessert un peu… Après quel que minutes, de lents aller-retour, je relève la tête, il a les yeux ouverts, humides, une larme coule sur sa joue, je fige direct :
« Que se passe-t-il Iyad ?? Je te fais mal ???
– Non… C’est merveilleux, je ne veux pas que tu arrêtes… Continue s’il te plaît !!!
– Tu es sûr ??? »
Et pour seule réponse, il m’embrasse généreusement et sa langue part à l’assaut de ma bouche avec vigueur de détermination… Rassuré, je reprends mes mouvements langoureux, je ressens une délicieuse sensation, Iyad se tortille de plaisir à chaque allée et venue, et gémi de plus en plus fort ! Je sens son pénis brûlant frotter et glisser entre nos ventres…
Au bout d’une vingtaine de minutes, je sens que je ne vais plus résister :
« Je ne vais plus tenir longtemps Iyad…
– Moi non plus !!! Continues ne t’arrêtes pas, je veux que tu jouisses en moi, s’il te plaît…. »
Je vais et je viens de plus en plus vite, de plus en plus fort… Iyad se raidit, se cambre et gémit de plus en plus intensément, son étreinte se resserre, il penche la tête en arrière m’offrant son cou, je l’embrasse, le mords, et sans autre signe, il pousse un son rauque et une chaleur intense coule entre nos ventres, son anus se contracte en rythme, et me porte le coup de grâce, je n’en peux plus je jouis en lui, libérant ma semence dans ces entrailles… Le plaisir simultané est si intense que j’ai l’impression que mon cœur va éclater. Nos corps finissent par se relâcher, Iyad dessert lentement son emprise et ses bras finissent par retomber sur le lit…
On est resté comme ça quelques minutes le temps de reprendre nos esprits et une respiration plus posée…
Je me retire et m’allonge à ses côtés, je pose un baiser sur son front… « Merci, Iyad, pour ce fantastique cadeau…
– Non !!! Merci à toi pour ce merveilleux moment…
– Je crois que je n’ai jamais ressenti un plaisir aussi fort Iyad !!!
– Moi, j’en suis sûre, j’ai cru m’évanouir, tellement c’était puissant, merci, Frank !!! »
Et là, il m’embrasse, et me serre tendrement dans ses bras et on reste un moment comme ça, dans une douce étreinte…
« Allons prendre une douche »…
Je sors du lit et me dirige vers la salle de bain et comment à faire couler un bain, le temps que ça se remplisse, je vais boire un verre d’eau… Iyad me rejoint, les yeux encore brillants.
« Tout va bien Iyad ?
– Ça va super bien !!!
– Sûr… ?
– Je te promets que oui !
– Merci, tu veux boire quelque chose ?
– Un verre d’eau ça serait top ! »
Je lui sers un verre d’eau pétillante, et je me dirige vers la salle de bains. C’est prêt ! J’enjambe le rebord de la baignoire, et me glisse dans l’eau chaude, cela me fait un bien fou !!! Un instant plus tard, Iyad franchit la porte et me regarde les yeux pétillants : « Aller vient rejoint moi l’eau est chaude !!! »
Il est là, appuyé au chambranle, son corps est magnifique, il est encore plus beau que tout à l’heure… Il finit par entrer dans l’eau face à moi, ses yeux brillent comme mille feux, il se met à genoux, semble hésiter… Je lui prends les mains et l’attire vers moi.
Je le fais asseoir entre mes jambes, le prends dans mes bras et l’adosse contre ma poitrine l’eau nous arrive sous le menton, et nous enveloppe dans un cocon douillet…
On est complètement détendu, Iyad pose sa tête sur mon épaule conte ma joue et on reste là dans notre couverture liquide…. Je prends ses poignets dans les mains et je les croise sur son torse. Et on reste comme ça, l’un contre l’autre sans bouger, on est bien. Et on finit par s’endormir tous les deux, l’un contre l’autre !
Je me réveille, j’ai un peu froid, le jour commence à se lever, je caresse doucement l’intérieur des mains de Iyad, ses doigts reprennent vie avec mes grattouillis…
« Bonjour, Frank, je crois que je me suis un petit peu endormi !
– Bonjour mon Beau, oui, et moi aussi !
– Tu es bien réel ??
– Oui bien sûr !! Pourquoi cette question ?!
– Parce que je suis tellement bien, que j’ai l’impression de rêver !!!
– Moi aussi, je suis bien avec toi Iyad ! »
Il se retourne pour me faire face, ses yeux sont humides, mon cœur bat à tout rompre dans ma poitrine, il enroule ses bras autour de ma nuque, et pose un doux baiser sur mes lèvres et vient poser sa tête contre la mienne sur mon épaule, et se love contre tout contre moi, on respire à l’unisson, on reste là un moment, dans les bras l’un de l’autre.
« J’ai un peu froid, me dit Iyad.
– Oui moi aussi !!! Je pense qu’on devrait sortir de l’eau et se sécher !
– Mais je suis trop bien contre toi, je ne veux pas te quitter Frank…
– Moi aussi, je suis trop bien contre toi…
– Mais je voudrais te revoir et… Enfin, tu vois… Passer du temps, enfin beaucoup de temps avec toi… »
À ces mots, j’ai une sensation étrange dans mon ventre, comme des papillons qui me chatouillent et m’envoient des décharges de bonheur dans tout le corps… Je le sers contre moi en l’embrassant passionnément, et il me rend mon baiser avec une tendresse désarmante !
Je relâche mon étreinte et on sort de la baignoire, à cause de notre séjour prolongé dans l’eau, nous avons la peau toute fripée, ce qui nous fait rire en voyant nos extrémités toutes ridées !
« Rhohohlala, tu as vu ma peau !!! J’ai l’impression d’avoir cinquante ans et d’être vieux !!! Hahaha » Me dit Iyad !
« Quoi ?! Vieux !!! À 50 ans !!! Tu te moques de moi là, Iyad !!!
– Heu… Non… Excuse-moi, je ne voulais pas dire ça comme ça !!!! Je suis désolé, Frank…
– Hahaha, je plaisante, je sais bien que tu ne pensais pas à moi en disant ça, mais tu sais Iyad, mon âge… Je m’en fous complètement !
– Oui, mais en fait, je ne pensais pas à toi, parce que je n’arrive pas à penser que tu as cet âge-là !!!
– Merci, c’est gentil ça ! »
Et pour le remercier, je le prends dans les bras et le sers tout contre moi, il frissonne… De plaisir, ou de froid ?
« Tu as froid ?
– Un peu, mais je suis bien là tout contre toi…
– Moi aussi, tu sais… Je voudrais que cette journée ne s’arrête jamais…
– Je le veux, moi aussi… »
Dit-il en posant sa tête sur mon épaule, tout contre mon cou ?
Enfin séché, je lui tends un peignoir et enfile le mien puis je me dirige dans la salle et m’assois sur le canapé, suivi quelques instants plus tard par Iyad qui vient se coller à moi et me prend dans les bras.
Il est 7 h 30…
« Que veux-tu faire Iyad ? Prendre un petit-déj, dormir, rentrer chez toi… ?
– … En fait… Je ne sais pas comment te le dire…
– Que se passe-t-il ?
– Ben… Est-ce que je peux rester avec toi ?
– Oui bien sûr que tu peux passer toute la journée ici, avec moi !!! Ça me ferait même vraiment plaisir Iyad !
– Oui… Mais non en fait… Ce n’est pas à ça que je pensais…
– Que veux-tu dire Iyad ??
– En fait, je veux rester avec toi, tout le temps… Je ne veux pas te quitter… Je crois… Enfin, je ne sais pas… Mais je suis bien avec toi, je crois… En fait, je crois que je suis en train de tomber amoureux… »
Et là… Je suis complètement tétanisé, je reste là, ne sachant plus quoi dire, quoi faire… Je sens son étreinte qui se resserre…
Des millions de choses se percutent dans mon crâne… Je ne le connais que depuis peu, on ne s’est vu que deux fois, il n’a que 19 ans, j’en ai 50 !!! Il est marocain, il doit s’occuper de son frère, il est encore étudiant…
Mais c’est vrai qu’il me plaît vraiment, qu’il est très mignon, qu’il est super sympa, que je suis bien avec lui, et qu’il a percé ma cuirasse, et trouver le chemin de mon cœur, je suis terrorisé… En fait, je crois que je me suis aussi fait prendre au piège de l’Amour…
« Tu peux rester autant qu’il te plaira Iyad…
– Merci, mais tu es sûr ? Tu n’as pas peur ?
– Oui, je suis certain, même si ça m’effraye carrément… Et toi ?
– Moi aussi, parce que je ne sais pas ce que je suis en train de faire ! Il y a mon frère… Ma famille… Mais je sens que c’est ce dont j’ai envie…
– Moi aussi Iyad… ».
On est là tous les deux, sur le canapé dans les bras l’un de l’autre, la tête dans le cou de l’autre, écoutant l’autre respirer… J’ai l’impression que mon cœur n’a jamais tambouriné aussi fort, aussi vite… Ça papillonne dans mon ventre, j’ai terriblement peur de ce qui est en train de se passer, mais je suis bien…
Iyad respire fort. Tous les Taïkos semblent s’être invités dans sa poitrine, et résonnent au plus profond de mon corps…
Cela fait bientôt une heure qu’on est là sur ce canapé, chacun enlaçant l’autre, comme si nous ne voulions plus faire qu’un…
On perd un peu la notion du temps, je ne sais même plus quelle heure il est… Iyad bouge à peine, sa respiration et vraiment plus calme plus profonds…
« Tu dors ? »
Pour seule réponse, je reçois un doux baiser dans le cou, suivi du grognement étrange, celui d’un estomac qui crie famine !
« Tu as faim, on dirait !
– Heu… Un peu, mais pas trop…
– Haha, tu me fais rire Iyad ! Un petit-déjeuner, ça te va ?
– Mais je ne veux pas t’embêter avec ça !!!
– Arrête avec ça, moi aussi, j’ai faim, tu m’as épuisé cette nuit !!!
– Je suis désolé, Frank, mais toi aussi, tu m’as complètement vidé…
– Hahaha, mais c’était avec plaisir, partager, j’espère !!!
– Carrément !!! »
Et conclu par un baiser fougueux sur ma bouche !!
« Tu n’es pas tout à fait épuisé, on dirait…
– c’est toi, tu me donnes des ailes !
– Merci !!! Mais on va quand même remplir, cet estomac qui hurle sa faim !!! Que veux-tu manger, boire… Thé, café, lait, chocolat… Du pain, des biscuits…
– Du thé et un peu de pain ça sera très bien !
– D’accord, je vais chercher des baguettes à la boulangerie, j’en ai pour cinq minutes ! Ne bouge pas !!!
– Je n’en ai pas l’intention !!! »
Et il me serre dans ses bras, et je perçois son désir grandir au travers de nos peignoirs…
« Je vois que tu n’es pas encore totalement épuisé !!!
– Heuuu… C’est toi… Tu me fais un effet de dingue !
– Merci !!! Je m’occuperai de toi plus tard ! Je file chercher du pain ! »
Je vais dans la chambre et enfile direct un pantalon de jogging, un T-shirt et une paire de baskets. Je descends à la boulangerie.
Même si elle n’est qu’à cent cinquante mètres le trajet me parait interminable ! GRRRR… Et plus il y a du monde ! Il y a au moins quinze personnes devant moi qui attendent leur pain… Le temps d’attente me paraît interminable… J’en profite pour me demander ce qu’il m’arrive… Ça fait quatre jours que j’ai rencontré Iyad, mais il occupe mes pensées nuit et jour que je rêve de lui, que je le désire… Et il est là, avec moi, chez moi… Est-ce que je suis en train de rêver, ou est-ce la réalité… En tous les cas si c’est un songe, je ne veux pas en sortir… Je suis bien dans ses bras, sa peau est si douce, et j’aime me perdre dans le noir infini de ses yeux, et il est si câlin… « Bonjour monsieur, que désirez-vous ?.... Monsieur, que souhaitez-vous ?
– Un câlin… !
– Pardon Monsieur ?
– Heu… Excusez-moi, je suis désolé… J’étais dans mes pensées…
– Je pense que nous l’avons tous remarqué ici… ! »
Le regard de la vendeuse descend au niveau de mon entre-jambes, mon jogging et déformé par un début d’érection… Je ne sais plus où me mettre !!! J’aurais dû mettre un caleçon !!
« Heu… Je voudrai une tradition, deux escargots, deux croissants et deux pains au chocolat s’il vous plaît !
– Ça sera tout ?
– Oui merci !
– Onze euros soixante s’il vous plaît. »
Je paye et récupère mes achats et je sors sous les regards étonnés, choqués ou désireux de toutes les vieilles rombières du quartier ! Je crois que je suis grillé pour un moment !!! Je me dépêche de remonter, ça fait plus d’un quart d’heure que je suis parti !!!
Quand je rentre, j’entends du bruit dans la cuisine, « je suis revenu ! »
Je rentre dans la cuisine, et là, je vois mon bel Adonis nu en train de faire chauffer de l’eau… il a tout préparé pour le petit-déjeuner…
« Hooo! Merci Iyad, tu as adorable !!!
– Excuse-moi, je vais mettre un peignoir !
– Tu peux rester comme ça si tu veux, ça ne me dérange pas ! Je suis tout le temps nu quand je suis à la maison !
– Moi aussi, mais que quand je suis seul dans ma chambre…
– Alors, considère que tu es dans ta chambre !!! »
Il éclate de rire et son visage s’illumine, ses yeux pétillent… De joie ou de malice… ? Ça me remplit de bonheur, je pose les viennoiseries sur la table et je le prends dans le bras, je l’embrasse tendrement. Je me sens vraiment bien avec lui, un grognement au niveau de son ventre se fait entendre !!!
« Tu as vraiment faim, on dirait !!!
– Heu oui… Un peu !
– D’accord, on va se faire un petit-déj tous les deux ! Mais avant tout, je vais m’habiller comme toi !
– Haha tu es sûr ? Je vais avoir du mal à me concentrer sur le petit-déj !
– Tu préfères que je reste habillé !?
– Ha non !!! Surtout pas !!! »
Joignant la parole aux actes, il enlève mon T-shirt, et fait glisser mon jogging et les range sur le plan de travail !
On est complètement nu, mais il n’y a aucune gêne, au contraire cela semble naturel.
– Que veux-tu boire Iyad ? Thé café…
– Si tu as du thé, c’est parfait.
– Thé vert ça te va ?
– Super !
– tu as du pain des croissants, pains au chocolat, aux raisins, beurres, confitures.
– c’est un petit-déjeuner de fête !
– De fête non, mais simplement pour te remercier de tout, de cette nuit du plaisir, pour le bonheur d’être avec toi…
– C’est à moi de te remercier, pour tout ça, mais je n’ai rien à t’offrir en retour, que mon… Amour…
– Tu es trop mignon Iyad, c’est adorable ! » Je sens mes yeux qui piquent, ma vision est brouillée par des larmes naissantes… Je ne sais pas ce qui m’arrive…
– Que se passe-t-il Frank ? J’ai dit quelque chose de mal ?
– Ho que non Iyad… En fait, je crois que je suis accro…
– Comment ça accro ?
– ben, je crois que tu as fracturé ma carapace et capturé mon cœur… Je crois que c’est carrément le coup de foudre !!!! Je suis en train de tomber Amoureux… »
Je vois Iyad qui se fige, ses yeux brillent, il se lève, passe derrière moi et me prends dans ses bras, je sens son cœur taper contre mon dos… Sa peau me parait encore plus douce, on reste là comme ça coller l’un à l’autre !!!
« Je t’aime. »
Ces mots déclenchent une décharge électrique qui parcourt mon corps, mon cœur s’emballe, j’ai le souffle court… Je me retourne, l’enlace et le serre contre ma poitrine, je lui susurre à l’oreille.
« Moi aussi, je t’aime Iyad… Je t’aime, je t’aime, je t’aime…
– Merci… »
Son étreinte se resserre, mais je sens sa respiration qui devient saccadée, je recule la tête et découvre Iyad en pleure, les larmes coulent sur ses joues…
« Que se passe-t-il Iyad ?
– Je ne sais pas, je… Je suis angoissé, je suis heureux, j’ai peur…
– Moi aussi, ça me fait peur et ça m’angoisse, mais… Le bonheur que j’éprouve est plus fort que… Que toutes ces peurs et ces angoisses, alors j’ai envie de tenter l’aventure avec toi, et même si ça va être compliqué pour toi, pour moi, pour nous… Je m’en fous… Je fonce… Et toi, tu veux oser l’histoire avec moi ?
– j’ai trop peur… Mais je vais oser et je gérerais les problèmes au fur et à mesure…
– non Iyad, on les gérera ensemble alors !!!
– Merci Frank !!!
– mais de rien, merci à toi de m’avoir accepté ! »
Je le serre dans mes bras, on reste là, tête contre tête, je passe mes doigts dans ses cheveux…
« Ça va aller ne t’inquiète pas !
– oui… Mais j’ai peur !!!
– moi aussi, mais je m’en fous Iyad !! »
Je me recule et le regarde dans les yeux, il est magnifique ! Je l’embrasse tendrement, et bois ses larmes !
« Et si on le prenait ce petit-déjeuner !!!
– Oui, c’est une bonne idée !
– Aller à table !!! »
Je relâche mon étreinte et on se retrouve côte à côte assis, à prendre notre petit-déjeuner, comme si on se connaissait depuis des années !
Je ne sais pas ce qui m’arrive.
Je n’arrive pas à y croire, Iyad est là, attablé à côté de moi, et on prend notre petit-déjeuner l’un à côté de l’autre, on est nu comme un ver, mais il n’y a aucune gêne, cela nous semble parfaitement naturel…
Il est magnifique, fin, avec une musculature apparente, mais sans excès, des cheveux courts noir de jais, ses yeux couleur de nuit sans lune pétillent de joie et de malice quand ils croisent les miens, ce qui ne manque pas faire battre des papillons dans mon ventre à chaque regard !
IL se délecte sans retenue, c’est un joli tableau qu’il m’offre ce matin !!!
Le petit-déjeuner fini, je me lève et commence à desservir :
« Non ! Laisse, je vais ranger !
– Non Iyad il en est pas question ! Tu es mon Invité, et chez moi les invités ne font pas le service !!!
– Laisse-moi t’aider !
– D’accord, mais à une condition !
– Heu oui… Laquelle ?
– Que tu me prennes dans les bras et que tu me fasses un petit câlin ! »
Tel un caracal, il se dresse, et m’enlace avec douceur et fermeté, posant sa tête au creux de mon épaule…
Je suis aux anges, mon cœur fait de bons, j’ai l’impression qu’il va sortir de ma poitrine, ses mains caressent mon dos, je me sens heureux, comme je ne l’ai pas été depuis si longtemps…
Il pose délicatement un baiser au creux de mon cou, puis recule la tête, nos regards se rencontrent, je plonge dans le noir de ses yeux, je m’y perds, nos visages se rapprochent, nos lèvres s’effleurent, se touches… Sa langue cherche la mienne, elles se rencontrent, elle a encore le goût de la confiture à la fraise…
Je sens son désir grandir contre mes cuisses, nos bouches s’écartent, il me semble encore plus beau… Ses bras se resserrent autour de mon torse, il pose la tête sur mon épaule, son visage blotti contre mon cou… Il semble détendu, apaisé, heureux…
À suivre…
C’est ma première publication, soyez indulgent ! Je suis ouvert à toutes discussions, proposition concernant le style, la forme… Suite ou pas suite, ou simplement faire connaissance…
Jozyk
josic@wanadoo.fr
Autres histoires de l'auteur : Rencontre improbable