Première expérience en sauna
Tout juste la trentaine, mais avec un visage innocent, un corps svelte et élancé, je n’ai encore eu aucune expérience avec un homme. Cela fait quelques mois que je me tâte à franchir le pas, mais comment ?
À force de lire des histoires érotiques sur les expériences en sauna, ou les premières fois, cela m’excite énormément, mais me couvre d’un sentiment de culpabilité immédiatement après avoir joui lors de mes séances en solo. Heureusement que la période d’excitation dure nettement plus longtemps et que j’ai envie de vivre cette expérience pour ne pas mourir idiot :)
En dépit de mes recherches, je n’ai pas trouvé ce que je cherchais. J’avais l’idée d’intégrer un couple gay le temps d’un jeu, d’un plan à trois, quelque chose qui ne me laisse pas le temps de réfléchir et de laisser mon cerveau en bordel. Il est vrai que ces annonces sont rares du fait que beaucoup de novices (quand ils sont acceptés) font machine arrière et annulent. Dommage, car je sais très bien ce que je veux, j’y ai réfléchi, je connais mes limites.
Une expérience en sauna pourrait être intéressante. J’ai cherché de longues heures à trouver le « bon » établissement autour de moi, à chercher des avis, et surtout à contempler des heures les photos en m’imaginant les choses qui pouvaient s’y passer. Au bout de quelques jours, c’est en trop, j’y vais !
Au matin, je me rase intégralement, je me fais un lavement des plus soignés pour parer à toute éventualité. Je regarde mes fesses à plusieurs reprises, en les écartant de façon à être aussi clean que possible. Aussi, je fais régulièrement du jogging qui rend mes fesses plus fermes. Je suis prêt, j’enfourche ma moto et j’y vais !
Je rentre dans le sauna, et le gérant m’explique le fonctionnement en détail, sans détour. Il a rapidement deviné mon manque d’expérience et m’a rassuré sur les protections en place, s’il y a un souci, le staff est là et tourne régulièrement, j’ai le droit de refuser et que c’était facile de refuser si je ne le sentais pas, que je ne devais pas me forcer. Cette démarche m’a mis à l’aise, et je file aux vestiaires.
Mon équipement de motard manque de discrétion lorsque je me déshabille et des gens tournent près du vestiaire pour observer, ne serait-ce qu’une fraction de seconde pour voir mes fesses. Oui il a fallu une décision rapide pour savoir si je faisais face au « rideau » à voir les regards sur moi, ou leur tourner le dos et montrer mes fesses… Mais j’ai fait de la route, j’ai payé, je veux quand même profiter alors j’y vais jusqu’au bout, pas question de reculer…
Une fois nu avec la serviette autour de la taille, je parcours rapidement les lieux. Des cabines avec des gens couchés sur le ventre avec les fesses offertes, je déplore en mon for intérieur qu’être passif nécessite quand même une certaine activité avec l’actif, plutôt que de rester totalement figé. Puis l’entrée du labyrinthe, avec 4-5 personnes qui me suivaient depuis ma sortie des vestiaires, un endroit pas éclairé et qui m’excite pas mal dans les histoires que j’ai pu lire, avec les frôlements, les caresses sur les fesses, etc. J’ai rebroussé chemin et frôlé ces suiveurs, car je ne voulais pas de ça, pas tout de suite. Je me suis réfugié sous la douche puis dans le hammam, avec 2 personnes entrées rapidement après moi. Je ne saurais dire combien de personnes étaient présentes, la lumière était tellement faible et le brouillard si épais que je ne saurais dire le nombre, je ne pouvais me fier qu’à mon ouïe. C’était très calme, trop calme, j’ignore si nous étions juste 3, 4 ou davantage.
Au bout de quelques minutes de paix et de méditation, une main frôle ma cuisse gauche. N’ayant aucune idée de comment réagir, anticipant chacune des situations, me parant à toute bascule vers une orgie géante, je pris peur, je suis resté figé. Mais j’ai laissé faire, pour voir où cela peut-il m’emmener. Cette main a vite compris et a commencé à frôler toute la cuisse, puis me touche avec toute la surface de sa main. Rien que cela commence à me faire bander sévèrement. Je ne peux pas y résister. Des voix contradictoires me disaient de fuir, d’autres que j’en avais toujours voulus. C’est une occasion unique, je reste. La curiosité me perdra.
Cette main commence à se diriger vers mes testicules, puis vers ma verge, en la saisissant d’une main ferme et d’un geste assuré. J’oppose nulle résistance. Il commence à me branler très très lentement. Un supplice. Je restais à la merci de cet inconnu, que j’avais du mal à distinguer. Il avait assurément la quarantaine, chauve avec une légère barbe, et bien bâti. La peur et l’excitation montent en moi. Pourquoi un geste aussi lent ? J’en voulais plus, plus vite.
Je ne pouvais plus mentir, je bandais très fort, comme jamais. Cette branlette était douce, très délicate et d’une efficacité qui n’a jamais eu d’égal dans ma vie. J’ai commencé à écarter davantage mes jambes, je me suis mis à mon aise et le rythme a commencé à s’accélérer. Ce fut tellement bon que j’ai laissé échapper un gémissement malgré moi. J’ai aussitôt eu un sursaut, je risquais d’alerter les autres hommes présents dans la pièce par mégarde. L’inconnu a compris, me laisse redescendre dans mes émois et continuer à me caresser le torse, mes tétons et d’autre une autre main l’intérieur de ma cuisse. Je tâte moi-même la dureté de mon pénis libre, et je n’en reviens pas d’avoir ma bite encore plus dure que pendant mes séances solos.
L’inconnu semble lire dans mes pensées ou m’a vu me toucher et recommence à me masturber. Je ne pourrais pas supporter cela bien longtemps, j’ondule du bassin, j’essaye de résister à l’envie de jouir. C’était trop rapide, trop bon, trop… Au bout d’un moment, voyant que j’étais sur le point de venir, il s’arrête net, se lève et me demande de le rejoindre à l’extérieur. L’excitation est retombée et j’étais confronté à mon propre fantasme. N’ayant plus que de la peur, ne sachant pas à quelle sauce je vais être pris, j’ai poliment refusé et je suis sorti quelques minutes après m’être repassé cette courte expérience en boucle qui ne manque pas de m’exciter à nouveau.
L’entrée du hammam étant baignée de lumière, ma sortie s’est fait remarquer et à nouveau, des personnes me suivaient. N’ayant que peu envie d’être le morceau de viande de l’après-midi, je décide de me réfugier dans les vestiaires. Je tombe sur un autre mec à peine arrivé, en train de se déshabiller et très vite il engage la conversation :
– Lui : salut, tu allais partir ?
– Moi : oui, je me sens pas très à l’aise avec toutes ces personnes qui me suivent
– Lui : ah c’est normal, t’es pas mal comme mec, tu as un joli cul, j’imagine (j’avais la serviette autour de ma taille), forcément ça attire… même moi je te sucerai bien là.
Je ne savais plus quoi répondre. Le mec continuait de se dévêtir et j’étais resté planté là à ne rien faire, à le regarder et à m’imaginer ma première fellation. Il a vu ma détresse, le vide intégral dans mes yeux, s’est rapproché tout près de moi, me caresse furtivement et m’a demandé de le suivre. J’accepte.
Nous rentrons dans une cabine qu’il a fermée derrière lui. Je pose ma serviette, m’assoit dessus, mais il a vite compris que c’était toute ma première fois en sauna et m’a demandé de me relever pour passer un coup de lingette avant, « on ne sait jamais ». Une fois couché et nu, il saisit délicatement ma queue et me branle. Étant dans un endroit safe, juste nous deux, et avec quelqu’un d’expérience, je me laisse rapidement aller. Et encore une fois, quel pied, à croire que les mecs savent mieux que quiconque s’occuper d’une bite. Il m’a demandé s’il pouvait continuer, je réponds « oui », et sans hésitation, il me suce. C’était une sensation envoutante, une chaleur, une douceur qui se prolonge sur toute la longueur de votre membre, jusqu’aux testicules massés par une main experte. Cette langue qui entoure le gland, le plaque contre le doux palais de mon suceur, et sublime le frein… Je résiste malgré tout à l’envie de jouir, je voulais profiter de l’instant aussi longtemps que possible.
Perdu dans mes pensées, je sens un doigt qui descend et fouille dans ma raie, qu’il parcourt de haut en bas. C’est déroutant, je me tortille dans tous les sens. Je suis partagé entre le chatouillement (qui a l’avantage de propulser mon bassin en l’air) et un plaisir nouveau et inavoué. Soudain, un doigt très froid se présente sur mon trou et y exerce une légère pression, sans rentrer et sans bouger, une pression constante. Moi-même je ne bougeais plus. Je ne sais pas s’il attendait mon approbation, mais cette pression restait la même. Il ne cherchait pas à me pénétrer, alors quoi ? Dans ma tête, je me suis déjà préparé à son intrusion et commençais à me projeter dans une fouge sodomie.
Voyant que rien ne se passait, il tourne autour de mon trou avec son doigt, je suis quelque peu frustré, car j’en attendais plus. Je reprends mes esprits et exprime timidement mon souhait de me faire doigter. La réaction ne sait pas faite attendre. D’un coup, le doigt passe ma rondelle et rentre très lentement et surement, sans friction, sans mal. Ce doigt me remplit déjà bien et surtout me fouille de l’intérieur pendant qu’il continue à me sucer. Honnêtement, ce n’était pas bien fou, je m’attendais à une sensation extraordinaire que j’avais pu lire ici et là. Bon, je laisse mon partenaire continuer, et je me détends en m’imaginant ce que cela pourrait être d’être pénétré par une vraie bite.
Mais, je sens que quelque chose change en moi… quelque chose qui anéantit peu à peu toute ma résistance. Certains appuis avec le doigt me donnent de soudaines vagues de chaleur. Il n’y a pas de mot pour retranscrire cet instant où « quelque chose » monte en vous, comme de l’eau qui bout. Au début, c’est imperceptible, mais ça vient, ça monte encore et encore, vous ne savez pas ce que c’est. Ce n’est pas comme une éjaculation, malgré la superbe fellation qu’on me prodigue, où vous sentez la sève monter. C’est autre chose. Vous ne pouvez pas lutter, vous avez beau gémir, vous tortillez dans tous les sens, reculer pour échapper à ce doigt inquisiteur ou au contraire, avancer pour que le doigt aille plus loin et éviter la zone stimulée, il n’y a rien à faire. Vous en voulez toujours plus, et vous êtes condamné à jouir.
Au bord du précipice, il me reste encore assez d’esprit pour prévenir de ma jouissance imminente, car je ne sais pas moi-même à quoi m’attendre. Je ne tiens plus. D’un coup, tout mon corps se raidit, une tension au niveau des muscles et de ma bite que je n’avais encore jamais ne connut. Si forte, que l’éjaculation a tapé sur la paroi opposée de la cabine. Il a continué à jouer avec mes testicules jusqu’au bout pour m’extraire toutes les gouttes. Il m’a laissé redescendre tranquillement, a continué à se masturber et a joui également sur moi, en branlant nos 2 bites d’une main, ayant eu pour ma part un regain de vigueur que je ne me connaissais pas.
Il a pris soin de nettoyer la cabine, et d’en rester là, ne voulant pas me précipiter. Après s’être douché (étonnant, dès que je suis accompagné, plus personne ne vous suit), il a regagné le hammam. Je suis reparti dans les vestiaires pour partir pour de bon cette fois, avec un sourire non dissimulé.
C’est ma meilleure expérience avec un homme, mais je regrette ne pas avoir pris contact ou de laisser nos coordonnées, j’aurais bien aimé aller plus loin.
Dommage, car maintenant je ne pense qu’à me faire prendre, c’est réussi.
Summerof67
summerof67@protonmail.com