Alors tout d’abord, ce que je vais vous raconter là est totalement du vécu perso bien que cela soit assez étonnant. Bon je commence…
Je venais tout juste d’avoir 20 ans et je sortais de mes études. J’ai donc commencé un travail de commercial au porte-à-porte. Je n’avais jamais eu d’expérience auparavant et c’était vraiment une nouveauté pour moi mais j’étais loin d’imaginer à quel point ça allait vraiment être nouveau....
Tout commence lorsque j’arrive devant cette porte, une porte comme les autres à première vue, mais ce qui m’attend derrière va changer pas mal de chose pour moi. Je toque donc pour vendre mon produit comme d’habitude, et là, un homme d’une cinquantaine d’années m’ouvre. Je l’appellerai Jean-Marc. Je lui dis : « bonjour, je m’appelle Anthony »
Sans me laisser le temps de finir, il me dit : « rentre, on va boire un café et tu m’expliqueras tout ça là-haut. » Jean-Marc avait l’air sympathique et je ne voulais pas louper une vente, j’ai donc accepté.
On a commencé à parler de tout et de rien, il m’explique gentiment qu’il n’est pas intéressé, qu’il m’a juste fait monter pour le café : « c’est toujours sympa de discuter autour d’un café ».
Je trouve ça un peu bizarre mais je me dis qu’il est juste sympa. Quelques minutes plus tard, ne me demandez pas comment, la discussion finit par dévier sur le sexe, il me demande mes préférences sexuelles et je lui explique que j’ai une copine, lui m’explique qu’il est gay et qu’il a des pratiques SM.
Bizarrement, je suis intrigué et à la fois excité par ce qu’il me dit, je lui demande donc plus d’explications : « j’adore les jeunes hommes, j’aime les soumettre et leur faire connaître le plaisir et la douleur qui peuvent ne faire qu’un quand c’est bien pratiqué »
- « La douleur ? Ça doit être particulier quand même, prendre du plaisir avec de la douleur ! Moi, c’est un truc qui ne me tente pas trop »
- « Non ! Si on s’y prend bien, la douleur peut être une vraie source de plaisir et, en général, je sais m’y prendre… et en plus je suis bien monté... » Il me dit ces paroles avec un petit sourire en coin qui me donne tout de suite des frissons et une sensation que je ne connais pas. Ça ne m’est jamais arrivé de ma vie mais, pour une fois, je suis tenté par une queue.
- « Je suis monté 21 cm, bien large en plus ! Donc, il y a de quoi s’amuser. »
Je suis choqué par la taille qu’il vient de m’annoncer mais ça ne fait qu’augmenter mon excitation. J’ai chaud et, en même temps, ça génère une certaine peur chez moi car c’est quelque chose qui ne m’a encore jamais tenté. Mais une pulsion particulière me pousse à me dire : tu dois voir cette queue... au moins la voir, rien de plus ! Je ne suis pas gay, je ne ferai rien de plus, je me connais...
J’allume une cigarette et je lui dis : « 21 cm, sérieux ? J’ai du mal à y croire, c’est énorme, j’aimerais bien voir ça... » Comme je m’en doutais, il saute du coup sur l’occasion : « je peux te la montrer si tu veux, ça ne me dérange pas du tout »
- « Oui, pourquoi pas ? Je ne suis pas attiré par les queues donc je ne sais pas. C’est bizarre que tu me la montres, non ? »
On continue la conversation, toujours sur le thème du sexe et de sa queue. Je finis ma clope tranquillement quand, tout à coup, il se rapproche de moi et me montre sa queue juste devant moi, debout à côté de ma chaise. Heureusement, j’étais assis Et je n’y crois pas : elle était devant moi à peine à 30 cm de mon visage. Ça m’a tout de suite excité, j’ai tout oublié de mon discours sur le fait que je n’étais pas attiré par ça et il a dû le voir car il m’a dit : « - tu peux la toucher si tu veux. »
- « Oui, pourquoi pas… c’est tentant… »
Je suis très gêné. Au début, je suis hésitant, je la touche juste comme quelqu’un qui découvre une chose nouvelle : la douceur de la peau me surprend pourtant, j’en ai une aussi mais, je ne sais pas, c’est différent... Quand je la touche, quand je sens cette énorme queue dans ma main, ça me fait tout de suite bander. Ensuite, pris par cette pulsion, je commence à faire des va-et-vient. Je n’en reviens pas : je vois mon reflet dans un miroir à ma gauche et je me dis « j’ai une énorme queue dans la main que je suis en train de branler ». Mon reflet dans ce miroir et cette idée m’ont bizarrement encore plus excité.
C’est alors qu’il me dit d’un ton sec : « tu vois, ça a l’air de te plaire, suce-la, maintenant ! »
Il n’a pas besoin d’insister, son ton sec me suffit, jamais on ne m’avait traité comme ça ... Je m’exécute de suite, mets sa queue en bouche et commence à lécher délicatement son gland. C’est bon, doux en bouche : j’adore ! Il est énorme tout comme le reste de sa queue d’ailleurs. C’est la première que j’ai une queue dans la bouche et je me dis « mon dieu, ça ne rentrera jamais, j’aimerais la prendre entière mais je vois pas comment faire » et en même temps, j’adore avoir ce gros engin en bouche. C’est tellement bon ! Je me sens comme une salope, c’est la première fois et certainement pas la dernière car c’est loin de me déplaire.
- « Tu es une bonne salope en fait, pour un hétéro… »
Je lui réponds timidement, la bouche pleine, en le regardant dans les yeux : « Oui, je ne sais même pas moi-même ce que je fais mais j’adore ça et j’espère que toi aussi »
- « Oui ! T’es une bonne salope… Prend la bien et gobe moi les couilles aussi, petite pute »
J’adore comme il me parle et je me prends donc au jeu : « Oh oui, vas-y, baise moi la bouche comme une salope, j’aime trop ça. »
Et d’un coup, il enfonce sa queue encore plus dans ma bouche et me dit « je vais te soumettre, petite salope hétéro. Tu vas redemander ma bite et la prendre bien en fond de gorge. Et maintenant appelle moi maître et vouvoie-moi. »
Je suis choqué de ce qui m’arrive et, en même temps, j’adore ce sentiment de lâcher prise : être soumis à quelqu’un, c’est trop bon. Ça me surprend et pourtant je lui dis : « oui maître allez-y, baisez-moi la bouche ! »
Je le pompe encore et encore je gobe ses couilles à sa demande. Il enfonce tellement sa queue dans ma bouche que j’en ai parfois des hauts le cœur, mes yeux en pleurent mais, en même temps, j’adore me sentir vraiment chienne. Je continue de le sucer bien à fond quand, tout à coup, je sens sa queue se raidir encore plus. Il me dit :
- « Je vais venir, petite salope, et tu vas avaler ton premier foutre avec moi, ton maître »
J’ai peur des maladies et autres, je sais que ça n’est pas prudent mais la façon dont il me l’a dit m’excite vraiment beaucoup trop et je ne suis plus maître de moi : ma pulsion me guide. J’en ai donc très envie mais, encore une fois, un peu peur malgré tout : « Oh oui je vais tout avaler, mon maître »
Je le pompe encore et encore, mes yeux en pleurent et d’un coup, je sens sa queue se raidir et Je reçois le premier jet … dieu que c’est bon ! Ma bouche est remplie en moins d’une seconde. J’ai du mal à tout avaler car il y en a une grosse quantité mais j’adore sentir ce liquide chaud couler sur ma langue et dans ma gorge, c’est trop bon... ça m’excite tellement que je viens dans mon caleçon alors qu’il ne m’a pas touché.
Il me met une petite claque amicale sur la joue et me dit « bienvenue à toi ma petite salope ! Tu vois que t’aimes ça, la queue. Si tu peux revenir dans la semaine, je te ferai découvrir le reste »
On finit notre café. Je suis tout excité et en même temps un peu honteux, je ne sais pas si je vais revenir mais en même temps j’ai adoré ça et sa queue, rien que d’y penser, m’excite encore. Donc c’est plutôt bien engagé pour lui…
A suivre... si vous avez aimé bien entendu
PS : je suis nouveau dans les histoires et là je parle d’une histoire personnelle. J’espère que cela vous plaira, à bientôt !
Après l’aimable relecture de Amical72
Antominet
Jeune-minet@hotmail.com