Je m’appelle Étienne, j’ai 19 ans et je suis actuellement élève en classe préparatoire dans un prestigieux lycée parisien, au sein duquel je partage une petite chambre avec Guillaume, du même âge que moi. Comme vous le savez, les classes préparatoires sont exigeantes en termes de travail et demandent un investissement conséquent. Nous mettons en quelque sorte notre vie sur pause pendant quelques mois. Cependant, dans ce contexte très particulier, il peut nous arriver des choses inattendues et très agréables.
Cette histoire commence fin novembre. Cela fait quelques semaines que je passe mes soirées dans ma petite chambre d’une quinzaine de mètres carrés sous les combles en compagnie de Guillaume, mon colocataire. Notre environnement nous a imposé une grande proximité dès notre arrivée. Nos lits ne sont séparés que de deux ou trois mètres, sans aucune séparation entre nos moitiés de chambre respectives, et notre petite salle de bain est ouverte sur la chambre.
Il est une heure du matin, de mon lit, j’aperçois la douche, dans laquelle Guillaume se savonne derrière le rideau, comme tous les soirs.
Guillaume est un joli blond d’un mètre quatre-vingt, très athlétique, aux muscles dessinés sans être trop prononcés. Son physique de modèle, son sourire taquin et le regard perçant de ses yeux bleus lui donnent un côté irrésistible. Il est beau, et il le sait.
J’ai toujours aimé l’observer discrètement, lorsqu’il traine en boxer dans la chambre, ou lorsqu’il ouvre le rideau pour sortir de la douche, mais sans jamais trop insister. Je ne voudrais pas qu’il remarque l’effet qu’il me fait, qui plus est, il ne m’avait jamais laissé croire qu’il pouvait être intéressé.
Ce soir-là, Guillaume sort de la douche et se rend compte qu’il a oublié de prendre avec lui sa serviette.
- « Ah merde ! Je n’ai pas pris ma serviette », me dit-il en rigolant légèrement.
- « Tu peux prendre la mienne si tu veux », lui répondis-je sans trop prêter attention
- « Non non t’inquiète c’est bon, je vais chercher la mienne »
Guillaume sort du coin douche de la chambre complètement nu et encore trempé, passe à quelques centimètres de moi, allongé sur mon lit, et rejoint son quartier pour attraper sa serviette. La vue de son corps magnifique, quasiment imberbe, de ses petites fesses bien musclées, avec toutes ces gouttes d’eau qui ruissèlent sur sa peau, et l’odeur de propre qu’il dégage, m’excitent en une fraction de seconde. Même si nous n’avons jamais été réellement pudiques l’un envers l’autre, c’est la première fois qu’il se montre aussi ouvertement devant moi.
Je le regarde avec un peu d’insistance. Il le remarque et me dit :
- « Ah désolé, ça te gêne peut-être que je sorte comme ça ? »
Sous l’effet qu’il provoque en moi, je lui réponds un peu maladroitement :
- « Non t’inquiète, ce n’est pas désagréable »
- « Ahah tant mieux », me répond-il en se frottant avec sa serviette, un peu étonné par ma réponse
Embarrassé par ce que je viens de dire, je replonge dans mon travail d’éco en évitant de le regarder. Quelques secondes plus tard, Guillaume me demande :
- « Ça te dérange si je reste nu pour dormir ? J’avais l’habitude de dormir nu chez moi, mais depuis que je suis ici, je n’ai jamais osé, enfin je ne voulais pas te gêner quoi… »
« Euh non, tu fais ce que tu veux, on est entre nous, tu ne me gênes pas »
Je tente de garder mon calme. Savoir Guillaume complètement nu, à deux mètres de moi, et qui va le rester pour la nuit, c’est la chose la plus excitante qui m’est arrivée depuis mon arrivée ici.
- « Ah super ! Je ne suis pas nudiste, mais bon j’aime bien me sentir un peu libre le soir. »
- « Ouais je te comprends, ça m’arrive aussi »
- « Ah oui ? En tout cas, si tu veux te balader à poil, tu as le droit hein », reprend-il avec un léger sourire au coin de la lèvre
- « D’acc ! » lui répondis-je un peu désorienté par cette proposition
- « Bon en tout cas, fini de travailler pour moi ce soir, je vais me coucher », dit-il en se glissant sous sa couette
- « Ouais tu as raison, je vais prendre ma douche et je vais faire pareil »
Complètement excité par la situation, j’avais vraiment besoin de ce petit moment d’intimité derrière le rideau de douche pour me soulager un peu. Je pars donc à la douche, avec mon érection bien voyante.
Sous la douche, je repense à Guillaume et son corps nu, à ses belles fesses que j’aimerais tenir dans mes mains, à sa belle bite bien entretenue que j’aimerais gouter. Je me branle en m’imaginant lécher ce mec nu qui se trouve à quelques mètres de moi. En quelques petites minutes, je lâche tout mon sperme dans un très léger râle de plaisir que je retiens pour ne pas faire trop de bruit. Je finis de bien me laver puis je sors de la douche et me sèche rapidement. Avec une petite arrière pensée, je décide de suivre Guillaume et de rester nu pour la nuit.
Je me dirige donc vers mon lit, nu devant Guillaume, qui porte son regard sur moi. Je crois deviner sa queue dressée sous sa couette.
- « Ah ba il t’a pas fallu longtemps pour te mettre à l’aise aussi », me dit-il en rigolant
— « Non, tu as raison, on se sent mieux comme ça », je lui réponds, en lui lançant un petit regard
- « Je pensais que tu mettrais plus de temps sous la douche, j’étais en train de me branler et je n’ai pas eu le temps de finir du coup »
Je reste sans voix face à ce qu’il vient de me dire. Jamais on n’avait atteint un tel niveau d’intimité. Il n’en faut pas plus pour faire remonter l’excitation en moi. Je décide de rentrer dans son jeu et à me lâcher un peu plus, comme il le fait.
- « Ah je te comprends, je t’avoue avoir fait pareil sous la douche »
- « Je me disais bien que j’avais entendu un petit bruit de plaisir », dit-il en souriant
- « Ah merde désolé, j’ai essayé d’être discret pourtant »
- « T’en fais pas, c’est normal de se soulager… j’étais en train de le faire aussi »
- « Oui j’ai cru voir ça, la bosse sous ta couette, elle n’est pas très discrète non plus »
- « Ah ouais mince… bon après tout, ça ne sert à rien de se cacher »
Il soulève alors sa couette pour dévoiler sa magnifique queue toute raide, longue d’un bon dix-huit centimètres et assez large. Son gland est proéminent, ses couilles rasées, toutes lisses et pendantes. Elle dépasse largement celle de mon imagination. Devant cette vue, je commence aussi à bander et ma queue se redresse rapidement devant lui. Il me regarde en se touchant et me dit :
- « C’est moi qui te fais cet effet ? »
- « Euh, ba disons que tu es plutôt bien foutu » je lui sors en le fixant
- « T’es pas mal non plus, tu sais »
Après un léger silence, il reprend :
- « Approche si tu veux, on est qu’entre nous »
Je me dirige donc vers son lit. Guillaume s’est relevé pour s’assoir sur son matelas, la bite toujours raide. Une fois devant lui, ma queue se dresse à quelques centimètres de son visage.
- « Je peux te toucher, j’en meurs d’envie », me demande-t-il
- « Vas-y ! »
Il commence par déposer ses mains douces sur mes fesses, il les caresse légèrement et se déplace de plus en plus vers l’avant. Ses mains passent par mes hanches et rejoignent mon pubis. Je suis déjà au bord de l’extase. Il finit par attraper ma queue et commence à la branler tout doucement. Quelques secondes plus tard, il me regarde dans les yeux, puis approche sa bouche de mon gland, qui bat sous l’effet de l’excitation. Je ferme les yeux et sens la chaleur et l’humidité de sa bouche s’emparer de mon sexe. Il l’avale d’abord toute entier, en jouant avec sa langue, et commence un lent va-et-vient. Il me suce pendant quelques minutes, toujours assis sur son lit et moi debout devant lui. Il y met de la tendresse, et prend autant de plaisir que moi. Prêt à lui donner mon jus, mais voulant continuer, je me retire de sa bouche. Il me regarde en souriant :
- « Ça fait si longtemps que je voulais de toi », m’avoue-t-il
— « Moi aussi, je n’ai pas cessé de te regarder depuis qu’on est arrivé ici »
Je le repousse pour l’allonger sur son lit et viens me mettre au-dessus de lui. Je lui cède un baiser, et descends le long de son corps de dieu grec avec ma bouche jusqu’à sa queue. Je peux enfin gouter à cette bite que j’ai tant sucée dans mes fantasmes. Je lubrifie mes doigts avec ma salive et lui soulève légèrement le bassin pour atteindre son trou. J’y insère mes doigts lentement tout en lui avalant la queue au plus profond de ma gorge. Il commence à pousser des petits gémissements de plaisir.
Après quelques minutes, son trou est bien dilaté et je peux facilement y entrer trois de mes doigts. Je le regarde tout en le doigtant :
- « Je veux que tu me prennes », me chuchote-t-il
- « J’y compte bien ! » lui dis-je fermement
Sans plus attendre, je me redresse et approche mon gland de son trou. Je pénètre en douceur, mais continument jusqu’à ce que ma bite soit complètement en lui et que mes couilles s’écrasent sur son cul. Je commence mes mouvements de bassin, et très vite, je lui prends le cul brutalement. Ses gémissements de plaisir se font plus intenses, et pour ne pas réveiller nos voisins, je lui colle un coussin sur la tête. Je lui défonce le cul un certain temps, tout en le branlant par intermittence pour le maintenir au bord de l’explosion. Au bout d’un certain temps, ne pouvant plus me retenir, je sors de son cul et me retourne pour lui présenter ma queue au visage et prendre la sienne en bouche en même temps. Nous nous suçons mutuellement quelques secondes avant de lâcher tous les deux nos jus. J’avale ses bons gros jets de sperme avec délice et il en fait de même.
Nous restons immobiles quelque temps, sonnés par ce qu’il vient de se produire entre nous. Puis, je m’allonge auprès de lui, je l’embrasse et nous passons la nuit ensemble, encore nus.
Depuis, nous avons profité de nos soirées pour décompresser de nos journées d’étude en découvrant plein d’autres joies sexuelles.
Etienne75