Aujourd'hui, c'est Mardi, et le mardi, c'est le soir du sport. Je pars avec mon colocataire David, tranquillement en direction du gymnase pour notre séance hebdomadaire de tennis, quand une drôle de sensation me chatouille discrètement les entrailles. Nous passons devant mon ancienne maison, ou se trouve encore en coloc un type avec lequel j'ai vécu ainsi que deux autres copains. L'envie me vient de passer la suite de la soirée chez eux... Mais d'abord, balle, raquette, courir, tout ça tout ça !
En sortant je propose à David de s'arrêter boire un coup chez Michel, mon ancien coloc. Tout va bien il est d'accord ! L'ambiance est à la fête, là bas, comme souvent, et la bière coule à flot, tandis que Gabriel sort le cognac... Outch, on est pas rentrés ! Après quelques verres et quelques joints l'alcool commence à me monter à la tête, le volume sonore monte et chacun enfile ses chaussures à bascule, quand je sens une main passer dans mon dos, qui descend discrètement sur mes fesses, puis disparaît. J'ai un moment de doute et finis par tourner la tête, le plus discrètement possible, et vois le regard illuminé de mon ancien coloc, Michel.
Je dois faire un petit détour afin que vous compreniez bien l'histoire. Un an et quelques plus tôt, avant de cohabiter, nous avions couché ensemble, lui et moi à la fin d'une très longue soirée durant laquelle j'avais exposé mes désirs homosexuels. Lui m'avait fait part de sa curiosité et m'avait proposé de tenter, pour voir. Un des pires souvenirs de rapports sexuels, car nous n'étions pas suffisamment frais, en découverte, et très mal à l'aise tous les deux. Sans compter que les rôles entre nous n'étaient pas encore établis...
Revenons à notre soirée ; Michel me fait un signe de tête et me dit de le suivre à l'extérieur suite à son envie de pisser. Il m'entraîne dans un coin du jardin, me regarde droit dans les yeux, et sort sa bite pour commencer son affaire. De mon côté, impossible de soutenir son regard, alors que son magnifique sexe était de sortie... Je finis par baisser les yeux vers son incroyable membre quand il casse le silence.
J'ai plusieurs fois repensé à ce qu'il s'était passé entre nous la dernière fois. Si tu es intéressé, on pourrait recommencer ?
Euh bah oui peut-être, je ne sais pas...
Par contre ça se passera autrement cette fois-ci. On ne s'embrasse pas, je ne te touche pas, tu es juste là pour me soulager, à toi de faire le taf, c'est clair ?
…
Vas-y touche la. »
Je m'approche et la prends en main... Je suis comme électrisé par cette sensation, ce beau membre bien chaud, en semi érection et déjà bien 22bons centimètres... Je ne la revoyais pas si impressionnante. Je lève la tête vers lui et il me dit :
« On va continuer la soirée, quand les gens vont se coucher, je range un peu et je te rejoins dans le bureau chez toi. Reste ici 5minutes avant de revenir dans le salon pour pas nous griller. A tout' »
Me voilà comme un con, dans le froid au milieu du jardin, une trique monumentale suite aux propos qu'il a tenus, incapable de penser... Mon premier réflexe étant de regarder mon téléphone pour savoir quand j'aurai le droit de rentrer à l'intérieur...
La soirée continue, mais je suis, comme qui dirait « ailleurs »... Je bois un dernier verre puis, David et moi rentrons à la maison. Je file sous la douche pour me faire propre pour mon homme et m'installe dans le bureau. Il s'agit d'une grande pièce avec cheminée et mezzanine, et me dis que pour passer le temps, je vais faire du feu, ça sera plus agréable car cette pièce, bien que très belle est aussi la plus froide de la maison... Le feu est prêt, je nous sors deux bières et commence à l'attendre impatiemment. Mon téléphone en main, je ne cesse de regarder en attente de ses nouvelles... Une demi heure passe, une heure, toujours pas de nouvelles... Je finis par lui écrire pour lui demander ou il en est...
« Tout le monde vient de se coucher, je range et j'arrive. Sois prêt. »
Mon cœur accélère de plus en plus, je me rends compte à quel point j'ai envie de le servir, une envie ou un besoin viscéral, ma hâte ne cesse de grandir... Je passe la tête par la porte et vois ses phares entrer dans la cour...
Silence total dans la maison.
La porte d'entrée s'ouvre.
J'entends ses pas.
Je m'installe dans le fauteuil, pour faire comme si je n'attendais pas que ça et je faisais autre chose – je ne crois pas qu'il ait été dupe... -
Je me lève a son arrivée, et lui propose une bière, le feu est magnifique, la tension sexuelle est palpable, et je suis aux anges, quand sa réponse tombe :
Je ne suis pas là pour ça, Tout en montant dans la mezzanine.
Sa réponse fait faire un tour complet à mon sang dans mon corps, et je commence à comprendre réellement ce qu'il veut... Je dois finalement tout simplement être à son service, et ne rien attendre de lui, et je ne sais pas pourquoi mais cette situation me plaît très fortement au plus profond de moi, tout en me laissant un arrière goût bizarre. Jamais on ne m'a parlé de la sorte, jamais je ne l'ai toléré et jamais je n'ai laissé passer ce genre d'attitude devant moi.. Qu'on s'adresse à moi ou quelqu'un d'autre.
Il monte dans la mezzanine, et me dit de monter. J'ai une petite pensée pour mon feu et mes bières, et sans rien dire, sans rien penser, je monte, résigné et trop excité par l'idée de le servir, de le sucer, d'exécuter ses désirs, et de retrouver sa merveilleuse queue...
Une fois arrivé en haut, je le vois, souriant, son joint aux lèvres, sa queue clairement raide sortie, chemise ouverte et pantalon rabaissé, le strict minimum. Il est beau. Incroyablement attirant. Son allure fière, son torse d'artisan bien développé, et ses cuisses musclées réveillent immédiatement mon excitation légèrement retombée face ses propos secs et incisifs.
« Suce. »
Je m'exécute, m'agenouille sur le bord du lit, prends son sexe en main, le mien étant, bien que peu imposant, à l'étroit dans mon calecon. Je me penche doucement vers son énorme membre et commence à le mettre en bouche. Au moment ou ma langue effleure son gland, je me rends compte que quelque chose est en train de se produire dans ma vie. N'ayant eu que très peu d'expériences homosexuelles jusque là, malgré mes 23ans, je n'ai que très rarement eu la chance de m'amuser sur un si beau chibre. Je lèche, tant bien que mal, tente de le sucer en gorge profonde, pour faire comme dans les films porno que j'ai toujours regardés, mais face à un membre si imposant, impossible. Je m'acharne comme un forcené quand je sens une main sur mon menton, qui me fait lever la tête. Il me fixe droit dans les yeux, toujours son joint aux lèvres
« Détends toi et vas-y tranquille. Je suis pas pressé, et de toutes façons, je déciderai quand j'aurai envie de jouir. »
Son ton calme, et encourageant me redonne de la vigueur, sans remarquer sur le moment la manière dont il pose son emprise sur moi au passage. Je reprends, plus lentement, et commence à me sentir détendu, ma main vient rejoindre ma bouche autour de sa queue... Elle n'est pas de trop ! Je le sens commencer à se détendre légèrement,
Je le suce depuis déjà bien 45minutes, mais toujours aucun son ne sort de sa bouche. Je commence à douter sur mes capacités à lui faire du bien, et me sens piqué dans mon orgueil. Je redouble d'effort, quand il me dégage de sa queue et la prend en main. Il commence à se masturber énergiquement. « Je viens. » dit il en faisant gicler sa semence. Je n'ai pas eu le temps de comprendre ce qu'il s'est passé, hypnotisé par la puissance qui se dégageait de cette belle main d'artisan astiquant ce membre turgescent, que 4jets épais de foutre viennent s'écraser sur mon visage. Il remet son pantalon – je note qu'il n'a pas de caleçon – et se lève en rallumant son pétard.
« J'ai bien aimé, lui dis-je, on recommencera ? »
« A voir. T'aimes ça, sucer ? »
« Je crois, oui. »
« C'est curieux, pourtant tu suces mal. Va falloir progresser. »
Il descend l'escalier, ferme la porte. Au loin, j'entends le camion démarrer. Je suis assis, sur le matelas, mon visage maculé de sperme, me sentant humilié et comblé en même temps. Mon sexe toujours bandé dans mon pantalon... Mais plus pour longtemps... !;)
Bickddicklover