Fantasme d’un hétéro
Bonjour, voici ma première publication et j’espère qu’elle vous plaira !
Je ne me présente juste en tant que jeune hétéro curieux ayant la vingtaine qui souhaite juste découvrir de nouvelles choses. l’histoire racontée ci-dessous ne reflète qu’un fantasme qui n’attend que d’être satisfait. Ainsi, si vous pensez pouvoir le satisfaire n’hésitez pas à m’écrire à l’adresse apparaissant.
Tout commença lorsque j’avais 18 ans.
À cette époque, je me pensais très épanoui aux côtés de ma douce aimée avec laquelle tout se passait bien. En effet, je me sentais au mieux de ma forme avec cet être que je qualifiais de majestueuse soumise. J’étais capable de la soumettre pendant de longs moments et de la prendre tant que je le pouvais dans des lieux qui n’étaient pas prévus à cet effet.
Pendant l’été, j’étais à la recherche d’un emploi saisonnier, quand La Poste finit par me contacter pour me proposer de livrer le courrier dans un petit village répondant au nom de Bouesse. N’ayant aucune autre proposition et ayant un certain besoin financier, je me vis dans l’obligation d’accepter l’emploi qui m’était proposé.
Alors un certain 17 juin, je commençai le travail. Mon but était de traverser le village tout en déposant dans les boites à lettres les différents courriers que les sympathiques villageois attendaient. Tout type de courrier était attendu et beaucoup de villageois m’attendaient, car j’étais leur seule visite de la journée.
Tout se passait bien et la plupart des villageois étaient âgés et me recevaient gentiment souvent avec l’accompagnement d’un café.
Tous les jours se ressemblaient et je me trouvais plutôt satisfait de mon travail.
Un jour d’été, alors que j’effectuais ma distribution, je devais remettre une LRAR (Lettre Recommandée avec Accusé de Réception) à un habitant que je n’avais, jusqu’à lors jamais rencontré.
J’arrivai devant une vieille bâtisse plutôt délabrée n’étant pas équipée de sonnette. Je me vis dans l’obligation d’aller frapper à la porte. Alors que je me présentai à la porte, je n’eus pas le temps de frapper qu’un homme d’une quarantaine d’années ouvrit la porte. Cet homme bien bâti me fit entrer en me proposant un café. N’ayant jamais rencontré cet habitant je me dis donc « pourquoi ne pas en savoir plus sur lui ? » Alors je rentrais volontiers dans sa demeure.
À peine rentré, il claqua la porte derrière moi et un sentiment de malaise prédomina. Il me dit alors de venir m’assoir à sa table. Je n’osai guère refuser par peur, car cet homme ferme ne laissait paraitre aucune émotion.
Je m’assis donc dans le silence et j’entamai une discussion :
– " Vous habitez dans le coin depuis longtemps ? »
–" Oui » Me répondit-il avec froideur
– " Pourtant c’est la première fois que je passe ici » lui répondis-je
–" Je sais » me dit-il en me servant le café qu’il me préparait.
Un silence prit place alors que nous buvions tous les deux nos boissons. Pas un mot ne coupa le silence qui s’était installé avant que je finisse ma tasse. C’est alors qu’une sérieuse migraine s’empara de moi.
Je ne voulais pas rester dans cette habitation, mais étant réellement mal, je fis part de cette douleur à l’homme qui se trouvait en face de moi. Il se mit à sourire. C’est alors que je m’endormis.
Je me réveillai dans une pièce sombre et essayai de bouger. J’étais attaché par les mains et les pieds, nu. Désespérément je tentai de me libérer faisant bouger les chaines qui me ligotaient. L’homme apparu soudainement en me disant qu’il attendait mon réveil depuis quelques heures. Je me retrouvai alors à sa merci. Il m’avoua qu’il m’avait vu depuis le début de l’été parcourant les rues de sa ville et que je lui plaisais. Il m’indiqua alors que tout se passerait bien si je suivais ses consignes. Bâillonné je lui fis un signe de tête lui montrant que je serais sage.
Je pris le temps de l’observer, il était habillé de cuir et d’un jockstrap bien moulant qui camouflait un sexe d’une belle envergure. Il enleva le ballon qui m’étouffait et pour essayer de m’extirper de cet endroit je me dis qu’il fallait le complimenter. Ne voyant que son sexe derrière son jockstrap je me suis alors mis à le complimenter sur la taille de son sexe :
– " Derrière ce bout de tissus, que se cache-t-il ? »
–" Tu le sauras bientôt ! » Me répondit-il ?
Fatigué, je me rendormis et je fis réveiller par cet homme qui avait enlevé son jockstrap. C’est alors que je vis un sexe comme je n’en avais jamais vu ! Un sexe long, épais, avec un pubis touffu, sous lequel pendaient deux gros testicules qui semblaient bien remplis.
Étonné, ce fut la première fois que je fus excité par le sexe d’un homme. Je ne bandais pas, mais presque. L’Homme se rapprocha de moi et son sexe se trouva alors à quelques centimètres de ma tête. Sans un mot il vint alors se coller à moi posant son sexe mou sur ma joue droite. Lors de ce contact, je pensais être apeuré, mais finalement l’excitation prit le dessus. Je sentis mon sexe se durcir et l’homme le vit. Je sentais son sexe durcir sur ma joue et sans savoir pourquoi, je ne pus m’empêcher de lécher son sexe. Il changea alors de comportement et devint plus agressif. Alors que sa bite grossissait à vue d’œil, il se posa face à moi et m’ordonna d’ouvrir ma bouche.
Ayant encore de l’honneur je refusais en essayant d’échapper à ce monstre cependant il fut plus fort que moi et je finis par être obligé d’ouvrir ma bouche à cet inconnu. Poussant mes lèvres il rentra en moi et je fus surpris par la texture de son membre. En effet, malgré moi sa bite me procurait un plaisir que je ne pensais pas pouvoir ressentir. Je me mis alors à sucer avec envie ce sexe qui me pénétrait la bouche. Il était doux et me remplissait la bouche entièrement alors que je ne gobais que la moitié. Il poussait et je fus obligé de lui faire une gorge profonde. Ne pouvant reculer ma tête, lui me donnait des coups de bassin pour faire rentrer le plus possible son membre au fond de ma gorge. Je finis alors, malgré mes haut-le-cœur, par ingurgiter tout son membre. Mes yeux pleuraient, je m’étouffais presque et pourtant je ressentais un certain plaisir à accueillir cet homme en moi. Il le vit par mon sexe bandé à son maximum. Il changea alors de posture et vint se placer derrière moi. N’ayant jamais pensé avoir d’expérience homosexuelle, ma chatte était très serrée. Il passa un coup de lubrifiant et poussa avec son chibre sur ma rondelle vierge. C’est alors que je ressentis une forte douleur que je ne pouvais cacher par mes cris, mais que les murs épais de la pièce étouffaient. Je sentais donc pour commencer son gland qui forçait mes entrailles. La douleur laissa place au plaisir et il continua à pousser son membre dans mon intérieur. Il n’était pas rentré à son maximum, mais je sentais le besoin de le sentir me remplir. Je me mis donc comme but de m’empaler sur toute sa longueur pour pouvoir sentir le plus de plaisir que je ne le pouvais. Il finit par loger toute sa longueur et par me combler de bonheur. Il se mit alors à me culbuter avec une force incroyable. Chacun de ses coups était ponctué par mes râles de plaisir. Je pouvais entendre sa respiration s’accélérer, mais étant devenu sa chienne, je ne souhaitais pas qu’il crache en moi. Dans un orgasme je lui criai alors « jouis sur moi ! ». C’était la première fois que je crachais sans qu’on ne m’ait touché. Ces mots ne furent pas pris à la légère. Il sortit de moi pour se placer en face de ma tête, je me précipitai sur cette queue que je gobai. Il lâcha 6 longs jets dans ma bouche que je m’empressai d’avaler. En sortant de ma bouche, il lâcha à nouveau 2 jets sur mon visage, je lui ai ainsi nettoyé le chibre avec la langue pour profiter au maximum de son jus.
Essoufflé de cet effort, je me suis endormi. Au réveil j’étais détaché et mes affaires étaient à côté de moi avec la porte grande ouverte en face de moi. Je me suis rhabillé suis parti avec les traces de ce sperme délicieux et je n’ai jamais revu cet inconnu… Hélas.
L’Hétéro Culrieux
el.mame @outlook.fr