Marié à une femme, 47 ans, j’ai toujours été plus attiré par les hommes que les femmes.
Ce qui me vaut de vous raconter ma soirée d’hier soir au sauna.
Ma femme sait en effet que je baise avec des mecs et me laisse quartier libre une fois
par semaine pendant les vacances scolaires lorsque notre fille est absente.
Mais revenons-en à notre soirée.
Je fréquente donc ce sauna parfois en quête d’un plan avec des lopes bien soumises.
En effet, aujourd’hui, je suis plutôt Actif Domi porté sur le BDSM.
Auparavant, j’étais soumis, passif et me faisais régulièrement défoncer par
des mecs virils souhaitant défoncer des lopes et les soumettre. J’excellais dans ce rôle.
Puis en jour, j’ai pris ce rôle de Domi.
Par contre, hier, ce côté soumis m’a rattrapé et je n’avais qu’une envie, me faire dominer, être soumis
et à la disposition de tous les mecs avec qui je souhaitais un plan.
Jouer le rôle de la lope soumise à plusieurs mecs.
C’est donc dans cet état esprit que je me suis rendu au sauna.
Très vite, une fois douché, j’ai repéré un jeune mec, bandant à souhait. Grand, beau,
musclé, il avait tout pour plaire. Mon âge n’allait pas jouer en ma faveur.
C’est donc le labyrinthe obscur que j’ai tenté ma chance. Au détour d’un couloir, je l’ai donc
agrippé par les hanches. Pas de recul de sa part. J’ai donc directement passé ma main sur sa queue.
Il ne bandait pas encore, mais cela m’a laissé rêveur. C’est à lui que je voulais offrir mon cul pour ce début de soirée
Sans attendre, je me suis penché sur sa bite pour la sucer. La suite dépendait
de la qualité de ma pipe. Quel plaisir que de l’entendre gémir ! Je n’avais rien perdu de mon côte
lope soumise dévouée à son maître, experte en fellation.
Après seulement quelques minutes, un type assez âgé s’est joint à nous. Il en voulait à mon cul et ne cessait de jouer avec. Mais ce qui m’intéressait à l’instant, c’est cette bite, au moins 18 x 6 que je suçais. C’est elle que je voulais dans mon cul. Ce cul si bien préparé, propre et prêt à recevoir une bite et dont les lavements successifs l’ont rendu apte à recevoir une telle bite sans risque côté hygiène.
C’est dans une cabine, donc, à l’écart des gars qui ne comprennent pas qu’ils sont de trop dans le plan, que j’ai poursuivi cette pipe magistrale. Rapidement, je me suis enduit le cul d’un gel anesthésiant afin de faciliter la possession de mon cul, qui n’avait pas pris une bite depuis des mois. Et tout aussi rapidement, le bel étalon, faut dire ce qui est, s’est laissé couvrir d’une capote, qui d’ailleurs était inutile. Habitué, malgré tout, aux gros calibres, c’est très lentement qu’il m’a
pénétré. J’en ai apprécié d’autant plus les dimensions. Et quelques instants après, les va-et-vient ont succédé. Quel bonheur de sentir à nouveau, un morceau de chair d’un tel calibre. Le gode-ceinture de ma femme ne m’offre pas les mêmes sensations.
Après quelques minutes de ce traitement, pris en levrette, d’une façon très virile, mon étalon m’a retourné et m’a demandé de le sucer à nouveau. Il n’était pas loin de jouir. Rapidement, il a retiré sa bite pour se masturber. Assoiffé, j’ai ouvert la bouche, tiré la langue. Qui n’aurait pas compris le message ? Il m’a donc joui en bouche, et après avoir avalé, je me suis appliqué pour lui nettoyer
cette merveilleuse bite qui m’a apporté autant de plaisir.
Le début de soirée a donc été un réconfort après cette journée de travail.
Mais il m’en fallait plus. Je me suis donc réenduit le cul de graisse et suis parti à la recherche
de mon prochain mâle. Mais le COVID étant encore présent, la fréquentation est faible.
À l’étage, où se trouvent la salle vidéo et les croix de Saint-André et sling, un gars se faisait sucer par, faut le dire un vieux.
Pas intéressé. En revanche, ce qui m’intéressait, c’est cet aménagement au fond de la pièce. Un matelas, caché derrière un rideau. Mais ce qui en fait un attrait, c’est l’ouverture, façon glory-hole, pour présenter son cul sans être vu.
Il n’a fallu, là aussi, que quelques minutes pour que celui-ci intéresse. Un type est venu y fourrer un, puis 2 et enfin 3 doigts.
Ce cul, resté ouvert après le passage de l’étalon, l’a attiré comme un aimant. La position pour l’actif n’est pas adaptée pour une sodo. Le cul est présenté trop bas. Donc, il est entré dans l’alcôve et m’a présenté sa bite à sucrer. Moi, en manque, me suis jeté dessus.
D’un bon diamètre, malheureusement trop courte, j’allais toutefois m’en contenter.
Très exhibe, je lui est proposé de me baiser allongé sur le sling. J’y ai pris du plaisir, mais bi comme moi, il n’est pas parvenu à bander très longtemps et nous avons dû interrompre. Quel dommage, d’autant que personne n’était là pour nous mater. Il s’en est allé. J’ai patienté, espérant que de nouveaux clients arrivent. Pas gagné, en ce jeudi soir.
Heureusement pour moi, un troisième gars s’est intéressé à ma position. Toujours étendu sur le sling, prêt à recevoir une bite généreuse. Rapide examen de mon cul, pour tester sa résistance et sa dilatation et le gars est allé chercher capotes et gel.
Quel plaisir, jeune, barbu, des pecs développés ! Ni une ni deux, pénétration rapide et va-et-vient vigoureux.
Faut dire qu’il avait bien compris que j’étais très disposé à l’accueillir......
Et pour ne rien gâcher, il est pourvu également d’un sexe dont les dimensions m’ont apporté du plaisir.
Nous avons poursuivi sur le matelas. Levrette, missionnaire, fellation. Je lui est fait l’étalage de mes talents.
Si bien, qu’au moment de jouir, il m’a demandé où je voulais qu’il jouisse. Pour seule réponse, je me suis retourné, ai ouvert la bouche et avalé sa bite qui n’a pas tardé à déverser son jus. J’y ai pris un réel plaisir et lui ai nettoyé sa bite en lui la rendant parfaitement propre.
Ce faisant déjà l’heure de la fermeture, je n’ai pas eu le temps de me faire prendre en double sodo. Ce sera pour la semaine prochaine.
En espérant qu’il y ait plus de monde.
Pour ceux qui crient à l’inconscience, je suis sous Prep.
Mastermick
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