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Chapitre 4 | Le magasin militaire
Une nouvelle fois en manque de bite dans le cul, je me connecte sur mon site de tchat favori en espérant très vite trouver un bon actif.
Pour rappel, je suis en couple depuis plus de 10 ans avec un parfait passif. Je raconte donc ici mes années en temps que passif alors que j'étais actif. Ces histoires sont toutes vraies et j'avais une vingtaine d'années lorsque je les ai toutes vécues. Beau mec, sportif et un beau petit cul rebondi rasé.
Je reviens donc à mon histoire. Je tchatte à la recherche d'un bon actif et, bingo : un mec d'une bonne quarante d'années, chauve, plutôt musclé, me contacte et me dit être à la recherche d'une bonne chatte comme la mienne pour se vider les couilles tout en bossant. "Tout en bossant ?" Réponds-je, étonné. Il me dit travailler dans un magasin de vêtements et accessoires militaires et qu'il aimerait que je vienne à Poil derrière son comptoir, cul tendu pour qu'il me baise entre deux ventes et si possible, pendant l'une d'elles.
Je ne réfléchis pas aux conséquences et j'accepte. De toutes manières quand j'ai le cul en feu, je ne pense qu'à me faire défoncer et rien d'autre.
Il me donne l'adresse du magasin. Pas trop loin, parfait. Je prends une douche, enfile un jock strap sous mon jogging avec du poppers et du gel en poche même s'il m'a dit vouloir me prendre à sec et j'y vais.
J'arrive devant le magasin. Petit mais grandes vitrines qui exposent des vêtements et accessoires militaires comme mon actif du jour me l'avait dit. Je jette vite fait un coup d'oeil à l'intérieur. Le comptoir derrière lequel je dois me foutre à poil pour me faire défoncer est visible de dehors sans trop l'être, ce qui me rassure un peu quand même.
J'entre.
Mon actif est occupé avec un client. Je flâne un peu puis j'entends : "Bonjour monsieur." Je me tourne vers lui et il ajoute : "Je suis occupé, vous pouvez m'attendre derrière." Je comprends tout de suite sa demande et me dirige vers le comptoir. Un rideau sépare le magasin de la réserve. Je m'y rends pour me déshabiller. Désormais en jock strap, j'entre-ouvre le rideau pour vérifier qu'il n'y ait personne avant de me diriger vers le comptoir. Personne à l'horizon, juste la voix de mon actif et celle de son client au loin. Je regarde attentivement le comptoir avant de m'y installer. Tout semble avoir été prévu pour que le gérant de la boutique, mon actif, puisse défoncer un cul sans être vu derrière son comptoir. Celui-ci est creux, aucunes étagères, rien s'y trouve. Il se referme, tout comme la réserve, à l'aide de rideaux.
Je sors de la réserve, me faufile sous le comptoir tout en refermant les rideaux sur moi. Je me penche vers l'avant bien campé sur mes pieds (merci le sport), le cul bien tendu hors des rideaux. Un flacon de poppers s'y trouve. À ce moment précis, je repense au poppers et au gel que j'ai laissés dans la poche de mon jogging. Je me dis sans doute avoir le temps d'aller chercher le gel quand j'entends les voix s'approcher et quand une main puissante se pose sur mon cul. Tant pis.
Tout en me faisant plorer le cul, j'entends mon actif faire son blabla de bon vendeur. Il parle toujours en me caressant le trou puis il cesse sa palpation anale pour porter son doigt à son nez. Je l'ai su car je l'ai entendu sniffer plutôt fort tout en disant à son client : "Désolé, juste un petit rhume. Heureusement que mes doigts sentent très bons. " Putain, il aime jouer. Je suis très excité. Je sniffe allègrement le poppers qui m'avait placé sous le comptoir pour moi. "Au revoir monsieur. A très bientôt." Les mains de mon actif se font plus entreprenantes. Ça y est mon heure est arrivée. La porte du magasin claque derrière le client.
"Bon, à nous deux mon beau petit cul. T'inquiètes, les clients ne sont pas nombreux à cette heure."
Il s'accroupit, m'écarte les fesses et me bouffe le trou. Chose qui n'était pas prévue mais je kiffe pleinement. J'entends qu'il retire la boucle de sa ceinture, dégraffe son pantalon et sort sa queue. Son bouffage de cul dure longtemps. Mon trou semble s'élargir à chaque coup de langue. Il se paluche la queue en dégustant mon trou et j'avoue que ça me rend encore plus fou.
La carillon de la porte du magasin teinte. Mon bouffeur de cul se redresse hâtivement. Sa grosse queue superbement raide se loge entre mes fesses. "Bonjour messieurs, je peux vous aider ?" Messieurs ? Mon cœur bat à la chamade. Non seulement, avoir sa queue planté entre mes fesses me rend fou. D'autant plus qu'il s'amuse à donner de petits coups de bites sur mon trou, mais j'avais également peur que l'on se fasse grillé. "Non merci ça va, on fait juste un tour." Sur ses mots, ses coups de bites se font plus vigoureux.
J'ai toujours le nez dans le poppers. Son gland s'enfonce en moi. Il fait de petits vas et viens. Il continue sa progression dans mon cul. Le voilà désormais entièrement en moi. Il reste au fond de mon cul en bougeant très peu, sûrement pour ne pas éveiller les soupçons des deux mecs.
"Au revoir messieurs, au plaisir." Enfin, ils sont partis.
"Là, tu vas déguster mon mignon." Il m'agrippe les hanches et commence à me pilonner le cul. Je prends mon pied.
"Merde, l'un des deux mecs reviens. T'inquiète pas." Il se cale au fond de mon cul. Le mec qui vient de revenir lui parle d'un article qu'il avait repéré tout à l'heure. Ils discutent et en les écoutant, je me dis qu'ils discutent réellement pour ne rien dire. Mon baiseur reprend de petits vas et viens, sans doute la conversation le met en confiance.
"Putain, je savais qui se passait un truc derrière. Tu baise une meuf ?" Mon baiseur ne répond pas. "Un mec ? Laisse moi mater s'te plaît. J'n'ai pas trop le temps, mon collègue m'attend. Il risque de rappliquer si je ne pars pas très vite."
"Ok, viens mater." Tout en l'autorisant à passer derrière le comptoir, il recommence son pilonnage.
"Putain quel cul. C'est une meuf ?" Demande le type.
"Non, c'est un jeune cul de mec bien ouvert." Répond mon actif.
"Je peux toucher mec." Là mon baiseur a du l'autoriser d'un hochement de tête, car une main, plutôt froide viens me ploter l'une de mes fesses. Mon baiseur, galvanisé par la situation, se fait un plaisir fou à me baiser de plus en plus fort. "Fait chier, j'ai pas le temps, j'vais devoir y aller. Merde. Je l'aurai bien baisé aussi. Écoute, je te laisse mon tél. Si je peux défoncer ce cul, appelle moi." Sur c'est mots mon baiseur m'innonde l'intérieur de mon cul dans un râle bestial. "Putain, t'as craché mec ? Trop bon, ça me fait grave bander. N'oublie pas, tél moi. Ciao." Il est à peine reparti que mon actif sort de mon cul et me dit : "T'as entendu ça mon mignon, tu vas encore pouvoir te faire défoncer et avec un peu de chance remplir. En tout cas, tu as un sacré cul. Aussi bon à bouffer qu'à baiser."
Je sors de sous le comptoir. Il me remet le papier sur lequel le type avait inscrit son numéro de téléphone. Je vais me rhabiller et repars...
Le Cul jouissif
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