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HISTOIRE

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Premier épisode | Épisode précédent

Contes Brésiliens | 6

Un jour, Rosa se sentit fatiguée. Elle consulta les esprits qui lui annoncèrent qu'elle allait mourir bientôt. Aussitôt, elle mit en ordre les affaires de sa maison de couture que Julia allait désormais diriger et fit appeler à son chevet sa petite-fille Térésa qui avait 11 ans. Elle lui remit la fameuse pipe, lui confia une foule de secrets étranges et, sans avoir émis la moindre plainte, rendit l'âme un soir de tempête pendant que le vent hurlait et arrachait la chevelure des palmiers royaux. C'est Victor qui la veilla jusqu'au bout et qui recueillit son dernier soupir.
Très affectée par la mort de sa mère Julia reprit pourtant courageusement le flambeau de la maison de couture et y travailla d'arrache pied pour réaliser son rêve : payer à ses enfants des études supérieures. A la fin de l’année scolaire, Térésa, assez douée pour les maths était sur le point de décrocher son certificat d’études lorsque son frère Hugo qui promettait lui aussi beaucoup fut pris dans un conflit entre bandes rivales de voyous et tué d'une balle en pleine tête à seulement 15 ans. Connaissant les usages dans les quartiers populaires de Natal, Julia et ses proches expédièrent la jeune Térésa sans tarder à Rio chez sa tante Anna pour éviter qu'elle ne soit prise à son tour à son corps défendant dans un cycle de violences. Après quoi, brisée, Julia conduisit le deuil de son fils et, rentrée chez elle, s'allongea pour ne plus se relever. Elle traina ainsi plusieurs mois avant de mourir, âgée seulement d'une trentaine d'années et, avant de trépasser elle confia son dernier enfant, le petit Bruno qui n'avait que trois ans et demi, à sa marraine Suzana (qui était, rappelons-le, l’épouse de Livio, lui-même fils d’Ernesto et donc frère aîné de Victor) .
Hélas! Moins de six mois plus tard, Suzana enceinte, mourut en couches, victime d'une éclampsie, en laissant derrière elle trois garçons mineurs. C'est une sœur de Suzana qui prit la suite, provisoirement, et qui recueillit Bruno en prime de ses neveux, mais la pauvre femme qui avait ses propres enfants à nourrir dut rapidement appeler à l'aide. Livio finit par récupérer ses trois enfants qu'il éleva avec ceux que lui donna bientôt une nouvelle compagne. Quant à Bruno, alors âgé de quatre ans, on résolut de le confier "provisoirement" à Victor, faute d'une meilleure solution.

Le voyou de Natal (1957)

L’enquête de police qui suivit la mort d’Hugo fut bien évidement bâclée et on ne parvint jamais à établir officiellement l’origine de la balle mortelle qui avait atteint le malheureux garçon. Mais tout le monde dans le quartier savait bien que Hugo avait été victime d’un malentendu tragique et que celui qui l’avait ainsi exécuté avait agi sur ordre, dans le cadre d’un conflit amoureux. Hugo avait eu le tort de flirter avec la ravissante Angela, dont le fils de l’un des caïds locaux était épris, et qui, par ailleurs était la cousine de la petite amie du chef de la bande rivale. L’assassin n’alla pas bien loin : son corps, fut retrouvé quelques semaines plus tard dans une mare de sang, et les personnes mêlées de près ou de loin à cette sale affaire crurent toutes opportun de prendre la tangente.
C’était le cas, en particulier du prof de math de Térésa, un beau jeune homme de 25 ans, tout frais émoulu de l’université et qui avait atterri à Natal depuis à peine 18 mois. Avec ses cheveux mi-longs, ses yeux marron clair cachés derrière des petites lunettes rondes et sa petite barbe soigneusement entretenue, le jeune homme qui cultivait un peu son look de hippie, n’avait pourtant jamais ménagé sa peine pour tâcher d’instruire les enfants des favelas les plus défavorisées et avait acquis à ce titre la considération de plusieurs des brutes épaisses qui s’entretuaient aux alentours. Mais le directeur du lycée lui-même lui recommanda « pour sa sécurité » de ne pas insister, dès que les circonstances du meurtre furent clairement établies.
L’intéressé, Pascal Iguasti était  issu d’une famille aisée de l’Etat de Santa Catarina, tout au sud du Brésil, et n’avait jamais mis les pieds dans le Nordeste avant que les hasards des affectations académiques ne lui fassent découvrir cette partie-là de son propre pays. A vrai dire, dans les premiers temps, il eut du mal à s’habituer à un milieu bien plus rude et dangereux que celui où il avait grandi. Il fut médusé, en arrivant dans le lycée de banlieue dans lequel il était nommé, en découvrant la violence, les gangs, les bagarres et les meurtres qui étaient le quotidien des grandes villes du nord. Isolé, et facilement trahi par sa prononciation « bourgeoise » il ne parvint jamais à se faire beaucoup d’amis en dehors du cercle de ses collègues. Tout au plus, se lia-t-il avec quelques uns de ses élèves, les plus doués et les plus intéressants ; Térésa fut de ceux-là, et le contact entre eux deux ne fut jamais rompu, même après le drame, évoluant vers une grande amitié que les années n’auront fait que renforcer.
Mais pourquoi donc ces deux personnes pacifiques furent-elles prises dans ce règlement de compte ? Pour Térésa, c’est simple : elle était à deux pas de son frère et avait vu l’assassin, d’où une forte envie du commanditaire de rendre à jamais muet son témoignage.
Pour Pascal, c’est plus compliqué…
Pour comprendre, il faut remonter à près d’un an en arrière, alors qu’il était arrivé à Natal depuis à peine quelques mois. Dans l’une de ses classes, il y avait une élève de 17 ans, Anietta, qui malgré ses efforts, avait beaucoup de mal en mathématiques. Et elle s’en désolait. Car la charmante enfant n’avait qu’un objectif dans la vie : acquérir le maximum de connaissances scolaires et partir aux USA ou en Europe pour y étudier et fuir à jamais son environnement familial. Il faut dire qu’Anietta était la fille du caïd local dont nous avons parlé, Umberto Maserais, et donc la sœur de l’amoureux déçu et tragique d’Angela.
Pascal était un excellent pédagogue ; elle qui n’était jamais parvenue à résoudre correctement la plus simple des équations, se mit enfin à faire des progrès sensibles. Mais, hélas ! comment rattraper le retard accumulé ? Anietta fit le siège de son père pour obtenir des  cours particuliers : grande affaire ! Car Umberto, très méfiant sur ce genre de choses, mit près de trois mois pour finir par céder. Pas question, au demeurant, d’accepter qu’un étranger vienne chez lui ; il exigea que les cours aient lieu chez Pascal, mais imposa la présence d’un tiers qui était l’un de ses hommes de main, le taciturne Paulo,  un jeune homme âgé de 22 ans et qui comptait déjà deux meurtres à son actif au service de son patron… La haute et large carrure et les épais cheveux noirs bouclés du gaillard lui faisaient paraitre un peu plus que son âge, d’ailleurs, et personne ne doutait qu’il finirait par devenir l’un des lieutenants d’Umberto Maserais qui l’avait en grande affection. Originaire du Mato Grosso et de ses vastes étendues herbeuses, Paulo n’allait jamais nulle part sans ses grandes bottes et son Stetson gris qui lui donnaient justement l’air de ce qu’il était : un cow-boy passablement inculte et brutal, dévoué de façon fanatique à son patron qui l’avait ramassé à 18 ans dans les rues de Belém où il avait échoué après avoir fui le domicile paternel, et où il avait bien failli crever de faim.  Paulo ne s’était plié qu’à contre cœur aux ordres qui le contraignaient à amener et ramener Anietta chez son prof de math et il s’ennuyait ferme durant les heures qu’il passait là, même si il s’était surpris une ou deux fois à écouter les explications que Pascal donnait patiemment et à essayer, dans son coin, de comprendre…
Pendant plusieurs mois, les choses allèrent ainsi, et Anietta fit de gros progrès, au rythme de deux séances par semaines. Elle engloutit de la sorte, avec l’aide de son prof, l’équivalent du programme de deux ou trois années, pendant que son ange gardien, installé dans un sofa  tout proche les surveillait en silence en tout en s’envoyant sans façon des bières qu’il dénichait dans le frigo de son hôte involontaire. Un jour cependant, à force d’en boire, il dut demander  où se trouvaient les toilettes.  Pendant que le jeune rustre se vidait bruyamment la vessie, Pascal ne put s’empêcher de demander à sa jeune élève :
-       C’est parce qu’il craint que je ne tente de vous séduire que votre père ne vous laisse venir ici qu’accompagnée ?
-       Exact ! Inutile de chercher à le convaincre que ce ne sont pas des choses qui se font, en général, dans la région d’où vous venez…
-       Mais… et lui ? Il n’a pas peur que ce soit finalement votre garde du corps qui vous manque de respect ?
Anietta eut une moue méprisante.
-       Lui ? Il sait que si mon père apprend qu’il m’a touchée,  il lui fera couper les couilles… Et puis, d’ailleurs, je ne risque rien… C’est les mecs qu’il préfère…
Et Anietta replongea le nez dans ses théorèmes sans s’apercevoir que Pascal regardait d’un œil soudain très attentif le jeune tueur à gage qui venait de sortir des toilettes en rotant et qui faisait gémir le sofa en laissant tomber dessus ses 80 kilos de muscles… Le jeune prof, qui depuis son arrivée supportait courageusement un célibat et une abstinence auxquels il n’était pas du tout habitué, n’avait pas encore fait totalement son deuil de sa relation précédente, qui l’avait incité à partir le plus loin possible de Sao Paulo : un coup d’enfer, un chauffeur d’autobus bisexuel,  macho et monté comme un âne, qui avait fini au bout de 15 mois par le plaquer pour épouser une caissière de supermarché jolie comme une speakerine de télé… Depuis son arrivée à Natal, Pascal qui ne connaissait pas les codes de la région et qui n’avait pas réussi à se trouver le moindre partenaire, calmait sa libido en se branlant comme un damné et en faisant grand usage de sa collection de godes. La révélation soudaine des penchants sexuels du jeune mâle inaccessible qu’il voyait s’avachir sur son canapé deux fois par semaine lui fit littéralement tourner les sangs.
Pendant les trois semaines suivantes, Pascal ne cessa pas de chercher un moyen de se rapprocher du garde du corps de sa jeune élève, tout en restant discret.  Impossible, sous peine d’attirer son attention, d’interroger encore Anietta ; il finit par s’adresser , un peu au hasard, à un des vigiles du lycée qu’il avait vu parler avec Anietta et Paulo un jour où le jeune tueur avait ramené la fille de son patron chez elle après les cours. Hélas ! Natal était peut-être une grande ville, mais le milieu dans lequel il évoluait n’était qu’un gros village, et, le jeudi soir suivant, alors qu’il rentrait chez lui à la nuit tombée, Pascal se sentit brusquement plaqué contre la porte et sentit le froid du canon d’un petit calibre qui s’appuyait sur sa tempe.
Terrorisé, il déverrouilla la porte et se laissa propulser à l’intérieur d’une poussée violente.
-       Alors, prof, on enquête sur moi ? interrogea Paulo avec son accent  vulgaire.
-       Nnnon !  j’vous jure que non, répliqua Pascal, d’une voix à peine audible.
-       Allez, prof ! mon ami Tino m’a dit que tu avais posé plein de questions sur moi et que tu étais prêt à lui donner 100 réals pour qu’il te répondre. Pourquoi ?
-       Je…je ne sais pas de quoi vous voulez parler, je ne comprends pas…
Depuis qu’ils étaient entrés dans la pièce, toujours plongée dans l’obscurité, Paulo n’avait pas relâché sa prise sur Pascal qu’il avait immobilisé d’une clé aux bras et qu’il continuait à menacer de son revolver. Le jeune voyou resserra brutalement sa prise et prit un ton menaçant.
-       Hey ! prof… Je ne suis pas un mec instruit comme toi et qui connait des tas de choses. Mais je n’aime pas du tout qu’on se foute de ma gueule et tu pourrais le regretter. 
-       Lâchez-moi…, s’il vous plait !
-       Est-ce que tu as entendu ce que je t’ai posé comme question ?
-       J’ai interrogé Tino juste parce que je voulais en savoir plus sur vous…
-       Mais pourquoi ? Tu travailles pour la police, c’est cela ? Ils ont infiltré un prof pour savoir ce qu’on faisait ?
-       Non, non, non. Je ne travaille pas pour la police, maintenant lâchez moi…
-       Si tu travailles pas pour la police, tu travailles pour qui alors ? Pourquoi tu posais toutes ces questions ?
Pascal sentit se resserrer davantage sur lui les muscles durs de son interlocuteur et crut sincèrement sa dernière heure arrivée.  Avouer la vérité ? Combien de chances pour que le jeune homme soit finalement un hétéro bon teint qui n’hésiterait pas à lui loger une balle dans la cervelle pour avoir porté atteinte, ne serait-ce qu’en pensée, à sa virilité ? Au fond, se dit-il, foutu pour foutu…
-       C’est parce que Anietta m’a dit que vous… que tu… étais… pédé.
-       La salope !
Un long silence.
-       Et alors ? de toute façon, qu’est-ce que cela pouvait te foutre ?
Un nouveau silence, cette fois-ci du coté de Pascal. Et si la jeune fille avait menti ? Et si il s’en allait provoquer l’irréparable ? Mais la première réaction était… encourageante…
-        Je cherchais à me renseigner pour savoir si c’est vrai… parce que, dans ce cas… je suis… enfin, je serais… intéressé…
Là… C’était dit.
D’un seul coup, l’étreinte brutale qui immobilisait Pascal se desserra quelque peu.
-       Sérieux, prof ? t’es pédé ? Faut dire qu’avec ta jolie petite gueule, le boss a tellement eu peur pour sa fille…
-       Alors qu’en réalité, c’est plutôt avec son homme de confiance que je voudrais faire des choses…
-       Ah oui …? quel genre de chose ?
Pascal avait toujours les bras dans le dos, bloqués par la prise de Paulo. Imperceptiblement, il remua le bassin, frottant légèrement ses fesses contre le bas-ventre du jeune voyou dans le jean duquel commença à se former au bout de quelques secondes une bosse épaisse et dure. Paulo finit par se décider à poser son chapeau et son revolver sur la table et enlaça de nouveau Pascal, toujours de dos, mais cette fois-ci, de la plus sensuelle des façons. Il couvrit de sa main, et frotta lentement de la paume, la braguette gonflée de l’enseignant, qui se mit rapidement à gémir sous le plaisir de cette caresse. La tête penchée en arrière, il offrit ses lèvres et pendant un long moment, les deux hommes s’embrassèrent dans l’obscurité.
-       Viens,  allons dans ma chambre, murmura Pascal dont le cœur battait à grands coups d’excitation.
Bottes et chaussures, chaussettes, chemise et t-shirt, pantalon et jean jonchèrent rapidement le sol le long de la route qui conduisit les deux garçons jusqu’au lit. Arrivés là, ils marquèrent une pause, le temps de se dévorer encore mutuellement les lèvres tout en se caressant fiévreusement tout le corps. Et puis très vite la dernière étape fut franchie ; les slips volèrent à travers la pièce, les deux hommes se retrouvèrent nus comme des vers…et bandés comme des cerfs. Pascal n’avait pas de quoi rougir de son équipement viril de 17cm sur 4,5. Mais le mastard qu’il découvrit en ôtant le slip de son partenaire lui rappela le souvenir de son chauffeur de bus.
-       Tu es monté comme une bête ! ne put s’empêcher de commenter le jeune homme en caressant  le pieu de 22 cm sur 6 que Paulo pressait contre son cul. Tu iras doucement, hein ? Cela fait des mois que je ne me suis pas fait prendre.
-         T’inquiète, prof ! Je te jure que tu vas prendre ton pied.
Le jeune  voyou avait raison ; Pascal connut cette nuit-là une impressionnante série d’orgasmes, mais malgré une double dose de vaseline, l’épaisseur de la matraque qui s’apprêtait à lui défoncer le cul était telle que Paulo dut le bâillonner de sa grosse main pour  atténuer les véritables hurlements qu’il poussa tout au long de l’intromission. Même après  que le passage fut fait, Pascal, le cul surélevé par trois oreillers, la mâchoire crochée dans le traversin continuait à hennir de douleur à chaque fois que le gros membre raide butait au fond de ses entrailles. Mais bien loin de demander grâce, il en redemandait et finit par se laisser emporter par des vagues toujours plus intenses de plaisir, à chaque passage de la grosse queue qui lui labourait virilement le ventre, et qui massait de plus en plus efficacement sa prostate.
Après de longues minutes de pénétration, un premier orgasme le submergea  sans même qu’il se touche, alors que l’énorme chibre qui lui faisait tant de bien se trouvait bien enfoncé au plus profond de lui. Pascal inonda les oreillers d’une improbable quantité de sperme en râlant et en se tordant littéralement de plaisir. Paulo, impérial, le  laissa se débattre dans les convulsions d’une jouissance d’anthologie et attendit qu’il se soit apaisé, avant de lui faire sentir son sexe encore tout raide et agressif. Il n’avait encore jamais baisé avec un partenaire doté d’un cul aussi profond et accueillant. Flatté dans son orgueil de mâle d’avoir soumis sous sa bite et mené à un tel orgasme un garçon plus âgé que lui et d’une classe sociale bien supérieure, le jeune voyou aurait voulu que cette possession anale s’éternise. Mais la caresse des mains de Pascal sur ses cuisses, la douceur tendre de la peau du garçon qu’il écrasait sous poids, le velours de ce cul dans lequel sa queue était enfoncée, lui firent vite perdre tout contrôle. Tout le reste du corps immobile, seuls ses reins bougeaient encore de façon spasmodique et d’un seul coup, le jeune tueur sentit ses couilles se durcir et son sexe exploser. A son tour, il ne put s’empêcher de crier, pendant que sa semence jaillissait par saccades et inondait les intestins de Pascal d’une éjaculation interminable, abondante et bien chaude.

Les deux hommes restèrent près d’une demi-heure allongés sur le lit dans les bras l’un de l’autre, épuisés par cette baise d’anthologie, en sueur malgré la clim’. Pour Pascal, le cul débordant de sperme, le passage par la salle de bains s’avéra vite indispensable, mais la douche qu’ils prirent ensemble ne fit que raviver leurs ardeurs. Séchés hâtivement, ils se retrouvèrent tout de suite après sur le lit, en position de 69  et Pascal emboucha sans tarder le phallus orgueilleux qui lui avait offert tant de plaisir. Derrière les fragrances du savon, il retrouvait sur le membre l’odeur de son propre cul et celle du sperme frais qu’il y avait déversé. Avec un sentiment proche de la vénération il se mit à sucer comme si sa vie en dépendait le gland surdimensionné qui émergeait du prépuce. Quant à la hampe veinée et les grosses couilles contractées, il ne fallait pas y penser ; la bouche de Pascal était déjà pleine…  A l’étage en dessous, il sentait la bouche chaude de Paulo se refermer sur son sexe et le sucer divinement, et, en même temps les gros doigts du jeune voyou, enduits de salive, masser l’intérieur de son anus, pourtant tout endolori de la récente enculade, et lui soutirer encore des spasmes de plaisir.
Paulo tenait absolument à donner à son nouvel amant un aperçu supplémentaire de ses talents et, avant que la fellation experte que Pascal lui administrait ne l’ait conduit à rendre les armes, il se dégagea, s’allongea confortablement sur le dos, et plaça son amant à cheval sur son corps musclé.
-       Viens, prof ! viens prendre ta deuxième ration de jus de couilles…
-       Non, tu es trop gros, j’ai trop mal…
-       Tu es tout dilaté, ca va passer tout seul.  Allez ! enfonce-la toi-même… 
 En réalité, il fallut encore une grosse dose de vaseline, mais malgré tout, le jeune voyou parvint à ses fins et ne tarda pas à emmancher une seconde fois le prof qui encaissa en gémissant comme la pire des salopes une interminable succession de coups de bite. Très vite, Pascal réalisa que son anus, puis son corps tout entier ne lui appartenaient plus. Vaincu, il se laissa malmener au rythme des bourrades violentes que lui infligeait Paulo qui l’attira à lui et qui, tout en le maintenant enlacé dans ses bras aux biceps énormes, lui dévasta le cul à grands coups de reins rageurs en lui fouillant la bouche de sa grosse langue râpeuse. La queue de Pascal était coincée entre son propre ventre et les abdominaux épais de Paulo ; elle finit par expulser un nouveau flot de sperme pendant que son propriétaire, aux abois, s’accrochait aux barreaux du lit pour tenter de garder prise avec la réalité. Le cerveau anesthésié, Pascal n’était plus capable de distinguer le plaisir qui lui venait de sa bite de celui qui irradiait dans son cul lorsqu’enfin il ressentit les saccades puissantes de semence que son partenaire lui déversait de nouveau dans les intestins.
Evidemment, le lendemain vendredi, Pascal, incapable de s’asseoir, fit tous ses cours debout, devant ses élèves perplexes. Juste avant de s’esquiver, au petit matin, Paulo lui avait encore ensemencé le cul d’une ultime dose de son foutre et c’est avec un visage blême de fatigue, les yeux cernés et le regard éteint qu’il avait dû se présenter à son établissement scolaire. En rentrant chez lui le soir, il avait cru pouvoir se reposer, et s’était mis au lit de bonne heure. Mais il avait été réveillé vers minuit par des coups frappés à la porte et Paulo était alors entré presque en même temps dans la maison… et dans ses fesses. 
Leur liaison torride dura presque deux mois, pendant lesquels la conscience de Pascal ne cessa de lui reprocher de coucher avec un criminel récidiviste, lui qui était issu d’une famille bourgeoise du sud et qui était adepte de la non-violence. Elle lui faisait grief de se montrer si faible devant cette brute désinvolte qui venait tous les deux ou trois jours passer la nuit chez lui pour satisfaire ses besoins de mâle et se vider les couilles, et qui partait ensuite avant l’aurore, sans un mot ni un geste tendre, en le laissant épuisé et le cul rempli de sperme. Elle protestait avec véhémence, mais jamais elle ne parvint à parler assez fort pour éteindre le feu qui s’allumait dans les fesses de Pascal chaque fois qu’il se trouvait en contact avec le corps musculeux du jeune voyou, dont la grosse lance savait si bien traiter cet incendie-là.
C’est le Destin finalement qui trancha.
La guerre des clans mafieux de Natal dont la mort de Hugo n’avait été qu’un épisode périphérique fit, trois jours après le meurtre du frère de Térésa, une victime supplémentaire. Au lendemain d’une ultime nuit d’amour, Paulo mourut la gorge tranchée dans une véritable bataille rangée au fond d’une des ruelles les plus sordides du quartier du port.

Mascareignes

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