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HISTOIRE

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Premier épisode

Contes Brésiliens | 2

Très vite, Bruno a voulu tout savoir sur moi, mon passé, mes origines… Hélas ! quoi de plus ordinaire qu’un américain blanc, issu d’une banale famille de deux enfants, sorti d’une des écoles de commerce de Chicago et  natif du Wisconsin ! Chez Bruno, au contraire, le récit de sa vie et de ses origines prenait à chaque phrase une tournure picaresque qui m’envoutait. Je n’arrêtais pas de poser des questions, déclenchant par mon avide curiosité son grand rire enfantin. Et je finis par prendre des notes pour être sûr de ne pas oublier…   

Sa grand-mère Rosa, était une femme à la peau très foncée, solide et courageuse qui a travaillé dur pour élever ses enfants. La pauvreté et le dénuement lui avaient fait quitter Natal pour se refugier à la campagne où elle a servi quelques mois comme ouvrière agricole. Puis, elle a été embauchée comme servante chez Rodrigo, un riche propriétaire blanc qui a abusé d'elle et qui lui a fait deux filles Anna et Julia, sans pour autant jamais la tirer de sa condition servile. Il venait parfois le soir dans la case misérable où elle habitait et y passait tout une partie de la nuit avant de repartir à cheval vers la belle maison coloniale où vivaient sa femme et ses trois enfants légitimes. Bien des années plus tard, Rosa avoua que ce n’étaient pourtant pas des années si désagréables au souvenir, car Rodrigo était un bon amant. « Il passait seulement trois ou quatre heures avec moi, rarement plus, mais il me faisait jouir comme une folle ! Une queue énorme, pour un blanc, et il savait si bien s’en servir… »

Elle n’était pas la seule à bénéficier des faveurs du beau mâle, mais, après la naissance d’Anna, elle acquit le statut d’une des maitresses principales du maitre de la plantation. C’est ce qui fut sa perte, car quelques rivales murmurèrent aux oreilles de la maitresse que Rosa pratiquait le vaudou. L’épouse de Rodrigo se souciait bien peu des aventures ancillaires de son mari, mais ne voulait pas entendre parler de sorcellerie chez elle. Rodrigo lui-même, bon catholique, fut mis en demeure de faire cesser le scandale. Le soir même, il alla trouver Rosa dans sa case et prétendit lui interdire de pratiquer les cultes étranges que sa grand-mère lui avait enseignés. Il tenta même de lui confisquer une pipe prétendument magique à laquelle Rosa tenait apparemment beaucoup. Elle se jeta sur  le lit en pleurant, tout en laissant comme par mégarde sa jupe relevée pour montrer ses jolies formes. Emoustillé, il la rejoignit sur le lit et pendant une bonne heure ils se procurèrent énormément de plaisir. Il ne céda pas pour autant sur le sujet de la pipe, mais il eut la faiblesse de lui accorder toute la nuit pour en fumer une dernière fois… et par malheur, il fit le lendemain matin une grave chute de cheval, lui si bon cavalier, dans des circonstances étranges. 

Au milieu de l’affolement général, Rosa rassembla calmement ses maigres bagages, prit ses filles par la main et disparut pour regagner la grande ville de Natal. Ni elle, ni ses deux enfants ne revirent jamais Rodrigo qui resta légèrement boiteux de cette aventure et qui fit l’objet d’une sévère reprise en main de la part de son épouse légitime…

La convalescence du boiteux (1925)

Les semaines qui suivirent l’accident furent terribles. Rodrigo avait fait une chute violente ; le bras et la jambe gauche cassés, sans compter quelques contusions mineures, il était condamné à rester immobilisé de longs mois. Les médecins s’étaient montrés formels : toute nouvelle chute durant cette convalescence risquait de lui perdre définitivement l’usage de sa jambe, fracturée à trois endroits.

Dans son entourage, la consternation régnait. Les circonstances de l’accident faisaient penser à une vengeance divine. La fuite de Rosa était considérée comme un grave affront et il ne faisait de doute pour personne que la faute en incombait à Rodrigo, dont le goût immodéré pour le sexe avait été la cause de tout le mal.

De l’avis général, il fallait lui ôter toute source de tentation. Et, parallèlement, éloigner toutes celles qui n’auraient que trop facilement succombé aux avances de ce beau mâle viril de 32 ans, dont le regard de braise faisait chavirer les pucelles. Aux grands maux les grands moyens : dans la maison, où il devait rester consigné, ne se déplaçant qu’en fauteuil roulant, l’épouse de Rodrigo avait fait le ménage de tout ce qui portait jupon et qui était susceptible d’être baisé. Mais, pour sa part, elle estimait avoir fait, en 8 ans de mariage, son devoir envers la dynastie en lui donnant deux filles et surtout un fils, né il y avait tout juste trois ans. Depuis ce moment, elle se refusait à son mari et faisait chambre à part. 

Or, l’abstinence n’était pas le fort de Rodrigo qui avait l’habitude de satisfaire quotidiennement ses gros besoins. Très vite, la continence forcée qu’on entendait lui imposer lui devint insupportable. Pour les serviteurs qui hantaient encore la maison, il devint en quelques jours agressif, maussade et tyrannique. Il chercha vainement une échappatoire, mais avec son bras et sa jambe gauche cassés et plâtrés, il n’était pas en mesure de prendre la tangente. Il ne pouvait même pas faire seul sa toilette et sa femme avait affecté à cet usage Lourenzo un petit valet qui sortait juste de l’adolescence, persuadée de n’avoir rien à craindre de ce côté-là et ce, d’autant plus que selon toute probabilité, le garçon était un bâtard que feu son beau-père (un sacré queutard, lui aussi…) avait eu sur le tard avec une servante mulâtresse. Donc, quelque part, le demi-frère de Rodrigo ...

Ce dernier, au bout de 10 jours d’abstinence en était réduit à se branler avec rage et, un matin, il n’avait eu aucune honte à le faire devant Lourenzo alors que celui-ci était censé faire sa toilette. « Tu nettoieras tout en même temps » dit-il, méchamment. Lourenzo, les yeux baissés sous ses immenses cils de velours, ne répondit rien et, lorsque le maître, avec un râle sourd se vida en longues giclées blanches, il essuya tout doucement le ventre souillé, et, sans manifester de dégout, nettoya le membre qui dégonflait tout doucement sans oublier les couilles couvertes de longs poils noirs et poursuivit la toilette comme si de rien n’était. 

Le lendemain, Rodrigo recommença le même manège et, secouant sans pudeur son gros membre durci tout en proférant un chapelet de grossièretés, il se fit jouir comme un dieu. La présence de ce témoin muet n’avait semble-t-il pas fait obstacle à la montée de son plaisir, et en rouvrant les yeux, il vit Lourenzo, empourpré, le regard fixé sur la queue somptueuse qui débandait lentement.  Aucun des deux ne dit un mot, et, après avoir habillé et parfumé son maitre, Lourenzo disparut dans le même silence et ne reparut que le soir, pour le remettre en pyjama.

Pendant toute la journée suivante, agité, songeur, et visiblement en proie à quelque démon intérieur, le maitre avait été infect avec tout son entourage. Même sa fille Manuela, sa préférée, fut vertement rabrouée au moment du diner. Comme si il ne voulait pas se retrouver seul, il prolongea longtemps la veillée, et puis fit brusquement pousser son fauteuil roulant jusqu’à sa chambre sans dire bonsoir à personne.  

Il faisait chaud et lourd. A peine arrivé dans la pièce, Rodrigo commença par reprocher à son valet de l’avoir fait attendre alors qu’il venait de sonner, l’injuria copieusement et puis le chassa en lui interdisant de reparaitre avant le lendemain, sans prendre garde aux larmes qui inondaient les yeux du petit. Après, un peu calmé, Rodrigo fit appeler sa femme pour qu’elle l’aide à se déshabiller, ce qu’elle refusa de faire. “Vous n’aviez qu’à ne pas chasser Lourenzo” lui dit-elle. Les insultes et les menaces n’eurent pas d’autre effet que de l’inciter à se retirer encore plus vite dans sa propre chambre,  et il dut se coucher et dormir à moitié habillé…

Le matin suivant, Lourenzo était là, dès le réveil du maitre qui, bien que renfrogné, se laissa laver, coiffer, peigner et raser sans broncher. L’intendant du domaine qui arriva peu après l’accapara presque toute la matinée ; ensuite ce fut le déjeuner, une sieste morose et solitaire, puis la visite des médecins qui changèrent ses pansements et lui firent un mal de chien. 

Le soir venu, après la toilette, Rodrigo fut fort distant avec Lourenzo qu’il repoussa brusquement, après que l’autre l’eut étendu dans son grand lit et tiré la moustiquaire. Mais il ne le chassa pas comme la veille et le regarda pensivement prendre ses quartiers pour la nuit.

Il avait été en effet convenu que, pendant la convalescence du maitre, Lourenzo dormirait dans la même pièce sur un petit lit de camp pour lui porter secours en cas de besoin. Rodrigo cette nuit-là tarda à trouver le sommeil, et, machinalement se caressa les couilles de sa main valide en pensant malgré lui à la douceur des mains de son valet pendant qu’il lui nettoyait l’intérieur des cuisses. Furieux du tour que prenaient de nouveau ses pensées – le même depuis trois jours – il chercha à se projeter par la pensée dans le lit de l’une des nombreuses maitresses, sans parvenir à faire cesser le malaise. 

Le sommeil finit par l’emporter  un peu avant minuit mais, incommodé par la chaleur et par ses plâtres, il dormit mal.

Pendant la journée, Rodrigo avait bu énormément d’eau fraiche pour se réhydrater et, vers 5 heures du matin, il fut pris d’une forte envie de pisser. Choisissant délibérément de ne pas réveiller Lourenzo, il avait réussi  tout seul à s’extirper du lit et à attraper le pot de chambre. Longuement, il soulagea sa vessie et, encouragé par le silence qui régnait dans la maison il voulut aller jusqu’à la fenêtre pour goûter l’agréable fraicheur de la nuit.  Il resta là quelques minutes, guettant les premiers signes de l’aube, et sentit tout à coup à ses côtés la présence de Lourenzo. Ce dernier qui savait bien que les médecins avaient mis en garde le blessé contre le risque d’une nouvelle chute, le prit par la taille.

-       Laisse-moi te ramener jusqu’au lit, maitre, tu ne dois pas rester debout.

Docilement, appuyé sur son valet qu’il dominait de toute sa haute taille, Rodrigo se laissa raccompagner jusqu’à son lit, mais au moment de s’allonger, il s’aperçut que sa verge était tendue à l’horizontale, soulevant le tissu léger de sa veste pyjama.  Un peu gêné cette fois, il tenta de la plaquer contre son ventre pendant que Lourenzo l’aidait à mettre dans le lit sa jambe gauche, lourdement plâtrée. 

-       Dois-je aller chercher la serviette, maitre ?

-       Non !... euh… oui… enfin, non, non…  

Enfin confortablement installé, Rodrigo considéra attentivement son valet qui lui renvoya son regard.

-       Tout le monde fait cela, tu sais… se justifia Rodrigo.

-       Oui, maitre, répondit prudemment Lourenzo.

-       Je le fais parce que ma femme est une garce… comme toutes les autres d’ailleurs. Et parce que j’ai besoin de me vider les couilles. Sinon, je suis énervé, tu sais bien…

-        Veux-tu que je t’aide, maitre ?

Rodrigo crut un instant avoir mal compris.

-       Non, je suis bien installé mais… Euh… m’aider à quoi ?

-        Je ne veux pas que tu sois énervé, alors si tu veux, je peux t’aider pour…. te vider les couilles…

Sous le drap tendu, la grosse bite de Rodrigo se mit à tressauter d’excitation. 

-       Après tout, c’est vrai, tu peux me rendre ce petit service sans que cela porte à conséquence, finit par articuler Rodrigo, le cœur battant. Viens-là, et montre-moi ce que tu sais faire !

Lourenzo, des deux mains, commença par soupeser les lourdes couilles qu’il s’agissait de soulager. Comme doués d’une vie propre, ses doigts se mirent à jouer dans les poils épais, dans l’entrejambe, sur le haut des cuisses, et sur le pubis. Les caresses succédaient aux caresses dans un ordre que Rodrigo, rapidement, renonça à contrôler tant la montée du plaisir était douce. Lorsque Lourenzo, enfin, empoigna la hampe dressée, le maitre poussa un soupir qui fit voltiger la moustiquaire. Lentement, avec des petits coups de poignets vicieux qui faisaient gémir sa consentante victime, Lourenzo mena son maitre au sommet du plaisir. Dix fois, vingt fois, il lui fit tutoyer les cimes et redescendre en douceur. Les gouttes de pré cum qui sortaient constamment du membre bandé au maximum étaient précieusement recueillies et venaient lubrifier l’énorme queue qui luisait dans la pénombre.  Au bout de près d’une demi-heure de ce traitement diabolique, Rodrigo malgré son plâtre était arqué sur le lit et transpirait à grosses gouttes.

-        Fais-moi jouir, maintenant, Lourenzo, s’il te plait…

-       Oui, maitre, tout de suite. 

Quelques allers-retours suffirent et Rodrigo, persuadé que ses testicules étaient en train de s’arracher lâcha une première bordée dont la violence était telle qu’elle atteignit la moustiquaire presque au niveau du ciel de lit. Sans qu’on puisse savoir si il s’était ou non arrangé sciemment pour cela, la seconde et la troisième giclée vinrent s’écraser sur le visage de Lourenzo sur le nez et à proximité de la bouche. Dévasté par d’autres spasmes de plaisir qui s’enchainaient, Rodrigo n’y prit d’ailleurs même pas garde. Lorsqu’il reprit haleine et rouvrit les yeux, Lourenzo avait récupéré une serviette et était déjà en train de le nettoyer jusque dans le périnée où des traces de son abondante jouissance s’étaient infiltrées. Sa verge mollissante fut nettoyée de fond en comble et, après la toilette méticuleuse qui s’ensuivit, le maitre, choyé, bichonné, le torse, les aisselles, le bas ventre et la cuisse droite frictionnés à l’eau de Cologne, ronronnait comme un gros chat… et rebandait légèrement par à coups !

Ce matin-là, et pour la première fois depuis son accident, Rodrigo fut d’une humeur charmante…

Bien évidemment, les choses ne s’en tinrent pas là.

Dès la nuit suivante, après la toilette, Rodrigo lui fit s’assurer que toutes les portes étaient bien fermées et, au lieu de se faire aider pour aller dans son lit, s’assit lourdement dans son fauteuil, sa veste de pyjama largement ouverte sur sa poitrine velue. 

-       Viens t’asseoir là,  à côté de moi, ordonna-t-il en allongeant au maximum devant lui sa jambe cassée. Qui t’a appris à branler aussi bien ?

-       Personne, maitre. Je l’ai fait comme cela, tout seul…

-       Est-ce que tu sais sucer ?

-       Non, je ne l’ai jamais fait.

-       Hé bien, on va essayer. Tu vas voir, c’est encore mieux.

Toute la journée, Rodrigo désœuvré, s’était délecté à l’idée  d’apprendre à son petit valet comment avaler sa grosse queue jusqu’à la racine et la sucer comme un énorme bonbon. Tandis que le jeune, assis par terre à ses pieds, le regardait avec gravité, Rodrigo se sentit tout à coup envahi d’une horrible et délicieuse impression de péché, en surprenant sur les traits de son valet une expression de visage familière… si familière, qu’il se souvint brusquement qu’ils étaient frères. Il n’avait jamais accordé le moindre intérêt à ce petit bâtard à la peau ambrée et aux cheveux noirs bouclés, qui, pourtant, lorsqu’il était petit, le suivait parfois toute la journée comme une ombre admiratrice et discrète. Malgré le lien de sang, leur différence d’âge, de condition sociale et de couleur de peau avait creusé entre eux un abîme qui faisait qu’il ne l’avait jamais considéré autrement que comme un domestique, certes un peu privilégié. Il lui devait protection, comme à tous les serviteurs qui vivaient dans l’hacienda, et il savait bien que cette protection se devait même d’être un peu plus forte, mais le petit quarteron était si gentil et si doux que Rodrigo, fort occupé depuis la mort de son père à gérer le domaine tout en menant de front ses multiples aventures ancillaires, ne s’était jamais aperçu que son demi-frère lui portait une affection et une admiration fanatique. 

Il s’en apercevait, ce soir, en lisant dans les yeux de son vis à vis cet amour inconditionnel. Mal à l’aise cependant d’abuser ainsi de la situation, il ne parvenait pourtant pas à s’empêcher de bander comme un cerf, les sens enflammés par le souvenir de la branlette d’anthologie que le petit lui avait administrée. Après seulement quelques instants, l’envie de sexe l’emporta sur toute autre considération. « Au diable l’inceste et tout le reste ! pensa-t-il. Tout est de la faute de ma salope de femme et je le dirai ainsi au padre, à la confesse… Il saura bien m’absoudre. »

Il n’était plus temps de reculer d’ailleurs, puisque Lourenzo interprétant mal l’hésitation de son maitre avait pris l’initiative et, à genoux entre les jambes de son ainé, avait entrepris de caresser à pleines mains ses pectoraux poilus.  Rodrigo posa sa main valide sur les cheveux bouclés de son jeune partenaire et appuya tout doucement. Docilement, Lourenzo descendit le long du ventre légèrement rebondi, se perdit dans les poils abondants du pubis, et puis, enfin, ouvrit largement la bouche pour engloutir le gros membre qui pulsait d’excitation.  Du bout de la langue, le garçon goûta le liquide salé qui suintait du méat et, encouragé par les soupirs de plus en plus forts de Rodrigo, il avala petit à petit le gland dans sa totalité. Rodrigo était somptueusement doté : plus de 20 centimètres sur un diamètre d’au moins 6 centimètres. Un tel braquemart ne s’avalait pas comme cela d’un seul coup et Lourenzo, une fois le gland en bouche fut bien incapable malgré tous ses efforts d’absorber plus que quelques centimètres de la hampe. Mais il suppléa à cette insuffisance en déployant toute sa technique de branlette. Serrant doucement les couilles de son maitre, et lui caressant sensuellement l’intérieur de la cuisse tout en faisant virevolter sa langue autour du gland, Lourenzo le faisait gémir interminablement de plaisir. 

En peu de temps, Rodrigo se sentit propulsé aux plus hauts sommets de la jouissance et, la tête renversée dans son grand fauteuil, les jambes largement ouvertes, il se laissa sucer comme jamais il n’avait rêvé de l’être. Lourenzo, visiblement, n’avait aucun besoin d’être guidé. Sans jamais cesser de caresser toutes les parties accessibles du grand corps viril qui s’abandonnait à lui, le garçon tétait avec une sorte de passion vorace le membre épais qui ne cessait d’enfler entre ses lèvres. 

Rodrigo sentait monter lentement un plaisir insoutenable et il se demanda une fraction de seconde si son cœur n’allait pas lâcher. D’une voix rauque, méconnaissable, il finit, comme le matin, par le supplier d’abréger ce délicieux supplice. Il sentit alors aussitôt les lèvres de son petit partenaire se resserrer encore autour de son nœud, et la bouche suceuse se creuser comme une douce ventouse. La sensation déclencha une forme de décharge électrique qui parcourut son épine dorsale comme un trait de feu et fit exploser simultanément des dizaines de galaxies dans sa tête. L’orgasme était trop violent et, perdant cette fois tout contrôle, Rodrigo poussa un si grand cri qu’il fut entendu dans toute la demeure…

 Heureusement, la maison était vaste et lorsque les vieilles servantes qui étaient restées au logis avec son épouse accoururent, elles trouvèrent la porte déverrouillée et Rodrigo appuyé sur Lourenzo en train de claudiquer vers son lit.

-       Que s’est-il passé, maitre ? 

-       Rien du tout. J’ai voulu me lever seul et j’ai failli tomber. Heureusement, Lourenzo était là pour me rattraper… Allez-vous recoucher. 

Mascareignes

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