Bonjour, je m’appelle Alexis j’ai 22 ans, je suis métis d’une mère cap-verdienne et d’un père français.
J’habite en banlieue parisienne dans le 93.
C’est ici que j’ai grandi, dans cet univers macho, où les gays sont considérés comme des monstres et sont souvent discriminés.
Autant vous dire que dans mon quartier je me faisais très discret pour que personne ne sache mon secret.
À savoir que je suis gay.
Un jour, alors que je me rendais au centre commercial (il était environ 19 h) pour faire quelque course.
J’eus une petite envie pressante. Bien que je déteste les toilettes publiques, là je n’avais pas trop le choix sinon j’allais me faire dessus.
Il n’y avait pas de monde aux toilettes comme les autres jours en journée ou le centre commercial est bondé.
Je rentre dans les toilettes pour hommes. 1 homme est occupé à faire ses besoins dans l’urinoir.
Un homme black, grand 1m95, belle carrure, très costaud, environ 45 ans, avec un gros ventre et une barbe légèrement négligée.
Pris de curiosité, je me mis à l’urinoir juste à côté pour en voir plus.
Je ne fus pas déçu par ce que j’allais découvrir.
L’homme tenait une bite bien large et épaisse circoncise, noire très foncée avec un gros gland entre ses mains, pendant qu’un gros jet d’urine qui en sortait éclaboussait l’urinoir.
Je ne peux pas m’empêcher de regarder son engin qui est juste sublime même au repos. Bien large. Totalement proportionné à sa carrure.
D’un coup, l’homme me regarde et me dis :
« Ben alors on a perdu quelque chose ? » avec un fort accent africain où j’ai du mal à comprendre la première fois »
Je lui dis :
« Pardon ? »
Il répond :
« Je te demande si tu as perdu quelque chose petit, tu me fixes.. »
Très gêné, je commence à rougir, et ne savant pas quoi dire je lui ai dit désolé, c’est juste que j’étais étonnée parce que (…) je bégaye et me mis a rire nerveusement.
Je me dirige vers le lavabo pour me laver les mains quand je le vois arriver avec la bite a l’air, la braguette ouverte au lavabo. Le gros monsieur costaud était en train de se rincer la bite.
Il me dit que c’est une mesure d’hygiène chez lui, que d’habitude il a sa petite bouteille d’eau, mais que là il est obligé de le faire au lavabo. Je visualisais encore son gros engin mou qui pend ruisselant d’eau et très sombre.
L’homme me regarde et me sourit
« Tu t’appelles comment ? » me dit-il.
On discute un peu en sortant des toilettes, il s’appelle Boubakar, il est d’origine guinéenne et Malien marié avec 8 enfants. Autant dire qu’il n’a pas chômé.
Un peu choqué de me retrouver à discuter avec ce grand monsieur imposant. D’un coup il me dit :
« Alors petit, tu as repris tes esprits ou tu es toujours choqué ? ».
« Choqué de quoi ? » en souriant. Intimidé, je n’ose pas le regarder dans les yeux alors que lui me fixe avec son regard menaçant qui dégage une forte virilité.
« Ça ! Ma grosse queue » me montre-t-il en attrapant son paquet à travers son pantalon noir.
« Tu n’as encore rien vu… Viens, je te montre ce que ça donne quand c’est dur comme le bois » me lance-t-il avec son fort accent africain.
« Suis-moi ! »
Je le suis. On prend les escalateurs qui mènent au parking en sous-sol. Il a l’air de connaitre l’endroit. Je le suis naïvement avec cette boule au ventre qui prend de l’ampleur. On arrive au parking, et là, on prend un escalier de secours un peu isolé sale avec plein de détritus notamment des capotes usagées, des mouchoirs. J’ai l’impression que c’est un endroit ou bon nombre viennent se satisfaire.
Directement le colosse me plaque contre le mur avec son torse et m’embrassa à pleine langue. Cet homme imposant m’écrase presque contre le mur en m’enfonçant sa langue épaisse et humide dans ma gorge. Je sens son corps contre le mien. Je me sens minuscule face a lui. Il me domine complètement.
Ses mains sont énormes et commencent à caresser mon cou, mon dos et mon petit cul.
Directement il me met un doigt dans l’anus disant qu’il veut sentir la température.
Son gros doigt me fait vibrer. Je sens sa queue contre mon pubis qu’il frotte doucement. Il poussa me tête et me fis signe de me mettre à genoux. I déboutonna son vieux pantalon pour laisser sortir une queue lourde. Il n’avait pas de sous-vêtements. J’avais sa queue sous mon nez et c’était très impressionnant. L’odeur forte de transpiration de sa queue m’excite au plus haut point.
Je me mis à le sucer cette queue épaisse et large qui prend toute ma bouche. Je m’applique à faire des bons vas et viens pendant que lui, les mains derrière la tête, il râle et gémit de plaisir.
« Suce-moi bien petit, suce ma bite comme la sucette. Je bande », me dit mon Africain.
Le sentant venir je décide d’accélérer les va et viens quand il me soulève et me dis de me tourner me disant qu’il veut baiser mon petit cul de blanc.
Je me retourne. Je lui demande s’il a des capotes il me dit de ne pas s’inquiéter, qu’il est marié et qu’il fait attention. Je décide de le laisser. Je suis trop chaud pour l’arrêter. Il crache dans sa main pour lubrifier son membre déjà bien dur et crache sur mon anus pour humidifier mon orifice gourmand. Il rentra d’un coup ! Sec et brutal me pilonnant de grands coups de reins par derrière debout contre le mur j’encaisse les assauts de ce colosse black derrière moi qui me démonte. Il m’attrape par la taille et me défonce de coup de queue. Hum c’est trop bon. Je ne peux m’empêcher de crier de douleur et de plaisir. Lui aussi gémit et dit que je suis bonne comme sa femme.
Il me pilonne pendant 10 bonnes minutes quand je sens une accélération des vas et viens. Les coups de bite sont de plus en plus forts et rigoureux.
« Tu veux le sperme petit ? Je vais te rendre enceinte toi ! » me dit-il en continuer de me défoncer.
« Ohhhhh oui ! Je veux tout ! »
Mon grand black se mit à gémir d’une satisfaction et déchargea des jets de sperme chaud au fond de mon cul.
4 gros jets en tout ! Que je sens couler en moi.
Le géant se retire j’ai l’impression d’être usé et souillé par cet homme d’1m95 et 100 kg de muscle et de virilité. L’homme sort une serviette de sa poche, s’essuie la queue et la jette par terre sans m’adresser la parole, il quitte l’escalier de secours ou je reste la fébrile et honteux de m’être fait baiser par ce grand inconnu avec son sperme qui coule entre mes fesses et mes cuisses.
Vite il faut que j’aille aux toilettes me débarrasser de son foutre qui obsède mes pensées.
En remontant au premier étage je passe devant le supermarché du centre commercial et qui je vois ?
Mon colosse black en tenue de sécurité.
Il bosse ici en tant que vigile et là je compris que je n’étais qu’une distraction pendant sa pause.
Envidedial
Envidedial@hotmail.fr
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