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HISTOIRE

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Premier épisode

Youssef

Chapitre 2

Je veux tout d’abord vous remercier pour vos encouragements à continuer mon récit. Merci pour vos mails et à tous ceux qui ont aimé mon histoire.

On était resté à ce moment là de l’histoire :

Alors blanche neige, tu n’as pas l’habitude de te faire baiser par de la grosse bite de rebeu. C’est autre chose que la bite de ton copain ça. Tu vas voir quand tu y auras pris goût, tu ne pourras plus t’en passer, tu me supplieras de revenir te baiser. Tu as de la chance que je sois pressé, je vais devoir abréger. Sinon, je t’aurais bien défoncé ta petite chatte en même temps. Il sort sa queue et se masturbe quelques secondes, il me gicle sur la gueule une belle quantité de sperme.

Il remonte son survêtement et se casse sans rien dire. Je suis là comme un con, à genoux, je ne comprends pas trop ce qui vient de se passer. Au bout de quelques secondes, je me rends compte que j’ai moi aussi joui, sans même m’en rendre compte. Mon pantalon est plein de foutre…

Je reste là planter au milieu de l’entrée pendant quelques minutes. Plein de questions se pressent dans ma tête. Comme hypnotisé ma main recueille le sperme et machinalement je goûte la semence de ce mâle qui vient de me baiser la bouche. J’aime se goût sa consistance et je finis par m’en nourrir.

Je vais à la salle de bain prendre une douche. L’eau chaude ruisselle sur mon corps et je bande toujours. Les images repassent dans ma tête, et je revois son corps, sa bite, ma position de soumis. J’attrape ma queue et commence à me masturber frénétiquement.

Je me branle depuis quelques secondes et une voix me fait sursauter :

Je peux t’aider Alex, je me retourne et aperçois Marc.
Ce soir-là je ne sais pas ce qu’il se passa.
Tu arrives à temps je vais te montrer ce que veut dire se faire baiser la bouche !
Tais-toi et fou toi à genoux, je joins les gestes à la parole attrape Marc et le mis à genoux fermement.

J’enfonce ma bite au fond de sa gorge et commence à reproduire ce que m’a fait endurer le rebeu un peu plus tôt. Je l’étouffe le maintien à genoux. Jamais je n’ai été aussi brutal avec lui. Je vois dans son regard l’incompréhension ses larmes montent. Des haut-le-cœur le font baver abondamment, mais cela m’excite encore plus. Cette sensation de domination exacerbe mes sens.
Je me déchaîne et baise sa bouche comme je l’aurais fait avec un cul. Je râle, je grogne. Je ne cache pas mon plaisir à humilier Marc cette sensation fait grossir ma queue plus que d’habitude. Mes mains placées derrière sa tête l’empêchent de reculer. Ma jouissance monte rapidement et dans un cri de rage je lui crache ma semence au fond de la gorge. Il s’étouffe surpris. Maintenant tu peux me nettoyer la bite lui dis je sur un ton dominateur. Avale mon foutre faut pas gâcher se nectar.

Marc : Mais tu es complètement malade ce soir qu’es qui t’arrive…
Je ne laisse pas finir sa phrase et lui coller ma queue dans la bouche nettoie je t’ai dit et ferme là !
Marc me repoussa violemment je glisse à moitié sur le carrelage humide. Il me prit le bras et me fit  une clef de bras.
Maintenant tu vas te calmer je ne suis pas ta pute. Tu l’as peut être oublié Alex, mais je suis aussi prof de défense à mes heures perdues. Alors tes caprices de soumission tu les rejoueras à quelqu’un d’autre.
Moi : Tu me fais mal Marc arrête.
Marc : Ah oui je te fais mal et ce que tu viens de faire c’est quoi ?
Moi : Je ne sais pas ce qu’il m’a pris c’est ce mec il m’est retourné la tête.

Il me poussa contre le mur et me traita de connard et quitta l’appartement.
Moi : Attend stp Marc on va en parler excuse moi. Le claquement de la porte d’entrée vient de résonner.
Moi : Eh merde !

Je ne le savais pas encore, mais cet incident aller avoir d’énormes conséquences sur ma vie future tant relationnelle que personnelle.

Je m’en veux pour ce que je viens de faire. Marc et moi vivons ensemble depuis plus de 12 ans et nous avons toujours était respectueux l’un envers l’autre comme on se l’était promis. On s’est connu un peu par hasard entre 2 portes chez un couple d’amis. Lui s’en aller, il m’a tapé dans l’œil dans son beau costume slim fit d’une marque connue.

Une veste bleu ciel cintrée, chemise blanche cravate marron à pois. Mon boxer s’était tendu en le voyant. Châtain des yeux verts clair 1m80 environ mince une barbe entretenue et parfaitement taillée chez un barbier. Je vois que c’est un homme soigné des mains et des ongles manucurés une coiffure impeccable. Un langage soutenu qui ne laisse pas de place au dérapage verbal comme il dit. Un garçon un peu précieux, mais dans le bon sens du terme d’ailleurs ça lui va plutôt bien. Ça fait partie de son charme. Il faut dire qu’il vient d’une famille catholique aisée qui n’a jamais regardé à la dépense pour leur fils unique.

Après m’être renseigné sur Marc je m’étais arrangé pour le revoir et nous avions fini par sympathiser. En quelques semaines nos rapports étaient devenus beaucoup plus tactiles, caresse embrassade. Mais Marc est de la vieille école comme on dit son éducation faisait qu’il ne voulait pas de rapport sans être sur que je sois l’homme de sa vie. Après quelques mois de relation, nous avions décidé de vivre ensemble. Il avait peu d’expérience en matière de sexe et des envies qui se limitées à 2 ou 3 fois par semaine voir 4 quand les jours d’été revenaient. Il n’y aurait rien de bien excitant à vous raconter nos ébats. Il était quelqu’un de très prude déjà arriver à la sodomie était le summum de la perversion. Mais j’avais appris à l’aimer, c’était un homme doux aimant, cultivé amoureux des civilisations anciennes mayas entre autres. Nous avions fait plusieurs voyages en Amérique latine notamment pour voir les temples mayas.

Je me sens toujours mal à l’aise quand nous allions chez ses parents. Même s’ils ont accepté l’homosexualité de leur fils, ma provenance d’un milieu modeste et une certaine aversion pour tout ce qui est religion ont fait de moi l’opportuniste, le profiteur. Chaque fois que nous passons des week-ends là-bas Marc et son père partent joué au golf. Moi qui ai horreur de cela me retrouve avec la marâtre. Les seuls sujets de conversation se limitent à bonjour, vous allez bien. Heureusement pour moi la villa possède une piscine et un grand jardin qui me permettent de faire du sport.

Nous avons construit un nid, à l’écart du milieu gay. Notre couple a toujours surmonté les hauts et les bas. Il m’autorise les plans sous certaines conditions, car il est parfaitement conscient qu’il ne satisfaisait pas les hommes niveau sexe. Je viens de briser le pacte et la confiance que j’avais mis des mois à bâtir et je risque d’en payer les conséquences.

J’appelle son portable, mais pas de réponse. Après plusieurs messages sur sa boite vocale je décide d’attendre.

La nuit passe je n’ai pas dormi Marc n’est toujours pas rentré. Je suis déjà en retard pour le travail je ne peux plus attendre. J’arrive au travail je récupère mon courrier et Sophie me dit Alex le livreur vous attend dans votre bureau. Le livreur ? Lui dis je surpris. Oui l’homme d’hier.

Que peut-il bien venir faire ? Le fait de le savoir dans le bureau me faisait triquer comme un fou. Ça recommence coup de chaud, souffle court, rythme cardiaque qui s’affole…

J’ouvre la porte et quelle ne fut pas ma surprise de le voir fouiller mes dossiers clients.

Moi : Non, mais faut pas t’embêter il y a des informations qui ne te regardent pas dans ses dossiers.
Y : Calme-toi blanche neige j’ai juste soulevé la première page. Rassure-toi je viens de rentrer tu peux demander à ta secrétaire. Je ne veux pas te faire avoir de problème t’inquiète.
Moi : Qu’est-ce que tu fous là d’abord tu n’as rien à faire ici.
Y : Mais dit moi on est de mauvais poil ce matin. Tu n’as pas eu droit à ton coup de bite ? Ou alors tu as trouvé mon gros sexe de manque ? Me dit-il en se touchant ostensiblement le paquet.
Moi : Écoute je n’ai aucune envie de discuter de ça avec toi se matin tu es venu pourquoi ?
Je ne peux m’empêcher de le déshabiller du regard.
Brun, les yeux marrons, une barbe drue de 2,3 jours, un débardeur blanc qui met en avant un torse et des  abdominaux dessinés, un pantacourt noir avec des baskets Adidas. Je ne suis pas sur qu’il arrive à 1m70, mais l’homme est un adepte des salles de musculation ça se voit.

Lui : Tu n’as pas signé le bon de livraison hier.
Je pris le papier et le signe. Voilà tu as ta signature maintenant laisse moi j’ai du travail stp.
Lui : Je vois que Blanche-Neige a ses règles aujourd’hui. Alors le jour où tu voudras te faire baiser par un vrai mec et pas par ta lopette de petit copain. Parce que ça viendra, tu me mates comme toutes les chiennes de ton espèce. T’a toute la tronche du mec qui se fat chier à la maison côté cul. Contacte-moi à se numéro, moi c’est Youssef. Il nota son prénom et son tél. sur le bon de livraison.
Bye ou plutôt à bientôt blanche neige je sais que j’aurais de tes nouvelles et il s’en alla.

Il se prend pour qui pour me dire ça à moi ce connard. Ce mec n’a aucun gène il ose tout et le pire dans tout ça, c’est que ma queue n’a jamais été aussi dure que depuis qu’il m’a dit qu’il allait me baiser. Mais mon problème n’était pas ce fameux Youssef, mais Marc. La journée fut interminable malgré des dizaines d’appels je n’ai eu aucune nouvelle de Marc je suis inquiet j’espère qu’il n’a pas fait une connerie.

Il est prêt de 18 h je décide de partir à la maison. Je rentre Marc est là assis dans le salon. Je m’approche pour l’embrasser comme à mon habitude il me repousse.

Moi J’étais inquiet tu étais ou je t’ai laissé des dizaines de messages.
Lui : Je les ai eus j’étais dormir chez mes parents. Je pensais que tu avais du respect pour moi et que notre accord te convenait, mais je constate qu’il ne te convient plus après avoir croisé ce que tu appelles un amant. Je m’étais dit que nous pourrions discuter et parler d’hier soir, mais je m’aperçois que je ne te connais plus.
Moi : De quoi tu me parles Marc je ne comprends pas ?
Lui : Quand je suis rentré un homme était posté devant l’entrée il m’a demandé si j’étais le petit copain de « blanche neige ». Il prétend que tu as besoin d’un mâle dans ta vie et il se propose de venir égailler nos longues soirées d’hiver. Il a soi-disant je reprends ses mots assez de foutre pour nourrir les 2 Pd que nous sommes et nous apprendre comment obéir à un vrai mâle. Il m’a dit que tu avais accepté son invitation pour devenir une bonne lope.

Moi : Mais quel petit enculé tu ne vas pas le croire quand même Marc, il est en train de mettre le bazar  pour nous avoir les 2 dans son lit il ne faut pas entrer dans son jeu.
Lui : Mais toi tu as pris des leçons avec lui et maintenant tu les testes avec moi !
Moi : Mais je n’ai rien fait avec ce mec c’était un malentendu…
Lui : Tu n’as rien fais mais hier après-midi tu le suçais avidement.
Moi : Marc ce n’est pas ce que tu crois…

Lui : Je ne crois plus rien, je n’ai plus confiance en toi Alex, je ne te reconnais plus, tu te laisses embarquer dans des relations vulgaires et bestiales. Tu me prends pour un vide couille une chienne. Le lendemain je suis pris à parti de façon outrancière, il me traite de fille de joie en bas de chez moi et je reste poli. Tu encourages les petites frappes de banlieue à venir à la maison nous traiter comme ses jouets sexuels. Pour finir, tu me fais croire que tu n’as pas aimé ce qu’il t’a fait. Regarde ta queue rien que d’en parler tu bandes comme un cerf en rut tu me dégoûtes !

Moi Je peux m’expliquer avant que tu tires des conclusions ou de penser que j’ai… il me coupe la parole

Lui : De toute façon c’est plus utile d’en parler ma décision est prise je te laisse 2 mois pour trouver un logement je sais que c’est compliqué sur Bordeaux. Je te laisse l’appartement moi je passerai une à 2 fois par semaine pour mon travail  récupérer des documents, je te préviendrais avant. Je serais chez mes parents. Tu recevras les papiers du notaire ainsi que ta part sur l’appartement comme il  était convenu j’en garde la jouissance.

Moi : Attend on ne peut pas tout arrêter comme ça pour une connerie pareille. Je le pris par l’épaule et le retenue.

Il me repoussa violemment contre le mur et me colla son avant-bras au niveau de la gorge et le poing levé. Ecoute Alex soit on fait ça calmement comme 2 grand garçons ou alors je te colle mon poing sur la gueule. Crois-moi c’est pas l’envie qui me manque. Tu n’es plus celui que j’ai aimé tu n’es qu’une pute. Si toi ça te va alors va donner ton cul à ton petit arabe, qui te traitera comme ce que tu es devenu une chienne à qui il manque le collier pour la dresser. C’est toi qui a mis fin à 15 ans de vie commune alors assume.

Il est parti sans se retourner. Je repris mon souffle. Je ne l’avais jamais vu comme cela aussi vindicatif. En moins de 2 jours je venais de foutre en l’air 15 ans de ma vie j’étais là le regard dans le vide je voyais Marc s’éloigner. Nous ne nous sommes plus jamais revus après cela il c’est toujours arrangé pour passer à des heures ou je n’étais pas là. Les semaines qui suivirent furent teintées à la fois de tristesse et d’incompréhension, mais j’ai honte de le dire aussi d’une certaine joie notre vie sexuelle n’était pas des plus excitantes et même si je faisais quelque plan de temps à autre je n’étais pas satisfaisait.

Entre mon travail, la recherche d’un nouvel appartement, les papiers à remplir, il s’écoula environ 2 mois. Je finis par trouver un appartement pas loin de mon travail. J’étais dans les cartons de déménagement, les papiers je faisais du tri quand je tombai sur le bon de livraison de la tablette et le numéro de Youssef.  Je reste bloqué dessus quelques instants. Puis sans même réfléchir je prends mon téléphone entre le numéro dans les contacts et lui envoi un SMS :

« Salut, Youssef, c’est Blanche-Neige »
la réponse ne se fait pas attendre quelques secondes passent une notification retenti c’est Youssef mon cœur s’accélère
– Je savais que tu reviendrais vers moi pour te faire baiser ! Je passe ce soir chez toi.
– j’ai déménagé je te file l’adresse.
– c’est noté à ce soir

Après tout se mec me plaît pourquoi avoir des remords je suis célibataire et libre de voir qui je veux… Malgré tout cela je ne suis pas fier d’invité ce mec après tout c’est à cause de lui si j’en suis là non ? L’après-midi passe rapidement je range des cartons monte quelques meubles et la soirée arrive vite. 21 h 30 toujours pas de nouvelles de Youssef je décide de lui envoyé un message. Les minutes passent et toujours pas de réponse. Il est plus de 23 h 30 quand je décide d’aller me coucher. J’aurais attendu pour rien toute la soirée. J’ai la rage je reste sur ma faim. Je vais me coucher j’ai du mal à m’endormir et je ne peux pas m’empêcher de jeter un œil au téléphone pour voir s’il ne m’a pas répondu, mais rien. Il est presque 1 h du matin je m’endors enfin.

Je sursaute dans le lit. C’est la sonnerie de la porte quelqu’un est en train de sonner comme un fou. Je regarde l’heure 2 h 45. A moitié endormi je me demande qui peut bien s’acharner à sonner comme ça. Les secondes passent et cet idiot continu à sonner va falloir que je me lève.

Je me lève dans le noir et dans la précipitation je me cogne violemment dans le pied de la table basse du salon. Je pousse un cri de douleur qui me réveille totalement, mais quel connard !!!
Cette sonnette qui continue de résonner.

– Mais ce n’est pas vrai c’est qui ce con qui sonne comme un acharné !!! Je me tiens le pied de douleur je ressens cette sensation d’afflux sanguin comme si votre pied était soudainement directement relié à votre cœur dans ces cas-là.
Moi : C’est quoi ce bordel vous avez vu l’heure vous avez fini de sonner.
Y : Calme-toi blanche neige c’est Youssef ouvre
Moi : Tu te fout de moi tu me parles de la soirée il est 3 h du matin
Y : Fais pas ta chochotte et ouvre stp me dit il d’une voix assez bizarre. Quelques secondes s’écoulent j’hésite à lui ouvrir à cette heure. Aller blanche neige soit pas chien avec moi ouvre t’eu plait me dit il. Je finis par ouvrir prend l’ascenseur à ta droite 3e étage première porte à gauche.

J’ouvre la porte et vois arriver Youssef  qui n’est pas dans son état habituel.
Y : Pourquoi tu te tiens le pied ?
Moi : je me suis pris la table du salon en voulant venir t’ouvrir t’es malade de sonner comme cela tu vas réveiller tout l’étage.
Y : Désolé
Moi : Mais t’es complètement déchiré en plus qu’est-ce que tu as fait ?
Y : J’étais avec des amis et on a fumé un bédo
Moi : Ouais j’ai du mal à croire que tu en es fumé qu’un pour être comme ça, mais ce n’est pas le sujet tu veux quoi ?
Y : tu vas me la sucer et après je vais bien dormir me dit il en se tenant le paquet
Moi : certainement pas déjà je dois me lever dans moins de 3 h et toi tu vas dormir
Y : blanche neige c’est moi le boss alors tu vas sucer et te taire me dit il en baissant son jogging
Moi : je le poussai sur le canapé et d’un ton ferme je lui dis désape toi et dors je vais te chercher une couverture et tu ne dis plus rien. Étonné moi-même il grommela, mais fit ce que je lui dis, le temps de faire l’aller-retour il c’était endormi sur le canapé. Je le regarde dormir c’est vrai qu’il est mignon torse nu. Je regarde ce torse dessiné par les séances de musculation. Je tends ma main pour toucher son torse le frôle, mais me ravise. Je le couvre et retourne me coucher.

6 h 30 le réveil sonne je suis dans le coaltar. Je me lève Youssef est là et dors profondément je décide de faire couler le café prendre ma couche et le laisser dormir. Qu’es qui m’a pris de le faire dormir là je le connais même pas. Comment je vais m’en débarrasser. Je file sous la douche quand j’entends du bruit c’est Youssef il entre dans la salle de bain il a l’air passablement énerver. Il est à poil avec la trique du matin. Je ne peux m’empêcher de regarder ce mât tendu.

Y : Tu n’as pas voulu être gentille hier soir alors maintenant tu vas être puni me dit il d’un ton autoritaire et il entra dans la douche sans même y être invité
Moi : Mais tu étais complètement déchiré hier soir tu dormais debout…

Il me colle une gifle et me met à genoux. Je vais t’apprendre moi à me dire non tu n’as pas à penser ou croire quoi c’est quand je demande quelque chose tu le fais c’est compris. Il n’avait pas fini sa phrase que sa grosse bite viole ma bouche. Elle a un goût âcre de pisse et de foutre qui me donne des renvois. Sa colère le rend brutal presque bestial il enfonce sa bite de longues secondes au fond de ma gorge. Il la sort et la rentre aussi tôt avec force. Je suis bloqué par le mur, chaque charge atteint son but mon arrière-gorge.
Il souffle fort et pousse des râlements de plaisir. Je commence à prendre le rythme et comprends quand respirer, mais Youssef  a décidé de me punir et il me bouche le nez. Je râle le regarde pour qu’il cesse, mais il ferme et les yeux et s’en fout de moi. Je vais m’étouffer je lui tape sur les fesses je grogne râle pour essayer de le stopper, mais rien y fait.

Enfin il retire sa queue et libère mon nez je respire en toussant.
Va falloir t’apprendre les gorges profondes tu n’as pas l’air de savoir t’y prendre. Mais pour le moment je vais te percer le cul je vais faire de toi ma femme.

Mais t’es malade ce matin qu’es qui te prend.

Ta gueule me dit-elle je vais t’éduquer. Il me relève me retourne, tout d’un coup je sens monter en moi une douleur violente qui vient de mon anus. Je ne peux que pousser un cri de douleur. Il me fout la main sur la bouche et me dis tu as fini de gueuler comme ça, tu vas réveiller les voisins. Il vient de m’enfoncer sa grosse queue d’un coup jusqu’à la garde sans préparation.

Assume de te faire monter par un vrai mâle. Les 21,6 cm de Youssef viennent de me perforer l’anus c’est le cas de le dire. Il reste au fond quelques instants et puis deuxième coup de butoir, il sort complètement et me pénètre à nouveau comme la première fois. Cette fois il émet le cri du mâle rageur. Mes larmes coulent elles sont emportées par l’eau de la douche. Il me serre la gorge et commence a me labourer le cul sauvagement. Il râle grogne pousse des cris de satisfaction et de plaisir. Il me viole, je subis sa domination, il ne me baise pas il veut volontairement me faire mal, il veut m’humilier. Il pose les jalons de sa future emprise. Je n’avais pas l’habitude d’être sodomisé de la sorte, bien sûr comme tous les mecs j’ai connu quelques pénétrations sauvages  les premiers aller retour puis après ça ils se calmaient. Mais comparer à cela c’était du plaisir.

Y : Ta descente aux enfers commence aujourd’hui. Rassure-toi tu finiras par y prendre du plaisir. Il fallait que je te fore le passage maintenant tu vas apprendre la douleur et l’humiliation. Quand tu seras à la hauteur pour que je te donne du plaisir alors je te ferais monter au ciel. Mais pour le moment tu es juste bonne à me vider les couilles.

La douleur est si forte que je ne peux rien dire à part crier ma douleur et subir. Il me tient plaqué les bras contre le mur de la salle de bain. Il est bien plus fort que moi il suffit de voir son gabarit. Son visage une peau hâlée des yeux de couleur sombre, se qui obscurcit encore plus son visage.  Un collier de barbe assez fin. Ses 1m66 ne sont pas pour lui un handicap bien au contraire il compense cette petite taille par un gabarit de « bûcheron ». Il est large d’épaules et à un squelette à la base assez volumineux. Bien sûr il fait de la musculation, mais c’est avant tout pour le cardio. Il a un corps que l’on pourrait comparer à ses chevaux de trait.

Il me ravage le cul méthodiquement sa queue ressort pratiquement à chaque fois de mon cul. Maintenant que le passage est fait, il se met à me claquer les fesses sèchement.
Y : Tu as un cul de puceau blanche neige ma queue est bien serrée je prends mon pied avec toi.
M : Tu me fais mal Youssef dis je avec une voix tremblotante.
Y : Il va falloir t’y habitué c’est comme ça que je baise les chiennes de ton espèce.

Après plusieurs minutes de se labourage je sens son corps se tendre, ses râles deviennent plus bruyant, il cri et d’un coup.

Y. Je vais jouir se met il a hurler tu vas avoir des jumeaux après ça.

Je sens un liquide chaud envahir mon intimité. Il jouit bruyamment en me serrant fortement la gorge et me traitant de petite salope. Des soubresauts finissent d’expulser son foutre. Il reste quelques secondes plaqué contre moi. Mes  jambes flageolent j’ai l’impression que son corps pèse des tonnes. Il souffle fort dans mon cou.

Y : Je savais que ce jour viendrait tôt ou tard. Je l’ai vu dans ton regard le premier jour ou tu m’as maté. Toi et moi nous allons nous revoir je te le promets. Il m’embrasse le cou puis me fais un suçon énorme. Tiens un souvenir de ma part.

Il dé-cula. Mes jambes ne me tiennent plus et je me retrouve assis je le regarde il me fout sa queue au-dessus de la tête et se met à me pisser dessus en souriant.

Tiens blanche neige faut bien te rincer avant d’aller au travail je t’offre la douche chaude.

Il sort de la douche se sèche et s’habille. J’ai envie de le traiter de tous les noms d’oiseaux, mais rien ne sort de ma bouche. Je pleure assis sous cette eau qui ne lave pas se ressenti de me sentir humilié et sali par cet homme. Il part sans un mot j’entends la porte d’entrée se fermer. Mon anus est complètement dilaté, gonflé et me fait un mal de chien. Mes fesses sont rougies et douloureuses après les fessées que j’ai subies. Il m’a humilié et détruit le cul c’est le cas de le dire. Ma bite elle est tendue au maximum et j’ai du jouir pendant qu’il me baisait j’ai le gland tout poisseux j’ai honte. Il m’a littéralement violé et le pire dans tout cela c’est qu’au fond de moi je n’attendais que ça.

Après avoir avalé un café, je pars au bureau. Je boite de l’arrière train j’ai l’impression qu’un train m’est passé dessus.

Quelques jours passent et je n’ai plus de nouvelles, au fond je suis bien content, je recommence seulement à retrouver mes sensations anales. Ces quelques jours ont été un enfer pour moi, pour me déplacer ou aller aux toilettes tout ça à cause de cette brute.

Alex

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