En cette période difficile pour les rencontres, je vais vous raconter l’histoire qui m’est arrivée à l’automne dernier.
J’ai pris un Ouibus à Metz et j’attendais 16 h 30, l’heure de départ à la gare routière. Il y avait du monde. Parmi toutes ces personnes j’ai remarqué un jeune gars roux et barbu de l’âge de mon fils à peu près qui est venu s’assoir face à moi et m’a dit bonjour et sourit en arrivant. J’en ai fait autant.
L’heure de mon départ arrivant je suis sorti rejoindre le quai d’embarquement. J’attends quelques instants. Une dizaine de personnes commence à arriver parmi laquelle se trouvait mon jeune roux.
On s’est à nouveau souri.
Je lui ai dit « je crois que l’on va faire un bout de chemin ensemble. Tu vas jusqu’où ?
Tom (j’ai appris son prénom ensuite) me répond “jusque Perpignan, j’en ai pour toute la nuit à voyager”
Moi — Je vais aussi à Perpignan. Tu as quel numéro de siège ? moi j’ai le 46
Tom — J’ai le 48. je crois que l’on ne sera pas loin l’un de l’autre.
Nous nous faisons contrôler les billets de réservations et grimpons dans le bus. Effectivement nous étions à 2 places l’un de l’autre.
On s’est installé bien tranquillement et Tom a mis ses écouteurs pour regarder un film sur sa tablette tandis que moi j’ai pris un livre de jeux.
Au bout d’un certain temps, je me suis tourné vers lui, il me regardait.
Moi — Tu vas à Perpignan même, moi j’ai encore une vingtaine de kilomètres à faire avec une correspondance. Je possède un appartement de vacances et je devais descendre pour une réunion extraordinaire de copropriétaires. Cela m’embête bien. Ma femme ne pouvait pas avoir de congés, je n’ai donc pas voulu faire l’aller-retour par la route seul, c’est trop ennuyeux.
Tom — Moi je vais pour un entretien d’embauche, j’ai rendez-vous demain et je reprendrai le bus de retour dans 2 jours. Ma copine n’allait pas venir non plus.
Moi — Moi aussi je remonte dans 2 jours.
On regarde nos réservations et nous remarquons que nous allons être à nouveau dans le même bus.
Moi — Ma réunion a lieu demain après-midi et après je vais rester une journée dans mon appartement et faire un tour à la plage puisqu’il fait bon avant le retour. Et toi tu vas dormir où ?
Tom —Je ne sais pas encore, je trouverai bien un petit hôtel pas cher.
Moi — Si cela peut t’arranger tu peux venir jusqu’à mon appartement, tu économiseras ainsi une nuit d’hôtel, tu n’aurais qu’à prendre le bus qui coûte seulement 1 euro.
Tom — Ben euh..... c’est gentil, mais je ne veux pas vous déranger. Je vais voir et vous dirai.
Moi — Écoute tu ne me déranges pas et je sais qu’à ton âge quand on peut éviter des dépenses on se doit d’en profiter. Et puis comme on va être un peu ensemble, tu vas commencer par me tutoyer.
Après plusieurs heures de route entrecoupées par des arrêts pour charger d’autres voyageurs nous nous arrêtons enfin pour la pause diner. Je commençais à avoir les crocs.
Après 3/4 d’heure d’arrêt, nous repartons. Bien évidemment à cette heure il fait déjà nuit. Je sais que je vais avoir du mal à essayer de dormir un peu et je n’ai pas sommeil.
Les lumières sont maintenant éteintes et je ne peux donc plus faire de jeux sur mon bouquin.
Il y avait quelques personnes qui occupaient les sièges devant les nôtres. Nous, nous étions sur la dernière rangée, ce qui nous laissait plus de place pour étendre nos jambes.
Arrivés à Lyon, nous n’avions toujours pas dormi. Les personnes devant nous sont descendues et personne n’est monté à la place.
Tom me propose de regarder avec lui un film sur sa tablette, ce que j’accepte.
Je me rapproche donc de son siège et nous partageons ses écouteurs
Tom — Tu veux regarder quoi ?
Moi — Peu m’importe ce que tu veux.
Tom — Tu veux regarder un film de cul ?
moi — OK
Dans ce film il y avait une fille qui se faisait défoncer de tous les côtés.
Bien évidemment j’avais la trique dans mon jeans qui commençait à manquer de place, j’ai donc écarté les cuisses et mon genou est venu toucher celui de Tom.
J’ai regardé son entrecuisse et j’ai remarqué également qu’il manquait de place.
Tom — tu bandes ?
Moi — oui et toi aussi à ce que je vois.
À ce moment j’ai pris les devants et ai déposé ma main gauche sur son entrecuisse et lui ai caressé la queue au travers du jeans. Tom en a fait autant avec moi.
J’ai commencé à lui déboutonner son jeans et comme il n’avait pas de sous-vêtement, j’ai tout de suite eu accès à sa bite que j’ai sortie.
Dans la pénombre on ne voyait pas grand-chose, mais je pouvais sentir une belle bite.
Je me suis soulevé pour baisser mon jeans également, ainsi que mon shorty.
Tom me souffle à l’oreille » tu veux que je te suce ? »
Moi — C’est risqué.
Tom — T’inquiète on ne fera pas de bruit.
Il prend dans sa poche une capote qu’il m’enfile pour me sucer.
J’étais aux anges, mais me retenais bien d’émettre le moindre bruit, le moindre soupir.
Tom ne devait pas être à sa première pipe, vu comme il se démenait sur mon pieu qui n’a pas pu résister trop longtemps à une telle cadence. J’ai envoyé plusieurs jets dans la capote
Tom m’a souri et m’a embrassé.
Je m’abandonnais à son baiser.
Bien évidemment nous n’avions pas regardé la suite du film.
Tom en a profité pour se déshabiller entièrement, pour se changer pour son rendez-vous du lendemain.
Il était assis et se penchait vers son sac pour chercher ses vêtements. J’en ai profité pour lui caresser le cul qui bien que je ne le vois pas me paraissait bien velu, en fait comme je les aime.
Je me suis mis accroupi et lui ai bouffé le cul. Il se tortillait.
Tom — Arrête on va se faire gauler, on va arriver au prochain arrêt.
Nous avons été sages le reste du voyage.
Arrivé à Perpignan avant de nous séparer, je l’ai entrainé vers les toilettes publiques, bien que ce ne soit pas l’endroit que je préfère et lui ai murmuré à l’oreille que c’était à mon tour de le gouter.
On est donc entré dans une cabine, il n’y avait personne et je l’ai déshabillé.
Sa bite était au repos et je l’ai pris en main et en bouche.
Bien vite la réaction est venue et j’avais devant moi une belle bite avec une toison d’un beau roux.
Pendant que ma bouche s’activait sur sa bite je lui caressais le torse qui lui aussi avait l’air très velu.
Hummm.
Il commençait à haleter.
Tom — Attention je vais venir.
Moi — Vas-y donne moi ta liqueur.
J’ai reçu plusieurs jets que j’ai ensuite recrachés dans la cuvette des toilettes.
On s’est rajusté pour sortir très discrètement.
Au moment de se quitter, je lui ai dit
— Alors tu viens me retrouver ce soir ?
Tom — Oh oui !!! On remettra ça.
Je lui ai donc donné les coordonnées de la ligne de bus et lui ai indiqué l’arrêt où je l’attendrais.
J’espère que je vous ai fait penser à autre chose qu’aux problèmes d’aujourd’hui.
Si vous le souhaitez, je vous raconterai nos retrouvailles.
Verdunois
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