Je m’appelle Alexandre et j’ai 20 ans. Je suis ouvertement gay et je vis avec mon copain Mathieu depuis deux ans. Un jour alors que nous prenions notre petit-déjeuner Mathieu reçut un SMS de son cousin Dimitri pour savoir si on pouvait l’héberger quelques jours, car étant militaire, il devait effectuer une mission dans la ville où nous vivons et ne disposait pas d’assez de temps pour trouver un logement.
Après m’avoir demandé mon accord, Mathieu renvoya donc un message de confirmation à Dimitri qui devait arriver en fin d’après-midi.
Lorsque Dimitri arriva, je ne pus que constater que son entrainement militaire lui avait fait le plus grand bien, son corps déjà bien dessiné auparavant était plus musclé que jamais, son t-shirt moulant laissait deviner des pectoraux et des abdos impressionnants et j’avais beaucoup de mal à ne pas attarder mon regard sur ses biceps.
– Salut Alex, merci de m’héberger, c’est super sympa ! Mathieu est là ?
– Non il est encore à la fac et il doit aller chez un pote pour préparer un exposé après.
– Ah OK, j’ai acheté des pizzas pour vous remercier, ça ne te dérange pas de les mettre au four pendant que je prends une douche ? Je bosse tôt demain et j’aimerais me coucher pas trop tard.
– Aucun souci, la salle de bain est là-bas, fais comme chez toi.
Une fois les pizzas au four je ne pus m’empêcher de jeter un coup d’œil dans le trou de la serrure, j’avais vu juste, ses pectoraux et ses abdos auraient fait pâlir un dieu grec. Je ne pus m’empêcher de me tripoter et regretta que la visibilité ne me permettait pas d’admirer son entre-jambes. Surtout que d’après mon copain qui avait pu l’observer nu dans sa jeunesse, Dimitri était très bien membré.
– Tu vas bien ? Tu es tout rouge. Me demanda Dimitri lorsqu’il sortit de la salle de bain, vêtu uniquement d’une serviette autour de la taille.
– Oui, ça doit être juste à cause du four. Tu peux te changer et on passe à table.
– C’est vrai qu’il fait chaud, tellement que je me mettrai bien nu.
– Si Mathieu rentre et te voit nu, il risque de se poser des questions, dis-je pour rigoler.
– Je lui dirai qu’avec les missions que j’enchaine je n’ai eu aucun rapport depuis des mois il comprendra. Plaisanta-t-il.
Après avoir mangé, Dimitri, vêtu à présent d’un simple boxer se pencha vers son sac. À la vue de son boxer qui épousait la forme de ses fesses bien musclées et rebondit, je ne pu m’empêcher d’écarquiller les yeux.
– T’inquiète pas, c’est juste des somnifères. Il faut vraiment que je dorme bien si je veux être en forme demain.
– Tu peux dormir dans notre chambre si tu veux, Mathieu risque de rentrer tard de toute façon, on dormira dans le salon.
– T’es sûr, ça te dérange pas ?
– Non t’inquiète, tu dormiras mieux comme ça.
Quinze minutes plus tard, après avoir remarqué que mon livre du moment était resté dans la chambre, j’ouvris la porte sans faire de bruit.
Dimitri était allongé nu, endormi sur le lit, une queue impressionnant bien qu’au repos.
Avant même d’être envahi par le doute ou la culpabilité j’étais à genoux sur le lit, ses énormes couilles juste sous mon nez.
Sans réfléchir, je les caressai du bout de la langue. Sa queue commença aussitôt à grossir. Mon copain n’avait pas menti : la queue de Dimitri pouvait rivaliser avec les plus grosses bites que j’avais vues dans les films pornos. je la pris alors en bouche et fis de long va et viens pendant plusieurs minutes.
Je l’entendais gémir parfois, mais ne pu m’empêcher de m’arrêter, sa queue me rendait fou, je priais pour que les somnifères soient efficaces et qu’il ne se réveille pas.
Je le pris ensuite en gorge profonde et m’arrêta plusieurs fois quand je sentais qu’il était sur le point de sortir, voulant faire durer le plaisir.
Après plus d’une heure à lui pomper la queue, j’entrepris de le faire éjaculer avant que Mathieu ne rentre. J’accélérai le rythme et quelques secondes plus tard, une dizaine de gros jets de sperme me remplirent la bouche.
Apparemment ce n’était pas une blague, il ne devait pas avoir eu de relation depuis plusieurs mois pour éjaculer autant !
Satisfait comme jamais, je sortis de la chambre en silence, sans remarquer le sourire sur le visage de Dimitri.
Valent1
mortier.valent1@gmail.com
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