Salut tout le monde !
Cette histoire est une fiction, rien de ce qui est raconté dedans n’est vrai… Malheureusement…
C’est ma première histoire que je partage avec vous alors j’espère qu’elle vous plaira…
Je m’appelle Nathan, j’ai 18 ans et je suis en Bac+1, mais aujourd’hui je voudrais vous parler de mon année de terminale (avant le confinement). D’abord je me décris : je suis plutôt grand (1m80), mais avec très peu de muscle on voit légèrement mes abdos, mais ça s’arrête là. Mes cheveux sont châtains avec des reflets très blonds et les yeux bleu-gris. Je suis gay et je l’ai su depuis très longtemps…
Je suis en terminale S, je fais partie de ces personnes qui adorent les sciences, mais que les sciences détestent, mais en réalité je suis bien plus comédien que scientifique, bref l’arrivée en terminale S est un peu houleuse avec des résultats en physique et maths qui dégringolent. Un lundi de novembre le délégué de ma classe, Thomas, vient me voir :
– Écoute comme j’étais ton voisin l’année dernière je sais que tu donnes tout et que tu fais des progrès en maths, mais je me demandais si tu ne voulais pas un coup de pouce supplémentaire, c’est pourquoi je te propose de t’aider en sciences.
Thomas fait partie de ses gars qui ont tout pour plaire. Il est grand, beau, baraqué, intelligent et il plaît beaucoup aux filles. Moi il me plaisait aussi alors j’accepte sans brocher en prenant soin de ne rien laisser transparaître de ce que je pense de lui :
– Oui bien sûr tu me sauves la vie mec ! Lui dis-je avec un grand sourire et un petit éclat de rire dans le fond de la gorge.
– Super ça ! Je te propose qu’on se retrouve le mardi midi en classe et le vendredi soir chez moi.
– Le vendredi soir ?
– Oui comme ça je t’ai à l’œil pendant qu’on révise pendant toute la soirée et le samedi matin et du coup tu dors chez moi.
– Ah bon ?
– Ça te pose un problème ?
– Aucun je pensais que ça t’en poserait un à toi, je vais juste demander à mes parents, mais je pense que s’agissant de toi ils vont dire oui sans problème.
Le soir même je demande à mes parents et ils me répondent que c’est une excellente idée et une gentille intention de sa part.
Le vendredi arrive et je débarque en classe avec deux sacs. Thomas me voit arriver et me dit :
– Super tu n’as pas oublié notre soirée révision ! Avec un grand sourire aux lèvres.
– Comment pourrai-je oublier ? Grâce à ta proposition je reprends espoir que mes notes remontent !
– Haha, avec moi tu inquiètes qu’elles vont remonter !
La journée passe rapidement, je rends mon devoir 25 minutes en avance (parce que oui je suis mauvais en sciences, mais dans les autres matières je suis très bon). En retournant vers ma place je vois Thomas concentré en train de relire sa copie. Il est beau quand il est concentré. Ce soir je vais me rincer l’œil pendant un bon moment ! Une dizaine de minutes plus tard il rend à son tour sa copie, nous prenons nos affaires et nous nous en allons. Nous arrivons à son appartement vers 18 h. Il est désert, lumières éteintes, personnes.
– Il n’y a personne ?
– Non mon frère et mes parents sont partis dans notre maison de campagne directement après le travail.
– Ça veut dire que tu passes le week-end tout seul à chaque fois ?
– Mais je ne suis plus seul maintenant. Dit-il avec un petit sourire en coin ?
Il me dit qu’il va prendre une douche et que pendant ce temps je peux m’installer à son bureau pour réviser la physique. Je rentre dans sa chambre, contourne le lit double et m’assois à son bureau. Il entre dans la salle de bain, la pièce adjacente. Je me lève discrètement et me dirige vers le couloir, la porte n’était pas tout à fait fermée. Je le vois dans le miroir qui enlève son t-shirt, ses pectoraux bien sortis et ses abdos bien moulés. Contemplant cette beauté je sentais ma queue se gonfler lentement dans mon jean. Il se dirigea vers la porte pour la fermer, je me précipite de dégager de là. Il m’entend me déplacer et me demande.
– Ça va Nat’ ?
Je me retourne l’air perdu en disant : « oui désolé, j’ai oublié de te demander où sont les toilettes »
– Tu me matais ?
– Quoi ? Non je cherche juste les toilettes
– Sur ta gauche. Me répondit-il avec un air « ouais, je sais bien ce que tu faisais petit cochon… »
Je retourne à mes révisions et il entre dans la chambre torse nu en caleçon en me demandant : « alors comment ça avance ici ? ». Je tourne la tête vers lui, mais mes yeux bloquent sur la forme clairement apparente de son grand chibre en semi-érection. Il me coupe dans ce moment après quelques secondes :
– Eh ! Ça va ?
– Pardon excuse moi j’ai un truc qui m’a traversé l’esprit.
– En matant ma bite ?
– Quoi ? Non-excuse moi je ne regardais pas ça, mais désolé si tu le pensais. Dis-je en riant ?
– Les motifs de ton caleçon, ils sont… très jolis.
– Des rayures blanches et bleues ? Dit-il l’air circonspect ?
– Oui j’aime bien les rayures.
– Tu sais tu es un très mauvais menteur. Allez, avoue que tu aimerais bien me sucer, je te fais envie non ?
– Et toi tu es casse-pied, non tu ne me fais pas envie, désolée de te donner de faux espoirs. Répondis-je en tournant la tête ?
Il me saisit la tête de ses deux mains en m’embrassa. Je ne m’y attendais surtout pas ! Je ne voulais pas continuer que l’on me juge par ce que je suis et ce que je cachais depuis tout ce temps. Mais c’était trop bon, il embrassait trop bien. Il mettait même la langue, et je me surpris moi-même en train d’aimer cet instant en fermant les yeux et en mettant moi aussi la langue. Il recula et me dit :
– Tu me roules une pelle et tu ne veux pas me sucer ?
– C’est toi qui m’as embrassé !
– Mais tu as aimé, tu es rouge comme une tomate.
– C’est la surprise, c’est tout.
– Mais c’était bon non ?
– Non, affreux, tu viens de me voler mon premier baiser !
– Tu es sûr que c’était affreux ?
– Oui.
Il m’attrape dans ses bras et me pose avec fracas sur son lit. Je me débats pour qu’il me laisse tranquille, mais il est vraiment atrocement fort. Il déboutonne mon pantalon et baisse mon short puis il dit :
– Apparemment ta bite en dit autrement, regarde ça tu es tout dur.
– Tu fais chier espèce de violeur de merde !
– Tu sais, j’avais remarqué depuis un certain temps ta façon de me regarder avec insistance, je me trompe ou tu me kiffes ?
– Non je te kiffe pas, maintenant laisse-moi.
Il me gifle.
– Ne me mens pas ! À chaque fois que tu me mens, je t’en collerai une.
– Mais laisse-moi espèce de psychopathe !
– Tu me kiffes ou pas ? Dit-il en me broyant le bras ?
– Arrête ça s’il te plait, ça sert à quoi que je te dise la vérité ? Tu vas me frapper si je ne dis pas ce que tu veux entendre !
– Mais c’est la vérité avoue-le, tu me mates pendant que je me déshabille et après tu mates ma queue !
– À quoi ça t’avance de savoir ça ?
– Je n’ai jamais baisé avec un mec avant et j’aimerais savoir si ça me plairait ou pas. Et si je me souviens bien ça te serait profitable à toi aussi t’es puceau.
– Donc je suis juste un jouet pour toi c’est ça ?
– Non un potentiel gay sexfriend, si ça me plait on pourra le faire autant de fois que tu veux.
Je le regarde dans les yeux en réfléchissant.
– D’accord, mais trois règles : Un : tu ne parles à personne de mon orientation sexuelle véritable ni de ce qu’on fait ensemble sinon je t’éclate ta gueule d’ange. Deux : Faire mal à l’autre est interdit bien je pense aimer me sentir dominé. Trois : Si tu veux m’enculer, c’est capote obligatoire.
– D’accords pour les trois, mais je mets une règle aussi : Quand je te donne un ordre pendant le sexe tu dois l’exécuter que ça te plaise ou non.
– Très bien, si tu veux.
On se lève, on s’embrasse. Il m’enlève mes vêtements, je suis nu, sur son lit et dans ses bras, en train de s’embrasser. J’ai l’impression de rêver, d’être sur un nuage, de rêver. Je me sens porté par une énergie incroyable, j’ai l’impression que je vais exploser de joie. J’arrête de l’embrasser. Entre deux baisers je lui dis :
– Tu sais, je fantasmais énormément sur toi depuis que je t’ai vu la première fois.
– Ha ha ! Alors autant que nous profitions tous les deux de ce moment.
Je le pousse et je commence à lécher son corps, le moindre centimètre carré de sa peau douce devait avoir été au contacte de ma langue. Je me penche sur ses orteils et je les suce un à un en massant ses pieds. Je me relève et je me mets à califourchon sur son entrejambe sans qu’il me rentre dans le cul, je me penche sur son téton gauche et commence à le téter pendant que je fais des va et viens avec mon cul sur sa bite. Il pousse des soupirs de plaisir depuis que j’ai commencé à lui effleurer la peau de ma langue. Soudain il me tire par les cheveux, je laisse un petit cri de surprise sortir, et il me roule une énorme pelle. Puis il me fait basculer en dessous de lui, il me fait un suçon dans le cou en me disant :
– Ça, c’est pour montrer que tu m’appartiens maintenant.
– Je suis tout à toi lui dis-je dans un petit soupir
– Putain je veux te prendre tu m’as tellement excité ! C’est incroyable ce que tu m’excites quand tu me touches, on dirait une petite succube.
– Je serai la tienne alors lui dis-je avec un sourire et un clin d’œil.
Je le refais basculer sous mon corps frêle et descends vers son bas-ventre. Je m’empare de sa queue. Elle est énorme, 20 cm de long par 5 de large à vue d’œil. Je caresse son gland du bout de la langue et je le vois qui lâche un soupir. Sans le faire attendre plus longtemps je l’engloutis entièrement, lui lâche un râle d’allégresse.
– Putain c’est si bon !
Je le suce encore et encore, je lui lèche les couilles, je les masse, je le branle. Il est là, devant moi, assis sur son lit, le visage tordu sous la jouissance de ce moment. Soudain il me prend le visage et commence à me pilonner la gueule avec violence. Son gland tape contre le fond de ma bouche. Je sens son beau corps de sportif se contracter lorsqu’il sort sa bite de ma bouche.
– Ben alors c’est tout ? lui dis-je.
– Patience, ma pute, j’en garde pour ta chatte
Il rentre sa langue dans mon trou et je me sens partir dans les nuages de nouveau. Il me lèche le trou pendant une bonne minute puis laisse la place à un doigt, puis deux, trois et à partir de quatre je lui dis que c’est trop et que ça fait vraiment mal. Il comprend et rentre sa bite d’un coup sec. Moi je hurle dans le coussin un mélange de plaisir et de douleur. Il y va doucement au début et il accélère petit à petit. Il sait y faire, il sait comment s’y prendre sans faire trop mal à son partenaire. Mais plus que ça il commence vraiment à me faire sentir une vague de plaisir intense alors qu’il est debout devant moi entre mes jambes en me disant :
– Putain ton cul est trop bon, je prends tellement mon pied avec toi !
– Moi aussi, vas-y plus fort !
Il accélère à ma demande et il ne se passa pas beaucoup de temps avec que je ressente un torrent se déverser dans mon cul. J’éjacule aussi sans m’être branlé il y en a sur ses draps, mon torse et même jusqu’à mon épaule. Il continue encore un peu en poussant des râles de plaisirs puis il sort sa queue. Il se dirige vers moi et me dit :
– Suce ma bite, nettoie-la bien je veux que tu perdes une goutte.
– Tes désirs sont des ordres lui dis-je avec un sourire aux lèvres.
Je prends son membre en bouche, je le lèche, le nettoie complètement et lui fais quelques gorges profondes. Il vient s’étaler sur le lit à côté de moi :
– Putain c’était trop bon ! Et toi pour une première fois c’était comment ?
– Magique. Finalement tu n’auras pas mis de capote. Ce n’est pas grave j’ai adoré comme ça. Lui dis-je en posant ma tête sur son torse ?
– On pourra remettre ça quand tu veux cher sexe friand.
– Je suis content de cette situation, mais si tu devais me donner un surnom appelle-moi ta succube, ça m’excite énormément.
– Ha ha d’accords.
Il me serra dans ses bras et nous nous sommes endormis nus, moi dans ses bras. Le lendemain et les jours qui suivirent étaient ordinaires, à ceci près que nous étions plus complices qu’avant et que nous nous faisions souvent de petits clins d’œil l’un à l’autre. Les vendredis qui suivirent, furent de la même sorte : chauds, très chauds même et nous étions tous les deux quand même heureux. Il continuait à voir des filles et moi, pris d’une nouvelle confiance en moi débordante je ne tardais pas à rencontrer d’autres mecs.
Voilà la fin de mon histoire (peut-être un peu longue à la mise en place) je suis heureux de l’avoir partagée avec vous. Je posterai d’autres fictions, peut-être même une suite si celle-ci vous a plus. Bref merci aux lecteurs et j’espère bien lire vos histoires très prochainement.
P’tite succube
chagneaua@yahoo.com
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