J’ai 28 ans. Taille moyenne. Une bonne carrure. Entre mon physique athlétique et ma queue, je n’ai pas de mal à faire des rencontres. J’en ai justement une de planifiée avec un autre mec costaud. Il est comme moi, bien viril. Branché corps à corps musclés pour déterminer qui sera le domi. Mais même les rares fois où je perds côté force, le mec finit à genoux devant mon membre.
La voiture de ma rencontre de ce midi se gare devant moi. Je monte, on se salue, il repart. Je l’observe et je reste sur le cul. Le mec a des épaules plus larges que le siège. Il est massif des pieds à la tête. Mes deux mains ne suffiraient pas à faire la moitié du tour de sa cuisse. Son visage viril esquisse un sourire en coin.
Il pose la main sur ma cuisse. C’est un rapide. Il veut sûrement tâter la belle bosse entre mes jambes. Mais je me trompe. Sa main se referme sur ma cuisse. Il a une pogne assez grosse pour en enserrer presque la moitié. La pression augmente et je ne peux plus rester stoïque. Il commence dès maintenant l’épreuve de force. Sa poigne se resserre encore. Ça fait un mal de chien j’essaye de prendre ses doigts pour les enlever, mais il serre si fort que c’est peine perdue. Je mets mes deux mains sur son poignet pour le repousser : aucun résultat. Ce mec est une brute. Il en train de me détruire la cuisse d’une seule main et je ne peux rien faire pour l’en empêcher. Je me résous à demander grâce :
– Stop, s’il te plaît.
Il profite du feu rouge pour regarder mon visage et augmente encore d’un coup la pression. Je me plie presque en deux de douleurs. Satisfait, il sourit et me relâche. Je masse ma cuisse. J’ai à peine récupéré que cette fois sa main se pose derrière mon cou. Il serre fort et vite. Sa main est si grande que même placée sur ma nuque, il arrive à comprimer une partie de ma gorge. Je tapote vivement sa main avant qu’il ne réduise mon cou en miettes. Il diminue la pression, mais ne relâche pas. Au lieu de cela, il commence à mettre de la force pour me pousser la tête vers lui. Je résiste. Il s’en amuse. Et sadiquement, il augmente petit à petit la pression. J’ai tous les muscles tendus et lui ne semble pas faire d’efforts.
Soudain, je ne peux plus résister. Il amène ma tête sur son entrejambe. Le jean frotte durement mon visage. Il pousse plus fort. Et cette fois, c’est une partie de son anatomie cachée jusqu’à présent que je sens. Et c’est aussi massif que le reste ! Il frotte ma gueule dessus. L’ampleur du truc est énorme. Je me fais humilier sans difficulté par ce colosse. Je ne peux pas m’empêcher de demander :
– Tu bandes à fond là ?
Il rigole :
– Pas encore non.
De mon côté je bande dur. Il est en train d’écraser ma tête entre sa queue d’un côté et sa main de l’autre. Je suis littéralement entre le marteau et l’enclume. Ridiculisé par ce mec et je bande comme un taureau. Il me relâche :
– On arrive.
Le voir descendre de la voiture est un second choc. Dans l’habitacle, il occupait l’espace comme un taureau. En dehors, je réalise sa taille et son poids. La voiture remonte de plusieurs centimètres une fois délestée de la charge de cet homme.
Le trajet jusqu’à l’appartement est mouvementé. Greg ne manque pas une occasion pour me bousculer ou m’écraser contre un mur. Il joue avec mes 1m75 et 72 kg de muscles sans effort. Je tente de lui rendre la pareille en le bourrant d’un coup d’épaule : il ne bronche pas. Mais se venge en me poussant négligemment d’une main. C’est le mur qui arrête ma course. Quelle force !
Nous franchissons la porte de l’appartement. Il ferme derrière moi et me bloque dans le petit vestibule.
– Si t’es pas à poil dans une minute … Tu dis adieu à tes fringues.
Il reste immobile à me fixer. Je me débats pour rapidement tout quitter. Gêné d’avoir aussi peu d’espace entre trois murs et un élément tout aussi massif que du béton : lui. J’arrive à ôter ma dernière chaussette juste à temps. Je me redresse quand sa main enserre à nouveau ma nuque. Il me guide fermement jusque dans la chambre. Il me balance sur le grand lit. Il gronde :
– Tu voulais lutter ? Lutte !
Je me jette sur lui. Sans plan. Je veux juste le pousser, le faire bouger, réussir à avoir un impact contre lui. J’arrive contre lui avec de l’élan et j’ai l’impression de me prendre une poutre.
– T’es minable face à moi. Tes petits muscles sont sexy, mais ridicules.
Il me repousse aisément sur le lit. Mais cette fois me bloque en calant ses genoux sur mes bras. Il me domine de toute sa hauteur. Avec au premier plan un barreau massif qui déforme son jean. Il prend ma tête et me la broie contre son paquet. Je le sens devenir encore plus dur. Mon visage est rouge à cause de ce traitement.
– Alors, tu n’essayes pas de te relever, petit ?
Je plie les jambes, je pousse à fond, me gaine, me débat, rien. J’ai plus de 100 kg qui me clouent au lit. Mais putain qu’est-ce que je bande ! Moi qui suis domi, je me retrouve avec une trique de fou en étant humilié par ce colosse. Je déteste être à sa merci, mais mon corps adore ça. D’ailleurs Greg semble voir que mes pensées sont ailleurs, sa main englobe mon service trois-pièces et malaxe puis presse virilement mes attributs.
– Ça te fait bander qu’un vrai mec te mette à ta place de bâtard ? T’as encore rien vu.
Il se lève, et quitte son jean. Son boxer noir est déformé par une queue monstrueuse.
– Lèche et bouffe ma queue.
Je reste immobile avec un regard de défi. Mauvaise idée. L’instant d’après mon torse est plaqué contre le sien et ses bras, plus épais que mes cuisses, se rejoignent dans mon dos. Lorsqu’il contracte ses biceps, la pression vide mes poumons d’un coup. Il serre davantage. Je n’arrive pas à aspirer plus qu’une minuscule goulée d’air. Et il resserre, l’air s’échappe. Cette fois plus rien ne rentre. J’ai la bouche grande ouverte, mais je ne peux pas respirer, car mon torse est comprimé par ce titan. Il me fixe dans les yeux. Je me débats, je rue. Toujours rien. Je me sens partir, mon cerveau manque d’oxygène. Au moment où ma vision se trouble légèrement, il relâche de quelques centimètres. Je halète, une fois, deux fois. Et la force me broie complètement à nouveau. Il veut me faire comprendre le pouvoir qu’il a sur moi. Il peut contrôler quand je respire. Sans corde, sans prise de lutte technique, sans rien. Juste avec sa force brute. Il répète l’opération encore deux fois. Puis change de position. Je me sens faible. Entre la privation d’air et le broyage de mon torse. Il me plaque dos à un mur et pose une main, paume ouverte, au centre de ma poitrine. Et il pousse. En 10 secondes j’ai l’impression qu’il va me transpercer et que sa main va finir contre le mur. À nouveau l’air me manque. Et comme toujours, juste avant la perte de connaissance, il relâche. Cette fois il ne me rattrape pas. Je tombe à genoux. La gueule devant son entrejambe. Il répète son ordre :
– Lèche et bouffe ma queue.
Cette fois, je n’ai plus aucune volonté de résister. Je pose mes lèves sur le tissu. Là où se situe un gland énorme. Il manipule ma tête pour m’utiliser comme bon bon lui semble. Son sexe me remplit la bouche alors qu’il est encore dans son boxer. Ledit boxer est trempé de ma salive et de sa mouille. Même sans encouragement de sa part je bouffe cette queue. Je la veux, je le veux. Sa puissance m’attire. Il m’a brisé. Je suis à lui et en j’en crève d’envie. Il me couche au sol et se met debout au-dessus de moi. C’est un conquérant massif et victorieux qui domine un adversaire qui ne lui a offert aucun challenge. Il a pris ma virilité sans difficulté et il le sait. Il ôte son sous-vêtement. Sa colonne de chair est dressée, lourde. Il met un pied au milieu de mon torse et commence a transférer son poids dessus. Petit à petit la pression devient insoutenable. Il n’appuie pas encore sa centaine de kilo sur moi quand je tape son mollet en signe d’abandon, de supplique avant que ma cage thoracique cède sous son simple poids. Ma nouvelle défaite l’excite, du précum goute sur mon visage. Il a le sourire d’un prédateur. Il change de point d’appui et cible mes abdos. La danse se poursuit, mes abandons se multiplient. Des fois il fait durer, des fois il s’appuie presque d’un coup. Quand il est satisfait de voir ses traces de pieds marquer mon corps, il s’assoit sur moi. Il rigole et me claque. Il tire ma tête pour que je lèche ses couilles de vrai mâle. Il sent l’homme dominant, je ne peux qu’obéir. Il relâche ma tête et me cogne au visage. Bam. L’autre côté suit. Bam. Je dérouille. Ce n’est pas avec ses points qu’il me frappe, mais sa queue. La taille et la dureté de son sexe ont peu à envier à un poing. Il continua deux fois, trois fois.
– Arrête, s’il te plaît. Ça fait trop mal.
Il écoute mes suppliques et cesse. Me regarde et me biffle une dernière fois. Très fort. J’en vois presque des étoiles.
– C’est moi qui décide.
Il s’accroupit à côté de moi. Me soulève et pose mon dos sur sa cuisse. J’écarquille les yeux en me doutant de ce qui va suivre. Je contracte mes abdos pour me redresser et sortir de cette position, mais une de ses mains bloque le haut de mon torse. L’autre bloque mes cuisses. Et il commence a s’appuyer dessus. Mon dos se plie au maximum puis résiste à sa pression. Je contracte mes abdos pour éviter qu’il me casse en 2. Il pousse plus fort. J’ai mal et je sens que je vais lâcher. Il a le regard d’un animal sauvage. Il veut me casser en deux. Me détruire. Et si je ne fais rien, il va le faire. Je prononce notre mot de sécurité. La prise s’arrête aussitôt. Il me jette sur le lit. Je suis épuisé. Effrayé. Incapable de bouger. Cet homme peut me casser les os sans même faire un effort. Et ça m’excite à fond. Je me sens petit, ridicule minable face à une telle force de la nature. Il m’a usé jusqu’à me vider de toute énergie. Mon sexe, lui est dur comme du bois.
Greg s’approche et met sa queue dans ma bouche. Même pas à la moitié et je suis déjà rempli. Il est si large que mes dents sont au contact. Je reçois un coup aux pecs puis aux abdos.
– Si je sens encore tes dents, je transforme tes petits muscles du torse en bouillie.
J’ouvre la bouche encore plus, à fond. La contraction est douloureuse, mais vu les impacts déjà ressentis, je ne doute pas de la véracité de sa menace. Il profite du passage libre pour s’enfoncer davantage.
– Je vais prendre ta gorge. Montre tes muscles, contracte.
Pendant que je sens son gland forcer le passage, j’obéis. Je gonfle mes 2 biceps. Il aime ça, je le sens à son sexe qui gonfle davantage. Sa main énorme enserre ma queue et commence à me branler. Aussi fort qu’une machine industrielle. Lui fait des va et viens dans ma gorge. Un grondement monte de son torse. L’instant d’après il sort de ma bouche, pose ses couilles sur mon visage et se branle de son autre main. Il grogne tel un animal.
– Jouis.
Son ordre est suivi d’une accélération et d’un serrage fort de ma queue. Prisonnier de sa main, de ses cuisses, sous ses couilles. Totalement vaincu et humilié : je jouis. Une quantité énorme. Lui aussi. Il se répand sur mon torse. Sentir son sperme chaud contre moi prolonge mon orgasme. Je suis à lui.
Avant cette rencontre j’étais un mâle. Maintenant je suis son jouet.
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Atlas
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