Premier épisode
Chapitre 2
J’étais chez deux mecs que je ne connaissais pas, à poil, à quatre pattes, en train de lécher leurs pieds. Ils me firent me retourner, ils étaient puissants avec leur énorme queue entre les mains. Celle de son pote était plus fine, mais paraissait vraiment longue, par contre la sienne était un peu moins longue, mais elle était énorme. Je rêvais de les prendre en bouche.
Lui : t’en as envie de ces queues hein ?
Moi : oh oui.
Lui : dis-le !
Moi : je rêve de pouvoir avoir la chance de me faire défoncer la bouche par vos queues. D’être votre trou pour vous faire plaisir. D’être honoré par vos queues.
Son pote : c’est bien ça.
Il me caressa la tête.
Lui : c’est moi qui l’aie fait venir c’est moi qui commence.
J’allais m’approcher de lui à quatre pattes quand il se leva.
Lui : ouvre la bouche.
À l’instant où je l’eu ouverte il rentra sa queue en me maintenant la tête. J’aurais aimé pouvoir la lécher, la sucer un peu, en profiter. Là il était en train de m’étouffer avec sa queue. J’avais envie de vomir, je bavais à n’en plus pouvoir et je toussais.
Lui : va falloir faire mieux que ça.
Il la ressorti un instant pour que je respire et me l’enfonça à nouveau. J’essaye de ne pas le décevoir, mais elle était si grosse. Son pote sortit une bouteille de poppers et me la mit sous le nez. Je respirais à fond. Il commença alors des va et viens dans ma gueule. J’étais littéralement qu’un trou. Après plusieurs minutes, de la bave qui coulait sur mon torse c’était au tour de son pote. Elle était plus fine alors c’était plus facile à prendre en bouche, mais elle allait plus loin. C’était moins agréable, mais il ne manquait pas de rigueur. Ils n’arrêtaient pas de filmer et de prendre des photos. J’étais aux anges de recevoir ces bites, mais apeuré de ce qu’ils pourraient faire avec ces photos et vidéos.
Pendant que son pote me tambourinait la bouche, lui passa derrière moi. J’allais me la prendre dans le cul.
Moi, profitant d’un moment de respiration : je préfèrerai un préservatif.
Il enfonça le bout de son gland dans mon cul.
Lui : t’es sûr que tu veilles que j’en sorte ? Tout peut s’arrêter.
J’eus une fraction d’hésitation puis je poussais mon cul pour que sa bite pénètre plus.
Son pote : ça c’est une bonne chienne.
Lui : putain son cul est grave serré.
Qu’est-ce qu’il me faisait mal. Elle était trop grosse, je n’étais pas du tout préparé, mais ça, ils s’en foutaient. Ils me firent renifler un peu de poppers et il poussa sa queue au fond de ma chatte. Je poussais un cri étouffé par la bite de son pote. Ils étaient tous les deux sur moi, à me démonter. J’en avais toujours rêvé, un derrière un devant. Mais qu’est-ce que c’était douloureux et tellement satisfaisant. L’excitation était à son comble, je bandais comme un taureau. Je ne savais plus où donner de la tête, je ne réalisai rien, je subissais simplement. Prenant des coups de queue dans le cul et dans la bouche. J’étais à bout de force, tout mon corps tremblait.
Ils décidèrent de m’allonger sur le dos, son pote présenta sa queue à mon anus qu’il transperça avec un sourire vicieux. Je poussais un hurlement. Alors le poilu présenta sa queue devant ma bouche, en montant sur mon torse. Ma tête reposait sur le sol, j’étais incapable de faire quoi que ce soit. Je ressentais trop de choses, de la douleur, du plaisir, de la satisfaction d’être à ma place. Il se mit en équilibre sur ses bras et m’enfonça sa queue au fond de la gorge. J’étais inerte, je me laissais faire. Je n’en pouvais plus, mais je ne pouvais rien faire. J’encaissais comme j’étais obligé de le faire. J’avais toujours rêvé de ce moment-là où je n’en pourrais plus, mais que ça ne s’arrête pas. J’avais les yeux qui pleuraient, je manquais de m’étouffer, j’avais le cul en feu. Mais j’avais la satisfaction de leur procurer du plaisir, moi qui étais loin d’être aussi séduisant et sexy qu’eux. Ce soir c’était moi leur vide couille.
Il se mit à se branler au dessus de ma tête pendant que son pote continuait de tambouriner mon cul. Il s’amusait bien, il rentrait, il sortait. Il alterner entre un rythme rapide et un rythme plus lent où il prenait plaisir à aller jusqu’au fond, m’arrachant au passage de grands couinements. Je sentais le poilu se contracter au-dessus de moi, il se branlait frénétiquement, ces muscles étaient bombés, de la transpiration coulait sur son torse que j’avais envie de caresser et lécher. Il avait un regard satisfait et pervers. Il comprenait quel plaisir c’était pour moi de le voir se masturber. Il était pas loin de la jouissance, il m’ordonna d’ouvrir la bouche, me crachat dedans et m’enfonça sa queue pour éjaculer. Il avait des râles de plaisir. Il avait craché une bonne quantité de sperme dont je me délectais. Il me fit lui nettoyer la bite. Que c’était bon !
Son pote s’occupait toujours de mon cul, mais j’avais l’espoir qu’il ne tardera pas. J’avais les pieds du poilu sur ma bouche que je devais lécher et sucer. J’étais par terre, lui assis sur la table basse et son pote qui s’amusait encore et encore. Il essayait de me faire crier et couiner le plus possible. Il était vraiment endurant. Le poilu se mis à me pisser dessus, je fus surpris de recevoir ce jet chaud, mais j’ouvris docilement la bouche même si en étant allongé ce n’était pas pratique pour avaler.
Je sentais qu’il arrivait enfin au bout, c’est coup était profond il fermait les yeux. Après un gros râle, i pulsa son sperme directement dans ma chatte. Je recevais aussi son jus. Il continua de donner quelques coups. Il sortit sa queue et fit des photos de mon cul qui coulait de son sperme. Il passa un doigt sur ma raie pour rattraper le sperme qui coulait et le porta à ma bouche que je goute ce délice. Il me fit nettoyer sa queue puis me pissa une nouvelle fois dessus.
Je m’apprêtais à me lever pour aller me doucher quand le poilu posa son pied sur mon torse.
Lui : pas si vite je n’ai pas encore bien profité de ton cul.
Moi : j’en peux plus là.
Lui : fallait y penser avant.
Il me fit me retourner sur le ventre, j’avais le visage dans la pisse des deux mecs. Il présenta son énorme gland à mon trou.
Moi : s’il te plait, va y douce…
Je n’eus même pas le temps de finir ma phrase que je poussais un cri au moment où je sentis sa queue toucher ma prostate. Il n’en avait rien à foutre de l’état dans lequel je me trouvais, il voulait s’amuser et ça durerait le temps qu’ils l’eussent décidé.
Il jouait avec mon cul, il fait sortir son énorme gland pour me le renfoncer directement bien profondément.
Lui : t’aimes ça salaud.
Moi : je suis tout à toi, j’aime sentir ta puissance.
J’avais parlé la tête toujours dans la pisse, incapable de faire d’autres mouvements. Je pleurais, la douleur était intense, j’avais le cul en feu. Mais je ne saurai expliquer cette sensation d’être à ma place, je n’avais pas vraiment envie que ça s’arrête, je voulais profiter de cette queue. Son pote était en train de filmer encore, je l’aperçus du coin de l’œil. Ils rigolaient.
Son pote : elle est morte la salope, vas y montre lui ce qu’est un homme.
Il posa ses mains sur mes épaules et poussa bien au fond. J’essaye de bouger avec le peu de force qui me restait, mais je ne pouvais pas. Il donnait de petits à coups bien au fond pour me faire couiner. Il était vraiment doué.
Après avoir bien jouait-il accéléra le rythme. J’aurais était une poupée gonflable il aurait pris plus de précautions. Il éjacula en donnant de on coup au fond de ma chatte de chienne pour me prendre des derniers couinements. Il retira sa queue et la re-rentra pour me faire sortir un dernier cri. Il sortit sa queue et promena ses doigts le long de mon cul béant et s’amusa à faire rentrer son sperme dans mon cul avec ses doigts.
Lui : t’as plus qu’à nettoyer ma queue maintenant.
Je me relevais difficilement et m’activais à nettoyer sa queue, profitant de ce temps calme pour savourer, promener ma langue et déguster. Il me pissa une dernière fois dessus.
Lui : tu peux prendre tes fringues et te barrer. Ils me mirent sur le palier juste après avoir pris mon numéro pour m’envoyer les photos et les vidéos pour ne pas les oublier. Ça, aucun risque. Je me retrouvais nu, couvert de sperme et de pisse sur le palier. Je me dépêchais à m’habiller et rentrai chez moi souillé. Je n’avais pas de force pour une douche, je me déshabillais et m’allongeai sur mon lit. Mon cul me faisait mal, mais je ne pus résister à l’envie de me branler. Je m’endormis recouvert, en plus du reste, de mon sperme.
J’espère que cette histoire vous a plu, un bon fantasme que j’aimerais voir se réaliser. N’hésitez pas à m’écrire.
Chuuuut17
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