Cela commence à faire quelques jours que je n’ai pas de tes nouvelles j’espère que tout va bien. Tu me manques vraiment… je vais tous les jours à la plage promener ton chien. Évidemment à chaque coup je rentre je ne peux m’empêcher de passer par « le » parking que tu connais bien…. Cet après-midi après avoir tourné pendant un petit quart d’heure j’ai repéré un gars que j’ai abordé il y a quelques jours et avec qui j’aime beaucoup m’amuser.
Je l’ai pratiqué déjà 4 fois et sa réaction est toujours imprévue.
Je pensais qu’il était timide et n’osait jamais faire le premier pas.
Toutes les fois où j’ai réussi à le convaincre de venir me retrouver, je l’ai sucé goulûment.
C’est un monsieur avec une apparence extrêmement virile et le truc qui me rend fou c’est son énorme moustache. Une moustache très épaisse qui lui retombe sur la lèvre supérieure. Elle presque aussi belle que la tienne.
Il a l’air de particulièrement apprécier ce que je lui fais, mais à chaque coup cela est toujours expédié un peu rapidement.
Il maintient toujours ses bras derrière lui et après avoir sorti sa queue il me laisse la sucer.
Au moment de jouir il commence par étouffer quelques petits cris et lorsqu’il a le jus qui monte à il se met alors à grogner comme une bête et le grognement devient de plus en plus un râle guttural profond.
L’explosion ressemble toujours à un cri d’animal.
Ces éjaculations sont toujours extrêmement abondantes et épaisses.
Il me laisse toujours le téter jusqu’à la dernière goutte et après il remballe sa marchandise et se tire sans dire un mot.
Aujourd’hui pour la première fois je l’ai vu tourner et attendre que les autres parasites aient quitté le parking.
Il est passé près de ma voiture et m’a fait signe de le suivre.
Nous avons traversé quelques vignes il s’est engouffré dans un chemin de terre bien isolé.
Il est sorti de sa voiture et je l’ai suivi jusqu’à un petit bosquet à l’abri de tous les regards ou nous pouvions enfin être tranquilles.
Il y avait une grosse pierre au sol. Il me l’a indiqué avec la tête pour que je m’y assoie.
Il a déboutonné le cordon de son bermuda et a sorti sa grosse queue épaisse. Son gland est particulièrement appétissant il ressemble à un très gros abricot
Comme d’habitude il avait les mains derrière le dos et me laissait jouer avec sa grosse bite.
N’ayant personne autour de nous j’en ai profité pour commencer à jouer un peu avec ses couilles.
Je sentais qu’aujourd’hui il n’était pas très pressé.
Il a beaucoup aimé que je lui gobe les œufs qu’il a d’ailleurs gros comme des balles de golf.
Son bronzage est intégral et sa queue est particulièrement belle avec cette couleur bien bronzée.
Évidemment après avoir joué avec ses œufs je me suis vite remis à la sucer.
Je remarque qu’il aime véritablement quand je le suce très profondément. Pendant un long moment, je suis resté bloqué le plus profondément possible et j’ai commencé à lui masser le gland avec ma gorge.
Je prenais tellement du plaisir que je ne voulais plus qu’il sorte et essayais encore de gagner quelques millimètres en écrasant mon nez contre les poils de son bas-ventre.
C’est à ce moment-là que pour la première fois j’ai senti ses mains se poser au niveau de mes oreilles.
Ses grosses mains étaient très chaudes et elles m’incitaient à un petit va-et-vient presque imperceptible pour continuer à enflammer la sensibilité de son gland.
Ses mains se sont mises à serrer de plus en plus fort et plus il me serrait et plus jamais ça.
Normalement lors ce que je m’amuse avec lui cela ne dure pas plus de 10 minutes.
Aujourd’hui cela a duré presque une heure.
Je le sentais complètement différent des autres jours.
Il était très détendu – par contre sa queue elle était vraiment tendue.
Au fond de moi j’espérais que cela ne s’arrête jamais.
À aucun moment je n’ai ressenti la moindre crampe ni la moindre lassitude. Lui n’en pouvait plus. J’ai senti ses grosses couilles se contracter et son gland se dilater.
J’ai sucé beaucoup d’hommes dans ma vie, mais là je crois que j’ai battu le record en quantité de sperme avalé. Cela n’arrêtait pas de couler et j’avais du mal à ne rien laisser s’échapper.
Je lui ai fait une toilette très minutieuse et il a remplacé son énorme engin dans son caleçon.
Pour la première fois, il m’a attendu et m’a raccompagné à ma voiture.
Il m’a remercié et a espéré pouvoir me croiser à nouveau bientôt.
Je l’ai moi aussi remercié chaleureusement et je lui ai dit que cela ne dépendait que de lui et que chaque fois qu’il me croiserait il suffirait qu’il me fasse un signe pour que je le suive.
Avec un grand sourire, il m’a dit qu’il aimait bien cette possibilité.
Il était sur le point de partir lorsqu’il est revenu me voir en me posant la question suivante.
Tu es vraiment prêt à me suivre et à m’obéir ?
Je lui ai répondu qu’évidemment du moment qu’il me nourrissait avec des nutriments aussi riches.
Il m’a répondu – j’ai de très gros besoins et souvent plusieurs fois par jour.
Je lui ai dit que s’il voulait prendre mon numéro de téléphone il pouvait simplement me laisser un message et que je m’arrangerais pour venir le vidanger autant de fois qu’il en a besoin.
Il a pris mon numéro et il est parti.
Moins de deux heures après l’avoir laissé j’ai reçu un texto avec une adresse qui se trouve être à moins d’un kilomètre de la maison.
Juste après l’adresse il y avait un mot qui disait – maintenant !
J’ai évidemment abandonné le film que j’étais en train de regarder pour aller le retrouver.
Après m’être garé devant chez lui je me suis dirigé vers la porte d’entrée qui était entrouverte.
Il était derrière la porte entièrement nu et m’a ordonné de me mettre à genoux.
Je l’ai sucé avec encore plus d’entrain tellement j’étais excité.
Il a joui en moins de 10 minutes. Il s’est essuyé le bout de la bite sur ma barbe et m’a montré la porte pour que je m’en aille.
Cela ne faisait même pas une heure que j’étais rentré lors ce que j’ai reçu un texto qui me disait de revenir le plus tôt possible.
Lorsque je suis revenu chez lui, il m’attendait en souriant.
Il m’a laissé rentrer chez lui il m’a dit qu’il avait juste voulu me tester pour voir si je lui obéissais.
Il était visiblement très content de voir qui lui suffisait de m’envoyer un texto pour que j’accoure.
Il m’a raccompagné à ma voiture et m’a signalé que pour cette nuit il n’allait pas me solliciter, car il avait du travail en retard, mais qu’à partir de 8 h du matin il fallait que je reste vigilant, car il aime beaucoup se faire vidanger tôt.
Je suis curieux de savoir si demain matin je vais recevoir un texto.
Je ne sais toujours pas son prénom par contre j’ai vu son nom sur la boîte aux lettres et c’est tout ce que je sais.
Tu sais que même si je m’amuse en ton absence ce n’est que pour combler le vide de ton absence.
J’espère bientôt recevoir un peu de tes nouvelles.
Dis-moi quand tu pourras enfin revenir.
Je t’embrasse.
Ton fils en manque de son père.
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J’ai des nouveautés concernant le monsieur à la grosse moustache :
Il m’appelle régulièrement pour que j’aille lui vider les couilles. Tu sais combien j’adore cela et je ne me fais donc pas prier. Cela fait deux semaines que nous avons établi notre relation et je sais que cela devrait se terminer bientôt, car ses vacances se terminent. Il occupe la maison d’un de ses amis qui en plus de lui prêter sa villa l’a bien briefé sur les endroits ou draguer. Il a décidément beaucoup de tempérament – il arrive que je sois convoqué trois fois dans la même journée… il me laisse un créneau entre 10 h et 14 h pour organiser mes sorties.
Je ne sais pas trop à quoi m’attendre, car il m’a annoncé une surprise pour marquer la fin des vacances.
Il ne m’a pas donné d’indices, mais ma demandé de lui réserver la nuit entière.
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Il est parti ce matin… c’est un peu triste, mais la surprise d’adieu était de taille :
J’ai reçu à mon arrivée chez lui avant-hier soir une très jolie boite qu’il m’a demandé d’ouvrir.
Il y avait à l’intérieur une paire de genouillères comme celles qu’utilisent les carreleurs.
J’ai bien vite compris que la soirée allait être mouvementée.
Il m’a confortablement installé sur un tapis et m’a délicatement posé sur les yeux un de ses bandeaux qu’on trouve dans les trousses de voyage des avions pour ne pas être réveillé par la lumière.
Une fois installé il m’a expliqué sensuellement au creux de l’oreille qu’il allait me faire sucer des queues tout au long de la soirée et qu’il serait particulièrement flatté si je lui démontrais mon obéissance en veillant bien à ne pas laisser la moindre goute se gaspiller en tombant de ma bouche. Il m’a embrassé très langoureusement et m’a dit à l’oreille qu’il avait passé un séjour mémorable et qu’il avait déjà communiqué mes coordonnées à son ami le propriétaire de la maison pour qu’il prenne contact avec moi dès son retour…
J’étais torse nu et mes mains cherchaient à s’agripper à quelque chose.
Je trouvais enfin ses cuisses velues et très rapidement j’ai senti son gland charnu se poser sur mes lèvres.
Il commençait juste à rentrer dans ma bouche que la sonnette retentit.
Je l’entendis s’éloigner et accueillir la première personne.
La sonnette n’arrêtait plus de sonner et j’entendais dans la pièce à côté des voix graves d’hommes qui se saluaient – la sonnette retentissait encore lorsque je ressentis à nouveau un gland sur mes lèvres.
La saveur, l’odeur et la forme étaient différentes – je savais que ce n’était pas la sienne, mais elle du premier inconnu.
J’ai pompé, sucé, léché, tété des glands et des bites de toutes les tailles. Certaines avec des gouts très musqués.
Des avec et d’autres sans prépuces.
Les couilles étaient fermes et certaines très poilues.
Je me contentais de caresser leurs testicules et eux plus ou moins brutalement m’enserraient la tête pour m’enfoncer leur bite au fond de la gorge ou pour m’imposer un rythme.
Il y avait décidément beaucoup de monde et je prenais énormément de plaisir à découvrir pareil échantillonnage de queues.
Le premier à jouir a enclenché la jouissance des autres.
Les couilles se vidaient les unes après les autres et j’avais bien du mal à avaler entre chaque éjaculation.
Après avoir estimé avoir épongé au moins 12 queues, il y eut un moment de répit ou visiblement les vidés quittaient la salle et des biens pleins venaient les remplacer.
La deuxième fournée était plus gaillarde que la première et les queues me paraissaient plus larges et plus longues.
La deuxième fournée n’était pas du tout intéressée par des tétages de gland ou des léchages.
Seule la gorge profonde les intéressait.
C’est toujours un peu frustrant de se faire éjaculer profondément dans la gorge, car on loupe la majorité de la saveur si incroyable du sperme. Par contre on ressent encore plus intensément l’arrivée du jus de couille par la dilatation du gland et par le tressautement de la tige dans la bouche.
Je commençais à avoir un peu mal à la mâchoire, mais les fragrances qui me chatouillaient les narines à chaque sortie de pine m’enivraient.
J’estime qu’une bonne dizaine de braquemarts m’a raclé les amygdales.
Enfin après avoir pu boire un peu d’eau on m’a fait allonger sur un banc et toujours les yeux bandés j’ai commencé à recevoir des giclés de foutre dans ma bouche qu’on m’imposât de garder grande ouverte.
À mon avis certains de la première fournée sont revenus m’apporter une deuxième tournée.
Il est impossible savoir combien de jouissances j’ai reçu en bouche, car je pense qu’a plusieurs moments ce sont deux ou trois queues qui visaient ma bouche en même temps tant le volume de jus était abondant.
Je pense qu’une bonne vingtaine de décharges ont atterri sur ma langue et sur mon palais.
Les invités se sont retirés et mon moustachu m’a enlevé mon bandeau.
Il m’a dit à quel point il était fier de ma prestation et m’a embrassé délicatement.
Je pensais qu’il allait me demander de partir.
Il était trois heures du matin.
Il m’a pris par la main et m’a emmené dans une chambre et après m’avoir allongé sur le lit il m’a dit qu’il souhaitait avant que l’on se sépare m’enculer au moins une fois.
Il était très doux et je me suis laissé faire tellement je rêvais de sentir enfin son sexe en moi.
Dans la pénombre en l’observant j’ai compris ce qui m’attirait tellement en lui.
Il te ressemble tellement…
Au moment où il m’a pénétré, j’ai cru pendant quelques secondes que je m’étais réveillé et que tu étais enfin revenu et que tu reprenais possession de mon cul.
Nous avons fait l’amour jusqu’au lever du jour et le l’ai senti se vider en moi tout en écoutant avec délectation une dernière fois son rugissement de jouissance.
Après un café pris au bord de la piscine, nous sommes allés nous effondrer de fatigue dans son lit.
Tu vois à quel point tu me manques ?
Reviens vite s’il te plait
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J’ai eu une belle surprise ce soir avant de rentrer de la plage.
Un monsieur d’une cinquantaine d’années assez grand est venu se masturber à côté de moi.
Je l’ai invité à se rapprocher pour que je puisse le sucer.
La queue était particulièrement grosse et j’avais du mal à tout prendre en bouche.
Lorsqu’elle a été complètement en érection, moi qui suis pourtant un champion de la gorge profonde, une fois que j’étais au maximum de la capacité, il restait encore au moins 6 cm dehors. Cela faisait longtemps que cela ne m’était pas arrivé. J’ai profité d’un bref instant où il a sorti sa queue de ma bouche pour lui dire que surtout s’il sentait que ça montait il ne fallait pas qu’il se retienne et qu’il laisse partir le jus, que j’étais prêt à tout prendre.
Il m’a regardé un peu perdu et m’a dit en quelques mots qu’il ne comprenait pas très bien le français, car il était Flamand. Mais il a quand même très bien compris qu’il pouvait envoyer le jus quand il voulait. Heureusement que j’ai de la pratique parce qu’une personne qui s’attaque à un morceau comme ça pour la première fois a toutes les chances de s’étouffer. Il était particulièrement résistant, mais très gentil et très doux. Cela a duré un bon moment et les muscles des joues et des mâchoires commençaient à me faire mal. Je lui ai positionné les mains délicatement derrière ma tête pour lui montrer qu’il pouvait essayer de forcer le passage pour rentrer le maximum.
Cela l’a encouragé à pousser encore plus fort profondément.
Avec la meilleure volonté du monde je n’ai quand même pas réussi à prendre la totalité.
Par contre un moment j’ai senti que ma gorge allait exploser ; c’était uniquement parce que la sève était en train de monter et que son gland avait presque doublé.
Et si tu avais pu voir comment je me suis débattu pour ne pas en perdre une seule goutte tu aurais été fier de moi.
Son jus était très épais et lorsqu’il a commencé à enlever sa bite de ma gorge le jus continuait de couler sur ma langue. J’avais les joues encore gonflées de tant de jus lorsqu’il m’a regardé droit dans les yeux et que pour mon plus grand plaisir j’ai tout avalé.
Le goût de son sperme était particulièrement enivrant et sur la route du retour en ouvrant la bouche je sentais l’odeur de son jus qui me remontait dans le nez et j’adorais cette odeur de mâle.
J’étais dans un tel état d’excitation qu’il m’était impossible de rentrer à la maison directement et je suis donc allé me positionner sur « le » parking.
Je suis descendu de la voiture et je suis allé m’asseoir sur un parpaing qui me positionnait parfaitement pour faire des pipes.
C’était la fin de journée les ouvriers rentraient chez eux.
Les fonctionnaires aussi et il y en avait beaucoup ce soir qui avaient envie de rentrer plus léger.
Je me souviens avoir eu le temps de voir le visage des quatre premiers par contre il y a quelques individus ou je n’ai eu le temps de voir que leur bite.
Il commence à faire un peu nuit et cela donnait à la situation un côté encore plus sexy.
Comme je n’arrivais plus à voir qui était au bout des bites, j’ai pompé aveuglément… Rentré à la maison je me suis lavé la gorge avec du gin. Par contre je me laverais la moustache seulement demain matin, car je souhaite garder pendant toute la nuit l’odeur de toutes ces bites mélangées.
Donne-moi de tes nouvelles ! dis-moi quand tu rentres ? Nos parties de jambes en l’air me manquent et je n’arrive presque plus à me souvenir du gout de ton nectar. J’en ai marre de me masturber comme un adolescent…
Honey Bear
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