Je m'appelle Valentin, 1m80, 85 kilo, masculin et bien musclé. Je sais que je suis gay et je l'assume totalement.
L'histoire se passe en 2018, j'avais 19 ans et je vivais toujours chez mes parents sur Brest. Ça m'arrivait d'aller voir des mecs de temps en temps pour prendre mon pieds ou de pomper les collègues de classe dans les chiottes. Dans une classe majoritairement masculine j'avais de quoi faire mon choix.
Les vacances de pâques arriveraient et mes parents partaient en voyage aux États-Unis, ils sont profs tout les deux. J'avais la maison pour moi tout seul pendant deux semaines, le pied.
Les premiers jours, j'ai invité deux trois plans pour me vider et être rempli.
Le mercredi de la première semaine, mon oncle m'appelle pour me dire qu'il venait sur Brest pour le boulot et que, comme il n'avait nulle part ou dormir, mes parents lui laissaient l'apart. Mes deux cousins venaient aussi.
Je ne les avait pas vus depuis cinq ans bien que nous étions très proches gosses. Pierre, mon oncle, me dit qu'il arrive le lendemain dans l'après midi, ce qui me laissait une soirée pour inviter un mec.
La soirée passe, mon plan arrive et on baise salement puis il rentre après m'avoir souillé.
Je m'endors dans le mélange de sperme et de sueur.
Le lendemain, je me réveille aux alentours de 13 heures, mon oncle arrive d'ici une heure, j'ai le temps de me doucher et de mettre les draps collants à laver. Je m'habille et je vais les chercher à la gare.
Pierre n’a pas changé, un grand bonhomme d’un mètre quatre-vingt-dix aux cheveux grisonnant. Il a pris encore un peu de muscle j’ai l’impression, il ressemble à un de ces daddys bear musclé qui me font craquer. Je sens d’ailleurs que mon entre-jambes gonfle doucement dans mon jean. Heureusement que mon t-shirt long cache en partie. Il me fait un signe de la main et un sourire à tomber par terre avant de faire signe à deux jeunes hommes de le suivre. Je n’en crois pas mes yeux quand je vois comment sont devenus mes cousins. Julien, le plus jeune est presque aussi grand que son père et à désormais une belle barbe et une touffe de poils sur le torse. Ses bras, ses jambes, son buste, tout semble rempli de stéroïdes tellement il est musclé maintenant. Quant à Maxime, il a pris un peu de graisse, mais ses muscles de rugbyman sont toujours aussi visibles. Son nez semble avoir été cassé il y a peu de temps, mais ça n’enlève rien à son charme. Je m’avance vers eux pour les saluer alors que ma bite est aussi dure que du béton et déforme mon boxer. Ils savent que je suis gay. Julien me prend dans ses bras et m’embrasse chaque joue. Maxime se contente de me serrer la main et de me faire un clin d’œil.
– Tu t’es amélioré depuis la dernière fois dis moi, lance Pierre en me regardant de haut en bas.
– Et toi tu arrêtes quand de prendre de la masse, je lui réponds en rigolant.
On discute des années passées sur le chemin de la maison.
– Posez vos affaires dans l’entrée, on s’en occupera après. Vous avez soif ?
Maxime et Julien me font oui de la tête et viennent s’asseoir au bar. Pierre pose son regard sur tous les recoins de la maison.
Mes deux cousins devant moi me donnent chaud et je bande toujours comme un âne. J’essaye de me calmer et je leur sert une bière à chacun. On trinque et Julien retire son tee-shirt, suivi de près par Maxime.
– Mets-toi à l’aise Val, t’es chez toi.
Je retire donc mon tee-shirt et je leur propose d’aller sur la terrasse.
– Comme quoi ça paie de faire cours à des gosses, dit Maxime, un voyage outre Atlantique et une baraque de dingue.
– Tu dois être bien quand ils ne sont pas là, me demande Julien.
– Je m’amuse comme je peux, je lui réponds en souriant.
Pierre retire à son tour son t-shirt pour laisser apparaître son torse velu d’homme mûr et ses muscles de daddy. Je bave sur ces trois mecs réunis chez moi.
L’après-midi se déroule paisiblement, on finit en maillot dans la piscine à s’amuser. Lorsque Julien sort, son short de bain se colle à sa peau et j’aperçois un paquet surdimensionné. Il doit y avoir une sacrée bite là-dessous. Maxime a l’air bien monté également à voir la masse qui longe son bassin. Pierre est lui aussi bien fourni, son slip de bain comprime sa verge et ses boules en un gros paquet prêt à exploser. Je n’ose pas sortir de la piscine, ils verraient immédiatement que je bande comme jamais. Maxime me rejoint et s’approche de moi. Il me prend par les épaules et me coule. J’ai à peine le temps de prendre une inspiration. Ses mains glissent sur mon torse, presque sensuellement, et remontent le long de mon dos. Il m’enlace sous l’eau, sa tête et enfouie dans mon cou et j’ai l’impression qu’il m’embrasse. Son bassin se colle contre moi et il recule soudainement. Son regard vient se coller sur mon entre-jambes et un sourire se dessine sur ses lèvres.
Mooner
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