Bonjour les mecs, ici Julien, je vis à Milan, 45 ans, 1m86 pour 85kg, sympa, rieur, d'aspect viril, sportif, corps musclé juste comme il faut et fesses bien rebondies, belle gueule, cheveux encore châtain clair un peu longs sur la nuque et les oreilles, barbe d’une semaine mi-sel mi-poivre, torse poilu, mais je le rase et garde les poils courts ; enfin, honorablement membré (17cm x 6cm), personne ne s'est jamais plaint, hommes ou femmes (au fait pourquoi toutes vos histoires partagées ici incluent systématiquement des bites colossales?! J’ai pris mon pied avec des bites normales, ce qui compte c’est l'érection). Couilles rasées et pubis coupé court, mais ça me gonfle, je deviendrai volontiers clients d’un coiffeur pour zones intimes.
Jusqu'à la rencontre que je vais vous raconter (tiens, avec un gars très bien monté :-), je me considérais plutôt actif, même si je n'ai jamais renoncé à une bonne sodomie si je me retrouvais entre des mains capables. L'occasion fait le larron, certes, mais comme j'ai passé les dernières 30 années essentiellement en couple avec des phases de célibat très réduites entre chaque relation et que je suis du genre fidèle, je n'ai expérimenté la sodomie qu'une dizaine de fois.
Ca c'était avant.
Juste avant les fêtes de Noël, mon compagnon de 7 ans décide de partir en voyage seul, pour réfléchir à notre relation qui traverse une crise. J'avais moi aussi posé mes congés et donc je passe quelques jours seul à Milan, entre la lecture, les séries télé et mon club de sport. Avec un souci en tête: quand je me sens abandonné, je commence à ouvrir les yeux et à regarder les autres hommes dans les yeux, et à mater leurs fesses et leurs braguettes. J’étais donc vulnérable et cela n’a pas trainé...
Un après-midi vers 15 heures, après m'être durement entrainé et nagé de nombreuses longueurs à mon club de sport, je me rends dans la zone relax réservée aux hommes, en speedo et serviette comme l'oblige le règlement. Ce qui est pénible vu qu’on se trimbale tous à poil dans les vestiaires. Enfin presque tous - j’ai une théorie: je trouvais les Italiens très bien montés, jusqu’à ce que je comprenne que ceux qui ont des grosses bites l’exhibent, tandis que les petites sont dissimulées sous une serviette. En fin de compte ils sont montés comme nous, leurs cousins français.
L’espace relax comprend un grand bassin à remous, 4 transats, un sauna, un hammam, une pièce froide et deux douches. Il n'y a pratiquement personne, tout le monde est parti en vacances. Dès que j’arrive, tout de suite, dès qu'il m'aperçoit, un très beau gars en speedo blanc bien rempli quitte son transat, me fixe d’un regard dur et avec un sourire engageant, et entre dans le hammam. Je le suis et m'assois face à lui, directement sur le marbre (les serviettes restent dehors). Il a les jambes écartées et déjà son speedo devint trop petit à mesure que sa bite se tend. Moi j’ai déjà le souffle court après ma nage intensive (j’ai les pectoraux bien gonflés), aussi à cause de la chaleur et de l’humidité et surtout face à ce spectacle. Le mec est très bien foutu, un brin moins grand que moi, le crâne rasé, le visage souriant, les muscles superbes, peu poilus, et un paquet qui m’affole. Je bande évidemment comme un âne.
Nous nous tripotons chacun notre paquet, à 2 m de distance. Il me propose de venir m’assoir à côté de lui, ce que je décline et je prends la parole en italien pour lui dire que les règles ici sont devenues très strictes après quelques flagrants délits de baise, et dorénavant des membres du personnel passent régulièrement vérifier que personne ne se branle, se suce ou s’attrape dans la zone relax (et puis il y a autres personnes dans le sauna juste à côté). Il me répond dans un italien approximatif qu’il l’ignorait, qu’il vient maintenant assez peu à ce club et nous engageons la conversation tout en nous matant. Je lui dis que je suis Français, lui est Brésilien et vit entre Londres et Milan. Nous passons donc à l’anglais. I am Julien. Nice, I am Mario. Il me dit qu’il m’a déjà vu et apprécié mon physique dans le passé, me demande si je suis célibataire - “no, but it’s complicated” - ce à quoi il me répond que pour lui aussi it’s complicated avec son boyfriend, qui, je l’apprendrais plus tard, est lui aussi parti quelques jours de son côté. Il me demande si je vis dans le quartier. Non, mais de toute façon je ne pouvais pas le ramener à notre domicile, cela m’était impossible moralement. Mais lui si! Il vit pas très loin et me propose de l’y accompagner. Je suis très excité par l’invitation. Je précise que je suis sain de corps et d’esprit et que je tiens à le rester. Lui aussi me répond-il. Nos érections sont à l’extrême, mais quel nos glands dépassent du nos speedo, peu visibles dans le nuage de vapeur qui vient d’emplir la pièce, nous sommes restés assis à nos places et heureusement, car d’un seul coup la porte de verre s’ouvre: contrôle du staff!
Douche, habillage, nous nous retrouvons dehors, nous nous apprécions l’un l’autre du regard en peine lumière hivernale, je lui dis que je suis actif, il me répond d’un air dubitatif it’s perfect, je l’invite sur mon scooter et lui tend mon casque de secours et nous voilà partis avec lui derrière moi, son buste et ses jambes plaquées contre moi. Il est d’une douceur et d’une gentillesse - son menton sur mon épaule - qui ne laissaient rien présager de ce qui m'attendait. Nous nous enlaçons et nous embrassons sans hésiter dans l’ascenseur.
Son appartement est lumineux malgré la fin de la journée qui s’annonce et ouvre directement sur un immense salon. Les chaussures retirées, un verre d’eau, nous voilà sur son canapé, il dissimule sous un coussin ce que je pense être capotes et gel. Je suis serein. Il me tire à lui, m’embrasse avec fougue, il est clair qu’il prend l’initiative et que je le laisse faire. Ma bite est chaude, gonflée et très humide, mon slip, mais aussi mon pantalon laissent voir une belle tache foncée! Je suis nu en quelques secondes, nous me déshabillons ensemble. Puis lui, qui garde son slip, il est debout, je me laisse glisser du canapé sur mes genoux, fait sortir sa superbe bite à l’étroit, parfaite, j’évalue 20cm x 7 cm, quelques veines gonflées qui alimentent son érection monumentale, je me sens soumis sur mes genoux, mais j’ai confiance et je la prends dans ma bouche.
Il a toujours ce sourire complice, mais d’un seul coup il me prend la tête dans ses deux mains et enfonce sa bite avec fougue jusqu’à ma gorge. Je suis surpris, mais il commence un va-et-vient qui me laisse stupéfait, à sa merci, ma respiration partiellement empêchée: si j’ai bien compris à travers les histoires que je lis ici, il est en train de me baiser la bouche, ou de me facefucking! J’essaye d’attraper son regard et je vois qu’il me fixe en clignant des yeux et en hochant sa tête à intervalles réguliers, comme pour vérifier que je tiens le coup et que je dois lui faire confiance. Je me laisse baiser ainsi la bouche, surpris et soumis, je reprends mon souffle et recommence.
Puis il se met à genoux, me roule une pelle phénoménale, me repousse en arrière sur mon dos, soulèves mes jambes par les mollets et plonge son visage sur mes couilles et mon trou qu’il lèche avec avidité, revient sur ma bite qui est plus grosse que jamais et la suce en aspirant l’air ce qui provoque en moi un premier orgasme sans éjaculation. Il a aussi enfilé deux doigts entre mes fesses qu’ils enduisent de salive régulièrement et de mon fluide récupéré sur ma queue. Je suis devenu sa créature! Il me regarde, valide à nouveau que tout va bien en clignant des yeux, me redresse pour me refourguer sa bite dans la bouche, un peu de face-fucking et la voilà droite et fière, prete à être recouverte d’un préservatif qu’il enfile en deux secondes en expert qu’il est et il replace ses deux doigts couverts de gel dans mon cul encore un peu dilaté. Je suis sur le dos allongé sur un tapis moelleux, il redresse mes jambes et me soulève pour me placer sur ses genoux, il ajoute un coussin sur mon dos et présente sa bite à mon orifice déjà bien préparé. Il presse son large gland contre l’orée de mon anus qui à ma grande surprise l’accueille sans résistance, et commence à m’attraper, à m’enculer direz-vous, millimètre par millimètre. Easy Mario, mais il sait y faire. Une fois la moitié de sa bite dans mes fesses, je reprends mon souffle, la douleur se fait ressentir, et là il me regarde, cligne des yeux et je m’efforce de sourire. Il me dit de transformer la douleur en plaisir, que cela se passe aussi dans la tête.
Je me concentre et cherche à appliquer sa recommandation. Et là il enfonce la deuxième moitié de sa queue, provoquant en moi un cri qu’il étouffe d’une main, il ne s’arrête pas là, il commence à me pilonner et moi à gémir, il me baise tout en me disant “enjoy, enjoy” et oui, miracle, la douleur se transforme en plaisir! Je prends ma bite en main qui est prête à exploser, lui caresse le torse, tente en vain de ralentir ses coups de reins, rien n'y fait, il m’encule avec frénésie. Au bout de plusieurs minutes qui semblent interminables, ma queue est molle, je n’ai pas joui, je réussis à m’exprimer avec des mots pour suggérer une pause. Il obtempère, se retire, retire sa capote qui est propre (je craignais le pire avec ce pilonnage profond) , allonge mes jambes et se blotti sur le côté tout contre moi, la tête sur mon épaule il tire à lui une couverture de cashmere du canapé et nous en couvre. Il me demande si je suis bien, et oui, je le suis. Nous dormons une petite heure. La nuit est tombée. Nos érections sont revenues, nous remettons ça, dans la même position et à la même cadence, pauvre de moi. Mario me dit qu’il peut tenir des heures, je lui dis no thanks et après 10 minutes à dompter ma douleur, je lui demande de me faire jouir en me branlant tandis que je serre sa bite de tous mes muscles (ou ce qu’il en reste) dans mon trou, ma prostate est tellement sollicitée par ses va-et-vient que j’explose en gémissant de plaisir à pleine voix et je recouvre mon buste jusqu’à mon menton de trois longs jets de sperme chaud. Il sort tout de suite sa bite et retire la capote pour mêler en quelques secondes son foutre au mien. Quel contrôle! Mario peut tenir des heures et aussi jouir en quelques secondes. Et puis quel bonheur! Quel talent! Quel amant! Nous filons sous la douche, il m’essuie tout le corps, j’ai une belle demi-molle, j’inscris mon numéro sur un post-it à l'entrée, nous avons chacun un diner prévu le soir même, à regret. Il me texte à peine je suis sorti.
Le lendemain matin nous convenons de nous retrouver dans un grand parc en plein centre de Milan qui se situe entre la gym et son appartement, nous marchons longuement, parlons de nos vies et de nos histoires respectives qui sentent la fin. Mario repart le lendemain à Londres. Nous déjeunons légèrement et nous retournons ensemble à la gym où nous travaillons nos muscles ensemble, comme deux amis de longue date. Mais je bande dans mon short de sport! Puis nous nous rendons en speedo et tong à la zone relax, vide cette fois-ci et nous nous installons dans le grand bassin qui propose différents types de remous ou massages. Mario s’allonge sur un des lits à bulles et je lui masse les pieds. Bien sûr nous bandons comme des taureaux et, pour la faire brève, nous sommes retournés chez lui et il m'a à nouveau baisé comme si c’était la fin du monde!
Il ne reviendra que rarement à Milan, il reste à Londres, nous nous échangeons quelques messages de temps à autre et avons prévus de nous revoir pour renouer avec cette magie, car pour lui aussi la fusion était exceptionnelle. Notez que j’aimerais bien l’enculer à mon tour, en bon actif que je suis... Enfin, cette aventure a relancé mon couple: je n’éprouvais plus de désir pour mon compagnon, or maintenant je bande dès que je pense à Mario, et je lui fais subir les mêmes outrages!
La bise les mecs
BCBG
juliendgd@hotmail.fr