Visite rude à domicile
J’ai rendez-vous directement chez moi avec un escort pour un plan plein de surprises : moi en bonne lope et lui en maitre dominant. Son nom d’escort est « Pierre qui roule ». Je l’ai contacté sur le site de gayromeo. Son livre d’or parle pour lui : sa touche personnelle c’est la domination intelligente et raffinée mélangeant fermeté et sensualité ; une capacité à fixer d’entrée de jeu qui est le maitre par une autorité naturelle et une perversité telle qu’il vous récompense par des paroles bien senties et des caresses perverses. Son corps est aussi très excitant avec son torse et surtout ses fesses une peu poilue, son côté sec et surtout son membre bien dessiné et nerveux. Bref je mouille déjà rien qu’en l’attendant dans mon appartement.
J’ai décidé d’être une bonne petite pute à sa disposition pour assouvir ses fantasmes, une lope en chaleur prête à obéir et à bien le servir sous peine de punitions. J’ai besoin d’être formaté, « drivé » pour devenir une bonne lope à la hauteur de ses demandes. Si c’est le cas, j’apprécie les récompenses sous forme de baisers profonds avec échange de salive, de caresses et surtout la récompense suprême : pouvoir sucer à fond sa queue ou bien décrasser son cul…
Je décide d’avoir dès le début du plan les yeux bandés. Je mets mon cockring préféré en cuir avec des pressions et le serre suffisamment pour bien sentir ma queue gonflée. Je mets aussi mon collier en cuir avec sa laisse. Je prépare sur le canapé les accessoires : pinces à seins, godes, boules annales, plugs vibrants, martinets de diverses tailles, paddle, menottes en cuir et bien sûr gel chauffant et capotes. Tout cela est à sa disposition selon son inspiration et son humeur. J’ai mis un film porno suggestif de plan domination/soumission qui défile sur l’écran. Je m’installe nu les yeux bandés, juste avec mon collier à quatre pattes sur ma large table basse en bois pour attendre sa venue. J’ai disposé sur mon dos les martinets dont les lanières pendent le long de mes fesses et un plug vibrant dans mon cul avec la télécommande entre mes jambes.
La porte est entre-ouverte et je l’attends fébrilement en bonne lope prête à être palpée, fouillée au plus intime, doigtée, frappée, humiliée, mes trous à sa disposition.
J’entends le bruit des portes de l’ascenseur qui s’ouvrent, ses pas réguliers. Je sens qu’il pousse la porte d’entrée et la referme. Je l’entends qui se met à l’aise et je l’imagine récupérer son enveloppe que je lui présente entre mes dents. Il vient ensuite près de ma tête et me crache sur la gueule pour bien marquer son autorité. Il tourne autour de mon corps et laisse balader ses mains gantées de cuir qui me font frémir. Je bande comme un taureau dans le cockring trop serré : un mélange de douleur et de plaisir. Il le voit et commence à jouer avec ma queue et mes couilles d’abord avec sa main ferme et intrusive, puis avec les lanières d’un martinet à sa disposition sur mon dos. Il frappe doucement au début puis de manière de plus en plus ferme et rapide ; ses coups sont précis et je me tortille pour essayer de leur échapper. Puis il s’arrête net et me caresse les couilles avec volupté, et toute ma queue bien chaude prête à exploser.
Il met alors en route la télécommande du plug vibrant et commence à jouer avec les différentes vitesses possibles. Je me sens impudique et offert à sa volonté. Mon cul s’ouvre et se referme selon l’intensité des vibrations. Mon plug toujours en action, il entreprend de se servir du martinet avec les longues lanières pour me chauffer les fesses et il distribue des coups sur toute leur surface et aussi sur mon dos et mes flans. Il le fait avec une précision diabolique et ménage de temps en temps des pauses qui m’excitent encore plus, ne sachant ni où ni comment le prochain coup va tomber. Il prend son temps et alterne avec des caresses sur tout mon corps avec ses mains gantées. J’ai la sensation qu’il m’inspecte comme un bon chien obéissant. Il a l’air, car au passage il me donne un long baiser en prenant possession de ma bouche au plus profond. Il y dépose sa salive abondante.
Puis il revient vers mon cul qu’il délivre du plug vibrant et entreprend de le remplacer par les boules noires annales au nombre de cinq d’un bon diamètre déjà. Il me demande combien je pense pouvoir en absorber avec mon trou de lope. Je lui réponds « comme il vous plaira, Maitre ». Il m’informe que je devrais avaler par mon cul la totalité des 5 boules. Et alors lentement mais sûrement il force mon trou à les recevoir en me demandant de compter et de lui signifier par un « merci Maitre » que tout va bien pour moi et surtout pour mon cul. Ensuite il prend plaisir à jouer avec les boules, me demande de pousser pour voir émerger de ma rondelle quelques boules, puis il les remet toutes. Impossible de décrire les sensations que me procure ce travail en profondeur de mes entrailles. Mais une chose est sûre, j’ai le cul bien dilaté que mon Maitre se plait à écarter encore davantage.
Après une courte pause, il me demande de me redresser fièrement pour lui présenter ma petite gueule de lope dont il compte s’occuper. Il va s’ensuivre une domination verbale qui ne me laissera pas le temps de souffler. Pendant tout ce temps je n’aurai le loisir que de répondre « oui, Maitre » ou « merci Maitre ».
Il commence par se placer tout près de ma gueule comme s’il allait me chuchoter quelque chose à l’oreille. Je ne me souviens plus exactement de ce qu’il m’a dit, mais c’était comme un interrogatoire intime et impudique parsemé d’injures. Je me suis senti entièrement sous son emprise et j’en avais le souffle coupé. Il m’a ensuite ordonné d’ouvrir la bouche et de tirer la langue. Et là toujours avec ses mains gantées de cuir il a exploré de fond en comble ma cavité buccale : d’abord avec un doigt qu’il m’a demandé de sucer, puis avec plusieurs doigts et enfin avec la majeure partie de la main. Je devais lui lécher soigneusement la paume, engloutir ses doigts et les sucer comme si je venais les téter avec gourmandise. De temps en temps lorsqu’il n’était pas satisfait de moi, il me giflait ou me crachait sur la gueule ou carrément dans la bouche grande ouverte.
Au bout d’un moment il a remplacé sa main par sa queue bien raide avec laquelle il a commencé par me gifler. Comme j’avais très envie d’engloutir son sexe dans ma bouche bien préparée à être fouillée en profondeur, je devais lui montrer pour cela que je le méritais. Il s’est alors retourné et m’a présenté son cul qu’il m’a d’abord demandé de bien renifler pour sentir ses odeurs de mâle musquées. Je ne devais pas mettre la langue, mais juste mon nez collé contre son anus dont je pouvais sentir les poils sur mon visage. Je me suis enivré de son odeur intime. Puis en me guidant très précisément, il m’a ordonné de sortir ma langue et de venir lui nettoyer le cul à grands coups de langue. J’ai dû obéir à ses ordres très précis pour explorer son anus, soit avec le bout de ma langue, soit avec ma bouche tout entière pour lui bouffer le cul. Totalement ivre de son odeur et après avoir donné satisfaction à mon Maitre, j’ai enfin eu la récompense tant attendue de lui, à savoir le sucer comme une bonne lope. Mais là aussi toujours sous son contrôle verbal qui m’indique très précisément comment je dois m’occuper de sa queue. Et chaque fois qu’il n’est pas satisfait, j’ai droit à une baffe ou un crachat au fond de ma bouche. J’ai ainsi eu le temps d’honorer son gland, ses couilles que j’ai prises entièrement en bouche, sa queue toute entière superbe et raide.
Au bout d’un certain temps, n’en pouvant plus je lui ai demandé de boire de l’eau. Il est allé fouiller dans les placards de ma cuisine pour y dénicher un récipient pouvant faire office de gamelle qu’il a rempli d’eau et a déposé sur le sol. Il m’a demandé de descendre de la table de mon salon pour venir boire à ses pieds comme un bon chien, après avoir craché dedans. Il a posé un pied sur le bas de mon dos fermement et a tiré sur la laisse pour me faire sentir son autorité de maitre. C’est encore lui seul qui avait le pouvoir sur le moindre de mes besoins animaliers comme ici celui de boire.
J’ai eu droit à une pause qui a été de courte durée. En effet il a préparé une chaise sur laquelle il a déposé le plug vibrant, les menottes en cuir et de la corde de marin qu’il avait emportée avec lui en prévision de m’attacher. Ce qu’il a fait ensuite. Je me suis empalé sur le plug jusqu’au maximum possible pour mon cul. Il a placé mes deux mains en arrière du dossier de la chaise et les a attachées avec les menottes. Il a ensuite choisi une paire de pinces à seins qu’il a serrées sur mes tétons. Il les a alors travaillés en douceur en tirant ou en balançant les pinces. Il a joué un certain temps avec m’obligeant par exemple à prendre en bouche la chainette qui les reliait. Puis il a entrepris de m’immobiliser fermement et savamment avec les cordes, si bien que je ne pouvais pratiquement plus bouger. J’avais les jambes bien écartées et les cuisses fermement maintenues. Il a alors mis en route le plug vibrant et a contemplé son œuvre. J’ai eu droit à nouveau au martinet, à le sucer en gorge profonde, aux insultes, aux crachats, aux gifles et au travail de ma queue toute gonflée et de mes couilles serrées par un lacet qui les faisait briller.
J’étais alors entièrement sa chose et il pouvait faire ce qu’il voulait de moi. Il a alors sortir son smartphone et a commencé à prendre des photos tout en m’insultant. Je bandais tellement que mon sexe me faisait mal.
Par la suite et après m’avoir détaché, il m’a pris d’un seul coup par terre en m’enfonçant sa queue bien à fond dans mon cul ouvert. Il est resté un moment comme cela, puis a commencé un va-et-vient régulier qui m’ouvrait encore plus le cul. J’étais à quatre pattes et lui derrière moi venait me limer soigneusement avec toute la longueur de son sexe bandé qu’il faisait ressortir à chaque fois de mon trou béant. Cela a duré un certain temps avant de me signaler qu’il avait envie de se soulager la vessie. Il m’a alors conduit avec la laisse jusqu’à la douche.
Là je me suis installé accroupi dans le bac de douche et j’ai attendu. Mon Maitre me matait et m’ordonnait de le regarder dans les yeux. J’avais droit à des baffes, des crachats et enfin son urine claire qu’il a dirigés d’abord sur mon sexe, puis en remontant sur mon torse et enfin sur ma gueule. J’ai dû ouvrir grand ma bouche pour qu’il puisse viser le jet de sa pisse directement au fond de ma bouche. À la fin de cette « golden shower » il m’a présenté sa queue encore humide à nettoyer soigneusement. J’ai même eu droit à son cul à nettoyer comme récompense.
Je pris le temps de faire couler une douche pour me nettoyer et être à nouveau présentable pour mon Maitre. Mais là aussi il est resté à me regarder et à me mater m’ordonnant des choses très intimes pour me nettoyer l’anus par exemple. Je devais laisser tomber toute ma pudeur et subir son humiliation totale. Il m’a laissé me sécher et reprendre mes esprits.
Pendant ce temps il est allé explorer le reste de l’appartement. Dans la pièce principale il a repéré un grand fauteuil confortable avec accoudoirs dans lequel il s’est installé pour attendre sa lope revenir s’exhiber. Je me suis alors installé devant lui à quatre pattes et lui ai fait une très longue fellation intime et vicieuse pour le faire jouir. Mais il avait encore envie de me prendre dans des positions excitantes devant le miroir de l‘armoire de ma chambre qu’il avait repéré. Ce qu’il a fait. Inutile de vous dire que j’ai été à la fête ou plutôt que mon cul a été visité en profondeur selon ses ordres.
N’en pouvant plus il est venu s’assoir sur mon visage de face et s’est branlé pendant que je lui léchais soigneusement les couilles. Il a finalement joui dans ma gueule ou plus exactement sur ma langue de lope. Je devais garder son sperme sans l’avaler sur la langue jusqu’à ce qu’il ait complètement joui. Ce n’est qu’après, sous ses ordres, que je devais avaler son foutre. J’ai dû bien sûr lui nettoyer le gland et l’ensemble de la queue.
Comme mon maitre était satisfait de moi, j’ai eu le droit de jouir à mon tour. Pour cela mon maitre m’a travaillé les tétons pendant que j’utilisais une pince vibrante sur le bout de mon gland pour finalement me conduire à la jouissance.
J’ai dû récupérer mon sperme et le déglutir entièrement devant mon maitre.
Nous avons pris un moment de repos bien mérité, enlacé. Puis mon maitre s’est habillé, ma goulument embrassé et m’a souhaité une bonne nuit en m’interdisant de me toucher avant la prochaine fois.
Exhibencolier