Préambule
J’ai 60 ans pas trop mal portés, 185x89 peu poilu les cheveux courts grisonnants. Look et comportement mec, mec, ni beau ni moche, une gueule parait « il. Hétéro jusqu’à 45 ans, marié puis divorcé, ayant pas mal batifolé une fois après le divorce, les femmes, seules ou mariées, puis un jour rencontre avec un couple libertin.
Lui bi passif m’a fait découvrir m’a fait découvrir dans un 1er temps les fellations entre hommes, puis la sodomie (que je pratiquais déjà avec les femmes). Fort de ça je me suis intéressé aux hommes, principalement plus jeunes que moi, en tant qu’actif, ma queue de 18/5 semblait les satisfaire. Puis un jour voilà un an, alors que j’étais en déplacement 4 jours pour d’un séminaire, un homme m’a convaincu, et déniaisé de ce côté-là, il a été habile, et très bon prof et aman, et plutôt bien équipé, bref depuis je n’ai de cesse de me chercher des partenaires correspondant à mes critères de recherches qui sont : Hommes masculins, mini 50 ans Actifs réels, ayant de la personnalité, et une certaine dose de virilité. Il faut dire, que je suis plutôt du genre disposé, et que j’aime la baise virile qui ait BOUM, même si mes expériences ne sont pas si nombreuses, mais la qualité prévaut sur la quantité en tout cas c’est mon crédo. Ma recherche n’est pas aussi simple qu’il y parait, déjà les âges, quantifies drastiquement les candidats répondant à mes critères, ainsi que moi, aux leurs pour les ¾ friands de chaires plus jeunes. J’ai donc fait comme beaucoup, je me suis rabattu sur les sites internet dits spécialisés, mais la quête est rude et les candidats peu nombreux, donc les plans rares, ajoutez à cela que je ne cherche pas un mari, étant ravis de ma liberté retrouvée et bien déterminée à la garder.
Histoire
N’ayant eu que 3 plans en 1 an, je chassais sur lesdits réseaux, mais nombreux correspondant à qui je correspondais étaient éloignés. Au cours de mes pérégrinations numériques, un jour je suis tombé sur un homme de 56 ans, un dénommé YAN un bon breton comme son prénom l’indique. Un solide gaillard d’1m86, mince genre sec chauve monté 19x6, ex-officier militaire de carrière officier médecin, à la retraite au parcours sensiblement identique au mien, à la nuance prête, que lui est un actif pur et dur. Nous avons sympathisé et échangé régulièrement pendant 4 longs mois via le net, puis nos boites mail perso, échanges de photos bien sûr, vidéos, nous téléphoner, et descriptions de nos trips, de nos fantasmes, en gros nous savions tout l’un de l’autre, ainsi, et c’est important les attestations de santé. Ce qu’il annonçait me convenait parfaitement.
Voilà 3 semaines, mon job m’amène à me déplacer dans sa région, à côté de BREST (presque 800 bornes quand même) ou je dois être présent pour manager une réunion importante, les jeudi et vendredi pour la Sté pour laquelle je travaille en qualité de DRH. Yan ravi de cette nouvelle m’a invité à passer et si je le souhaitais, et rester chez lui le Week-End. Il m’a rappelé 2 jours après que je l’ai prévenu de cette opportunité en me disant : J’ai bien pris note de tes goûts envies et fantasmes, si tu veux je te prépare un plan scénarisé qui nous plaira à tous 2 pour samedi, et cela sera une découverte, de autant qu’on 2 jours à passer ensemble. Moi OK, lui précisant que je serais dispo dès le vendredi soir, Lui OK et me donne son adresse à 20 kms de BREST. Le vendredi j’expédie la fin du séminaire vers 18 h, et hop voiture GPS direction chez YAN, avec un peu d’appréhension quand même, ce voir en vidéo, ce parler au tél. est une chose, mais se rencontrer en réel et physiquement c’est différent, d’autant que c’est facile de se lâcher à distance verbalement, mais une fois au pied du mur c’est autre chose.
18 h 40 je sonne à son portail, un joli petit pavillon dans un quartier isolé de 4 ou 5 maisons pas plus. Au visiophone il me dit j’ouvre le portail rentre ta voiture, aussitôt dit aussi tôt fait. Il est sur le perron, en jogging, parfaitement identique à l’image vue en vidéo à la différence prêt qu’il apparaisse plus grand en vrai. Tout sourire, il me dit, enfin te voilà en chaire et en os. Je sors ma valise du coffre et pénètre chez lui, c’est sympa cosy, joli salon donnant sur un jardin derrière une piscine, mais bâché pour l’hiver, avec un petit pavillon en bois dans le fond du jardin. Il me montre une chambre, également la sienne, et me fait faire le tour de la maison. M’offre un verre au bar du salon et me dit que l’on va aller manger dans un resto pas loin, ce soir, Certes il a fait les courses pour le Week-End, mais ne se sent pas l’envie de cuisiner.
Je m’installe dans la chambre d’amis, et passe sous la douche puis me change, on discute un peu de tout et de rien, mais pas de baise. Puis nous partons diner, petite auberge sympa, IL EST apparemment bien connu de l’établissement puisque tutoiement direct entre lui et le patron, il fait les présentations me prétend être un ami d’enfance du sud-ouest pas vu depuis longtemps, le patron s’appelle Serge, et semble cool. Au cours du repas, on aborde les festivités qu’il envisage pour le Week-End, et rentre dans son rôle directement, Voilà, me dit “il, tu es chez moi, on ne bouge pas du Week-End, c’est moi le patron, t’obéis un point c’est tout, et ne t’inquiète pas je sais tes limites et je ne déborderais pas, ou si peux, si quelque chose te contrarie il te suffira de le dire À moins c’est clair
Moi OK, surtout que cela fait un bon moment que je n’y ai pas eu droit, et que ce type en dehors de m’impressionner (l’autorité militaire, je suppose) me plait beaucoup, ses certitudes et son calme m’attirent. Je lui demande ce qu’il a prévu pour samedi il me répond un plan : les 3 petits singes, devant la tête d’ahuri que je dois faire il se marre et m’explique : les 3 petits singes : l’un se cache les yeux, l’autre les oreilles, et le dernier la bouche. En gros tu ne verras rien n’entendras rien et ne pourras rien répéter. On va recevoir quelqu’un, un ami à moi, très connu, qui ne veut pas être reconnu donc tu auras un casque sur les oreilles pour ne pas entendre, une cagoule pour ne pas voir et interdiction de parler.
J’avoue que la surprise passé cela m’excite assez, et le lui dit, Lui : j’étais sûr que cela aller te brancher, ah oui autre chose, cela sera un plan direct, pas de préliminaire genre pipe ou caresse avant, on va s’occuper de ton cul directement, et c’est moi qui lancerais les hostilités, pour le reste, tu n’as rien à savoir, tu n’auras qu’à subir, t’es OK ? Il précise que cela se fera dans le pavillon du fond du jardin qu’il a aménagé et équipé pour ses frasques. Je dois avouer qu’au fur et à mesure qu’il m’expliquait, l’envie me prenait et m’existait. Moi : OUI OK à 100 % Lui hé ben voilà un Week-End qui s’annonce prometteur.
Vers 23 heures nous repartons chez lui, Il m’invite à visiter le pavillon (sa baise à la maison, comme il le nomme), en gros une 30taine de m², distribuée d’une grande pièce, meublée d’un canapé, d’un bar, une sono, un grand écran télé, un système vidéo et des caméras, au milieu trône une table de masseur quelques miroirs répartis çà et là, dont un grand au plafond, 2 petits meubles et une table en inox à roulettes, ainsi qu’une douche à l’italienne en verre transparent d’au moins 3 mètres sur 1 min 50 s, armoire à serviettes, et des w.c. séparés lui aussi tout en verre (bonjour l’intimité !) Le tout façon chalet en bois à l’intérieur. Lui : tu aimes ? Moi : cette blague c’est super. Lui : Un verre Moi : oui WHYSKI si tu as ou BOURBON Assis au bar on sirote la fatigue commence à se faire sentir, j’ai eu 2 jours épuisant surtout la route dans les jambes. Il met une vidéo en route et sur le grand écran défile une partouze gay, mais que de mecs murs. Il voit que je fatigue me dit, n’écoute pas de baise ce soir, tu as l’air claqué, en plus il te faut être ne forme pour demain AM, je confirme. Cela dit, depuis le temps que je fantasme en ligne avec toi, je me ferais bien sucer au moins là. Le message est passé, je vais m’assoir sur le canapé, d’autant que j’aimerai bien savoir ce qu’il a m’offrir en réel en viande dans le pantalon, les photos restes des photos.
Le film a dû avoir un effet sur lui, rajouté à ma présence et disponibilité, toujours est ‘il qu’il vient se planter devant moi enlève son tee-shirt, baisse son pantalon le slip en même temps, envoi balader tout ça du bout du pied, et me met sous le nez une belle queue bien raide et turgescente surmontée d’un gros gland bien marqué, sous laquelle pend une belle paire de couilles bien lourdes. Les 19 cms y sont, largement, l’épaisseur aussi, et c’est raide de chez raide.
Je ne fais pas dans la dentelle, j’ouvre la bouche et l’enfourne d’un coup le plus profond que je peux, il est surpris sur le moment, puis après je lui suçote le gland en aspirant et en lui massant les couilles je tire même dessus, et je me mets à le pomper comme un mort de faim (ce qui est le cas en l’occurrence) sur toute la longueur de son chibre surtout que d’après ce que j’ai compris je n’aurais pas droit ça le lendemain. Cela ne traine pas des heures, il souffle déjà depuis quelque temps, son rythme respiratoire s’accélère aussi, de plus il tient des propos à la fois orduriers et flatteurs sur ma prestation, à un moment il me saisit par le crâne, me bloque à moitié de sa queue, il se cambre et je la sens se gonfler d’un coup et il envoie 4 ou 5 jets puissants au fond de ma gorge (pas eu le choix d’avaler ou pas) il éructe une putain que c’est bon ben même temps. Il se retire de ma bouche, je recrache ce qu’il y a à recracher et me rend compte que je ne sais même pas le goût qu’avait son jus. 3 minutes passent, sans commentaire, puis lui Désolé, Je n’ai pas pu me retenir ta bouche était trop bonne. Moi : Désolé, désolé, peut-être, mais en même temps je n’ai pas eu trop le choix. Lui : Fâché ? Moi : pas vraiment, même si ce n’est pas dans mes habitudes. Lui : Un bourbon de plus pour rincer tout ça Moi : oui un double dose là aussi, parce que tu étais bien chargé quand même va falloir faire glisser, ce qui le fait rire. Lui : 3 mois que je n’ai pas baisés alors imaginent. Moi : pour moi au moins pareil, alors vous avez intérêt et ton pote avec à être à la hauteur demain. Et dans la foulée je me demande ce qui a bien pu me prendre de dire ça, ferais je le malin ? Bien possible ! Lui : ha bon t’es amateur de plans à 3 avec 2 actifs ? Moi : je ne sais pas çà sera la 1re fois. Lui : hé ben on va t’arranger ça et y mettre tout notre cœur en plus du reste. On rigole un bon coup, et on va se coucher, chacun sa chambre, il est 1 h du mat et je tiens plus debout.
J’ai dormi comme un loir j’ouvre un œil, regarde ma montre 10 h 30 et me dit ah oui quand même. J’enfile un tee-shirt et déboule comme ça dans le salon, il est là assis devant la télé en sourdine en jogging, Moi : Bjr, ça va ? Déjà debout ? Lui : Y a un moment je suis même allé courir et j’ai ramené les croissants t’as faim ? Moi : HO que oui ! Lui : ne reste pas comme ça va au moins mettre un slip, ton cul qui dépasse du tee-shirt m’affole. Moi : OK OK on se calme et on se réserve pour cette AM. Je file m’habiller après une douche et les dents. Je m’excuse, mais ai 2 ou 3 coups de fil à passer. Lui va s’y, je me mets en cuisine. Son téléphone sonne, dans la foulée j’entends : Ha c’est confirmé on reçoit à 15 h 30. Du coup tout me revient d’un coup en bloc dans la tête, les fameux 3 petits singes.. On vaque, puis on déjeune sans parler du plan de l’AM, mais de trucs de la vie courante. Arrive 15 h, il me dit on va avancer et se mettre en place, je suis derrière lui jusqu’au chalet, non sans appréhension, mais ce qui est dit est dit, et je n’ai qu’une parole. Je découvre une nouvelle table, carrée large haute de 30 ou 40 centimètres, celle-ci est habillée de cuir ou skaï noir. Il prépare la table de massage, elle monte et descend par simple pression sur une pédale située dessous. Le ton change, il a plu la même figure : fous-toi à poil, vas sous la douche te laver le cul tu verras y a une douchette anale pour ça et rapplique n’y mets pas 2 heures. Subjugué je m’exécute Il m’ordonne de m’assoir sur la table basse tout ça sans un geste déplacé, il a mis de la musique puis il me met un casque anti bruit sur les abeilles, j’entends plus la musique, puis il m’enfile sur la tête une cagoule noire, la je dois dire que je flippe un peu quand même, et me dis et si j’étais tombé sur un détraqué ?
Je me raisonne, passe 5 minutes comme ça puis d’un coup il me dit je on va t’aider à te mettre à 4 pattes, donc il n’est plus seul, c’est terrible je ne vois rien et je n’entends rien, je suis complètement vulnérable et à leur dispo. Je me retrouve à 4 pattes les genoux écartés le cul en l’air, le trou offert Il me dit : on y va je te prépare, je sens un truc chaud humide sur ma rosace, il est en train de me lâcher le trou, puis darde sa langue, la sensation est délicieuse, cela dure 3 p ou 4 minutes, puis je sens qu’il fait couler entre mes fesses un produit semi liquide tiède, du gel, puis je sens un doigt me titiller et me pénétrer lentement, il fait quelques va et vient, puis c’est 2 doigts, puis un 3e qu’il pousse doucement, mais au plus profond qu’il peut, puis il les retire, là je sens un truc froid se poser sur mon trou il pousse ça rentre tout seul sur environ 1 cm, puis continu à pousser et là un deuxième truc plus épais que le 1er vient aussi s’insérer dans mon trou, j’ai compris il utilise un gode rigide à boules, une troisième se présente encore plus épaisse, elle s’infiltre aussi sans trop de difficulté, Là il entreprend 4 ou 5 des va et viens avec le gode, puis repousse de nouveau la 4èmr boule plus épaisse passe, mais celle-là je l’ai sentie un peu quand même, j’essaie de trouver une position lui facilitant la tâche, j’adore sentir mon cul s’ouvrir même en force et se refermer une fois la boule avaler, il joue un peu avec sans la retirer, puis rajoute du gel, et pousse d’un coup ferme la 5e boules me force et m’ouvre elle bien, plus épaisse que les autres il stop la pénétration au milieu de la boule au plus large de celle-ci, j’ai une brulure latente qui e fait ressentir, puis d’un coup il pousse encore et mon cul l’avale d’un coup. J’espère que c’est la dernière, je secoue le tète de gauche à droite pour dire non, mais apparemment il est au bout des anneaux du gode, il bidouille un peu et entreprend de le retirer lentement c’est un supplice mélangé à un réel plaisir de sentir les 5 et 4e boules ressortir les autres, je ne crois, même pas les avoir sentis.
Il me fourre des doigts dans le cul 3 d’un coup, à l’évidence je suis assez ouvert à son goût, là je re sens de nouveau un objet froid contre mon trou, il pousse encore une boule d’au moins 5 cms d’épais, passé le point culminant de la boule mon cul l’avale d’un coup puis plus rien, Je l’ai senti passer celle-là, et j’ai même dit NON VAS DOUCEMENT, mal m’en a pris, j’ai ramassé une énorme baffe sur le cul et on m’a gueulé à l’oreille : ta gueule ne t’as pas le droit de parler, gémir, si tu veux, mais pas parler compris ?) j’ai entendu malgré le casque, ‘est dire, puis une deuxième se présente, il pousse elle rentre je sers les dents, n j’ai compris il utilise une chaine de boules de geisha, il va en rentrer 4 comme ça, il lâche son jouet et j’en sens une cinquième pendre au bout de son attache en dehors de mon cul.
On me soulève, on me transporte sur la table de massage et on me met sur le dos, avec toujours ces foutues boules dans le cul, on m’écarte les jambes un me les tient en l’air, l’autre appui sur mon ventre au ras du pubis avec le plat de la main en faisant une sorte de massage, j’en ai de vapeurs la sensation est indéfinissable, un mélange de douleurs diffuses et de plénitude interne. Puis arrive le moment du retrait, il tire lentement sur chaque boule les unes après les autres, mon anus s’ouvre et se referme à chaque fois, là encore nouvelle sensation quasi identique à celle qu’on éprouve quand on va à la selle pour se libérer les intestins d’un gros, truc encombrant. À la dernière sortie j’ai la sensation de mettre libéré, est complète, sans avoir la chasse à tirer.
Tout de suite après pas de doute c’est un gland se présente et s’enfourne en moi d’un seul coup, jusqu’à la garde, j’en ai des frissons dans tout le corps, je suis en train de me faire bourrer sur le dos les pattes en l’air, et putain que c’est bon, cette grosse queue me remplit en profondeur et en dilation, le passage est fait je sais pas lequel me baise, mais il ne se prive pas, puis il décule, je sens un autre gland se poser plus gros celui-là plus massif, il pousse rentre et s’enfonce en moi, mais il ait moins logs que le précédent, par contre coté dilation, il assure. Chez moi, c’est le vrac complet je sais plus où je suis j’ai le ventre en feu une puissante onde me descend dans les reins, je suis en nage, mon partenaire accélère ses coups de boutoir il se tend au fond de moi sa queue gonfle, de mon côté mon anus se rétracte par une succession de contactions j’ai les abdos qui se tendent et je suis secoué de spasmes violents et d’une jouissance jamais ressentie, lui se libère, et ma grande surprise je constaterai après qu’il avait un préservatif, rien de chaud ou coulant dans le ventre.
Puis on me transporte sur la table basse alors que je suis encore secoué de spasmes de plaisir on me réinstalle à 4 pattes, là on m’enfile direct encore et très profond on ne me lime très vite pas longtemps et là je sens un flot de semence brulante m’envahir. J’en peux plus cette dernière saillie après avoir déjà joui m’a tué ça a même été une corvée. Je m’effondre à plat ventre avec encore quelques pulsions et palpitations anales. Au bout de 5 minutes on me redresse, je ne tiens pas sur mes jambes on m’accompagne sur le canapé, On m’enlève la cagoule, puis le casque, je dois être hagard. Je regarde autour de moi JE NE VOIS que YAN. Il est planté la devant moi, a poil la queue pendante en demi-pendaison. Il me dit respire, je te sers un verre ou parlera après Une bière bien fraiche voilà ce que je veux, J’ai le trou en feu, et j’ai soif très soif.
Je récupère et me jette sous la douche tout y passe et je me fais un lavement à la douchette. On se rhabille, on n’a quasiment pas dit un mot, on se rapatrie dans la maison, je regarde l’heure il est 17 h, ça veut dire que je suis resté à leurs mercis 1 heure et demie. YAN : alors ? Moi putain c’était qui ton pote ? YAN : lequel ? Moi comment ça lequel ? YAN : ben ils étaient 2 Moi : comment ça 2 plus toi ? Yan : OUI c’était le petit plus la surprise annoncée hier. Moi, mais qui m’a baisé ? YAN : ben eux Moi : pas toi ? YAN : non moi je me suis branlé et t’en ai mis partout d’ailleurs Moi : Pourquoi ? YAN : je t’ai à dispo tout le Week-end pour moi tout seul, et je te jure qu’on ne va pas se priver, surtout si tu continues à te balader le cul l’air sous juste ton tee-shirt, ça m’excite au plus haut point. Le calme est revenu, YAN m’a enduit l’anus d’une pommade destinée à calmer ne peut la brulure que je ressens encore, mais qui s’atténue progressivement.
On passe une fin d’après-midi banale, on discute de tout, de nos passés, de nos rencontres, etc.. Je lui demande de m’éclairer un peu sur les 2 lascars qui mon troussé sans pour autant me dire leurs noms, ils sont mariés les 2, l’un est un sportif connu de 58 ans, plus ou moins à la retraite, mais qui s’occupe encore d’un club de la région, YAN me dit que j’aurais pu le connaitre dans le temps puisqu’il était dans le Sud-Ouest, et y brillait dans le Rugby, L’autre à 60 ans et est en poste de responsabilité dans une haute administration de la région, Voilà je n’en saurais pas plus. YAN me dit qu’ils se sont bien éclatés et qu’ils étaient ravis du moment passé, et que m’ont dit, si je revenais dans la région, pas de problème ils étaient prêts à remettre ça. Il m’interroge, et toi dans tout ça ? Moi : que veux-tu que je te dise, j’ai pris un énorme pied, tu as bien dû le constater, même si la dernière fois a été un peu pénible, mais bonne ça faisait partie du deal. Le reste de la soirée se passe normalement, on bouffe on regarde ma télé, puis on va se coucher, faut dire que la partie de cette AM m’a quand même bien crevé.
Réveil matin triomphant, je sens YAN se glisser dans draps comme je dors à poil il vient se glisser derrière moi, et manifeste des intentions évidentes, je me laisse faire, il me met à plat ventre puis me redresse, et va directement fourrer sa langue entre mes fesses, il est habile et j’y prends goût, puis il incère avec un peu de gel « abord son pouce, je suis surpris de ne pas avoir de douleur, fini la sensation de brulure, il me travaille un peu le cul, je gémis j’ai toujours aimé la baise du matin au réveil, il a l’air pressé, parce que très vite il pose son gland sur mon trou et s’enfonce sur un bon tiers de sa queue, je soupire de plaisir, et je pousse en arrière sur son pieu, le message est clair, alors il s’enfonce totalement en moi, sa queue est très dure et puissante, après une courte pose commence à me limer d’abord lentement puis il se déchaine et me bourre carrément, ça dure pas très longtemps je le sens ce cambrer d’un coup il se plante au fond de moi et lâche en plusieurs saccades sa semence.
Il se retire, moi je n’ai pas joui, ce n’est pas bien grave je sais qu’on a encore la journée et demain. C’est la première fois qu’il me prend, jusqu’à présent je l’avais juste sucé et il ne s’était que branlé pendant que ses potes me mettaient. YAN me dit : le bâton du matin, mais j’en avais trop envie j’en ai rêvé toute la nuit, j’avais envie de ton cul. Moi : ben j’ai vu et senti ça, maintenant c’est fait, dis donc tu as le réveil furieux. YAN : toi tu n’as pas joui, on va se rattraper dans la journée, on reste à poil tous les 2 ? Moi : OK. De mon côté j’ouvre mon PC, et travaille une partie de la matinée sur mon rapport du séminaire, qu’il me faut rendre mardi matin. Il faut beau on déjeune sur la terrasse, de temps en temps il m’attrape au passage, se sert contre moi derrière moi, me fout la main au cul quand je passe à sa portée. Vers 18 h il me dit apéro dans le chalet, avec un regard plutôt égrillard, j’ai envie d’essayer la table de massage avec toi, j’ai des petits jouets à te faire essayer. L’envie me reprend d’un coup, Moi : OK on y va,
là préliminaires, bouffage de queue, 69, travail des tétons, il m’ouvre avec plusieurs godes, de tailles différentes, dont le dernier est un plug gonflable, puis enfin il se fait et me fait plaisir, en me pénétrant sauvagement moi sur le dos, es jambes posées sur ses épaules, il me traite les tétons en même temps, je chavire, le plaisir arrive d’un coup fulgurant un vrai tsunami s’empare de mes reins, je ne bande pas, mais le plaisir anal est là fort, très fort, il me regarde dans les yeux, me dit je vais te remplir de foutre, il ralentit la cadence me lime sur toute sa longueur, il souffle, éructe, moi je secoue la tête dans tous les sens notre plaisir arrive d’un coup en même temps, moi j’ai baissé mes jambes et les ai refermées sur ses hanches, le dernier coup de reins libérateur est tellement puissant qu’on a failli tomber de la table, et c’est le feu d’artifice je devrais dire d’artifices, il se vide en moi en me gueulant tiens ma SALOPE, prends ça, moi je me tort de plaisir en gémissant, le bassin secoué et l’anus pris de contractions violentes. Il sort de moi, je me mets sur le côté en chien de fusil, toujours secoué de spasmes.
Enfin je regarde l’heure, ça fait une heure que je suis entre ses mains, Retour à la maison même, son téléphone sonne, je l’entends discuter, apparemment je suis concerné puis il raccroche et me dit c’était Richard le Rugbyman, qui me demandait si tu étais encore là et si on pouvait remettre ça juste avec lui, j’ai refusé, à moins que tu veuilles, Moi : Non t’as bien fait, déjà le plan d’hier puis toi aujourd’hui 2 fois, sans compter que je repars que dimanche en AM, et que tu ne vas surement pas en rester là, je n’ai pas envie d’avoir le cul comme une passoire. Dimanche matin, Again au réveil, comme la veille, direct bien au fond, mais ce coup-ci, il a pris plus de temps et m’a fait jouir. Je suis parti vers les Landes à 15 h de chez lui, après mangé, repu de sexe pour un moment, et satisfait d’avoir répondu à ses attentes, il était comme un papillon.
Le lendemain petite Visio sur SKYPE cette fois-ci, différente des précédentes, il s’était passé un événement depuis, évidement… Il me dit va dans ta boite mail, tu as une vidéo. Je coupe et vais jeter un œil, ce salopard a filmé toute notre partie de cul à nous deux seulement, il avait dû mettre les caméras en route juste avant, sans que je ne m’en rende compte, ça me fait tout bizarre de me voir à l’écran en train de me faire niquer comme une chienne. Prochaine visite chez lui pendant les congés de cet été une huitaine de jours à partir de fin juillet, si on est dé confiné, évidement. Tout cela m’a conforté dans les critères et choix de mes partenaires, et dans mes cadences de rencontres, cela dit si je pouvais les trouver moins éloignés cela serait top.
Là encore c’est l’occasion qui a fait le larron, mais je m’en tiendrais à des moments moins longs dans le temps, un AM ou une nuit bien chaude avec un seul bon mâle fera l’affaire. Si cette histoire vous a plu et vous inspire, vous pouvez laisser des commentaires.
Badaboum
gillesmerkos40@orange.fr
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