Comme tous les ans au début décembre j’attendais le passage des pompiers qui n’allait pas manquer de me solliciter pour l’achat de leur calendrier. C’est une coutume à laquelle je me pli très volontiers je les trouve sympathiques et le fait de savoir que la plupart sont bénévoles m’incite à être particulièrement généreux.
Vous avez dû certainement remarquer vous aussi que les pompiers sont tout sauf idiot et au moment de solliciter les habitants ils envoient leurs plus beaux et plus jeunes spécimens qui visiblement ramènent plus d’argent.
C’est vendredi soir il est 18 heures. Le chien aboie la sonnette retentit.
Cette année il est tout seul il est grand : à peu près 1,90 m et évidemment très musclé.
Je le félicite et lui achète son calendrier.
Je lui fais la remarque comme quoi évidemment ils n’ont pas envoyé le plus laid. Cela le fait rire et rougir.
Il a l’innocence de ces personnes absolument incroyablement belles et qui doutent encore de leur pouvoir d’attraction.
Je lui demande si ça l’embarrasse que je lui dise qu’il est beau.
Il rougit de plus belle et il me répond que normalement ce compliment vient plutôt de la part des femmes et rarement des hommes.
J’en rajoute en lui demandant si ça le gène que ce soit un homme.
« Non pas du tout ! et voyez je trouve même cela un peu excitant »
Après s’être inquiété de savoir si j’étais seul il me regarde droit dans les yeux et commence à se frotter l’entre jambes.
« J’ai pris un peu d’avance ce soir et je ferais bien une petite pause ».
Je l’attrape par la veste et le fait rentrer dans la maison.
On n’y va pas par quatre chemins.
Il m’embrasse goulûment et je sens sa grosse langue qui prend possession de ma bouche.
Il a les mains baladeuses et me chope les fesses et les malaxent.
« Je m’occuperai volontiers de ce cul mais je ne pense pas que je vais avoir le temps ce soir ». « Tu vas te mettre à genoux et tu vas dérouler la lance du pompier... »
Je n’avais pas obéi aussi promptement depuis mon service militaire.
Je me retrouve à genoux sur le paillasson de l’entrée en train de dégrafer le ceinturon de mon pompier.
Je suis tellement excité par l’improbabilité de cette situation que je manque quasiment de lui arracher les boutons de sa braguette.
Je fais disparaître en quelques secondes son caleçon et libère une magnifique hampe de chaire qui commence à se gonfler.
Il est équipé d’un rôti de bœuf pour six personnes avec repasse !
Il a dû commencer sa journée très tôt ; En libérant l’engin j’ai aussi libéré une odeur animale qui pique un peu au début mais qui devient vite très agréable.
Je le décalotte et apparaît devant moi un gland gros comme un abricot. Je le hume tranquillement pour mémoriser cette fragrance musquée.
De son méat s’échappe une substance qui m’indique, s’il le fallait, à quel point il est excité.
« Allez, ouvre grand la bouche c’est l’heure du miel ».
Je fais le tour de l’abricot avec ma langue et commence à enfourner par la pointe le magnifique gourdin.
Pour se sentir un peu plus à l’aise il descend le reste de son caleçon et me fait apparaître la plus belle paire de couille que je n’ai jamais vu. Cela me rappelle les énormes bourses de certaines statues de marbre qui semblent parfois disproportionnées.
Elles sont bien pendantes mais, dans l’excitation, remontées au plus haut dans leur sac de fourrure.
Il passe sa main derrière ma tête et enclenche un va-et-vient doux et progressivement il se met à baiser ma bouche.
Conscient de la taille de son engin il laisse un bon 10 cm en dehors.
Je le travail longuement.
Je salive au maximum et je tète goulûment sont gland.
Mes deux mains sont accrochées à ses hanches et je sens le mouvement s’amplifier.
Il prend visiblement beaucoup de plaisir.
Je me retire de sa queue et le regarde dans les yeux.
« Surtout ne te retiens pas. Si tu sens que ça vient lâche tout. »
« Tu es d’accord pour que je jouisse dans ta bouche ? ».
« Oui et surtout ne te retiens pas ».
Il me fait un grand sourire il replante son pieu un peu plus profond.
Je le ressors de ma bouche et je lui demande si il préfère pas se vider avec une gorge profonde.
Il me regarde un peu surpris et m’avoue qu’il ne sait pas ce que c’est.
Je me relève et le prend par la main pour le diriger vers une des chambres.
Je lui explique que je vais m’allonger sur le lit avec la tête en dehors et que lui va enfoncer sa queue dans ma bouche grande ouverte.
Je lui explique que dans cette position je pourrais enfin prendre l’intégralité de son engin.
Il me regarde dubitatif.
« Je ne pense pas que ce soit possible ».
Je me positionne et ouvre grand la bouche.
Par réflexe il rentre les deux tiers de sa queue et s’arrête.
Je m’agrippe à ses fesses et l’attire vers moi.
Sa bite s’enfonce dans ma gorge et je sens enfin les poils de sa touffe venir s’écraser sur ma lèvre inférieure et ses grosses couilles se presser contre mes narines.
Il est tellement surpris qu’il laisse échapper un cri de surprise.
« Oh putain » !!!
Il se redresse et sort l’intégralité de sa queue !
« La vache !!!c’est absolument incroyable comme sensation j’ai failli partir… »
Il se penche vers moi et me demande si ça ne me fait pas mal.
Je le rassure et lui explique qu’il peut continuer à s’amuser très profondément mais qu’il doit sortir régulièrement pour que je puisse reprendre ma respiration.
Il se relève et me regarde gentiment en me disant « je te promets que je vais faire attention ».
Il se replonge doucement jusqu’au fond et je le sens buter et je l’entends soupirer.
Une de ses mains se posent sur ma gorge et je l’entends me dire.
« C’est incroyable ! à chaque coup que je rentre je vois ta gorge qui se remplit.
Je vois parfaitement comment mon gland te dilate.
Cela te fait ressortir ta pomme d’Adam.
C’est vraiment trop fort comme sensation je pense que je ne vais pas pouvoir tenir longtemps. »
Il se replonge et en étant au fond il fait des petits allers-retours avant de défourner afin de me laisser respirer.
Un moment où il est dehors je le préviens que je vais lui masser le gland en déglutissant.
Il se replonge impatient et je commence à le téter.
J’entends sa respiration s’accélérer de plus en plus.
Il ressort pour me laisser une fois encore respirer et il me dit
« Je ne suis pas sûre de pouvoir tenir encore beaucoup ».
Je lui rappelle ce que je lui avais dit au départ que surtout il ne doit pas se retenir.
Il se penche et se met près de mon visage.
Ils embrassent mes lèvres et me dit.
« C’est tellement exceptionnel que je n’ai pas du tout envie que ça s’arrête ».
Je lui ai répondu qu’il y a aucune raison que ça s’arrête et que cela pourrait être le début d’une nouvelle aventure.
« Dans ce cas-là si tu es d’accord pour que je revienne je suis fin prêt pour te faire goûter ce que j’ai de meilleur à t’offrir ».
Il se replonge d’un seul coup tout au fond de ma gorge et je me mets à le téter goulûment en exerçant de surcroît une aspiration bien dosée.
Il cède.
Il reste bloqué bien au fond et dans un dernier coup qui risque de me disloquer la mâchoire, Je sens sa queue se gonfler et j’ai l’impression que son gland double de volume.
Je n’arrive plus à respirer mais j’essaye d’aspirer goulument mais aussi désespérément…
Je sens sa queue qui tressaute et il expulse quelques longues giclées que je n’ai même pas à déglutir et qui descendent directement me nourrir.
Mon pompier à émit le plus beau cri jamais entendu.
Entre l’humain et l’animal.
Un cri d’une puissance proportionnelle à son gabarit.
Un cri de mâle en rut qui saillit.
Saisissant délicatement ses couilles je lui ai fait comprendre qu’il était temps qu’il me laisse respirer.
Lorsque je me suis redressé et que je suis venu vers lui il était encore sous le choc de ce qui venait de se produire.
« J’ai vraiment adoré. Merci !!! C’est l’orgasme le plus fort que j’ai jamais ressenti ».
Il m’a tiré très fort contre lui et il m’a embrassé goulûment.
Il s’est rhabillé à la hâte et a récupéré son carton avec ses calendriers.
Au moment de partir il est revenu vers moi pour m’embrasser et avec ses yeux cloués dans le miens il m’a dit.
« Pendant les périodes d’attente et de permanence à la brigade, il arrive que parfois on joue entre collègues ».
« Rien de bien méchant juste quelques parties de branlette la plupart du temps en matant un film de cul ».
« J’ai remarqué que le capitaine aimait bien me mater quand il se branlait.
Une nuit où nous avons monté la permanence ensemble on s’est sucé mutuellement.
On est devenu des amants réguliers.
J’aimerais beaucoup revenir avec lui est ce que tu penses que cela puisse se faire ?
Je suppose que vous imaginez ma réponse… par contre il faudra attendre pour avoir la suite mais elle arrivera bientôt.
Honey Bear
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