Samedi 5 Mars 2016
Cher journal, il faut absolument que je te raconte ce qu’il s’est passé aujourd’hui en cette fin des vacances d’hiver ! C’est complètement dingue et je n’y crois toujours pas.
Aujourd’hui j’étais seul dans ma chambre et je pensais à tonton, comme je le fais depuis un petit moment. Son corps, comme celui de papa et du frangin, est une source d’excitation et de fantasme depuis quelque temps, tu le sais bien. Beaucoup trouveraient ça immoral pour mec de 18 ans, mais j’aime me branler en les imaginant nus ou en pensant à leur bite. Pas que la leur, mais c’est quand je pense à eux que mes éjacs sont les plus fortes. J’ai bien juté l’autre fois en imaginant sucer le prof de sport dans les vestiaires, mais c’est incomparable quand j’imagine papa me baiser dans la douche, je te l’avais déjà raconté journal.
Bref, je m’astiquais en me voyant tailler une pipe à tonton devant un de ses matchs de foot qu’il aime tant. Mais j’étais chaud et j’avais envie de m’occuper de mon cul aussi. Je suis une salope, tu le sais bien.
Je suis donc parti à la recherche d’un objet long et en forme de bite pour me goder. Les parents étaient occupés et en ouvrant le frigo j’ai vu une courgette. Je n’avais jamais essayé avec et le bout était bien rond et lisse donc pas de risque de me faire mal. Il était 10 heures du matin donc on n’allait pas manger tout de suite, j’avais le temps de m’amuser un peu. Maman était occupée à faire le ménage et papa était dans le jardin. Toujours aussi beau, j’ai maté au passage.
J’ai pris la courgette, je l’ai passée sous le robinet pour le laver et je suis remonté dans ma chambre.
Je me suis mis à poil sur le lit. J’ai commencé à lécher un doigt pour bien l’humidifier, puis j’ai commencé à me caresser le trou en feu. En même temps je jouais avec le légume et le suçais comme si c’était la grosse bite de tonton. Je faisais des vas et vient dans ma bouche ainsi que dans mon cul pour le préparer. Excité comme j’étais, je suis passé à 2 doigts, il fallait au moins ça pour que ce substitut de la bite de tonton rentre dans mon cul serré. Dans tes pages tu dois te souvenir, cher journal, que j’ai commencé à me doigter il y a quelques mois, puis je suis passé progressivement à plus gros, mais j’ai toujours gardé mon trou très serré malgré mes quelques masturbations anales. Enfin là je me sentais très chienne et je voulais me goder avec cette courgette bien épaisse !
Mon cul était ouvert et n’y tenant plus je me la suis posée sur ma rondelle et l’ai enfoncée lentement, imaginant mon dépucelage que j’attends tant. Je me caressait les tétons et les pinçais un peu, tout en faisant aller et venir cette courgette dans mon trou qui s’ouvrait, c’était merveilleusement bon ! J’étais là dans ma chambre en train de me goder tout en ayant mon fantasme incestueux pour m’exciter et activer mes mouvements pour branler ma chatte de pucelle en chaleur.
C’est à ce moment, cher journal, que tout a basculé. J’étais trop en train de délirer pour faire attention à quelque chose. C’était Mathieu, mon frangin de 22 ans sur qui j’aurais pu fantasmer à cet instant. Il avait passé la soirée chez ses potes et était rentré ce matin. Je ne l’avais pas entendu tellement mon cerveau était concentré sur le plaisir de mon cul. Je ne sais toujours pas pourquoi, mais il était venu me dire un truc, il n’en n’a pas eu le temps.
Quand il a ouvert la porte j’étais en pleine action avec ma courgette dans le cul, les jambes écartées comme une grosse salope et en train de me branler la queue. Tu imagines journal à quoi ça ressemblait.
Quand j’ai réalisé, je savais qu’il était trop tard pour se cacher, j’ai donc continué à me goder. Je ne sais pas pourquoi, mais j’étais en rut et j’avais déjà offert ce spectacle à l’un des mâles de mes fantasmes, il était impossible de revenir en arrière, donc j’ai poursuivi mon spectacle, attendant de voir ce que mon frangin allait faire. J’étais dans un mélange d’excitation dû à la courgette qui frottait ma prostate, et un malaise dû à la découverte de mon frangin sur ma nature, et sur ce que je faisais.
Il a eu un instant de beug, normal vu l’état dans lequel il voyait son petit frère. Tu aurais dû voir sa tête. Puis après cette pause, il est venu vers moi en gueulant :
« Tu fous quoi là ? C’est quoi ce truc dans ton cul. Tu te godes comme un pédé, c’est quoi ce bordel fréro !? »
Tout ce que je voulais c’est qu’il n’alerte pas les parents. Il était tout prêt de moi, debout à me regarder et à me demander ce que je foutais tout en m’insultant.
Mais moi j’étais encore excité, et vu ma position et sa proximité, je ne sais pas pourquoi, j’ai tenté ce que j’imaginais dans mes fantasmes avec lui. L’occasion était là et mon cerveau a pris totalement le contrôle à ce moment.
J’ai glissé ma main entre ses cuisses, et je l’ai remonté jusqu’à son entre-jambes. Il s’est arrêté de parler, ne comprenant pas ce que je faisais. Mais ma main qui touchait sa bosse a senti une raideur apparaître au bout de quelques instants. Sérieusement journal, je n’en croyais pas mes yeux, Mathieu bandait en sentant ma main lui tâter le paquet, alors que 2 secondes avant il me traitait de pute avec mon légume.
Je ne sais pas qui était le plus surpris de nous eux au final, mais j’étais à poil, avec une envie de bite, et celle de mon frère que je voulais au bout des doigts. J’ai donc lâché la courgette dans mon cul, puis avec mes mains j’ai ouvert la braguette de mon frangin. Mon regard de pucelle affamée était plongé dans le sien, celui d’un hétéro qui ne comprenait pas ce qui arrivait, mais excité visiblement.
Une fois sa braguette ouverte, j’ai descendu son jean sur ses chevilles. C’était splendide journal, j’avais devant moi la queue à demi molle tant rêvée qui déformait le boxer de mon frère. Un dernier regard vers lui, puis j’ai collé ma bouche contre sa queue pas encore toute dure. J’avais peur d’un geste de protestation, en retour j’ai eu au contraire un gémissement. Encouragé par ce bruit, j’ai commencé à lécher sa verge à travers le tissu. Je sentais la bite de mon frère gonfler et durcir. J’étais comme un dingue à l’idée qu’un de mes fantasmes était en train de se passer sous mes yeux, ou plutôt au bout de ma langue.
Mathieu m’a mis une main dans la nuque et m’a collé contre son gros paquet, sa bite me parraissait énorme vu la bosse que je sentais. Il m’a lancé :
« Putain j’y crois pas, t’es une pédale et en plus tu veux ma bite. Je suis ton frère bordel ! Je suis encore bourré de ma soirée qu’est ce qu’on fout là ? Fait chier, quand on veut mon zob ça me donne direct la trique, et toi tu sembles en vouloir. Bah tu sais quoi, va y frero, sniffe bien ma teube ! Tu veux de la bite, tu vas en avoir, ton grand frère va s’occuper de toi petite pute. Il paraît que les mecs sucent mieux que les meufs, tu vas me montrer ça tout de suite sale chienne. »
J’hallucinais journal, Mathieu était okay pour me laisser le sucer. En plus il m’insultait et ça me rendait encore plus chaud, ses insultes de bon hétéro me faisaient mouiller du cul, j’avais trop envie qu’il m’ouvre la gueule avec sa grosse bite !
Son boxer était trempé de ma salive, et je sentais qu’il bandait comme un taureau. J’ai lâché sa bosse pour le supplier de me laisser le sucer :
« S’il te plaît Mathieu, laisse-moi te tailler une pipe, j’ai trop envie que tu me donnes ta queue, de sentir ton gland sur ma langue ! Je t’en supplie.
– Huuum, je kiffe que tu réclames ma bite. Je réalise pas ce qu’il se passe et j’ai des milliards de questions à te poser, mais pour le moment tu vas me vider les burnes salopes. Vas y sors ma queue et bouffe la bien. Mon gland c’est au fond de ta gorge de pute que tu vas le sentir. »
Il a lâché ma nuque et je me suis jeté sur son boxer pour le descendre. Et là le spectacle était magnifique. Une fois libérée, sa bite s’est balancée, elle se dressait fièrement et durement. Elle était très longue, une vingtaine de centimètres et très large, autant que la courgette j’aurais dit. J’étais en extase devant l’objet de mes fantasmes, et même dans ceux ci la bite de mon frère n’était pas si grosse et belle. Mais pendant que j’admirais sa virilité, mon frère m’a dit :
« Bah alors, qu’est ce que tu fous, il y a 2 secondes tu me suppliais pour me sucer et maintenant tu bloques. Tu la trouves trop grosse c’est ça ? Ouais ton frangin est bien monté.
– Excuse-moi, non elle est parfaite, je l’admirais juste.
– Bah arrête de mater et fais ton boulot de vides couilles. Tu m’as chauffé et je te laisse me sucer, mais magne-toi et pompe-moi. »
Sans plus attendre, j’ai exécuté l’ordre de mon frère, j’ai saisi sa bite, ma main n’en faisait même pas le tour, je me suis approché et j’ai posé son gland chaud sur mes lèvres.
À ce moment-là j’ai passé un cap journal, j’ai pris ma première bite en bouche, et c’était le gland de mon frère qui écartait mes lèvres par sa grosseur. Ma bouche était vite remplie par la colonne de chair fraternelle.
Avec mes entraînements sur des objets, j’avais acquis une agilité avec ma langue et je pouvais prendre de grosses choses dans ma bouche. C’était bien utile vu le morceau. Je jouais avec ma langue sur son gland, le long de sa verge. Je pensais à m’occuper de ses couilles, c’est important aussi, j’ai vu ça sur des sites et vidéos. Je m’éclatais comme un gamin qui se régale avec un gros sucre d’orge, j’étais au paradis des suceurs avec un tel braquemart. Mathieu gémissait et a lâché un truc comme :
« Huuuum, putain en plus tu es doué p’tit frère. Tu l’aimes la queue de ton frangin ?
– Mfoui
– Cool, en tout cas tu te débrouilles bien avec ta langue, je kiffe. C’est mieux que les nanas qui m’ont sucé en tout cas. Tu as déjà pompé d’autres mecs pour faire ça comme une pro ?
– Mnonf
– Et en plus je suis ta première bite, le pied. Tu suces bien frangin, mais je sens que tu peux faire encore mieux, vas y essaye de la prendre au max. Fais ta chaudasse et fais-moi une gorge profonde. »
J’étais trop bien et je voulais satisfaire au max Mathieu, comme une bonne salope. Je me suis alors préparé et j’ai essayé de mettre sa bite au fond de ma gorge. Quand son gland a buté au fond j’ai eu un haut-le-cœur, mais je voulais continuer. Trop épais, je n’ai pas réussi à aller plus loin avec sa bite. Il a poussé un râle quand j’ai gardé sa bite au fond tout en suçotant.
« Bordel p’tit frère c’est trop bon ! On m’a jamais sucé comme ça ! C’est pas si mal pour ta première fois. Je suis sûr qu’il y a moyen que tu bouffes ma pine jusqu’aux couilles. Il reste un bon tier mais tu dois pouvoir ouvrir ta gorge. Je vais me charger d’ouvrir le passage t’inquiète. »
À ce moment-là, en imaginant la bite de mon frère totalement dans ma bouche, j’ai failli jouir d’excitation sans me toucher, l’idée me faisait grave triquer. J’ai continué alors à le sucer du mieux que je pouvais, en m’occupant des couilles et sa bite, avec des gorges profondes, comme une bonne salope.
Jusque là il m’avait laissé le sucer en me regardant, puis il a saisi la courgette qui était restée dans mon cul, et a commencé à faire des allers retours. J’étais en transe tellement c’était bon, j’étais rempli par les deux côtés et j’adorais cette sensation. Je continuais à le sucer en lui montrant que j’étais une grande gourmande et il aimait ça. À un moment il m’a choppé par la nuque pour m’enfoncer sa bite au max tout en poussant la courgette le plus possible dans mon cul bien ouvert. J’étais transpercé de bonheur. Il ondulait du bassin pour me donner des coups de bite dans la bouche, mon frère me baisait la gueule et je kiffais ! Il s’amusa comme ça un petit moment, mais je senti quand il a accéléré, il devait atteindre sa limite. Au moment où il dû sentir que ça venait, il s’est retiré de ma bouche et a commencé à se branler. Il n’avait pas encore bien compris à qui il avait affaire. J’ai avancé la tête pour choper le bout de sa queue et lui faire comprendre où il devait cracher sa semence de mâle que je désirais.
Il fut surpris :
« Putain, et en plus tu veux goûter mon foutre. Tu es une vraie pute. Prépare-toi je vais te remplir la gueule et le ventre de mon jus p’tite chienne ! »
Je continuais à téter son gland en attendant sa sauce. Quand il a juté, il m’a saisi fort par les cheveux tout en gueulant :
« Tieeeeeeeeeeens vas y sale pute ! Bouffe mon foutre ! C’est ça que tu voulais hein, te voilà baptisé au jus de couilles. »
Quand il a juté, j’ai senti sa queue se raidir et balancer plusieurs jets bien chauds et épais de foutre. Je les sentais s’étaler sur ma langue, un vrai régale. Tellement que son éjac a provoqué la mienne, j’envoyais quelques jets de mon sperme sur le sol de ma chambre. Pendant ce temps mon frangin, qui était un gros juteur, avec son éjac m’avait rempli la bouche. J’avais vraiment de quoi savourer avec tout ça. Une fois qu’il avait fini de juter, j’ai pris sa queue encore dure et rougie et je l’ai nettoyée des traces blanches de sperme qui la recouvrait. Je savourais les dernières gouttes de jus. Il avait un sourire satisfait.
« Ouah, bordel c’était hyper bon frangin, on ne m’avait jamais pompé comme ça, une vraie pro. En plus tu as tout avalé petite cochonne, ça m’excite grave.
– Oui, il était trop bon ton jus, j’en veux encore.
– Ahah, t’inquiète je vais vite me recharger les couilles, et à partir de maintenant je sais que je n’aurai plus les burnes pleines à la maison. Cool d’avoir un vide couilles à dispo.
– Oui je suis tout à toi frero. »
On s’est nettoyé un peu, il m’a ordonné de lécher mon propre jus par terre, et je l’ai fait. À 4 pattes le cul tendu j’ai fait ma salope en buvant mon foutre. Mon frère a adoré voir ça.
« C’est dommage quand même.
– De quoi ?
– Que tu te sois déjà ouvert le cul, j’aurai adoré le dépuceler.
– T’inquiète, j’ai un cul élastique, il va vite se refermer.
– Ah bon ? Pourtant vu son état là…
– C’est parce qu’on a forcé avec la courgette. Tu verras, dès qu’on peut, je te l’offre et tu me diras s’il est assez serré.
– Huuum avec plaisir. Je vais bien ouvrir ton petit fion et te péter la rondelle salope. Tu aimes au fait que je t’insulte ? Parce que je ne me suis pas trop retenu.
– Oui j’adore ça t’inquiète, je sais que je suis une salope et ça m’excite quand tu me le rappelles.
– Cool, dans ce cas je n’oublierai pas de te le répéter souvent sale pute. À partir de maintenant tu es mon vide couilles personnel, compris ?
– Oui frangin !
– Bien. Je vais bien t’éduquer avec ma bite, tu pourras la prendre par devant comme par-derrière jusqu’aux burnes. Tu seras ma lope à dispo. Délire comme idée
– Huuum trop bien !
– Ouais, à partir de maintenant on va bien s’amuser maintenant que je sais qu’il y a un trou dans la maison. Maintenant faut que je sache, depuis quand tu es comme ça ? Tu le fais souvent ce genre de show avec la courgette ?
– Ça fait environ 1 an que je sais que je suis gay, et pour le godage non, les rares fois où je suis tranquille.
– Ah okay, et comment tu as su ?
– Je crois que tu ne veux pas savoir.
– Si vas y raconte !
– Tu vas me trouver encore plus pervers.
– Pas grave, j’en ai déjà vu pas mal là.
– Okay. Il y a un peu plus d’un an, je me posais déjà des questions et je sentais que j’étais attiré par les mecs. Mais c’est le jour où j’ai vu papa à poil dans la salle de bain que j’ai vraiment eu la certitude que j’étais attiré par la bite.
– Sérieux !? En voyant papa, putain tu kiffes la famille toi. C’est chaud quand même.
– Oui je sais, depuis ce jour je ne pense qu’à sa grosse queue que j’ai vue. Puis après j’ai eu des fantasmes avec tonton puis toi. C’est les mecs virils qui m’excitent, mais vous 3 encore plus.
– Bah dis donc, l’autre soir pendant le match on se disait tous les 3 que tu étais juste timide et qu’avec les filles ça viendrait plus tard. En fait jamais vu que tu baves sur nos bites. Quelle chiennasse.
– Tu parles de samedi dernier ?
– Oui pourquoi ?
– J’étais dans ma chambre en train de me branler en imaginant que vous me baisiez tous les 3 !
– Mais non arrête tu déconnes. Bordel, un vrai dépravé. J’ai jamais vu quelqu’un d’aussi hard et accroc à la bite.
– Enfin tu as eu l’air de bien aimer ça non ?
– Oui c’est clair, mais c’est bizarre de réaliser que tu faisais ça à côté de nous sans l’imaginer.
– Bah maintenant ce sera nous 2 dans la chambre en train de s’amuser sans que les parents et tonton s’en doutent.
– Ouais, grave, ça me chauffe de ouf comme idée.
– Bah déjà, papa qui doit arroser la pelouse dehors doit être loin d’imaginer que son aîné vient d’inonder la gueule de son cadet !
– Mais tellement ! En vrai faudra faire super attention, faut que personne le sache. Je ne veux pas de problème et surtout pas qu’on pense que je suis homo. J’ai bien kiffé avec toi, car tu suces bien, mais les mecs ce n’est pas mon truc, okay ?
– Oui d’accord, tu me donnes juste ta bite et moi je m’en occupe.
– Voilà, comme une bonne chienne à son maître haha.
– Ouais !
– Mets-toi à 4 pattes devant moi, là comme ça. Je ne réalise pas trop encore, que tu sois gay et ce qu’on a fait.
– Tu veux que je recommence pour t’aider à t’y faire ?
– T’inquiète pas, tu vas encore la bouffer ma bite et pas qu’un peu je pense. Tu as vraiment une bouche faite pour sucer et je vais en profiter. Donc je ne vais pas me gêner !
– Avec plaisir, 1 an que j’attends ça donc je suis affamé, je m’occupe de ta teube et te vide les burnes quand tu veux.
– Parfait. Normalement on mange dans 1 heure, viens on va se poser dans ma chambre, on entend quand quelqu’un monte de là. »
Puis on est allé tous les 2 dans sa piaule. Il s’est allongé sur le lit la queue à l’air, et m’a demandé de le sucer une seconde fois. Cette fois il m’a laissé gérer tout du long, il matait juste et m’insultait de temps en temps. Je me suis encore régalé. Grâce à la première vidange, il a tenu encore plus longtemps. Il m’a encore rempli la bouche au moment où maman nous appelait pour passer à table. Il y avait un peu moins de jus, mais quand même de quoi me désaltérer. C’est le ventre déjà plein de bon foutre que je suis passé à table. Saucisse purée au menu, avec mon frère on s’est regardé avec un sourire qui voulait tout dire. Sous la table il jouait un peu avec mon pied, je lui répondais, mais en faisant attention aux parents.
L’après-midi ils sont partis acheter des fleurs et de ballader, le soir on sortait chez des amis. Avec Mathieu on en a donc profité pour aller dans sa chambre.
Une fois dedans il a fermé sa porte et m’a lancé un truc qui m’a direct chauffé :
« Aller hop, à poil la petite chienne. J’en peux plus j’ai trop envie de tester ton cul. Fous-toi à 4 pattes sur le lit et tend moi ta chatte. »
Je me suis exécuté et j’ai bien exposé mon trou à la vue de mon frangin. Il s’est approché de moi et a saisi mes fesses.
« Alors, voyons l’état de ta rondelle. Putain j’y crois pas, elle est super serrée.
– Je te l’avais dit, mon cul se referme vite.
– Ouah, mais il y a 3 heures il se refermait à peine. Bordel ça me donne la trique. Je vais l’ouvrir encore, mais avec ma bite tu vas voir sale chienne.
– Oh oui vas y ! Dépucèle-moi du cul ! J’en ai trop envie, pistonne moi avec ta bite !
– T’inquiète je vais bien te démonter. »
Mathieu a donc fouillé ma raie puis est lentement descendu jusqu’à mon trou frétillant. J’ai alors découvert une sensation nouvelle, celle d’une langue sur ma rosette. C’était incroyablement bon, j’avais des sensations dans tout le corps. Je bandais comme un âne et je savais que Mathieu aussi. Après un bon bouffage de cul il a commencé à mettre un doigt pour me préparer, j’ai gémi de plaisir. Il trouvait mon trou serré, mais était étonné de la vitesse à laquelle il s’ouvrait. J’étais à 4 pattes sur le lit de mon frère avec 2 de ses doigts dans la cul, la veille je me branlais encore en imaginant une scène similaire.
« Tu es puceau c’est ce que tu m’as dit ?
– Oui c’est ça.
– Met toi sur le dos alors, je veux que tu voies ton grand frère prendre ton pucelage de salope.
– Oh oui !
– Par contre je n’ai pas de capote, je sais c’est il faut éviter, mais là trop envie.
– Moi jamais rien fait donc je suis clean, et toi ?
– Oui je le suis
– Okay, vas-y, de toute façon trop envie de ton zob là ! »
Il m’a alors retourné et attiré le cul au bord du lit puis il a posé son gland sur ma rondelle. D’où j’étais, sa bite me paraissait énorme et interminable, mais j’avais trop envie de la sentir dans mon cul, depuis le temps que j’attends ça !
« Prêt à devenir un enculé p’tit frère ?
– Oui, vas y défonce moi !
– Tu vas prendre chère petite pute. »
Et d’un léger coup de reins, il a enfoncé son gland dans mon cul. J’ai eu mal quand il a forcé le passage, mais il s’était arrêté pour que je m’habitue à l’intrusion de ce monstre en moi. Mon cul entourait son gland et mes sphincters jouaient à le serrer, ça le faisait gémir. Ne tenant plus, il a commencé, lentement et en surveillant mes réactions, à s’enfoncer en moi. D’habitude, ayant le cul plus préparé et gérant moi-même, j’avais moins mal, la preuve ce matin avec ma courgette, mais là je ressentais tout de même une douleur pendant la pénétration. Comme pour ma bouche, il a buté aux fonds avec sa bite, elle fait 21 cm il m’a dit. Il restait quelques centimètres. Il a essayé d’aller plus loin, mais j’avais trop mal donc il a arrêté. Il est resté quelques instants sans bouger au fond de mon cul, j’étais trop bien comme ça.
« Ça va comme ça ? Tu t’habitues à ma queue ?
– Oui c’est bon, et toi tu es bien là ?
– Ouais grave, il est super serré ton trou tu avais raison, j’y suis trop bien. Je peux commencer à te baiser ?
– Oui, va y encule moi frero ! »
Et avec mon feu vert, Mathieu a commencé de lents vas et vient dans mon cul. C’était trop bon ! Rien de comparable avec la courgette, c’était chaud, et je voyais le visage de mon frère marqué par le plaisir. Pour la salope que je suis c’est la plus grande récompense que de voir un mâle prendre son pied dans mon cul. Alors imagine journal quand ce mâle est mon propre frère ! Mathieu allait à un bon rythme, il ondulait de plus en plus du bassin. Il a commencé à s’amuser à sortir sa queue pour la rentrer d’un coup violent de rein, trop bon. Son gros gland venait frotter ou culbuter ma prostate à chaque coup de bite, j’étais noyé dans un océan de plaisir, chaque vague était plus grande et meilleure. Je partais dans un délire sexuel, j’aimais sentir la queue de mon frère me baiser, j’en voulais encore. Quand j’ai crié :
« Vas y baise moi à fond, explose mon cul ! », Mathieu ne s’est plus retenu et m’a enculé à grand coup de butoir. Il tapait au fond de mon cul avec violence. Il me baisait comme un bourrin, j’étais son trou et il voulait me remplir. Il m’a demandé de me mettre à 4 pattes sur son lit, il est monté dessus et il m’a offert ma première levrette. Il a agrippé mes fesses et les utilisait pour me faire venir toujours plus fort sur son gros braquemart. C’était tellement bon que je sentais ma jouissance monter, sans me toucher comme ce matin. A force de toucher ma prostate avec sa bite, j’ai fini par exploser sur les draps de son lit. Je gémissais comme une femelle, mon corps tremblait par de grands spasmes à chaque jet envoyé. En même temps mon cul se resserrait sur la queue de mon frère à chacun de mes spasmes, cela eu raison de sa propre jouissance.
Dans un grand râle et un dernier coup très violent, Mathieu s’est enfoncé au max dans mon trou bien ouvert pour le remplir de son foutre. Je sentais la chaleur dans mon ventre se diffuser. Je me sentais rempli comme une pute par la semence de mon frère adoré. Il s’est écroulé sur moi et est resté quelque temps dans mon cul plein de son jus. Moi j’avais le torse gluant de mon sperme. J’étais au paradis, j’en avais fantasmer des tas de fois, et cette première était parfaite, encore mieux, car en vrai.
Quand il est sorti de mon cul, j’ai tout de suite pris en bouche sa queue luisante de sperme pour la nettoyer. Il m’en a félicité. Après ça je me suis nettoyé le torse avec des mouchoirs. J’étais encore en train de planer suite à cette jouissance énorme et cette première fois. Heureusement que je m’étais entraîné sinon on n’aurai pas pu baiser comme on l’a fait. Une première fois est normalement beaucoup plus soft et moins bestiale. Mathieu était très content et m’a dit que j’avais un bon cul, ça m’a rendu fier.
« En vrai on y est allé fort pour te dépuceler, ça va ton cul ?
– Oui oui t’inquiète, j’ai encore ton jus dedans qui coule, mais j’ai bien encaissé.
– Ouais pour une première bravo. J’avais peur que tu sois un fantasmeur et que tu n’assumes pas quand je te baiserai, mais si. Même mes meufs je ne les ai jamais niqués comme ça, et pourtant j’ai eu des chaudasses. Mais toi tu es la reine des putes frangin !
– Et toi le roi des baiseurs avec ton gros sceptre.
– Ahah. Bah maintenant tu es officiellement une chienne et un enculé, je vais pouvoir profiter de toi. En plus j’ai pas de nana en ce moment, ça m’évitera de me branler.
– Je te vidangerai avec plaisir !
– Bah déjà tu peux être sûr que tous les soirs avant d’aller te coucher tu passeras d’abord me tailler une pipe.
– Huuum. Et le matin tu te lèves à quelle heure ?
– 6 h 30 en ce moment comme mon chantier n’est pas loin. »
En sachant ça, j’avais en tête d’aller réveiller mon frère tous les matins avec une pipe. J’avais enfin une bite pour m’occuper et dans ma propre maison, j’allais donc en profiter le plus souvent possible.
« Pour que je t’encule par contre je sais pas quand on pourra, ça dépendra des parents, mais pas trop de risque.
– Okay t’inquiète.
– Et par contre pas un mot de ce qu’on a fait aujourd’hui hein.
– Tu me prends pour qui, je ne veux pas que ça se sache non plus. Enfin si tu veux en parler à un de tes potes pour jouer avec lui aussi je dis pas non haha.
– Même pas en rêve que je leur en parle, ils me prendraient pour un PD et je ne veux pas de ça.
– Je plaisante.
– D’acc. Maintenant file, je viendrai te chercher quand j’aurai rechargé pour une autre vidange.
– Okay frangin. »
Je suis retourné dans ma chambre et j’ai commencé à écrire ce récit sur tes pages cher journal.
Plus tard dans l’après-midi, vers 16 h, mon portable a vibré. C’était un MMS de Mathieu. En chargeant l’image, j’ai vu sa grosse queue apparaître sur mon écran avec pour message « vient téter ton biberon, c’est l’heure du goûter ».
Je suis directement allé dans sa chambre, où il m’attendait la teube bien dure. Je me suis jeté sur sa bite et je me suis activé. Je l’ai sucé longuement et il m’a encore rempli la bouche. Je kiffais et je devenais accroc à son jus de couilles.
J’étais devenu son vide burnes, son objet. Je lui servais juste pour se vidanger puis je pouvais partir. Ça ne me dérangeait pas du tout, j’aimais ça au contraire. Mon frère est un hétéro viril, je n’attendais pas de sentiments ou de geste d’affection intime de sa part. J’étais un trou et j’aimais remplir ce rôle, pour me faire remplir.
Le soir comme prévu on est allé chez les amis de mes parents manger, Mathieu était venu, car pas de soirée prévue et il les aimait bien. Pendant le repas j’ai senti son pied. On a joué discrètement sous la table, mais rien de plus. En rentrant, Mathieu qui avait bien bu a pris ma main silencieusement pour la poser sur son entre-jambes. Avec l’angle on ne pouvait pas nous voir, mais j’avais un peu peur. Peur qui fut changée en excitation quand j’ai senti sa bite durcir dans son pantalon. Il m’a lancé un regard vicieux qui voulait dire « voilà ce qui t’attend à la maison salope ». Et évidemment, après avoir dit bonne nuit aux parents puis être monté dans sa chambre, je me suis retrouvé avec la grosse bite de mon frère encore éméché dans la gorge. Je me régalais encore et lui poussait des râles. La chambre de mes parents est à côté de la mienne et à l’opposé de celle de Mathieu, mais j’avais peur qu’ils entendent.
Malgré ça je continuais à pomper comme une chienne. Même après toutes ses éjacs, le frangin avait encore de quoi bien me remplir la bouche. Une vraie fabrique à lait de couilles le Mathieu, et moi une bonne trayeuse. Après je me suis branlé et j’ai juté dans ma main, avant de lécher mon propre sperme.
Une fois fini on s’est dit bonne nuit et il s’est affalé dans le lit. Moi je suis allé me brosser les dents puis je suis allé vers ma chambre. En y allant, je suis passé devant celle des parents et j’ai entendu mes parents parler, car la porte était mal fermée
« Aller chérie s’il te plait j’en ai trop envie ce soir.
– Je suis fatiguée et tu as trop bu. Endors-toi.
– Un petit coup, je suis sûr que tu en as envie aussi. Regarde, tu mouilles cochonne.
– Oh, et puis vas-y. »
J’ai alors vu pour la première fois mes parents coucher ensemble. J’avais déjà entendu quelques fois, mais avant que je fantasme sur papa. Là je percevais dans la pénombre ses coups de reins et les comparais à ceux de Mathieu. J’avais joui avec lui, mais excité je me suis encore branlé en les écoutant comme un voyeur pervers. Ma mère s’inquiétait qu’ils me réveillent. Mon père lui dit que non, que je devais dormir profondément. Pas autant que lui l’était dans la chatte de maman s’il savait. J’ai joui encore dans ma main, et pendant que je goutais mon jus papa larguait le sien.
Je suis parti avant de me faire griller. Je n’en revenais pas. Cette journée était complètement dingue comme tu peux le voir cher journal. Depucelé par mon frère et j’ai vu papa baiser, 2 de mes fantasmes dans la même journée. Manque plus que tonton qui m’envoie une photo de sa bite et c’est parfait.
Ayant entendu maman rechigner, je n’ai pu m’empêcher de me demander si papa était comblé sexuellement. Il est très beau et viril pour ses 44 ans, beaucoup de femmes se retournent sur lui j’ai vu. Ce serait dommage qu’un tel Apolon soit en manque. En tout cas j’aimerais bien le satisfaire moi.
Avant d’aller me coucher j’ai marqué tout cela sur tes pages mon cher journal pour te raconter ma folle journée. Je ne réalise pas encore, tellement c’est irréel et surfait. Je te laisse pour ce soir mon petit journal, tu sauras la suite demain.
Je vais m’endormir profondément en repensant à ma pipe qui a tout déclenché, à ma première baise et à ce qu’on s’est dit avec Mathieu. Je suis aussi déjà impatient d’aller réveiller mon frère en le suçant comme une bonne chienne.
Clovis Lar
clovis.lar @tutanota.com