Premier épisode
Deux mois plus tard, Gaël, Ilyem et moi sommes installés dans la salle d'attente de la clinique privée où nous avons participé à l'expérimentation d'un nouveau médicament. Un bilan post-expérience fait partie du protocole. L'endroit ressemble davantage à un salon open space d'une start-up branchée qu'à une salle d'attente comme on en connaît tous : les sièges uniformes en plastique blanc vieilli ou gris déprimant sont remplacés par un grand canapé fuchsia éblouissant sur lequel Ilyem et moi nous sommes assis, trois tabourets de bar en bois verni tandis que Gaël s'est vautré sur un des deux pouffes.
Nous blablatons pour passer le temps ; la ponctualité n'étant pas la qualité première du médecin qui doit nous recevoir un par un. De toute façon, respectant les consignes de la convocation, nous n'avons rien prévu pour la journée et, en plus, on est rémunéré à l'heure tout le temps de notre présence dans l'établissement. Je peux même aller faire un billard avec le doc' s'il en a envie : être payé à lui mettre une dérouillée, il y a pire.
Pourtant, je n'ai pas vraiment le cœur à discuter. Je regarde Gaël se faire chambrer par Ilyem.
« Bah alors, Gaël, qu'est-ce que tu fous ? demande Ilyem avec une pointe de sarcasme. T'as arrêté la natation ? C'est parce que t'as choppé une nouvelle meuf qui t'empêche de sortir du lit, j'en suis sûr.
- Arrête tes conneries Ilyem, lui lance Gaspard sans grande conviction. Et pourquoi tu dis ça ?
- J'ai l'impression que tu as perdu en muscles, en masse. T'es moins baraqué qu'avant.
- Vous allez tous me faire flipper à me dire ça. T'es au moins le cinquième cette semaine à me dire ça.
- Et on n'est que mercredi, putain, s'amuse Ilyem.
- Non, mais sérieux mec. Même le coach me l'a dit hier. Pourtant rien n'a changé ni l'intensité des entraînements ni l'alimentation.
- Ouais, mais t'as pas nagé pendant deux mois à cause de l'essai clinique, ai-je argumenté pour mettre un terme à cette conversation. Ça va vite revenir.
- Mouais, conclut Gaël sans grande conviction ».
Je dois reconnaître que je partage le ressenti d'Ilyem. Gaël semble moins volumineux et j'ai même l'impression qu'il a rapetissé. C'est complètement con, je me fais des films. Lui qui est le stéréotype du nageur de compétition avec ses épaules larges, ses pectoraux développés et arrondis (il me fait bander ce con) et sa grande taille, il semble aujourd'hui un peu moins y coller. À l'inverse, Ilyem qui est une brindille toute fine facile à rompre semble avoir pris un peu de muscles. Et chose rare, lui qui se plaint d'être imberbe – ou quasiment imberbe – arbore une barbe négligée de trois jours. Chose que je relève pour détourner la conversation du corps de Gaël.
« Et toi, tu t'es pas rasé depuis la fin de l'expérience, c'est ça ? lance-je à Ilyem en le bousculant du coude. Vu le rythme auquel croît ta pilosité, il te faut bien deux mois pour avoir une barbe de trois jours.
- Ah ah, très drôle. T'as sucé un clown ce matin ? me répond Ilyem.
- Non, mais sérieux mec, enchérit Gaël. Tu te vantes de n'avoir à te raser que tous les cinq jours et tu te pavanes avec ta gueule de minet. Et maintenant, tu te laisses pousser la barbe. D'ailleurs, c'est un peu dégueulasse, tu devrais mieux la tailler. C'est le médoc qui t'a fait ça ?
- Pfff, t'es con, mais c'est vrai que ma barbe pousse plus, répond Ilyem aussi surpris que moi de la réponse osée de Gaspard, lui habituellement effacé et très poli. Pourtant, je me suis rasé hier soir.
- Arrête tes conneries Ilyem.
- Je te jure, Gaël, maintenant je me rase tous les deux jours ».
Le médecin – ou plutôt la doctoresse – interrompt la conversation pour convoquer Gaël et préciser qu'elle recevra ensuite Monsieur Gardian, un petit blondinet de notre âge, discret, craintif et effacé sur un des tabourets. Une statue transparente posée négligemment sur un piédestal démesuré pour elle. Le blondinet statufié répond avec un accent du Sud duquel on entend le roulement des vagues et on perçoit la douceur de l'huile d'olive.
Après le départ de Gaël, Ilyem me murmure à l'oreille qu'il a envie de me sucer. Étant assis, mon short est bombé par ma queue mi-molle. Je me lève et empoigne Ilyem pour sortir de la salle d'attente. Je trouve rapidement un petit local suffisamment spacieux pour deux personnes : le local reprographie de la clinique où une imprimante-photocopieuse, à en croire l'affichette sur la porte, est hors service. Je devrais pouvoir baiser la chatte d'Ilyem sans être dérangé.
Celui-ci ne perd pas une seconde. Il se jette à genoux devant moi, descend ma braguette de son délicat doigté et sort ma queue et mes couilles sans me déshabiller. Empoignant ma bite pour la porter à ses lèvres gourmandes, il marque un temps d'arrêt.
« Ta queue a grossi ? s'étonne-t-il.
- Te gêne pas, connard, réponds-je vexé. Dis que j'ai un micro-pénis. Et là, je suis qu'en mi-molle.
- J'ai l'impression qu'elle est plus épaisse que d'habitude. Et quand je prends ta belle bite de mâle en main tu es direct raide à fond.
- Ça veut dire que tu fais mal ton taff. Alors, ouvre plutôt ta gueule pour me pomper que pour faire des remarques désobligeantes ».
Force est de constater qu'Ilyem n'a pas tort. Je trouve ma bite plus épaisse que d'habitude et c'est vrai que je ne bande pas à fond. Les établissements hospitaliers ne m'ont jamais mis trop à l'aise non plus, voilà certainement l'explication. Ne cherchant pas à me prendre la tête, je saisis Ilyem par les cheveux qui couine d'excitation par mon geste et le force à gober ma bite en entier. Je le bloque pour laisser gonfler ma queue dans sa bouche de suceuse. Il s'étouffe, mais rien à foutre. Je lui fais payer sa remarque désagréable, ce qu'il semble apprécier d'après les gémissements de soumission qu'il commence à pousser.
Me sentant bien raide – et n'ayant pas envie de faire crever ma femelle – je sors ma bite de sa bouche pour le bifler. Un peu de précum s'étale sur ma joue. Surpris, Ilyem en récupère du bout des doigts pour le lécher avec gourmandise et délectation. Cette salope sait qu'elle m'excite ainsi. Je veux baiser cette petite chienne peau contre peau. J'enlève donc mon t-shirt, ce qui tétanise Ilyem qui se relève soudainement et me colle une putain de baffe !
« Putain, c'est quoi ton problème mec ?
- C'est quoi mon problème, Gaspard ? Je sais que tu veux être musclé et que tu galères, mais de là à prendre des stéroïdes ou je ne sais quelle merde, non. Tu ne joues pas avec ta vie comme ça.
- C'est quoi ton délire, mec ? Je ne prends rien, t'as fumé ça où ?
- Alors, explique-moi comment t'as pris du muscle en deux mois »
C'est vrai que ma silhouette s'est transformée, je commence enfin à prendre du muscle. Néanmoins, j'ai simplement estimé qu'après deux mois d'inactivité mes efforts ont commencé à payer. Évidemment que je n'absorbe aucune de ses conneries, même pas le moindre brûleur de graisse. En revanche, cette salope va payer cette gifle. Elle n'a pas à frapper le mâle qui la baise et la fait couiner de plaisir. Pourtant, recevoir cette gifle m'a excité, ma bite a mouillé ; Ilyem qui kiffe le précum s'est jeté sur mon gland pour le lécher, lui qui se plaint que je ne mouille jamais. Pendant qu'il me suce mon gland plus gonflé que d'habitude et me caresse mes couilles pleines de foutre chaud, la colère m'envahit : j'ai envie de lui faire payer sa baffe. C'est moi le mâle dominant, je ne vais pas me faire gifler par un soumis, même s'il s'inquiète de la santé de son baiseur.
Je repousse fermement Ilyem qui essaye de se ventouser à ma bite. C'est vrai qu'elle est plus épaisse. Mon gland est plus large. Ma petite pute d'Ilyem devrait bien couiner. Je le relève pour l'appuyer face contre l'imprimante-photocopieuse. Cette femelle se cambre instinctivement avec des gémissements d'excitation, d'authentiques appels à la saillie par ma bite turgescente.
Je baisse son short et je découvre son … jockstrap. C'était prémédité, ce qui m'excite encore plus. Mais ce n'est pas moi le jouet de son plaisir, mais l'inverse. Je pousse jean et boxer à mes chevilles, Ilyem écarte ses fesses, je crache sur son trou palpitant d'impatience puis pose mon gland dessus. Un mince filet de mouille s'écoule de mon méat. Ce mec m'excite à fond quand il se la joue salope. Enfin, il ne joue à rien ; sa nature sexuelle est celle d'une salope. Sans ménagement, je le pénètre en ne pensant qu'à mon plaisir. Il va payer son outrage à ma virilité. J'empoigne ses hanches que je trouve plus fermes et musclées depuis notre baise dans la forêt il y a deux mois. Je le bourrine de toute la longueur de ma queue. Je ne cherche pas à m'enquérir de son plaisir qu'il tend à ressentir si j'en crois ses gémissements et ses supplications murmurées : « Baise-moi Gaspard. Baise-moi comme une chienne. Je suis là pour te satisfaire, recevoir ta queue puis ton foutre de mâle dominant en moi. Démonte-moi la chatte. Démonte-moi jusqu'à me féconder de ton foutre, à m'engrosser comme une chienne ». Entendre Ilyem exprimer son plaisir me conduit à le baiser plus fort, plus virilement, plus virulemment. Et il encaisse. En couinant. En en redemandant encore. Son buste cogne contre l'imprimante-photocopieuse. « Alors sale chienne, on t'entend moins. Encaisse. Honore ma queue ».
Son corps s'abandonne à sa soumission. Soumis à coups de bite. Je me penche sur Ilyem, mon ventre aux abdos naissants épouse son dos. J'abandonne un instant ma domination pour lui mordiller puis embrasser le cou. Mes coups se font plus tendres, plus sensuels. J'approche mon visage du sien, j'entends ses gémissements essoufflés. Ma main gauche caresse sa poitrine tandis que ma main droite descend lentement le sillon vertical creusé par ses abdos émergents. Certes, Ilyem est fin, mais je ne me rappelais pas qu'il avait un six packs esquissés. Ma main frôle son bas ventre où, pour la première fois depuis que nous baisons ensemble, je sens des poils pubiens. Ces derniers retiennent la mouille qui s'écoule abondamment de son sexe de soumis enculé. J'empoigne sa bite en lâchant un « oh ! » de surprise : pour la première fois, je n'arrive pas à faire le tour de sa queue avec ma main. Son pénis de chienne est devenu ultra-sensible, car le moindre mouvement de ma main lui arrache des couinements de plaisir comme je ne lui en ai jamais entendu. Cela réveille ma nature bestiale et dominatrice qui s'était quelque peu assoupie. À l'entendre couiner en bon soumis, j'envie sa position et ressens l'envie de me faire enculer. Je chasse cette sensation en accélérant mes coups de reins. Des râles rauques s'échappent de ma gorge, je sens ma jouissance venir, ce moment où le mâle se vide dans sa femelle soumise à la chatte dilatée. « Je vais venir sale chienne ». Ilyem se cambre davantage, instinctivement.
« Féconde-moi beau mâle, je t'en supplie, remplis-moi la chatte ». À ces mots au pouvoir excitant indéniable, je jouis dans son cul, serré malgré mes coups de pieux. Un long râle de plaisir de mâle qui se vide emplit la pièce. J'enfonce toute ma bite dans son cul, mes mains se crispent sur mes hanches. Ma bite se contracte et expulse tout le foutre que mes couilles contiennent depuis quelques jours. Cette sensation de satisfaction d'être le mâle dominant repu m'envahit puis se dissipe rapidement. Je me retire brusquement, sans considération pour ma femelle remplie. Une odeur de sperme envahit le local. Un peu s'en échappe de la chatte de ma chienne que je viens de saillir.
Exténué, Ilyem se retourne. Sa bite a clairement grossi. Une authentique queue de rebeu comme beaucoup espèrent dans leurs fantasmes. Longue, épaisse. A vue d'oeil, un bon 19 cm de long pour au moins cinq d'épaisseur. Cette vision m'excite. Pourtant seuls les culs bombés et serrés m'intéressent. Mais là, voir Ilyem branler sa queue à deux mains génère une boule d'excitation naissant dans mon bas ventre pour remonter jusqu'à ma gorge et redescendre jusqu'à ma queue d'où un long filet visqueux de mouille suinte. Ilyem se branle de ses deux mains, tant elle est épaisse. Un sourire de dominateur semble s'esquisser sur son visage barbu. Ses aisselles sont fournies. Cette scène m'excite. Je ne semble plus contrôler ni mon corps ni mon excitation : je me jette à genoux devant Ilyem pour lui lécher les couilles pendant qu'il se branle. Il écarte une main de sa putain de grosse bite pour m'enduire le visage de sa mouille de rebeu. Il saisit ma gorge et me force à sucer son gland, je n'oppose aucune résistance. Pire, je lâche un gémissement qui lui décroche un petit rire. « Qui est la salope maintenant » décoche-t-il, acide et sûr de lui. « Qui est le mâle dominant » devrais-je m'interroger. À l'instant, clairement pas moi. Je le suce comme un affamé, comme si je devais rattraper 24 ans d'abstinence de suce de queue. Les gémissements de femelle d'Ilyem se transforment en râles rauques, naturellement, sans qu'il force sa voix. Agrippant les cheveux pour m'écarter de sa grosse queue épaisse et large emplie de mouille et de ma salive, il se branle vigoureusement d'une seule main. Sa bite de cheval convulse et gicle de gros jets épais de foutre sur mon visage. J'en reçois sur mes lèvres, mes paupières et même dans mes cheveux. Et je prends mon pied puisque je sens un long filet de sperme couler lentement de ma queue qui s'est gonflée de sang pendant que je suçais Ilyem. De son gland, il ramène son jus de femelle vers ma bouche et … j'avale. Un sourire narquois et carnassier que je ne lui connaissais pas assombrit son visage.
Une fois essuyés et rhabillés, on retourne dans la salle d'attente. À peine installés sur le canapé fuchsia, on voit Gaël sortir du bureau de la doctoresse. Il est déconfit, ses yeux brillent. « Les mecs, j'ai perdu trois centimètres et six kilos ».
Merci à toi d'avoir lu ce second épisode. J'espère qu'il t'aura plu et donné l'envie de lire la suite. Que tu aies bandé ou, succès suprême, que tu aies joui en le lisant est le plus beau compliment. Envoie-moi par mail ton ressenti, tes remarques ou tes conseils, ce sera un plaisir de lire ton retour et de discuter avec toi.
Protégez-vous et prenez soin de vous.
BimBamGay
bimbamgay@gmail.com