Nu, je suis allongé sur le ventre. Mes tétons pointent contre le matelas. C’est un peu douloureux et en même temps très excitant. En demi-molle, ma bite repose contre le matelas, elle aussi. Mon cul, offert, dépasse de la couette. Entièrement rasé, je sens une bise d’air frais de cette nuit d’été caresser mon anus rose et souple, qui s’ouvre et se referme, avide d’être utilisé.
Mon nom est Martin, 22 ans. Je fais environ 1 mètre 80. De constitution frêle, j’ai une peau pâle, un visage plutôt mignon. Très peu poilu, j’ai le torse imberbe et mince. Mes fesses, rondes et rebondies, ornent une belle chute de rein à la courbure presque féminine. Mes cheveux châtains ornent mon visage souriant, que mon mec qualifie toujours de « petite gueule d’ange ».
Mon mec, c’est Dorian, 24 ans. 1 m 90 de muscle, une peau bronzée, des tablettes de chocolat, des pecs développés, la boule à zéro ou presque, un visage masculin, mais jeune, très harmonieux, de beaux yeux verts, des biceps gonflés et une superbe queue de 19 par 6. Bref, le rêve de tout passif
Alors que je somnole dans cette position provocatrice, je l’entends rentrer de son boulot. Il doit être minuit, peut être plus. À pas lourd, il entre dans la chambre. Il sait que je ne dors pas, que j’ai trop besoin de lui. Il soupire de plaisir en me regardant. Je ne tourne pas la tête, je garde les yeux fermés alors qu’il pose une main ferme et calleuse sur ma fesse gauche, la malaxant, la claquant un peu.
Alors bébé, passé une bonne journée ?
Je frémis, j’aime sa voix grave et chaude. Je gémis un « oui… ». Il rigole et je sens du mouvement. Il se déshabille et bientôt, je le sens se coucher contre moi, lourd et puissant. Il me mordille l’oreille. Surpris, je gémis et je frissonne, poussant un petit cri. Il murmure « Tu vas prendre cher, salope ». Je bande, ça y est. Et dur. Mon anus s’ouvre frénétiquement. Il crache dessus et me met un doigt, puis deux, coulissant doucement puis plus rapidement. Il passe à trois doigts, je soupire déjà d’extase, en proie à ces fourmillements délicieux dans l’anus.
Il les retire soudain. « Retourne-toi », m’ordonne-t-il. J’obéis aussitôt. Je le découvre dans la lumière de la lune, musclée. Il est en caleçon, et je vois une bosse énorme qui déforme ce dernier. Il me fait signe, prenant l’air dur et un peu dominant, et même si je sais que c’est un jeu, je n’ose pas rechigner, je n’en n’ai d’ailleurs pas envie. Avidement, je baisse son sous-vêtement. Sa queue, lourde et imposante, se déploie. Je m’empresse de caresser le gland, de le prendre en bouche. Il soupire de bonheur. Je prends ensuite la hampe avec ma langue, je titille un peu ses couilles avec main gauche pendant que de la droite, je le branle. « En entier… » dit-il en gémissant, les yeux fermés. Prenant une grande respiration, j’essaye d’enfoncer le maximum dans ma petite bouche.
Même après deux ans, je n’ai pas l’habitude. Énorme, elle occupe tout l’espace. Elle vibre de plaisir. Dorian me caresse les joues en me regardant dans les yeux, puis commence à me baiser la gorge, littéralement. Son gland tape au fond de ma bouche, j’ai un haut-le-cœur, mais j’arrive un peu à respirer par le nez. C’est une vraie baise, ma gueule en prend plein son grade, régulièrement, il retire le monstre pour me bifler, laissant des traces de salives sur mes joues. J’ai les larmes aux yeux, mais je sais que ça l’excite encore plus quand je chiale. Moi même j’ai une gaule d’enfer, mais je ne me branle pas, pas de suite, même si c’est dur.
Quand il la retire enfin, je tousse. Il a l’air un peu gêné, mais est encore excité. Il me relève, nous sommes à genoux dans le lit, il m’embrasse comme pour me remercier d’avoir été si courageux, même si c’est loin d’être fini. Alors que je caresse ses pecs et que je branle un peu sa pine, le jeu de domination reprend. Avec un éclair lubrique dans les yeux, il me gifle et m’ordonne de lui présenter mon cul, ce que je fais en gémissant. Il le saisit à deux mains, le fesse un peu, histoire de, puis se met à le lécher. Sa langue titille ma chatte, entre dans mon intimité, me donnant des charges électriques délicieuses. Je ne peux pas retenir mes petits cris, c’est trop bon putain !
Quelques crachats, ni une ni deux, il décide d’un coup de s’enfoncer. Sa teub énorme me perfore l’anus, comme à chaque fois. Dorian ralentit un peu à la moitié, parce que je crie un peu de douleur. Il me caresse le dos, s’enfonce plus doucement, couché sur moi, il me titille les tétons et me murmure que je suis son petit ange pendant qu’il arrive au fond. Il me laisse le temps de m’habituer, la douleur ne diminue pas de beaucoup, mais il en a marre, alors il commence à me pilonner. La douleur s’estompe rapidement, et je commence à ressentir des vagues de plaisir alors que son gland percute ma prostate. « espèce de salope, je vais te faire des bébés, sale pute, tu vas te faire féconder », grogne mon mec pendant que je crie que je gémis, soumis à ce plaisir délicieux. Sa queue me laboure l’anus, littéralement, il n’y a pas d’autre terme. Dorian crie littéralement, maintenant, comme moi. Je vois des étoiles, je ressens des vagues inouïes de plaisir, plus forte à chaque fois que son gros gland gorgé de sève vient frapper ma prostate soumise et offerte.
Dorian, comme à son habitude, me tient les mains plaquées contre le dos pendant la défonce, quand soudain il me crie « Facial ! ». J’ai l’habitude. Il se retire brusquement, j’ignore mon trou béant et je me retourne tant bien que mal. Il se branle énergiquement et dans un cri de jouissance brute, il expulse sur moi cinq à sept jets de foutre chaud et crémeux. Le sperme brûlant atterrit sur ma langue, s’emmêle dans mes cheveux, j’en ai sur le buste, le nez, même sur l’oreille droite. Dorian me tient la tête par les cheveux pendant qu’il me donne sa bite à nettoyer. Son sperme est salé, mais je l’adore parce que c’est le sien, alors j’avale tout goulument, très consciencieux. Il me lâche les cheveux, sa bite retombe et il me prend dans ses bras. Il me branle un peu et c’est à mon tour de venir contre lui, mon sperme s’étalant sur ses abdos dessinés. Je me penche et je lèche tout en le fixant droit dans les yeux. Il me sourit, de ce sourire que j’aime tant, enroule ses bras autour de moi et m’embrasse doucement. Il me murmure un « Je t’aime, bébé », et je m’endors contre ses pecs, dans ses bras puissants, fécondés et heureux.
Ddapell
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