Bonjour à tous, je me présente : Jean, 20 ans, 1m80, assez musclé et en couple avec Éva, une fille de mon âge, depuis un an. Mon couple va bien même si sexuellement Éva se préoccupe plus de son plaisir que du mien, elle ne m'a jamais sucé par exemple.
L'histoire que je vais vous raconter s'est déroulée il y a maintenant 3 semaines, le frère d'Éva (de deux ans son ainé) Marc devait emménager dans son nouvel appart à Paris et n'ayant pas de voiture, nous lui avions proposé de venir l'aider avec la mienne. Le déménagement se passait bien et même si je n'avais pas encore tissé de liens forts avec Marc, l'ambiance était plutôt bonne et propice à la rigolade. Vers 11 h nous avions fini d'amener tous les cartons dans le nouvel appart de Marc, et cela lui avait apparemment donné chaud puisqu'il en profitait pour se changer. Étant donné le désordre dans ses affaires, il avait opté pour les premiers vêtements à sa portée… Et c'est ainsi que nous l'avons vu revenir vêtu d'un short de foot visiblement trop petit et d'un t-shirt blanc. Cela provoqua le fou rire de ma copine ! Mais moi je rester bouche baie devant ce que ce petit short me laisser imaginer de son contenu…
Son frère est du genre sportif, mais pas trop musclé, je ne m'étais jamais laissé aller à le scruter, mais là… son short me laisser entrevoir un paquet très bien fourni et des fesses bien fermes et dessinées ! on aurait dit qu'il allait exploser !
Je restais bloqué sur cette vision, moi qui n'avais jamais porté attention à mes semblables auparavant, je sentais soudain mes sens s'éveiller et mon membre avec eux ! Marc posa le regard sur moi et je crus lire de la malice dans ses yeux. Je ne savais pas comment réagir et pour qu'ils ne s'aperçoivent pas de mon érection, je me suis éclipsé, prétextant d'aller monter des meubles dans la salle de bain.
Je tentais de me remettre de mes émotions, mais mon répit fut de courte durée, à peine avais-je déballé le premier carton que j'entendis la voix de Marc dire à sa sœur : « Déballe les cartons de la cuisine je vais aider Jean »
J'étais à genoux lorsque je le vis entrer dans la salle de bain, il ferma la porte et me dit :
- « Je vais fermer on sera plus à l'aise »
À ce moment je ne savais pas s'il parlait de la place dans la pièce où de la proximité de sa sœur… Il se mit doucement accroupi devant moi avec une manière presque langoureuse, en écartant si bien les cuisses que je ne pouvais maintenant que voir son paquet, qui me semblait avoir doublé de volume… Je sentis la chaleur monter en moi et sous l'excitation je laissais tomber le paquet de vis que je tenais dans mes mains. J'ai dû me mettre dos à lui pour pouvoir les ramasser, et sans m'en rendre compte je lui tendais mes fesses que je cambrais instinctivement… C'était comme si l'envie de découvrir le contenu de son short m'avait transformé en vraie salope. Je ne tardai pas à sentir un doigt agripper le haut de mon pantalon et le descendre jusqu'en bas, il avait à présent une vue dégagée sur ma rondelle qui s'offrait à lui.
Mais contre toute attente je l'entendis sortir de la pièce et claquer la porte. Est-ce que j'avais mal compris ses intentions ? s'était-il rétracté ? peu importe, je me sentais honteux et n'osais même plus bouger… jusqu'au moment où j'entendis la porte d'entrée claquée et la voix de Marc :
– Tu peux venir salope, et je te veux nu et à quatre pattes ma petite chienne.
Ses mots auraient dû me révolter, mais sans me poser de question j'enlevais mes vêtements et je sortis de la salle de bain, comme une chienne, en dandinant instinctivement le cul. Il se trouvait dans le salon, les mains sur les hanches, sa bite était maintenant bien dressée et tendait son short vers l'avant de manière presque grotesque. Il avait envoyé ma copine je ne sais où pour avoir le champ libre.
- « Aller au travail », me dit-il d'une voix autoritaire
Je me redressai devant lui et abaissa son short, me prenant au passage un violent coup de bite : il ne portait même pas de caleçon. Cela a dû lui plaire puisqu'il en profita pour m'en mettre deux autres histoires de me montrer qui commandait. C'était de véritables coups de gourdins, et même si je n'avais jamais vraiment fait attention cela devait être le plus gros sexe que je n'avais jamais vu. Au moment d'ouvrir la bouche pour accueillir son chibre j'eus une hésitation, je pensais à Éva, et puis je me remis à ma tâche : elle n'avait pas voulu être ma salope alors j'allais devenir celle de son frère.
Il ne tarda pas à y introduire sa verge, il me fallut un moment pour écarter suffisamment la bouche pour offrir un endroit confortable à mon invité. C'était ma première pipe, mais j'essayais d'appliquer ce que j'avais pu voir dans les vidéos pornos : j'écartais au maximum la bouche et je faisais tourner ma langue autour de son gland chaud et imposant. Pendant 5 minutes je limais son sexe avec application et même si ses râles me laissaient penser que Marc était satisfait, il m'ordonna de lui faire une pipe bien baveuse. Mes efforts ne semblaient pas lui convenir puisqu'il me prit violemment par les cheveux et la gorge et me ramena à sa hauteur.
- « J'ai dit bien baveuse p'tite pute. »
Et sans attendre il m'ouvrit la bouche pour y cracher toute sa bave et il vint me rouler la plus grosse pelle de ma vie. Ce contact avec sa bouche a fini de me désinhiber et je me remis à le pomper de plus belle, prenant sa bite jusqu'au fond de ma gorge tout en lui malaxant les couilles et en plongeant mon regard dans le sien pour chercher son approbation. Elle vint sous le signe de crachat et d'insultes répétés, j'étais sa chose, sa chienne, sa pute.
- « On va passer aux choses sérieuses, je vais t'exploser le cul », me dit-il en retirant son chibre de ma bouche. « Mais d'abord il va falloir que tu me supplies ».
- « S'il te plait, encule-moi ! mets-moi ta grosse bite ! » lui criais-je. Cet enthousiasme m'étonna moi-même, j'étais devenu une vraie lope, mais cela ne semblait pas lui suffire. Il me mit un nouveau coup de bite, et tout en prenant son portable pour me filmer me dit :
- « Il va falloir me convaincre mieux que ça ! »
J'aurais dû me sentir vulnérable d'être filmé dans une telle position, mais cela ne faisait rien : je voulais sentir ce chibre en moi et j'aurais tout sacrifié pour y arriver. Je me retrouvais le long de son corps agrippé à lui et à sa bite :
- « Je t'en supplie maitre offre-moi ta bite ! je veux la sentir en moi ! utilise-moi ! baise-moi ! j'aime ta bite ! »
- « Tu préfères ma bite ou Éva ? »
- « Ta bite ! je veux ta bite ! » Je répondais sans aucune hésitation et me plaçais à quatre pattes la tête face à la porte d'entrée et le cul en l'air. Je chouinais comme une pute en manque de sa dose de bites quotidienne.
- « Tu ne vas pas le regretter », me dit-il en allant chercher des objets dans son sac. Il revint en me crachant sur le trou, il avait pris un marqueur pour m'écrire sur les fesses et je sentis également un liquide froid qu'il appliquait sur mon anus…
Sans ménagement il plaça son gland sur ma rondelle et donna un coup de reins qui faillit me faire tourner de l'œil. Une fois rentré au maximum il me prit par les cheveux et me glissa à l'oreille :
- « T'es la nouvelle pute de la famille maintenant, ton trou ne va pas rester aussi serré très longtemps ! »
Je n'avais pas compris ce qu'il voulait dire par là, mais je n'avais pas le temps de me poser la question qu'il commençait ses vas et viens, presque doux au début puis de plus en plus brutaux. D'un coup il s'arrêta, me pris par les cheveux et me montra son gros sexe. Il était recouvert d'une couleur marron peu appétissante.
- « Tu vois ce qui arrive quand on ne se prépare pas ! la prochaine je veux te voir arriver bien préparée comme une vraie pute. Maintenant nettoie suceuse. »
Instinctivement j'ouvris la bouche pour exécuter son ordre. J'étais né pour ça. Sa bite ressortie de ma bouche aussi propre que si elle avait ramoné une chatte. Marc semblait fier de mon travail, puisqu'il me reprit par les hanches pour mieux me pilonner de nouveau. Il m'ordonna de couiner comme une pute, ce que je fis sans sourciller.
Soudain, alors que les coups de reins de Marc se faisaient de plus en plus vigoureux j'entendis la porte s'ouvrir. C'était Éva. Elle fit trois pas avant de poser les yeux sur les miens. J'aurais dû me couvrir de honte et me sortir de cette situation, mais c'était trop tard. J'étais devenu la pute de son frère.
Je la regardai avec dédain et arrogance, et je criais avec une voix de salope :
- « Oh oui démonte-moi ! Huuuum fait-moi jouir ! je suis ta chienne ! » et je lâchai mon jus sur le sol neuf devant ma copine qui était restée figée à la vue de ce spectacle magique.
Marc, sans se démonter, me retourna, vint me chevaucher au niveau des épaules et lâcha ce qui me parut être des litres de foutre sur mon visage dans un râle qui me fit tressaillir. Je venais de devenir la trainée du frère de ma copine et cela m'avait fait me sentir plus vivant que jamais.
Marc continua à passer son engin sur ma tête et je le repris en bouche pour le savourer. Il me regarda dans les yeux et dis à Éva :
- « Maintenant c'est ma pute, il va falloir que tu me l'amènes plus souvent. »
La suite bientôt…
Volt-69
Volt-69@hotmail.com
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