Chers amis,
Je vais vous raconter une de mes aventures. Je suis certain que tout comme moi je trique en vous l’écrivant, vous allez bander à vous percer le falzar.
C’est bien entendu une histoire authentique, mais imaginez d’abord le décor.
Nous sommes en juin 1998, le 24, il fait beau et très chaud à Caen. J’ai rendez-vous dans l’après-midi chez un copain de fac, en fait, juste une connaissance. Il est prévu que nous regardions un match de foot à la télé. Mais mes intentions sont tout autres. À part apprécier de voir des mecs en plein effort, ce n’est pas vraiment ma tasse de thé le foot. Je vais chez Maxime uniquement parce qu’il me plait. Même si je pense qu’il est hétéro. Mais l’espoir fait vivre.
C’est justement avec cet espoir que je me prépare en ne me mettant tout d’abord rien sous mon jean hyper moulant puis en revêtant un t-shirt débardeur court et décolleté qui laisse entrevoir mes pectoraux et mes biceps. D’ailleurs il faudra que je remercie mes parents de m’avoir offert pendant cinq ans un abonnement dans une salle de sport pour éliminer la graisse accumulée pendant 21 ans. J’ai aujourd’hui 26 ans, 1m75, 80 kg, brun aux yeux verts-noisette.
Me voilà donc fin prêt à me rendre chez Maxime. À ma grande surprise, nous ne serons pas seuls. Je décide toutefois de rentrer et d’apprécier, faute d’autre chose, la vue d’une dizaine de mecs en short de foot et pur certains, torse nu.
Il fait chaud, le match a commencé et la bière coule déjà à flots.
Je commence moi aussi à avoir chaud et je regrette déjà d’avoir mis un jean. Maxime me propose d’enfiler un short.
Sans complexe, je me change dans le salon du studio en prenant tout mon temps, tout en faisant l’innocent. J’enlève même mon t-shirt. Me voilà à poil devant 10 mecs qui ne semblent plus s’intéresser au match. Je suis sur le point de mettre le short quand un des types propose que l’on se mette tous nus.
Chouette idée ! je comprends très vite que le but de cette réunion n’a rien à voir avec une partie, mais va plutôt s’intéresser à nos parties
Certains bandent déjà et quant à moi, 2 mecs sont en train de s’occuper de ma queue. Je suis très excité et je me laisse faire sans broncher, mais mon grand objectif reste tout de même de conquérir notre hôte.
Maxime, lui, se fait bouffer le cul par un petit moustachu. Je le regarde. Je le fixe. Lui se cambre de plus en plus à mesure qu’un autre type lui enfile ses doigts un à un dans le fion.
Je m’imagine en lui alors que je me fais pomper amoureusement. Je trique à mort. J’ai l’impression d’avoir des ventouses au bout du gland. Mon sexe se gonfle, la sève monte. Je jouis sur mes deux suceurs. Un d’eux n’en perd pas une goutte. Il se délecte de mon foutre alors que l’autre est déjà parti exercer ses talents sur une autre grosse et longue bite.
Maintenant Maxime se fait limer. Comme ce doit être bon se retrouver dans ses entrailles. Pouvoir caresser ses fesses dures et rebondies.
Je n’en peux plus. Il me fait trop envie. Et le voir se faire culbuter par un autre, aussi mignon soit-il, me donne envie de l’enfiler à mon tour. Aussi je m’approche de ce duo. Maxime gobe bientôt ma queue.
Sa bouche est chaude, sa langue puissante, sa gorge est profonde. Très vite je décide de former un 69. Je m’allonge sous lui et je peux enfin me nourrir de sa chair. Son chibre grossit dans ma bouche. Il m’étouffe presque. Je reprends mon souffle et le suce de plus belle. Je masse les couilles de l’enculeur comme pour mieux les presser et leur faire sortir leur jus. L’effet est rapide et bientôt il décharge.
Je retourne Maxime si bien que je me trouve à mon tour sur lui. Lentement je glisse le long de ses cuisses. Nos queues se touchent. Je me redresse en me retournant. Je veux son cul. Il le comprend et écarte les jambes comme pour mieux s’offrir à moi.
J’enfile une capote. Je rentre en lui sans encombre. Nos corps ne font plus qu’un. Ses pieds sur mes épaules, nous pouvons nous embrasser. Son parfum m’enivre et m’excite de plus belle. Je me noie dans ses yeux bleu-vert. Je caresse et lèche son corps comme pour mieux le posséder. Les autres mecs ne comptent plus. Je ne les vois plus malgré leur présence, leurs gémissements, leurs explosions de plaisir. Je suis seul avec mon amant. Comme on est bien en lui… Si bien qu’on n’en voudrait jamais en sortir. Je jouis tout de même. Je me retire et m’écroule sur lui. Il m’embrasse, me caresse. Sa queue raide contre mon ventre. À mon tour de m’offrir à lui et de lui montrer ce que je sais faire avec mon cul.
Il a faim. Il me bouffe littéralement le trou. Sa langue toujours aussi puissante fait des va-et-vient dans mon entrejambe. Je n’en peux plus. Il déroule rapidement un préservatif le long de sa tige longue et épaisse. Je m’empale sur elle. Je bouge très doucement. Son sexe entre en moi millimètre par millimètre. Je fais durer mon plaisir. Le feu me gagne et je dois maintenant activer sa lance, pomper ses réserves de foutre pour l’éteindre.
Certains mecs se rapprochent de nous.
Je me retrouve à sucer des queues comme jamais je n’avais rêvé d’en avoir.
Maxime me caresse la verge et branle aussi un autre mec bien pourvu. Le sperme coule bientôt et vient nous asperger.
Maxime respire de plus en plus vite. De mon côté, je l’encourage et accélère le mouvement de mon cul. Nous éjaculons ensemble. Moi sur mon ventre, lui en moi.
Nous sommes tous épuisés de nos chevauchées fantastiques. Le match est terminé depuis bien longtemps et certains doivent partir rejoindre leurs femmes.
Je reste pour aider Maxime à remettre de l’ordre chez lui avant d’aller prendre une douche.
Il me rejoint.
Nous nous embrassons et il me déclare son amour.
Il n’avait jamais osé m’aborder. Je ne le croyais pas gay.
Que de temps perdu entre nous ! Il faut le rattraper. Nous nous y attelons tout de suite. Depuis nous ne nous quittons plus.
D’ailleurs Maxime, mon amour, ne devrait plus tarder. Je vous embrasse et vous souhaite d’être heureux. Tout devient si facile lorsque l’on accepte et assume sa sexualité. Soyez fiers d’en être. Soyez fiers de l’être.
Chubbigdick
martial5@libero.it