Nous étions nus et on se régalait.... mais pour comprendre un flashback est nécessaire… Début avril nous sommes en plein confinement et j’ai la chance de m’occuper de l’entretien d’une grande propriété dans l’Oise et d’être logé sur place. Un Paradis d’une cinquantaine d’hectares au milieu des bois, des prairies et de grands étangs. Oui c’est le confinement et les propriétaires ont préféré rester aux États-Unis et j’ai donc la propriété pour moi tout seul. Moi c’est Jean Louis, je suis presque cinquantenaire et depuis peu je me suis séparé de ma femme maintenant que les enfants sont grands et partis du nid. Je peux enfin vivre librement et sans crainte ma bisexualité alternant les coups d’un soir avec tantôt un homme et tantôt une femme.... je ne rend de comptes à personne. Au gré de mes rencontres j’ai sympathisé avec Tim un Franco-anglais de 10 ans mon cadet il est devenu mon sex-friend et nous avons l’habitude de nous envoyer en l’air régulièrement.
Là c’est le confinement et forcément je commence à être en mal de sexe et Tim me manque ni une ni deux je décide de faire une entorse aux règles strictes (Ce n’est pas bien, je sais…) et fait ce que je ne fais jamais : je l’invite à me rejoindre dans la propriété avec un dress-code strict : à poil !
Tim arrive pour le week-end et il fait un grand beau temps digne d’un mois de juillet ce qui justifiera pleinement de se balader nus comme des vers et de commencer par nous jeter dans la piscine.... et après quelques brasses de nous caresser tout en avalant goulûment nos bouches.... et mes mains glissaient lentement vers les fesses de mon hôte dont je prenais chaque lobe fermement. Tim se retourna et se mit accroupi sur l’escalier offrant son intimité à ma langue experte qui partait le fouiller jusqu’aux entrailles et l’effet fut immédiat puisque mon ami laissait échapper des soupirs de plaisir..... « Hummm, quel régal Jean Louis… prends-moi maintenant »… je m’exécutais d’autant plus que mon chibre se déployait avec vigueur. Quelle beauté et quel plaisir de voir mes va-et-vient freinés par l’eau créant un clapotis rythmé par mes coups de boutoir. J’asseyais rapidement Tim sur le rebord, et mettait ses jambes par-dessus mes épaules et reprenais cette belle sodomie aquatique, les yeux de mon homme s’écarquillaient et provoquaient en moins une envie d’y aller encore plus fort et plus vite.... je sortais ma queue de son orifice pour la coller devant son visage et lui infliger sa première faciale du week-end.
Je disais que nous étions nus et qu’on se régalait.... Oui, avec Tim nous sommes en osmose, tous les deux versatiles pour mieux offrir et s’offrir des plaisirs sexuels. Nous nous sommes roulés pendant des heures sur le gazon anglais puis tel des lutteurs nous avons essayé chacun de prendre le dessus mais assez rapidement nous nous laissions à la merci de l’autre sans trop de résistance....Ce coup-ci Tim m’immobilisa, me plaqua au sol et vînt me fourrer à son tour, je devenais sa chienne et lui ordonnais de me baiser aussi fort que possible, son corps me couvrait de tout son long et ses délicats et profonds coups de rein venaient me faire jouir comme jamais..... au même moment où lui ensemençait mon anus.
Puis nous nous sommes promenés main dans la main dans les bois, nous autorisant quelques pauses coquines pour une gâterie adosser à un chêne centenaire ou une partie jambes en l’air sur un tronc tombé au sol....Le décor était bucolique, nous étions comme plongés dans un rêve qui pourtant était bien réalité.... et qui a duré deux jours entiers. Le dimanche soir nous n’avions pas envie de nous séparer et pourtant il le fallait, car Tim reprenait son boulot le lendemain. Au portail il a pensé à remettre son short....nous nous sommes embrassés une dernière fois laissant derrière nous une bonne trentaine de pipes et une vingtaine d’enculages de toutes sortes, dans toutes les positions et dans tous les recoins de la propriété.... nous avions été heureux tout simplement.... Tim est revenu plusieurs week-ends dans la même configuration, je ne suis pas pressé que les liaisons internationales reprennent, car pendant ce temps mes patrons restent bloqués aux États-Unis.
Candide78
candide78@laposte.net
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