1| La nuit
Bonjour à tous.
Cette histoire (largement inspirée de faits réels) s’est passée il y a une trentaine d’années. Je venais d’avoir 18 ans.
J’étais à l’époque élève dans un lycée privé de Paris, et c’était l’année du Bac.
Mon meilleur ami s’appelait Yann (le prénom a été changé). On était dans la même classe depuis pas mal d’années, et on était inséparables.
Notre relation n’était toutefois que purement amicale. Je savais qu’il couchait de temps en temps avec des filles, mais apparemment, il n’était jamais resté plus de quelques mois avec la même.
Pour ma part, je me savais gay, mais je n’avais encore aucune expérience. Même si je n’avais aucun problème avec le fait d’être homo, je pense que mon éducation me freinait dans mes élans, et je n’avais donc jamais osé franchir le pas.
Yann et moi ne parlions que peu de nos envies et de nos expériences sexuelles… Il faut dire que de toutes les manières, je n’avais pas grand-chose à partager (mis à part mes fantasmes, mes rêves érotiques, et mes nombreuses séances de masturbation) !!!
On avait prévu de passer quelques jours en Bretagne, ensemble, après le Bac. Les parents de Yann avaient une maison en bord de mer à Saint X. Nous y serions seuls pendant quelques jours avant que mes parents ne viennent m’y chercher. Les parents de Yann arriveraient en même temps.
Nous sommes donc partis de Paris pour la Bretagne. Le voyage s’est déroulé sans soucis, et c’est un peu fatigués que nous arrivions chez Yann.
Sa maison était superbe, avec un accès direct à la mer.
Après avoir fait le tour de la maison, nous avons décidé de nous installer dans la même chambre, pour pouvoir discuter plus facilement.
Il y avait deux lits simples.
Le soir venu, après avoir dîné, et descendu quelques bières, nous sommes allées nous coucher.
J’enlevais mes vêtements, en tournant le dos à Yann, et enfilais un T-shirt et un caleçon. J’aperçus que Yann se déshabillait également, mais qu’il allait dormir nu. Ce qui commençait déjà à éveiller mes sens ! J’aurais bien voulu voir sa bite. Ce ne fut pas le cas. Je la devinais belle, et bien épaisse… Cela allait être excitant de l’imaginer nu dans la même chambre que moi…
Alors que je commençais à m’endormir, je fus éveillé par des bruits de respiration saccadés et par des frottements de draps. Yann était-il en train de se branler ? Dans l’obscurité totale, je ne voyais rien.
Très vite, Yann poussa de petits râles étouffés, et j’imaginais son corps se tendre alors qu’il devait évacuer de ses couilles et de sa pine dressée son sperme épais. Il était là, juste à côté de moi, et je n’ai pas pu en profiter… Je bandais un max, et ma bite était déjà bien comprimée dans son caleçon.
– Ça va, Yann ?
– Merde. Tu m’as entendu ?
– Putain, t’es chié ! Tu te branles comme ça à côté de moi ?
– Oui, désolé, mais ça fait longtemps que je n’ai pas tiré un coup, et là j’avais besoin. Allez, ce n’est pas grave. On se branle tous à un moment ou à un autre.
– Oui, c’est vrai, mais quand même ! Maintenant, je ne vais pas pouvoir m’endormir… De penser à tout ça, ça m’a foutu la gaule. Ma bite est raide à m’en faire mal.
– Tu n’as qu’à te branler à ton tour. Ça ne me dérange pas, et je serais mal placé de toutes les façons pour te faire une remarque.
– Je ne peux pas. Ça me gêne que tu sois là, et je n’aime pas me branler dans le noir. Je trouve beaucoup plus de plaisir à voir ma bite tendue. Ma main qui la caresse, mes couilles qui bougent en rythme. Et quand mon excitation est à son comble, j’aime voir mon sperme sortir de ma queue. Jet par jet. Et couvrir mon torse. Ça m’excite à fond, c’est vraiment plus intense…
– C’est un sacré programme ça. Vas-y, fais-toi plaisir. Et manifestement, tu en as besoin.
– Je ne me suis jamais branlé devant quelqu’un.
– T’inquiète pas. Vas-y, branle-toi !
J’éclairais la lumière, sortis du lit, enlevais mon T-shirt, puis mon caleçon.
J’étais à mon tour nu comme un ver, assis sur mon lit et devant mon meilleur ami.
Et je bandais comme un âne.
Cette situation m’excitait énormément. Je me suis senti offert. Sous le pouvoir de mon ami.
Yann m’observait fixement. Il était fasciné par cette expérience nouvelle pour lui également.
– Putain, t’as une super bite. Elle est énorme.
– 20 cm
Je m’assis sur le lit, face à Yann. J’écartais bien les jambes, pour qu’il ait une vue directe et plongeante sur mon membre dressé, et sur mes couilles avides de caresses.
– Vas-y. Branle-toi. Maintenant.
Je commençais mes va et viens sur mon chibre.
J’adorais m’exhiber ainsi. Sentir que je ne me branlais pas que pour moi, mais aussi pour mon ami de toujours. Et que je lui donnais ainsi du plaisir.
Cet acte, je l’offrais à Yann.
– Arrête-toi.
Je m’arrêtais.
– Approche-toi.
Je m’approchais…
– Je suis sûr que tu aimes que je te regarde. Tu ne serais pas un peu pédé, toi ?
– Je ne sais pas. Je n’ai jamais eu de relation sexuelle avec personne… Je suis toujours puceau…
– Bien. Retourne-toi, que je vois ton cul.
J’obéissais en tout.
– Allez, écarte les jambes, et mets-toi deux doigts dans le cul. C’est bien… Encule-toi… Bouge tes doigts… Est-ce tu aimes ? Est-ce que cela te fait bander davantage ?
– Oui, c’est bon. Putain, c’est carrément intense.
– Bon et bien on a notre réponse, tu es bien un petit pédé. Mais sois cool, je n’ai aucun problème avec ça. Fais-toi plaisir. Bouge tes doigts dans ton cul, et branle-toi. Ça me fait kiffer, que tu prennes ton pied comme cela.
– Ça vient ! Je vais jouir.
– Oui, tu es magnifique. Crache, maintenant ! Je le veux.
Il ne m’en fallait pas plus.
Mon sperme vint s’épandre en six grands jets sur mon torse.
– Merci pour le spectacle, me dit Yann. Je ne suis pas gay, mais tu as été super excitant. Maintenant, ne t’essuie pas, enfile ton T-shirt, et endors-toi avec ton sperme sur le corps. Je trouve ça sexy…
Je m’endormis difficilement après cette nouvelle expérience, tous mes sens bouleversés, mais heureux de cette masturbation, et de cette exhibition…
J’imaginais qu’il allait se passer d’autres événements durant mon séjour en Bretagne. Je ne fus pas déçu.
Kiwis
tendrekiwis@gmail.com
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