Pour commencer à planter le décor de l’histoire, moi c’est Lyes, pour les soumis que j’ai dominé « Boss Lyes ». Aujourd’hui je veux vous raconter la première fois où j’ai dressé ma première chienne.
À l’époque je venais juste d’avoir 18 ans, je suis un gars style lascar, je traine souvent en jogging et paire d’Air Max, je ne sais pas pourquoi, mais ça fait mouiller pas mal de mecs, sur les sites. Un jour sur twitter y’a un mec, la quarantaine qui m’envoie un message. Je mets direct les pendules à l’heure. Je lui dis « moi c’est Boss Lyes » il acquiesce. Pendant plusieurs jours je teste ses limites sur snapchat, pour voir s’il est vraiment prêt à tout. Il gère grave bien et il me fait bander. Alors un jour, en été je lui dis de venir. Sachant que j’habite à côté de Marseille et lui en région Parisienne. Deux jours après il débarque.
On se rejoint à côté d’un lac, les photos ne mentaient pas, comparé à moi et mes cours à la salle de muscu, il est chétif. Aucun moyen de défense, une totale dévotion. Je commence par lui dire de s’agenouiller devant moi, il s’exécute immédiatement, il est sous mon contrôle et je kiffe ça. Je pose ma main fermement derrière sa tête et colle son visage à ma queue qui devient bien dure. Il voit mes 18 centimètres sous mon jogging OM. Il sort sa langue et commence à lécher mon zob à travers mon jogging, il adore ça. Je sais déjà que je vais kiffer. Alors que je commence à peine à baisser mon survêt, je le mets à poil. Il est désormais à quatre pattes comme un bon chien qui attend son os. Je me mets derrière lui, je prends un plug qu’il a ramené avec plein de gadgets pervers. Le plug est énorme, je le doigte un peu, je crache sur sa rondelle. Un doigt, il couine. Deux doigts, il gémit. Je rentre trois, puis quatre doigts, je comprends que son trou à l’habitude d’encaisser. Alors je crache encore, puis commence à lui enfourner le plug.
- « ah boss ! Doucement… »
C’est les mots de trop, je prends ma chaussette, je lui fourre dans la gueule avec l’interdiction formelle de l’enlever. Il sait ce qui viendra en désobéissant. Je reprends alors le plug, et le rentre d’un coup. Il résiste, je force.
Il couine comme il peut ce petit chien. Une fois le plug en place je me présente, débout face à lui qui est toujours à quatre pattes. Je lui fais cracher ma chaussette. Il bande comme un chien. Je sors ma bite de mon bon caleçon, il savait à quoi s’attendre, il adore ça les queues comme la mienne, rebeu circoncis. Je lui ouvre la gueule, crache un mollard et lui fourre mes 18 centimètres. Je commence à littéralement baiser sa bouche, je sens mon gland au plus profond de sa gorge, il a les larmes aux yeux, je continue, je le vois s’étouffer sous les assauts de mon zob. - « Hmm tu aimes ça la bite d’arabe sale cleps » — « Oui boss, encore ». Pas de soucis petit chien je suis la pour ça. J’accélère ma cadence, il devient mon objet, mon vide couilles perso.
Lui violer la bouche m’excite de plus en plus, alors je sors de sa gueule, je lui remets ma chaussette dans sa gueule et sors le plug. Il a le trou du cul éclaté, ma bite va bien rentrer dedans. J’enfile une capote, je crache un peu dessus pour lubrifier et rentre en un coup dans son cul bien ouvert, apparemment pas assez, car il révulse, il est encore à quatre pattes, je pose ma main sur sa bouche et commence mes allers-retours. Il gémit, il sert son cul sur ma queue, il en redemande, je m’excite de plus en plus. J’attrape ses bras, je lui mets dans le dos, je tiens sa tête sur le sol avec mon pied. Il est à moi, je fais ce que je veux de lui. Je le défonce. Alors que les claquements de mes couilles bien pleines résonnent au-dessus du lac, je sens que l’éjaculation arrive.
En quelques secondes, je me retire de son cul béant, je lui attrape les cheveux et le positionne sous ma bite. Il me suffit de donner une dizaine de coups de queue dans sa bouche que je me décharge de tout ce que j’avais, une semaine de foutre que je lui mets dans la bouche. J’ai toujours été bon juteur alors là je vous laisse imaginer la dose des mes six jets. C’est trop pour lui, il se retourne et va pour cracher, je lui interdis, le gifle, et lui ordonne d’avaler, de ne rien gaspiller. Il exécute, je lui ordonne d’ouvrir la gueule pour bien voir qu’il n’y a plus rien. Quand il a la gueule bien ouverte, je crache mon mollard une dernière fois. Je remets mon survêt, mes skets. Et je me barre.
En rentrant chez moi, j’ai vu qu’il m’avait envoyé une photo de son cul, je lui avais tellement mis de claques dessus qu’il en était un peu rouge. Il veut remettre ça.
Je tiens à préciser que ce récit n’est pas inventé, j’espère qu’il vous aura fait bander.
LyesDuSud
lyesdjebri01@gmail.com
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