Bonjour à tous.
Je voulais vous faire part de cette histoire qui m'est arrivée récemment.
Tous d'abord, il faut que je me présente. Je m'appelle Thibaud et j'ai 33 ans aujourd'hui. Je suis gay et je l'assume ouvertement depuis l'âge de 23 ans. Je mesure 1m70 pour 63kg. Je suis très sec et musclé, car je fais pas mal de sport. J'ai les cheveux bruns très courts et les yeux noisette.
Au début de mes études, vers 19 ans, j'ai rencontré un mec dénommé Brice qui est vite devenu un de mes meilleurs amis. Je pense aujourd'hui qu'il est le premier homme dont je suis tombé amoureux même si à cette époque je n'étais pas prêt à m'en rendre compte et encore moins à l'accepter. J'ai toujours fantasmé sur lui, car il est très beau. Blond, musclé, super bien foutu et imberbe. Tout ce qui me fait kiffer il a cette gentillesse et cette simplicité qui me font foudre et me donnent juste envie de me blottir dans ses gros bras musclés. En plus, il a souvent fait des allusions sur le fait qu'il aurait une grosse bite, 20 cm d'après lui. Et ça, ça a le don de me rendre très curieux, si vous voyez ce que je veux dire.
En tout cas, nous sommes restés en contact jusqu'à aujourd'hui. Nous nous efforçons de nous revoir régulièrement, car c'est compliqué de conjuguer nos emplois du temps, surtout depuis qu'il a eu son deuxième enfant. Eh, oui ! Mon pote Brice est hétéro. Il a une compagne avec qui il vit depuis plusieurs années et avec qui il a eu 2 enfants.
Cette histoire c'est passé un dimanche il y a quelques semaines. Nous avions décidé qu'il était temps de nous voir, car nous n'avions rien fait ensemble depuis la naissance de son fils six mois plus tôt. Nous avions donc organisé une sortie VTT suivie d'un petit barbecue et d'un après-midi au bord de la piscine. Juste lui et moi, histoire de nous retrouver. Sa compagne et ses enfants devaient être à la maison et passer le repas et l'après-midi avec nous, mais, à la dernière minute, toute la petite famille est allée rendre visite aux grands-parents. Ce sera donc lui et moi, pour toute la journée.
Nous avons donc fait notre sortie VTT, 40km et nous voilà de retour chez lui bien crevés et bien crasseux. Il me propose donc de prendre une douche, ce que je fais. Je libère la salle de bain et c'est à son tour. Je ne peux pas m'empêcher de l'imaginer nu derrière la porte et rien que cela, ça m'excite. Il sort de la salle de bain en maillot de bain. C'est un boxer noir qui lui moule le paquet et il faut que je me contienne pour ne pas bander et me faire repérer. Je porte moi aussi un maillot de bain boxer et ça la foutrait mal...
Nous passons au jardin au bord de la piscine. Il allume le barbecue et je suis chargé de déboucher la bouteille de vin rouge. Nous discutons en cuisant la viande et en buvant du vin. Je commence déjà à être bien attaqué avec la fatigue du sport et le fait d'avoir le ventre vide. Au moment de passer à table, la bouteille est déjà vide ! Qu'à cela ne tienne, nous en ouvrons une deuxième.
Après ce repas bien arrosé, nous piquons une tête à la piscine. En sortant de l'eau qu'une seule chose à faire : s'affaler sur les chaises longues et cuver notre vin.
Nous sommes là allongée depuis 2-3 minutes sans rien dire à profiter du soleil lorsque Brice me dit :
B : Ah ! On est bien, là ! Au calme au bord de la piscine, biens attaqués par le vin. Il nous manquerait plus qu'une petite pipe pour que ce soit parfait.
T : Ahah ! Oui, je suis bien d'accord avec toi.
B : Toi tu ne dois pas avoir de difficultés à te faire sucer en étant homo. Moi ça fait depuis que A est enceinte du 2e que je ne me suis pas fait sucer et, mon gars, il a 6 mois déjà ! Je ne te dis pas la frustration !
T : Ouais, enfin moi il faut que je trouve le mec pour me sucer quand même toi, t'as à priori ce qu'il faut à la maison.
B : Ouais, à priori... N'empêche, pour les homos, la pipe c'est la base quand même alors que pour les femmes c'est des fois pas une évidence. Avec V, ça l'était au début, mais depuis la naissance e E, c'est fini.
T : Ouais c'est sûr. Mais entre homos, c'est donnant-donnant aussi en général. Est-ce que toi tu lui broutes le minou pour lui donner envie de te sucer ?
B : Ben ouais mec, à chaque fois qu'on baise. Mais du coup, si je comprends bien, toi tu suces des bites aussi ?
T : Ben ouais, je suis homo quoi. Ça t'était jamais venu à l'idée qu'y avait de grandes chances que je suce des queues ?
B : Ben non en fait. J'y avais jamais vraiment pensé comme ça. Et ça te plait.
T : Grave !! J'adore ça. Autant que de me faire sucer. D'ailleurs, je pourrais te soulager si tu veux.
Panique dans ma tête ! Je ne sais pas pourquoi j'ai dit ça. L'alcool sans doute. Quel idiot ! Il va se braquer et je viens peut-être de gâcher notre amitié.
B : Non, t'es ouf mec ! Puis de façon, t'as dit que c'était donnant-donnant et il est hors de question que je te suce, ça c'est clair.
T : C'est pas toujours obligé d'être donnant-donnant...
Il ne répond pas et un blanc s'installe pendant quelques secondes qui paraissent une éternité. Je suis en stress, mais je me dis que si j'ai une chance, c'est maintenant et que pour la saisir, il va falloir que je me bouge.
Je me redresse de ma chaise longue et m'assois en travers de celle-ci ce qui me met juste à la hauteur de son bassin puisque lui est toujours allongé sur le dos les yeux fermés. J'hésite, mais il ne dit toujours rien et je sais bien qu'il m'a entendu bouger. Je prends ça pour une autorisation et j'approche ma main de sa cuisse et la pose dessus.
Il sursaute, mais ne dit toujours rien. Je passe alors ma main sur son paquet et remonte pour lui caresser les abdos. Toujours aucune réaction de sa part. Ça y est, on y est ! C'est ma chance de tailler une pipe à ce mec qui me fait fantasmer depuis des années !
Je ramène ma main sur son paquet et commence à le caresser doucement à travers le boxer. Ça y est, il réagit. Mais, sa réaction se traduit par une érection qui commence à monter doucement. Cela m'encourage et je continue mes caresses. J'approche ma bouche et je commence à déposer un ou deux baisers sur sa queue à travers le maillot. La chaleur de mon souffle le fait frémir. Il a toujours les yeux fermés et n'a rien dit, rien fait depuis le début.
Je passe alors deux doigts sous l'élastique de son maillot de bain et tire dessus pour en dégager sa queue. Putain ! Il n'avait pas menti le salaud ! Je découvre une belle tige de 20cm par 5cm, très droite et surmontée d'un beau gland à peine plus large. Je ne peux m'empêcher de me dire que cette queue est digne de celles des acteurs de mes pornos préférés.
Je n'en peux plus. Je bande comme un fou et je me jette sur cette bite que je commence par embrasser puis lécher avant de l'engloutir rapidement. Ah ce moment-là, il pousse un soupir de satisfaction. Je commence alors une pipe des plus appliquées que je n'ai jamais donnée. J'alterne coups de langue sur le frein, coups de longue le long de la tige, suçage de gland avec une forte succion et grands allers-retours en essayant d'avaler un maximum de cette queue d'un beau calibre.
Il s'est détendu et il pousse maintenant des gémissements réguliers et a posé sa main derrière ma nuque pour imprimer son rythme. Il lève légèrement le bassin à chaque fois que ma bouche descend sur sa queue pour m'en faire avaler un maximum. Je kiffe en mort même si je commence à avoir mal à la mâchoire. J'adore ce qui est en train de se passer, mais je bande comme un fou et je commence à avoir envie d'aller plus loin.
J'arrête ma pipe et lève la tête. Je le vois qui me regarde.
B : Qu'est-ce que tu fais mec ! Tu ne peux pas t'arrêter comme ça ! Je suis sur le point de gicler là !
T : Justement, je ne veux pas te lâcher comme ça.
B : Qu'est-ce que tu veux dire ?
T : Je crois que tu vois très bien ce que je veux dire. Ne bouge pas !
Je rentre dans la maison et vais vers mon sac d'où je sors une capote et une dose de gel lubrifiant. J'ai bien l'intention de profiter de ce moment jusqu'au bout !
Je reviens dans le jardin. Il n'a pas bougé. Il est toujours là, couché sur sa chaise longue, la bite sortie du boxer dressée fièrement vers le ciel. Magnifique ! Je m'approche de lui est attrape la ceinture de son maillot de bain et tire dessus pour le lui enlever. Il lève son bassin pour m'aider un peu. J'enlève ensuite mon propre maillot et m'accroupis à côté de la chaise longue. Je m'humecte les doigts et commence à me préparer le cul tout en reprenant ma pipe sans y aller trop fort de peur qu'il ne vienne tout de suite.
Je suis vite prêt tellement je suis excité. J'arrête alors de sucer sa queue, j'ouvre la capote et la déroule sur sa belle tige dressée. Je l'enduis de lubrifiant et passe une jambe de chaque côté de la chaise longue pour me positionner à califourchon au-dessus de sa queue. Il me laisse faire et m'observe sans rien dire. Je m'installe dos à lui et pointe son gland vers ma rondelle. Je descends doucement et le fais entrer doucement. À ce moment, je l'entends pousser un " Oh ! " de satisfaction. Je descends alors tout doucement le long de sa tige en faisant de petits cercles avec mon bassin pour faciliter la pénétration. Cela m'électrise et mon cul se détend rapidement. La douleur est à peine perceptible et laisse rapidement place à des sensations beaucoup plus agréables. J'ai maintenant ses 20cm bien enfoncés au fond du cul et je suis assis sur ces cuisses. Il me dit alors :
B : Putain mec, t'as pris toute ma queue dans le cul, c'est ouf ! Oh mon T, c'est trop bon !
T : Ouais c'est trop bon mec, j'adore
Je commence alors des vas et viens lents pour faire monter le plaisir lentement et laisser le temps à mon cul de bien se dilater. J'accélère alors doucement. J'entends B gémir dans mon dos. Il plaque ces mains sur mes hanches pour accompagner mes mouvements et commence à donner de petits coups de reins en cadence pour augmenter la profondeur de pénétration. Ma queue est sur le point d'exploser. Je n'ose pas la toucher de peur de venir trop tôt. Je continue comme ça environ 5 minutes puis je le sens s'agripper encore plus fort à mes hanches. Je le sens qui accélère le rythme de ses coups de reins. J'arrête alors mes mouvements et me fixe au-dessus de lui pour lui laisser le loisir de donner le rythme qu'il lui convient. Il donne maintenant de grands coups de reins amples et je l'entends haleter dans mon dos. Il donne alors 4 grands coups de reins plus rapides et au quatrième se plante bien au fond de mon cul cambré sur la chaise longue. Je sens sa queue tressauter 3 ou 4 fois. Je me branle pendant qu'il donne encore quelques petits coups de reins avant de s'effondre sur la chaise longue, vidé, au moment où j'éjacule 5 longs jets de sperme sur la chaise longue.
Je me relève difficilement tant j'ai les jambes coupées et m'affale sur ma chaise longue à côté de la sienne en nage. Je souffle un peu en silence.
B : Oh, mec ! C'était... trop bon, putain. Jamais V m'a laissé l'enculer comme ça !
T : Ah ouais ?
B : Putain ouais, carrément.
Il tire sur sa capote la noue et se lève.
B : Faut que j'aille prendre une douche là.
T : Ouais, faudra que j'en prenne une aussi après si tu veux bien.
B : Pas de soucis.
Nous prenons nos douches rapidement l'un après l'autre. En se croisant dans le couloir, on ne se dit pas grand-chose. Le malaise s'est installé une fois l'excitation redescendue. Lorsque je retourne dans le jardin, il est assis sur sa chaise longue pensif.
B : C'était vachement bien mon T, mais, je pense que c'est mieux si ça ne reproduit pas. C'est quand même un peu bizarre.
T : Ouais, je suis d'accord avec toi.
Nous avons terminé la journée à profiter du soleil et de la piscine. Nous avons discuté et plaisanté comme si rien ne s'était passé, tout simplement.
Je me suis souvent masturbé en repensant à cette après-midi dingue. On s'est parlé au téléphone depuis et j'ai eu le plaisir de constater que rien n'a changé dans notre relation. J'avais peur que le souvenir de cet épisode le pousse à mettre de la distance entre nous. Visiblement ce n'est pas le cas...
Thomas
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