Allongé sur le ventre en extase, mon père fait de lents va et viens dans mon cul dilaté, ses mains caressent mes cheveux et sa bouche susurre à mon oreille.
Frédéric -Je t'aime ma chérie.
Émile - Moi aussi je t'aime papa...
Lui dis-je d'une voix lente et amoureuse, doucement une main agrippe mes cheveux et me tire en arrière, l'autre commence à me mettre une fessée.
La partie tant attendue arrive, ça y est, je me mets doucement à quatre pattes, et de plus en plus fort, mon père commence à m'enculer comme sa pute, son énorme paire de couilles remplies écrase mon petit paquet de soumise.
Frédéric - T'aimes ça que je t'encule hein petite chienne ?
Émile - Oh putain oui papa, j'adore ça, encule-moi ! Je suis ta petite chienne !
Frédéric - *sa main claque mon cul violemment* Grosse pute va !
Non, ne nous jugez pas.
C'est difficile ce genre de situation, vous ne pouvez pas forcément savoir... Quoique... Vous avez dû vivre ce genre de chose, vous êtes face à une situation où vous pensez à tout et rien. Des choses improbables, on fait des rêves terribles, des cauchemars, on s'imagine parfois des choses comme " Bah et si je tuais mon frère ? " en le regardant, une pensée d'une nanoseconde qui s'en va et nous fais juste sourire et parfois nous demander pourquoi nous en venons à penser ça, à nous dire que le cerveau est une drôle de chose et que Freud doit avoir raison parfois, le con.
En fait c'est humain, notre univers, notre imagination collective se nourrit des films, livres et histoires que l'ont nous raconte, c'est normal.
Je passais mes journées à me branler. Très vite j'ai arrêté de me mentir, manifestement je regardais beaucoup plus les énormes bites et paires de couilles dans ces films que les demoiselles en chaleur, et très vite je le devenais à mon tour, dès que mes parents ont divorcé, le soir à l'abri des regards de ma soeur avec qui je partageais une chambre, je m'imaginais à la place de ces demoiselles, à doucement envahir mon trou de mes doigts inexpérimentés, mordre mon oreiller, piquer des fruits pour m'entrainer avec ma bouche et le reste aussi d'ailleurs.
Rapidement je suis passé aux pornos gay, et encore une fois j'y passais mes journées, je pouvais me faire jouir en godant mes fesses avec ce concombre une vingtaine de fois dans la journée sans jamais me lasser.
Puis je regardais alors du porno plus hard, maintenant avec des histoires de familles par exemple, entre un père et un fils, qu'il surprend en train de se travestir, et punit avec son corps.
Et ainsi de suite jusqu'au jour de mon dix-neuvième anniversaire.
Autant vous dire que moi, mes pulsions n'étaient pas étranges, mais parfaitement familières et tournées vers mon père.
Mon père, Frédéric, fait partie de ces gens à avoir eu un enfant " sur le tard " ou en tout cas à l'époque ça devrait être le cas.
Ma mère, Sophie, a accouché de moi une semaine ou deux après l'anniversaire des 33 ans de mon père.
Je suis venu mettre un pied dans la maison plus d'un an avant ma soeur, Émilie.
Mes parents on eut l'idée brillante de nous appeler Émile et Émilie, très drôle à la naissance, lorsque ma soeur est décédée c'était tout de suite beaucoup mon marrant.
Évidemment j'ai pleuré, toutes les larmes de mon corps, quand bien même je n'aimais pas trop ma soeur... Elle passait ses journées à s'habiller et se maquiller comme la dernière des catins et à sortir en soirée.
Impuissant, mon père n'a jamais pu la faire changer, et elle a fini par se faire renverser par une voiture, une soirée un peu trop alcoolisée. Les médecins ont omis le détail de sa nudité, et nous on demandé de l'habiller, pour " préserver sa dignité " lors du passage en morgue.
Peu de temps après, j'avouais mon homosexualité à mon père, nous partagions à deux le même toit, je me devais d'être honnête.
Il l'a accepté très rapidement, il paraissait même peu surpris, m'indiquant simplement de le dire à ma mère, chose que je n'ai d'ailleurs toujours pas pris le temps de faire, elle doit le savoir, et puis je n'ai pas envie de lui parler.
Et donc pendant cette année et demie restante je passais de plus en plus de temps à maintenant me goder avec un vrai gode, acheté dans un sexe-shop peu regardant, en regardant par le trou de la serrure mon père se doucher.
À porter quelque sous-vêtements de ma soeur et continuer de me goder, cette fois-ci en écoutant mon père se masturber.
Mon pauvre père aimant et adorable travaillait, essayait de m'apporter tout ce dont j'avais besoin, et moi je passais mon temps à le regarder comme un objet, à admirer son corps musclé, à mater ses couilles et sa queue surdimensionnées toute la journée, en admiration lorsque j'arrivai à le voir se masturber avec son fleshlight, cette chair siliconée avalant la bite de mon père qui ressort d'un centimètre ou deux tout au bout. Oui oui, surdimensionnée au point ou un sextoy de taille classique ne permet pas de l'engloutir entièrement pourvu qu'il écrase un peu le jouet contre son bassin.
Et moi je ne pensais qu'à une chose, gober ses énormes couilles viriles, branler son gros chibre pour le faire cracher et boire son jus avec amour, me mettre à quatre pattes, être sa chienne videuse de couilles, toute la journée ! Me faire tourner comme une énorme pute.
Frédéric -Mon chéri ?
Émile - Ah ! Hein ?...
Frédéric - Bon anniversaire, mon ange, je t'ai fait ton petit déjeuner.
Émile - Ah. Hum. Ok, j'arrive merci beaucoup.
Sorti de mes pensés je me lève, je suis clairement membré à un tiers de mon père, mais pour autant ça ne m'empêche pas d'avoir mes 11 cm en érection, cette nuit fût pleine d'émotions...
Pourtant je n'ai fait que revivre mes séances de voyeurisme à l'insu de mon géniteur.
Parfois je me sens mal de le reluquer et l'admirer comme ça, alors je me fais excuser, et je lui fais des câlins, trouvant une fois de plus une excuse pour me coller à lui et caresser son torse musclé, faible comme une femme fragile, besoin d'être cajolée...
Je suis fin, très fin, trop fin, je me fais bizuter par toutes les brutes qui refoulent leur homosexualité... Et pour autant je ne suis pas trop gêné, c'est évident qu'ils ont juste envie de me violenter et me baiser comme des mâles alpha, aucun ne passe à l'action et ils sont trop cons pour me maltraiter, donc ils se contentent d'insultes et de crachats à côté de moi, j'ai l'habitude.
J'ai les cheveux mi-longs châtains, les yeux noisette, enfin rien de bien original. Seule originalité, je suis particulièrement glabre et j'y tiens, je m'épile presque tous les jours, je glisse comme personne à la piscine.
Levé, je m'étire, enfile un jogging et un débardeur sur ma peau douce et crémeuse.
Je descends mes escaliers en m'installe à table, mon père me sert mes oeufs bacon et mon thé.
Frédéric - Bon alors, ça fait quoi ?
Émile - De quoi donc ?
Frédéric - 19 ans ! Faudrait penser à se trouver du boulot, non ?
Émile - *en mangeant* Bah écoute... C'est déjà un sacré boulot de m'occuper de toi à plein temps...
Frédéric -Tu fais une fête avec tes copains ce soir ?
Émile - Mh... Je suis pas sûr, vu qu'on est en semaine je pense qu'on fera ça un weekend un peu plus tard, j'ai pas pris le temps de l'organiser.
Frédéric - Bah écoute tu peux le faire ici si tu veux.
Émile - Ouai je pense qu'on va faire ça.
Frédéric -Et tu veux faire quoi ce soir du coup ?
Émile - Bah je sais pas... Je ferais mon anniv' plus tard papa t'inquiètes pas.
Frédéric - Oh bah si quand même, on va se faire un petit truc tous les deux !
Émile - Bah on prend juste un petit gâteau si tu veux.
Frédéric -C'est tout ? Tu es sûr ?
Émile - Oui, papa, t'embête pas, t'es trop mignon.
Frédéric - Bah non, mais je ne veux pas que tu te sentes trop seul ce soir moi.
Émile - Eh bah si je fais un cauchemar je viendrais dormir avec toi !
Frédéric - Bah ça serait bien que tu trouves un garçon avec qui dormir, pas que quand tu fais des cauchemars j'entends.
Émile - *rougit* Papa !...
Frédéric -Je pense que pour tes 19 ans tu peux te permettre de... Voir des gens.
Émile - Papa... *sourit bêtement*
Frédéric -Je veux surtout pas que tu passes à côté de ta jeunesse mon grand, ta mère et moi on s'est installés très vite on aurait peut-être du faire notre vie chacun de notre côté avant de se marier et d'avoir des enfants.
*silence*
Frédéric -Je t'aime mon chéri.
Émile -... Moi aussi je t'aime papa...
Frédéric - *avec un léger sourire plissé en soupirant* Tu fais la gueule ?
Émile -Mais non...
Frédéric - Mmmh... *relève sa tête avec son doigt* C'est pas une petite tête qui fait la tête ça ?
Émile - *rigole*, Mais non !
Frédéric - Tu... Tu fricotes un peu avec des gars?
Émile - Papa. *silence* Tu n'as pas à t'en faire OK ? Je... J'ai des potes, j'ai des gens dans mon entourage, et oui. Je *guillemets avec ses doigts* " fricote " avec des garçons.
Frédéric - *gêné, mais rassuré* Ok... Cool. Cool cool... *mal à l'aise*
Émile - *soupir* Papa je sais que ce n'est pas le meilleur des sujets à aborder pour toi, mais c'est toi qui m'en parles !
Frédéric - *circonspect* Comment ça ?
Émile - Bah je sais bien que mon homosexualité te... Gêne.
Frédéric - Mais... Qu'est-ce qui te fait dire ça ?
Émile - Bah je sais pas... On en parle jamais déjà.
Frédéric -Mais on parle juste pas de sexualité, si tu veux m'en parler je suis là tu sais, ça ne me gêne pas, au contraire !
Émile -Au contraire ?
Frédéric - *gêné* Non, pas " au contraire ", mais... Enfin tu vois...
Émile - *souris et ricane*
Frédéric - *rougissant et souriant* Bon b - bref ! Si tu veux m'en parler ça ne me gêne pas, là !
Émile -Je rigole, je me fous de toi.
Frédéric - *souris* Petit con va. Allez mange.
Émile - *comme un enfant* Gnagnagna !
Frédéric - *l'imitant en se levant* Gnagna. *tire la langue et s'en va*
Mon père parti je continue mon petit déjeuner, mon estomac toujours un peu noué de notre conversation.
J'aime mon père, beaucoup trop, à un stade où il ne sait pas que je l'admire, lui voue un culte terrible, je l'aime comme une femme aime son mari rentré de la guerre pour la prendre pendant la décennie à venir.
Alors oui j'ai eu des expériences à droite et à gauche. Sauf qu'avec mes conneries de mater la grosse queue de mon père, j'ai commencé à chercher des trucs de sa taille, et mes godes sont de plus en plus gros, à sa taille la plupart du temps, autant vous dire que je me remplit bien, par contre... Je taille une pipe ou deux à des gars un peu précoces qui m'arrosent vite, et quand j'arrive à en trouver un un peu sauvage pour me baiser, déjà je sens par grand-chose une fois le plug enlevé, et ça ne dure jamais trop longtemps...
Alors dans mes soupirs j'aimerai lui dire que je l'aime, et que je n'ai d'yeux que pour lui, quand il me parle d'autres garçons j'aimerai lui proposer d'être sa chienne, de me coller à lui... h il faut que j'arrête, je suis tout juste sorti de mon rêve j'ai déjà envie de lui.
Mon petit-déjeuner englouti je file me laver. Ma douche prise j'enfile un jean et un t-shirt, rien de vilain, mais j'aurai préféré prendre ceux de ma soeur... Bon tant pis, j'attendrais que mon bel adonis musclé ne soit plus là, mais dans l'envie, je mets quand même un string que j'ai piqué dans ses affaires, je me sentirais plus féminin.
Je file en bas, tout jovial, toute pimpante, mon père sur l'ordinateur change vite d'onglet, je ricane me demandant ce qu'il regardait. Il me regarde et me demande si ça va.
Il est un peu en panique donc je réponds que ça va, et je m'installe sur le canapé pour regarder la télé, en faisant mine de ne pas bouger. Je le vois surfer un peu sur ses mails, et plein de trucs sérieux.
Émile -Mon papounet d'amour que j'aime à moiii ?
Frédéric - Oui mon coeur ?
Émile -Je pourrais avoir un verre d'eau servi avec amour ou pas ?
Frédéric - *se tourne vers moi* Et t'es pas assez grand pour te le prendre tout seul ?
Émile - Oui mais c'est mieux si c'est toi ! *avec un air mignon très féminin*
Frédéric - Ah bon ?
Émile - Voui !
Frédéric - *soupir en souriant* Bon d'accord.
Émile - Ouaai !
J'ai toujours eu cette attitude avec mon père, espèce de gamine qui aime qu'on la coucoune, et je sens que mon père aime bien le faire, ça lui fait du bien... Je lui fait souvent à manger, le ménage, je lui ai même fait un massage à quelques occasions quand il était vraiment bloqué, où j'ai pu masser lentement son beau torse musclé avec des huiles, j'avais envie de le manger tout cru !
Mais toujours est-il qu'il est parti pour quelques secondes, je saute du canapé et file sur le PC pour essayer de voir ce qu'il était en train de regarder.
Alors... Non... Non... Non... Mail... " Confirmation d'inscription à T... " Tinder ?! Ah, mais il ne regardait pas du tout de porno en fait !
J'attrape son téléphone et le déverrouille. Alors, Frédéric, 52 ans, nanana... Ah ouai il s'est vraiment inscrit pour " Faire des rencontres ". Mmh... Mouai le connaissant c'est " Tirer un coup " qui se transforme en " Je suis amoureux " en " Cette fois-ci c'est elle qui m'a baisé "...
Frédéric - Eh, qu'est-ce que tu fais là !
Émile - *vers lui* Alors c'est pour ça que tu voulais que je me casse ce soir en fait ?
Frédéric - *rougit*, Mais... Non mais... Tu as pas à... À regarder mon téléphone comme ça, enfin !
Émile - Papa.
Frédéric -Et c'était pas pour ça... Je me dis juste que comme moi j'essaye ça serait bien que... Bah toi aussi.
Émile - Papa.
Frédéric -Je veux pas te laisser seul, alors si tu avais quelqu'un avec qui tu -
Émile - Papa oh !
Frédéric - Hein ?
Émile - Papa c'est pas grave ! Tu as le droit de vouloir rencontrer une fille pour toi.
Frédéric - *soupir*
Émile -Je veux juste pas que tu te fasses prendre pour un con, c'est tout.
Frédéric - Comment ça ?
Émile - Mmmh, je te connais hein ! Tu serais capable de lui payer des billets d'avion à 2000 balles pour la faire venir jusqu'ici.
Frédéric - *soupir* Ok...
Émile -En plus t'es tout beau sur tes photos là, regarde-moi ça. *pointe l'écran* Regarde moi si elle est belle celle là, t'es trop mimi !
Frédéric - Bon allez ça va, te fous pas de ma gueule non plus.
Émile -Mais pas du tout ! *se lève pour lui laisser la place* Allez vas-y, et une mignonne hein !
Frédéric - *rougissant, mais rassuré* Gnagnagna !
Émile - *avec une voix féminine* Gnagnagna ! *bisou sur la tête* Mmmwah ! T'es beau mon papa je t'aime. *enlace son père assis sur l'ordinateur*
Frédéric - *caresse son avant-bras de sa main* Moi aussi je t'aime mon chéri... Merci.
Émile -Mais c'est rien, allez.
Je me réinstalle dans le canapé, mais en m'asseyant j'y réfléchis quand même... C'est pas con ça tiens, les sites de rencontres... Bon le problème c'est qu'on est en petite banlieue de ville donc dans ma bourgade je ne pense pas qu'il y ait beaucoup de gay...
Si c'est bien une chose que mon père pourrait m'envier, c'est Grindr... Je crois que je n'ai jamais autant entendu d'histoires de baise hardcores qu'avec cette appli.
Bon... Mais alors je me mets sur Grindr moi aussi ? Tss, fêter mes 19 ans, un petit soumis qui aime se trav, imberbe, mignon, féminin et bien salope, je vais pouvoir organiser un gang-bang avec 40 mecs...
- 20 minutes plus tard -
Mais c'est de la merde cette appli ! Putain le premier gay à la ronde il est à 180 bornes quoi ! Je suis dégouté...
Je pose mon téléphone, en me disant que j'aurai mieux fait d'être une gonzesse finalement, j'aurais pu trouver un mec...
Et dans une épiphanie, j'écarquille les yeux. Mais... Si je me démerde bien... Je pourrais me faire passer pour ?... Et si je suis honnête, le mec pourrait très bien être bi et kiffer l'idée. Quand soudain me vient une inquiétude : Mais si je croisais mon père sur l'appli ?...
Et d'un sourire sardonique, malin, coquin, je pense : Et si j'arrivais à retrouver mon père sur l'appli...
Alors j'étais parti, je me lève, monte dans ma chambre et pique des affaires à ma soeur, une perruque par trop moche que ma mère portait pour faire " poupoupidou " pendant les soirées costumées, avec un peigne je vais me démerder.
J'enfile le tout et me maquille, le tout assez rapidement pour pouvoir finir ça et me maquiller avant l'heure du repas avec mon père. Et alors... Je suis, mais... Une grosse cagole... Alors ouai, là c'est sûr je vais choper, mais du chien en chaleur qui veux se vider dans la MST sur pattes... Bon je recommence.
Après une 30aine de photos j'arrive à en sélectionner 3 ou 4, et ça va, je suis plutôt mignonne, on ne me reconnait pas du tout, je suis pour le coup assez surpris moi-même, je fais un peu coquine mais je fais pas grosse salope, c'est très bien.
J'hésite... Pendant un moment... Jenny 20 ans, en rase campagne intéressée par du vieux... Si quelqu'un qui me connait était dessus...
Bon et puis merde, on ne me reconnait pas et en plus je pourrais l'enlever, go sur le marché !
Et là, effectivement, beaucoup plus de mecs, des jeunes, des jeunes, des un peu moins jeunes genre la trentaine... Bon. ok. ok. ok. Rien de foufou, j'en match aucun en fait... Et c'est fini. Quoi ? Mais... Comment ça finit ? Il me propose que des gens je sais pas où maintenant.
Alors " Paramètres de recherche "... h j'avais bloqué à 40 ans ou moins. Alors on va mettre 55, je ne devrais pas trop en avoir !
WOW oulah ! Je croule sous les profils là, je reconnais certains profils, des vieux du coin qui ont envie de baiser, et ils se cachent pas trop, eh bah !
Et au fur et à mesure que je swipe un gauche je me rends compte que je n'ai matché personne... Pourquoi ?... Je suis trop à la recherche de mon père ? Je veux voir personne d'autre ? Qu'est-ce que ça veut dire, je peux très bien avoir envie de rencontrer d'autres gens ? Même si je l'aime mon papounet... Mon papa... Mon beau papa viril et musclé...
Levé de mes pensées je jette mes yeux sur mon écran, mon doigt collé au tactile, je ramène doucement la photo que j'allais swiper à gauche ; mon père.
- À SUIVRE -
Message de l'auteur :
" Bonjour à tous, j'espère que ce premier chapitre vous a plu et bien fait bander ! Pour ceux qui ne me connaissent pas, je suis TrappyBoi, jeune homme en transition qui à mon stade est plus une jeune salope, j'écris donc, vous vous en doutez, avec mon coeur et mon expérience !
N'hésitez pas à commenter si le site vous le permet, à m'envoyer un message si le site vous le permet, dans tous les cas je réponds toujours par mail : emilieflatchest@hotmail.com
S'il vous prend l'envie de papoter, n'hésitez pas, ça me fera toujours plaisir !
Mesdames, gardez votre culotte mouillée, messieurs l'élastique risque encore de se tendre, on se retrouve au prochain chapitre, bisous partout <3"
TrappyBoi
emilieflatchest@hotmail.com
Autres histoires de l'auteur : Fils à Papa