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10 ans en arrière

Le weekend dernier, Hugo et moi nous nous sommes mariés. Pour l'occasion, Ben nous avait prêté les Pins, son " cabanon de pêche " où tout a commencé pour nous voici 10 ans. À l'époque je travaillais comme ingénieur en agroalimentaire à Montpellier.
Nous étions une équipe de quatre chercheurs, Ben, qui dirigeait le service et Édouard, son assistant, moi et Gaël, recherche et développement, qui partagions le même bureau. À l'occasion, nous partagions également le même lit, mais nous restions très discrets sur nos aventures. À cette époque, pourtant pas si lointaine, il valait mieux ne pas trop dire qu'on était un garçon qui préférait les garçons.
Cette année-là, nous fûmes tous les quatre convoqués, un jeudi matin, par le DHR qui nous informa que nous avions trop de jours de congés payés en retard, et que nous devions les liquider en urgence. Nous étions donc mis d'office en congé, le soir même pour dix jours. Nous avions juste le temps d'annuler les rendez-vous pris pour la semaine suivante.
À midi, nous nous sommes retrouvés tous les quatre à la cafétéria de la boite, furieux d'être ainsi avertis au dernier moment.
- Tu parles d'une poisse, en six heures, comment organiser dix jours de congés ! On est juste condamnés à glander !
Ben prit la parole :
- Avec Édouard, nous partons passer ces dix jours aux Pins, si ça vous dit de venir.
Gaël eut une petite lueur dans le regard et répondit :
- Pour moi, c'est OK !
Je me trouvais tout con et répondis à mon tour :
- Pour moi aussi c'est OK ! Mais c'est quoi les Pins ?
Ben sourit et me répondit :
- C'est une cabane de pêcheur que j'ai héritée de mon grand-père. Je l'ai un peu aménagée et j'y vais dès que je peux. La baraque est au bord de la plage et entouré par une réserve naturelle de plus de 200 hectares. Pas un voisin à moins de 3 kilomètres, la liberté absolue. Si vous êtes d'accord, départ demain à 7 h on se retrouve tous chez Antoine.
Lorsque nous retournâmes dans notre bureau, Gaël me donna plus de détail :
- Tu parles d'une baraque. C'est magique. Une villa tout en bois, à cent mètres de la plage. Édouard a transformé cette cabane de pêcheur en véritable palace. J'y suis déjà allé une fois ou deux.
Du coup, la perspective de passer dix jours au bord de la mer fit passer notre mauvaise humeur. Gaël poursuivit :
- Si tu le permets, on passera chez moi prendre mes affaires ce soir et je viendrai dormir chez toi, ça sera plus simple.
- OK.
En fin d'après-midi, nous passâmes chez Gaël qui prépara ses affaires en moins de cinq et nous arrivâmes chez moi. À peine entrée, cette petite vipère lubrique se tourna vers moi et me roula une grosse pelle et me pelotant les fesses.
- Je crois qu'on va vraiment passer dix jours sympas !
- Tu essaieras juste d'être un peu plus discret devant Ben et Édouard !
- Pour quoi faire ? Tu imagines peut-être qu'ils vont être discrets tous les deux ?
- Je ne comprends pas !
- Tu ne vas pas me faire croire que tu n'as jamais remarqué qu'ils étaient en couple ! Tu es bien le seul de toute la boite à ne pas savoir qu'ils vivent ensemble depuis des années.
Après nous être fait livrer une pizza, nous décidâmes de ne pas nous coucher trop tard. Gaël se glissa derrière moi et m'embrassa la nuque :
- Pas besoin de me préparer la chambre d'ami. Ça fait quinze jours que je ne me suis pas vidé les couilles !
- OK ! Le temps de prendre une douche, on se retrouve dans ma piaule !
- Tu déconnes. Pas de douche. Il a fait chaud toute la journée, on a sué comme des boeufs, je ne vais pas savonner cette bonne petite odeur de mâle en rut.
À peine le temps de le dire et nous nous sommes retrouvés à poil sur mon lit, commençant à nous lécher les aisselles. Rien à redire, après une journée de bureau, et en dépit de l'air conditionné, ça ne sentait le mâle. Puis Gaël ma bascula sur le dos et vint me rouler une pelle baveuse, comme il sait que je les aime. Sa langue virevoltait sur la mienne et se baladait dans ma bouche. Nos deux corps en sueurs se frottaient l'un contre l'autre et je bandais à en avoir mal. Puis tout en tournant sur lui-même, Gaël vint positionner sa rosette au-dessus de ma bouche tandis qu'il engloutissait ma queue. J'attrapais le bas de son dos à deux mains et me hissait vers son magnifique orifice. Il avait une paire de fesses musclées et très velues qui me rendait fou. Je tirais la langue et commençais à lécher cette raie ténébreuse et douce. Il y en avait autant pour le nez que pour la bouche. Là s'étaient accumulées toutes les odeurs de la journée, sueur de petit mâle et odeur d'un trou à peine essuyé. Ma langue léchait tout ce qui était à sa portée et je dégustais littéralement son petit trou qui frémissait sous mes caresses.
- Vas-y, baise-moi !
Je ne résistais pas à cet ordre et me dressant sur les genoux, pris à peine le temps d'enfiler une capote avant de lui défoncer la pastille. Nous étions tous les deux tellement excités que je l'enfilais d'un coup sec, lui enfonçant ma tige jusqu'aux entrailles. Il répondit à mon assaut par un feulement de douleur et d'excitation et je me mis à le pilonner avec ardeur. Je le sentais se coller à moi comme une invitation à aller plus loin :
- Prends-moi, prends-moi
Mais même monté comme je le suis, je ne pouvais aller au-delà de mes 20 centimètres. Bientôt je sentis monter au creux de mes reins le petit frisson annonçant la venue de l'éruption. Je retournai Gaël, ôtais mon préservatif et lui collais ma queue dans la bouche tandis que je gobais la sienne, nous n'eûmes que quelques secondes à attendre avant que dans une jouissance partagée nous ne nous remplissions la bouche de sperme. Sans prendre le temps de reprendre souffle, Gaël vint coller sa bouche sur la mienne et commença à me rouler une pelle d'enfer où se mêlaient nos langues et nos semences. Nos lèvres ne séparèrent que lorsque nous eûmes avalé nos divins nectars, comme Gaël nommait notre sperme les soirs où il se sentait l'âme d'un poète.
Enfin calmés et rassasiés nous sommes restés collés l'un à l'autre, nous embrassant et nous caressant. Nous ruisselions de sueur et après un dernier petit coup de lèche, nous sommes allés prendre une douche tiède afin de nous calmer un peu avant d'aller nous coucher.
Lorsque nous nous sommes retrouvés sur le lit, à poil et lavés de frais, je bandais encore. Gaël regarda ma queue avec concupiscence, mais me dit dans un sourire :
- Il faut dormir, la journée de demain sera longue. Il faut en garder pour les vacances. Dors bien.
Le lendemain, dès l'aurore, nous étions levés. Réveillé un peu avant lui, j'avais regardé Gaël dormir. Il était à plat ventre, les jambes légèrement écartées et mon regard se posaient avec régal sur son petit cul poilu et sa sombre raie. Je pensais que les vacances allaient être super.
Je me levais sans bruit pour préparer mes affaires. Mon sac prêt, j'allais prendre une douche froide pour bien commencer la journée, j'étais en train de savonner lorsque je sentis deux mains se poser sur ma queue en même temps que je sentais la bite raide de Gaël me frotter le cul.
Comme je me penchais en avant pour attraper le flacon de gel douche, il m'agrippa les fesses à deux mains et sans le moindre avertissement il s'enfonça en moi d'un coup sec et jusqu'à la garde. Il a beau être moins bien équipé que moi, je sentis son chibre rentrer en moi avec violence et je hurlais de douleur. J'essayais me de m'échapper, mais il me tenait solidement et se mit à me pilonner le cul avec détermination. Au moment où je commençais à prendre un peu de plaisir à cette pénétration sauvage, il se retira pour finir en se branlant et jouir sur les vitres de la douche.
J'avais encore le cul en feu, mais je débordais d'amour pour mon étalon du matin et me mis à lécher le jus qui coulait sur les vitres.
Gaël s'approcha de moi et me roula un patin en me disant :
- Faut partager ! mon chéri, faut partager.
À sept heures trente, un coup sonnette résonna, nous prîmes nos sacs et descendîmes le coeur léger pour dix jours de vacances. Ben nous attendait à côté de son Range Rover, nos sacs arrivèrent dans le coffre et je m'étonnais de voir que les trois autres avaient pris de petits bagages comparés au mien.
Nous avons roulé durant trois bonnes heures avant d'arriver au sud de Béziers. Le temps de faire des courses dans un supermarché qui se trouvait à la sortie de la ville et où mes comparses semblaient avoir leurs habitudes et nous sommes repartis pour les derniers kilomètres.
À un moment donné, il y eut sur le côté de la route un grand panneau : " Réserve naturelle " qui avertissait les visiteurs qu'ils pénétraient dans un espace protégé où ils devaient respecter un certain nombre de règles : pas de voiture, pas de feu, gestion rigoureuse des déchets... Il y avait un grand parking, encore désert à cette heure et au-delà, le chemin de sable qui continuait, fermé par une solide barrière. Ben descendit, ouvrit le cadenas et poursuivit la route. Après environ un kilomètre de chemin sur un sentier sablonneux, nous arrivâmes enfin devant une haie fournie protégée par une discrète barrière.
- Mon petit paradis, nous dit Ben en souriant.
Il gara la voiture derrière une longue bâtisse en bois très clair entouré d'un vaste terrain où poussaient quelques pins et une végétation luxuriante où l'on reconnaissait toutes les plantes habituelles en bord de mer en cette région.
Dans la maison, tout était en bois très clair, avec de grandes fenêtres donnant sur la plage à travers une grande terrasse couverte. Le centre de la maison était occupé par une vaste pièce qui servait à la fois de cuisine salle-à-manger, salon et salle de jeu. Un endroit incroyable de beauté et d'espace.
Après avoir déchargé la voiture, Gaël et moi sommes allés nous installer dans notre chambre. Il y en avait deux dans la maison, une à chaque extrémité. Ben et moi avions la chambre ouest, très vaste, elle comprenait deux grands lits doubles, des armoires, et un salon autour d'un poêle en faïence. À l'extrémité de la pièce, et sans aucune séparation se trouvait la salle de bain, avec cabine de douche entièrement vitrée, toilette et lavabos, le tout entièrement exposé la vue des autres occupants de la chambre.
Je commençais à ranger mes affaires dans une armoire quand je vis Gaël, faire de même devant une autre armoire. Quand ses affaires furent installées, je vis avec surprise qu'il commençait à se déshabiller entièrement. Je m'arrêtais un moment pour le regarder faire. J'adore voir un mec se déshabiller et plus encore le mater quand il est à poil. Je regardais pour voir quelle tenue il allait enfiler, mais je le vis refermer le placard et se tourner vers moi :
- Qu'est-ce que tu fous ? Dès que tu es prêt, on y va !
- Comment ça : on y va ? Tu ne vas pas rester comme ça ?
- Comme ça quoi ?
- Ben à poil, tu ne vas de balader à poil toute la journée ?
- Oups, tu as raté une étape où on a zappé une étape. Mais ici, les fringues ne sont pas obligatoires. En fait même elles sont carrément de trop.
- Tu veux dire que tu vas passer dix jours à poil ?
- Euh ! Pas moi seulement ! Je pense que Ben et Édouard sont déjà à poil depuis un moment, je suis même surpris qu'ils ne se soient pas déshabillés dans la voiture. Ça nous est déjà arrivé de voyager à poil. Un vrai délire. Tu fais ce que tu veux. Si tu veux rester habillé tu peux, mais nous on sera à poil pendant dix jours.
Je remarquais alors qu'effectivement, il était entièrement bronzé et ne présentait aucune trace blanche attestant du port du maillot de bain.
- Bon quand tu auras fini de mater, tu fais ce que tu veux, à poil ou habillé, mais magne-toi !
Un peu surpris je me déshabillais et me retrouvais bientôt nu comme un vers devant Gaël. Celui-ci vint délicatement me caresser le paquet :
- Garder un paquet comme le tien dans un calebar, c'est un vrai péché.
Il me roula rapidement une petite pelle et se dirigea vers le séjour. Quand nous entrâmes dans la pièce, Ben et Édouard étaient déjà là, à poil et en train de se rouler un patin. J'avais souvent rêvé de les voir à poil, mais devant cette réalité offerte, je fus tout émoustillé et très gêné, car je commençais à bander. Édouard fut le premier à s'en apercevoir :
- Voyez-vous ça, un vrai petit étalon. Gaël nous avait prévenus. Si tu peux tenir jusqu'au dessert tant mieux, parce que nous, on commence à avoir la dalle.
Nous prîmes rapidement de quoi déjeuner dans le réfrigérateur et sortîmes sur la terrasse pour profiter de l'incroyable paysage que nous offrait la méditerranée. Le piquenique se déroula dans une ambiance très bon enfant et je constatais qu'à chaque fois que l'un de nous de levait, c'était l'occasion pour les autres de lui toucher le paquet ou les fesses. Autant dire qu'à la fin du repas nous étions tous les quatre en érection. Ce fut Édouard qui décida :
- Comme dessert, on suce son voisin puis tout le monde à la sieste !
Comme j'étais assis à côté de lui, je vis avec surprise sa tête se pencher sur mon entrejambe et sentis bientôt sa langue remonter le long de mon chibre. Il me lécha longuement la queue, puis je m'installais à califourchon sur le banc pour qu'il puisse s'attaquer à mes couilles. Il les goba, l'une après l'autre, avant de remonter sur ma queue pour finir par l'engloutir complètement. Il suçait divinement et je sentis bientôt que j'allais exploser.
- Fais gaffe, le dessert arrive !
Il ne releva pas la tête et ne ralentit pas le rythme et bientôt je me vidais en lui à longs et abondants jets. Il se relava enfin en se léchant les lèvres :
- Mont-blanc vanille bien crémeuse ! À ton tour.
Il écarta les cuisses et offrit à ma vue une queue pas très longue, 15 ou 16 cm, mais en revanche très épaisse et qui jaillissait d'une abondante touffe de poils.
- Gaël m'a dit que tu aimais bien brouter !
Je commençais par frotter mon visage dans ses poils épais avant de descendre sur sa tige épaisse. Au passage, je léchai une ou deux gouttes de jus qui commençaient à perler sur son gland, puis je descendis jusqu'à ses deux grosses couilles, elles aussi très velues. Je les lui léchais avec ardeur et l'entendis se mettre à gémir. Je remontais le long de son zob et commençais longuement en lentement à lui sucer le gland. Il mouillait abondamment et je profitais longuement de lui avant d'engloutir sa queue pour le sprint final. Je me lançais dans une pipe infernale pour le faire jouir le plus vite possible. Je l'entendis se mettre à gueuler de plaisir avant de sentir sa semence me remplir la bouche. Son sperme était épais et abondant et avait une petite saveur âcre pas déplaisante. Je gardais tout en bouche un moment avant de commencer à avaler mon dessert.
- Chocolat liégeois, mais je n'ai eu que la crème !
Il se tourna, écarta les fesses et me montra son cul :
- Tu veux le chocolat ?
- Pas pour le moment, je ferais plutôt une bonne sieste.
Le temps de débarrasser et nous avons eu le droit à notre sieste. Ben et Édouard préférèrent le calme de leur chambre, Gaël et moi nous nous sommes installés dans un hamac à deux places qui pendaient entre les piliers de la terrasse. Nous nous sommes installés têtebêche pour pouvoir nous endormir en nous suçant les doigts de pieds et en nous malaxant doucement le paquet.
En me réveillant, je vis que mes trois compères étaient déjà prêts à partir se baigner et m'attendaient. C'est un joli spectacle que se réveiller et voir trois beaux mecs à poil sous le soleil. Nous n'avions que quelques mètres à faire pour passer la petite dune qui clôturait le jardin et nous retrouver sur une plage de sable blanc, totalement déserte :
- Pas grand monde à l'horizon !
- C'est toujours comme ça ! Il n'y a pas d'accès possible en voiture à moins de trois kilomètres, ça décourage pas mal les intrus.
Le temps d'étaler nos draps de bain sur la plage et nous étions tous les quatre dans l'eau. Après avoir nagé un peu, nous avons fait ce que peuvent faire quatre mecs à poil quand ils se baignent ensemble. Nous avons commencé à nous bagarrer gentiment, mais bien sûr profitant de la moindre occasion pour palper une paire de fesses ou attraper à pleines mains le paquet de l'un ou de l'autre. Après un petit moment, nous étions tous les quatre complètement en rut et bandions comme des malades. C'est à ce moment que nous entendîmes une voix grave nous demander :
- Elle est bonne ?
Nous n'avions pas fait attention au fait que deux mecs en combinaison bleue s'étaient approchés de nous.
- Excellente ! Vous venez gouter ?
- Pas possible pour le moment, nous sommes en train de finir une course d'orientation, notre stage se termine demain matin.
- Stage de quoi ?
Après un petit moment de silence, le plus grand des deux répondit :
- Gendarmerie.
Les deux mecs étaient effectivement vêtus de combinaison bleu marine, le plus grand des deux devait mesurer au moins 2 mètres 10 et j'avais rarement vu une telle armoire à glace. Il avait des traits épais, mais réguliers et à défaut d'être vraiment beau, il émanait de lui une sorte de force qui donnait presque le frisson. Ce mec était un vrai concentré de testostérone.
- Bon, désolé, on doit y aller !
- Repassez demain après-midi, si vous voulez. Vous serez les bienvenus, il y a même de la place si vous voulez finir le weekend ici.
Ils ne répondirent rien et repartirent à petites foulées.
Le lendemain, nous étions allongés sur la plage en train de nous faire bronzer quand ils arrivèrent tous les deux.
Ils s'approchèrent de nous et firent les présentations. Le plus petit des deux portait juste un short :
- Salut, moi c'est Paul.
Le plus grand qui portait un short et un t-shirt sans manche se présenta à son tour :
- Moi, c'est Hugo.
Sans plus attendre, Paul avait étendu un drap de bain et fait glisser son short sous lequel il était à poil. J'ai déjà dit que j'adorais voir un mec déshabiller, et j'admirais le corps de ce beau mec. Discrètement, je tournais le regard vers Hugo, il avait les bras levés et enlevait son t-shirt. Je me régalais furtivement des poils fournis qui garnissaient ses aisselles. Puis il fit glisser son short et je fus un peu déçu, car il portait un speedo noir. Je pensais en moi-même : " J'espère qu'il ne va pas le garder ". Mais je le vis glisser ses deux pouces sous la ceinture et le faire glisser au sol. Il était là, à poil devant nous. Son torse était entièrement recouvert d'une abondante toison aussi blonde que ses cheveux. Elle descendait sur ses abdos et aboutissait à une touffe garnie qui surmontait une queue comme je n'en avais jamais vu. Un monstre épais et qui venait lui battre presque à mi-cuisse, lesquelles comme ses avant-bras étaient elles aussi couvertes de poils blonds ? Il se tourna vers la mer et je pus librement mater son cul musclé, lui aussi couvert de poils blonds. Ce mec était un dieu, partout du muscle et des poils. Je rêvais immédiatement à l'instant où je pourrais promener ma langue partout sur ce corps de rêve et me mis à bander comme un malade.
Il se tourna vers nous :
- Une petite baignade ?
Les autres se levèrent aussitôt et se joignirent à lui. Quand je me levais à mon tour, il eut un bref regard vers ma queue dressée, mais ne fit aucune remarque. Il partit à petites foulées vers la mer et je le vis plonger. Quelques instants après, nous étions tous dans la flotte à nous jeter de l'eau et à essayer de nous attraper les uns les autres. Évidemment, personne n'essaya de se frotter à Hugo qui nous dépassait tous d'une ou deux têtes. Sans trop savoir comment, je me retrouvais bientôt dans ses bras et il me souleva sans aucun problème. Il me chuchota à l'oreille :
- Alors, on matte l'attirail du gendarme ?
- Tu parles, je n'ai jamais vu une matraque comme la tienne !
- Si tu n'es pas sage, méfie-toi, tu pourrais bien y gouter !
Un peu plus tard, il me demanda :
- Veux-tu faire un exercice de secourisme avec moi ?
- Pourquoi pas ?
Je me retrouvais allongé sur son dos, les bras autour du cou, et il se mit à nager le crawl. Ses gestes étaient lents et puissants et il ne lui fallut que quelques minutes pour aller jusqu'à une bouée qui se trouvait à deux-cents mètres du rivage, en faire le tour et me ramener au rivage. Je sentais tout son corps sous moi et de temps en temps, ses fesses venaient cogner mon bas-ventre. Je me mis à lui lécher la nuque :
- En principe tu es sans connaissance et tu dois attendre d'être réanimé sur la plage.
Dès que nous fûmes arrivés sur la plage, il m'allongea sur le sable chaud et entreprit de me faire du bouche-à-bouche. Il me pinça le nez et colla ses lèvres charnues sur les miennes. Je sentis son souffle qui me remplissait les poumons. Il appuya sur ma poitrine et recommença plusieurs fois.
Enfin sa main vient se poser sur ma queue bandée et il constata :
- Je crois qu'elle est réanimée !
Il colla alors sa bouche sur la mienne et je sentis sa langue venir fouiller ma bouche, nous étions littéralement collés l'un à l'autre. J'aurais voulu que cet instant ne cesse jamais. Je me trouvais bientôt allongé sur lui et ses mains pétrissaient mes fesses, bientôt ses doigts se glissèrent entre elles et je sentis son index venir titiller ma rondelle.
Mais il n'alla pas plus loin et nous nous séparâmes. Il vint s'allonger sur une serviette et je pus à loisir mater son cul rebondit. Je m'allongeais auprès de lui. Lorsque le soleil nous eut séchés l'un et l'autre, je lui proposais :
- Veux-tu que je te mette de la crème solaire sur le dos ?
- Pourquoi pas !
J'attrapais un tube de crème et commençais à l'en enduire. D'abord la nuque, puis le dos, large et musclé, je descendais lentement vers ses fesses et vint enfin le moment tant attendu où je pus laisser mes mains caresser ces deux globes velus. Sa raie sombre m'attirait, et bientôt, sans trop y prêter garde, ma main s'enfonça profondément et je le caressais lentement. Je sentis bientôt sous mes doigts palpiter sa rondelle.
- À cet endroit, je ne crois pas risquer un coup de soleil !
J'étais rouge de confusion :
- Désolé. Excuse-moi !
- Je ne t'ai pas dit d'être désolé ni de t'excuser. C'était super agréable.
Il se retourna et se coucha sur le dos. Il bandait comme un âne et je fus stupéfait de la taille de son sexe en érection.
- Je n'ai jamais vu une queue comme la tienne. Tu mesures combien ?
- Moi, je mesure 2 mètres 10 et je pèse 110 kilos. Ma queue, je ne sais pas trop bien, je bande rarement avec un décimètre à la main, mais je dirais 24 centimètres. Je reconnais que c'est un beau morceau, mais ça n'est pas simple à gérer.
Je laissais doucement ma main se balader sur cette queue de rêve et sur ses couilles pendantes et velues.
- Comment-ça, difficile à gérer ?
- Vu sa taille, peu de mecs acceptent que je les fourre. En fait, la plupart du temps je dois me taper des adeptes de fist-fucking. Quand on s'est pris un avant-bras dans le fion, ma queue ne fait plus peur.
- C'est vrai que c'est un super morceau.
Je vins l'embrasser.
- Je peux te sucer ?
- Aucun problème !

Je descendis lentement en lui léchant le torse, je m'arrêtais longuement pour frotter mon visage sur son pubis velu. Puis j'arrivai sur sa queue. Un petit coup de langue sur son gland au passage, puis je descendis sur ses couilles que je léchais et gobais longuement. Puis je remontais sur sa tige et pris son gland entièrement en bouche, il était chaud et ferme et le suçais longuement jusqu'à l'apparition de premières gouttes de jus que je léchais avec délectation. Ensuite, j'essayais d'avaler cette énorme tige, mais à mi-course, je dus renoncer. Je continuais à la sucer puis repris mon ascension vers sa bouche en embrassant son ventre, puis son torse velu. Je m'arrêtais un instant pour sucer et mordiller ses tétons qui durcirent sous mes attaques puis arrivais enfin à sa bouche. Mes lèvres se collèrent aux siennes et nos deux langues se livrèrent à une lutte endiablée. J'avais du mal à reprendre mon souffle. J'étais entièrement couché sur lui et entre nos deux ventres, je sentais nos deux queues dressées à mort se frotter l'une à l'autre.
À un moment donné, il recula la tête, me regarda et me demanda :
- Crache-moi dans la bouche !
- Quoi ?
- Crache-moi dans la bouche, je veux gouter ta salive, balance-moi un gros glaviot bien baveux.
Je me remplis la bouche de salive et balançais le tout dans sa bouche grande ouverte. Je le regardai faire avec surprise :
- C'est un rien dégueu !
- Et tu n'as encore rien vu, ce n'est qu'un tout petit début. J'adore ça.
Nous restâmes un long moment, blottis l'un contre l'autre à nous bouffer la bouche. À un moment, n'y tenant plus, je finis par lui demander :
- Tu veux bien me fourrer le fion ?
- Tu n'es pas obligé, tu sais ? J'ai l'habitude maintenant et pour mes partenaires c'est rarement un moment de plaisir. Il ne faudrait pas que tu gardes un mauvais souvenir de moi pour avoir eu les yeux plus gros que le cul !
- Non, non, j'ai vraiment envie !
Il se remit sur le dos, replia les mains sous sa tête, ce qui me permit une fois de plus d'admirer ses aisselles que je me réservais pour plus tard. Je m'approchais de sa tige en l'enduit de salive, faute de n'avoir pas pensé à prendre du gel et la crème solaire me semblant assez peu indiquée. Je me positionnais au-dessus de lui et commençai à descendre doucement. Les quatre autres, en voyant ce qui se préparait avaient cessé de se baisouiller et s'étaient rapprochés pour jouir à plein du spectacle. Je crachais dans ma main et vins m'enduire la rondelle de salive. Puis je descendis encore. Son gros gland était maintenant en contact avec mon tout petit trou et je commençais à me demander si ça allait rentrer. Hugo avait posé ses deux mains sur mes hanches et me soutenait. Je pris une grande respiration et forçais le passage. Son gland entra en moi et à ma grande surprise, je m'ouvris pour l'accueillir. Si les premiers centimètres passèrent sans trop de problèmes, je sentis bientôt mon petit cul se mettre à chauffer. Puis la douleur arriva par vagues, de plus en plus intenses. Je m'enfonçais encore, je ne savais pas combien j'avais de centimètres en moi, mais sans doute fort peu. La douleur était devenue intolérable. J'essayais de reprendre mon souffle et m'enfonçais encore de quelques centimètres. Je hurlais de douleur et des larmes ruisselaient sur mon visage.
Je sentais que de ses deux mains, Hugo essayait de m'arracher de dessus lui, mais je résistais.
- Arrête, me redit-il, tu n'es pas obligé !
- Laisse-moi, j'irai jusqu'où j'ai envie d'aller.
Paul, le copain d'Hugo, qui devait avoir l'habitude se cracha dans la main et vint enduire la bite d'Hugo de sa salive pour lubrifier le passage. Au passage, il me massa doucement la rondelle.
- Ça va aller, me demanda-t-il ?
Je hochais la tête et il approcha doucement ses lèvres des miennes et me roula doucement une longue pelle. Sa langue était douce et sa bouche avait un gout très agréable. Je pris beaucoup de plaisir à ce baiser et ce fut une pause salutaire. Mais je sentais que mon courage commençait à faiblir devant la douleur, aussi je pris une longue respiration et m'enfonçais sur la tige d'Hugo d'une longue et lente poussée, jusqu'à ce que sente ses couilles au contact de mes fesses. Tout ce que j'avais connu de douleur au cours de mes années de pratique de la sodomie n'était rien par rapport à ce que vivais à cet instant-là. J'avais l'impression qu'on m'avait enfoncé dans l'anus une tige de métal chauffée à blanc. Les vagues de douleur se succédaient de plus en plus rapprochées et submergeaient tout mon corps. En même, temps, j'aurais voulu pouvoir m'enfoncer plus loin encore tant je désirais avoir cette énorme queue tout en moi.
Les mains d'Hugo avaient quitté mes hanches et il me caressait le dos. Soudain, sans que personne ne m'ait touché, je me mis à gicler de longs jets de sperme qui vinrent s'écraser sur la toison d'Hugo. C'était la première fois que je jouissais de la sorte et je fus d'un seul coup submergé d'une immense vague de bienêtre. Ce qui était jusqu'alors une douleur insoutenable se transforma bientôt en une bienfaisante chaleur.
Je vis Hugo, qui de ses doigts ramassait mon sperme et le portait à la bouche, du moins ce qu'il en restait, car les autres s'étaient mis à le lécher avec avidité. Lui et moi nous ruisselions de sueur. Bientôt je me mis à osciller du bassin et je sentais la tige d'Hugo prendre toute sa place en moi, et moi j'étais entièrement ouvert pour l'accueillir.
Hugo sentit en même temps que moi que nous venions de franchir une étape et que s'ouvrait à nous un pur moment de jouissance. Il m'attrapa par les deux hanches, me souleva sans problème et m'empala à nouveau de toute sa force. Mais j'étais désormais prêt à le recevoir en moi. Mes gémissements remplacèrent mes cris.
Je ne sais plus combien de coups de boutoir il me donna, mais à un moment donné, je sentis qu'il explosait en moi, je le vis jouir sous mes yeux en même temps que je sentais en moi couler sa semence.
Je m'inclinais et vins me coucher sur son torse humide. Il caressait mes cheveux. Bientôt il se retira de moi et je demandais aux autres dans quel état était mon trou, je sentais du liquide couler et j'avais peur de saigner. Ben me dit :
- Ne t'inquiète pas, ça ne saigne pas, mais tu as le trou aussi ouvert que le tunnel sous le Mont-Blanc, on pourrait y faire passer un semi-remorque !
- Mais j'ai l'impression d'avoir pris un semi-remorque.
Au bout d'un moment, Hugo reprit :
- Bon, on va penser au nettoyage !
- Qu'est-ce que tu veux dire ?
- Tourne-toi vers ma queue et montre-moi ton petit cul !
Je me tournais et lui présentais mes fesses. Il les ouvrit avec ses deux mains et je sentis bientôt sa langue lécher le jus qui me coulait sur les cuisses.
- Qu'est-ce que tu fais ?
- C'est l'heure du gouter. Alors je goute. Mélange délicat de sperme, de sueur, se salive et un arrière-gout de ce qui trainait dans ton petit tuyau. J'adore.
Je sentais sa grosse langue passer sur mes cuisses, ma rondelle, il me gobait les couilles, rien ne lui échappait.
- Resserre tes sphincters !
Je resserrais mon petit trou et il dut en perler encore quelques gouttes, car le sentis venir lécher ma rondelle avec application. Sous mes yeux, sa queue encore gonflée était posée sur son bas ventre, enduite de son sperme et de sécrétions. Je n'avais pas le courage de le sucer, mais les autres se jetèrent avec avidité sur ce morceau de choix et leur quatre langues excitées eurent bientôt fait de le nettoyer.
Je me retournais enfin et m'allongeais sur lui, nos lèvres se rencontrèrent et nous nous embrassâmes longuement. Sous moi, je sentais son corps trempé de sueur et je ne résistais pas à la tentation d'aller enfouir mon visage sous ses aisselles. Elles étaient toutes humides et sentaient bon l'homme, je sortis la langue et commençai à lui lécher les dessous de bras. C'était un concentré de son odeur et je m'en régalais. Finalement il se redressa, me pris par la main et me montra la mer :
- Allons nous laver un peu !
Je le laissais me frotter, je sentais sa main sur mon sexe, puis entre mes fesses. C'était bon. Déjà l'après-midi touchait à sa fin, nous rentrâmes prendre une douche chaude, et préparâmes le repas. Quand vint la nuit, Ben nous proposa de passer encore un moment dehors, autour d'un feu. Il y avait un tas de bois, un feu fut vite préparé et nous nous assîmes autour. Comme il y avait un petit vent frais, Hugo alla chercher trois couvertures et nous nous roulâmes dedans deux par deux. Lui s'était assis, les jambes légèrement écartées et je vins me blottir entre ses cuisses. Je sentais sur mes fesses la chaleur de son sexe et sur mon dos, la douceur de sa toison. Bientôt, je décidais de me retourner, je passais mes jambes autour de sa taille et me blottis contre son torse. Il se pencha vers moi et à nouveau, je sentis sa langue prendre possession de ma bouche. C'était un vrai bonheur. Aucun d'entre nous ne parlait et je savais que les autres goutaient tous un plaisir comparable au mien.
Quand le feu commença à baisser, nous décidâmes d'aller nous coucher. Paul et Hugo nous rejoignirent dans la deuxième chambre, je m'allongeais sur le premier lit et vit avec joie qu'Hugo venait se coucher à côté de moi. Je me blottis contre lui et le laissais me caresser. Ma main s'était glissée entre ses fesses et j'en sentais la chaleur humide. Au bout d'un moment, je sentis que mon index s'était dangereusement approché de son petit trou et après l'avoir sucé pour l'enduire de salive, le lui enfonçais profondément dans le cul. Il écarta les jambes pour me faciliter l'accès et je fis quelques allers-retours. Puis je sortis mon doigt et le portais à mes narines. L'odeur était puissante et je me mis à bander. Hugo me regardait, mais je n'allais pas plus loin. Alors il ouvrit les lèvres et engloutit mon doigt qu'il suça avec application.
Je m'endormis ainsi, mon doigt dans sa bouche.
Le lendemain, lorsque je me réveillais, il faisait déjà grand jour et j'étais seul dans le lit. Je me redressais, regardais autour de moi. Dans leur lit, Paul et Gaël remuaient sous les draps et à leurs gloussements, je compris qu'ils se donnaient un peu de plaisir matinal. Puis je vis Hugo, toujours à poil, assis, les jambes écartées sur la cuvette des cabinets. Je me levais et le rejoignis pour lui rouler une pelle.
- Tu en as pour longtemps ?
- Pourquoi ?
- J'ai la vessie qui va exploser alors si tu en as pour longtemps, je vais pisser dans la douche.
Il écarta un peu plus les cuisses.
- Il y a de la place pour deux.
- Pardon.
- Je dis, il y a de la place pour deux. Si tu as envie de pisser, assieds-toi sur moi et pisse entre mes cuisses.
J'étais estomaqué. Je n'avais jamais rencontré un mec aussi dégueulasse que lui. Mais je m'avançais et m'assis à califourchon sur ses cuisses velues. Ses poils me caressaient partout. À peine assis, il commença à m'embrasser et moi à pisser. Mon sexe était juste au-dessus du sien et je jetais un regard. Ma pisse coulait sur sa queue et sur ses couilles, il semblait aux anges. Je le vis descendre une main entre nous et venir se caresser. Quand il la remonta, elle était trempée de mon urine. Il la renifla avec délectation et me la mit sous le nez. Je reculais, un peu dégouté. Lui ouvrit la bouche et commença à la lécher. Mais j'avais aussi envie de chier. Je poussais un peu et sentis tomber deux gros étrons. J'avais à peine fini qu'Hugo descendit sa main derrière moi et vint ma caresser les fesses puis enfonça son index dans mon cul. Il joua un petit moment à entrer et sortir son doigt, à la plier dans mon anus, enfin, bref, tout un tas de petites caresses dont on sentait qu'il était un habitué.
Puis il sortit son doigt et vint le lécher comme à son habitude. Là, j'étais scotché.
- Tu es vraiment le roi des dégeus !
- Fais pas ta chochotte, c'est juste comme manger de l'andouillette.
Aucun doute, il prenait son pied.

Paul et Gaël venaient d'entrer dans la cabine de douche et nous décidâmes de les y rejoindre. Hugo entra le premier et leur roula un patin à tous les deux. Gaël était sur le point d'ouvrir l'eau quand Paul lui dit :
- Je crois qu'auparavant, Hugo désire une autre sorte de douche.
Effectivement, Hugo s'était assis sur le sol de la douche et nous regardait, la tête levée et la bouche ouverte. Paul décalotta son gland et se mit à pisser sur Hugo, un jet épais et puissant. Il commença par lui arroser le torse puis remonta et finalement se mit à lui pisser dans la bouche. Je crois que pour Gaël, c'était une première. Après un petit moment de surprise, il se décalotta à son tour et se mit à pisser sur Hugo ? Moi, j'étais déjà à sec ? Je ne sais pas ce qui me prit alors, mais dans le désir de m'unir à Hugo, je m'assis à nouveau à califourchon sur lui et ouvrit la bouche à mon tour. Le torse d'Hugo ruisselait de pisse et je me mis à le lécher. C'était acre et chaud, pas franchement désagréable, mais j'ai connu mieux. Hugo m'ouvrit la bouche et me cracha dedans un long jet d'urine qu'il venait de recevoir. Les deux autres se mirent à nous pisser sur la tête, ça coulait de partout et les mains d'Hugo me caressaient et m'enduisaient d'urine.
Quand Paul et Gaël furent à sec, l'eau chaude se mit à couler et nous nous relevâmes. Je vis Paul caresser les fesses velues de son copain :
- À charge de revanche !
- Quand tu veux.
Je laissais Hugo jouer avec moi et me savonner de haut en bas, il insista longuement sur ma queue dressée et vint finalement poser ses lèvres sur ma tige. Il suçait divinement et bientôt, je sentis monter en moi un frisson annonciateur de jouissance. Je lui tartinais la gueule avec mon jus du matin. Comme je m'y attendais, il n'en recracha pas une goutte et me suça le gland jusqu'à ce qu'il soit plus propre que propre. Je descendis à mon tour et me mis à le sucer tout en malaxant ses couilles velues. De son côté, Gaël en faisait autant avec Paul. Nous nous lançâmes dans sorte de course de vitesse et je gagnais d'une fraction de seconde. Je sentis la tige d'Hugo se contracter et je reçus dans la bouche trois longs jets de sperme. J'allais commencer à l'avaler quand je sentis Gaël m'attraper la tête et il vint me rouler une pelle magistrale. Sa bouche était pleine du jus de Paul et nous ne nous séparâmes pas avant d'avoir mélangé la semence de nos deux gendarmes et tout avalé.
Lorsque nous fûmes séchés et calmés, nous nous retrouvâmes dans la salle à manger où nous attendaient Ben et Édouard pour le petit déjeuner.
Dehors, le vent s'était mis à souffler et il faisait un peu frais pour se promener à poil. En attendant le repas de midi, les quatre autres se vautrèrent devant la télé en se paluchant et Hugo et moi regagnâmes notre lit.
Je l'attirais vers moi après lui avoir roulé un patin, je lui demandais de m'enculer, mais contrairement à la veille, je voulais qu'il prenne les choses en main.
Je me couchais sur le dos, glissais un oreiller sous mes reins et décidais de le laisser faire. Il se pencha doucement vers moi, écarta mes cuisses et me relava l'arrière train pour pouvoir venir me bouffer tranquillement le cul. La caresse de sa langue dura longtemps. Je sentais son souffle chaud. Il me donnait de petits coups de langue très secs sur la rondelle, ou au contraire léchait largement tout le long de ma raie. Quand il jugea le moment venu, il se pencha vers la table de chevet, attrapa un tube de gel s'en mit sur l'index et commença à me lubrifier l'intérieur. Je sentais son doigt prendre possession de mes entrailles. Il travaillait en douceur, avec application. Bientôt ce furent deux puis trois doigts qui me préparèrent à l'assaut final.
Quand je fus enfin prêt, il enduisit sa queue qui était bandée depuis on petit moment d'une couche abondante de gel, puis il me regarda :
- Tu me fais confiance ?
- Oui, vas-y, fais comme tu sens !
- OK. J'ai un peu l'habitude. Décontracte-toi et laisse-moi faire.
Je pris ma respiration et lui fis un clin d'oeil. Il posa son gland contre ma rondelle, attendis un tout petit moment, m'attrapa les hanches, puis s'enfonça en moi en une seule fois. D'une longue et lente poussée, il entra en moi ses 24 centimètres. Le gel facilitait certes les choses, mais je sentais mon colon se dilater pour laisser pénétrer l'intrus. La douleur était peut-être moins intense que la veille, mais je dérouillais encore comme un malade. Je ne sais plus combien de temps cela prit, mais j'avais l'impression que son sexe énorme avait tout envahi en moi. À nouveau, je sentis les vagues de douleur me submerger. Hugo ne bougeait pas, il restait ainsi, entièrement enfoncé en moi. Il se pencha vers moi et vint me rouler une tendre et longue pelle baveuse comme il les aimait. Puis doucement, très doucement, il commença à donner de petits coups de reins. Au bout d'un moment, il se mit à me pilonner comme un malade le feu en moi avait atteint l'intensité d'un brasier. Je hurlais au moment où lui poussa un cri tandis qu'il se vidait en moi. Puis il s'enfonça à nouveau en moi jusqu'à ce sa queue tout entière eut disparu dans mes entrailles. Il se coucha sur moi et laissa à nouveau sa langue envahir ma bouche. Je me sentais comme un pantin désarticulé, je souffrais, mais j'en redemandais encore. J'aurais voulu que cet instant dure toujours.
Puis Hugo se retira et me prit dans ses bras. Je m'y blottis et laissais peu à peu disparaitre la douleur.
- Tu sais, me dit Hugo, à part Paul, c'est la première fois qu'un mec me demande de prendre une deuxième fois. En général, ils n'arrivent pas à comprendre qu'au-delà de la douleur, il y a une jouissance infiniment supérieure.
- Comment le sais-tu ?
- Je peux t'avouer un secret ?
- Bien sûr.
- Paul et moi on a trouvé dans une caserne où nous faisions un stage une vieille remise avec du vieux matos qui pourrissait. Il y avait une vieille gégène.
- Une quoi ?
- Une gégène, une génératrice, ces appareils qui servaient à torturer durant la guerre d'Algérie. On l'a fauchée et depuis il nous arrive de jouer avec.
- De jouer avec ?
- Oui, tu as bien entendu. On se branche ça sur les couilles et on s'envoie du courant. Tu ne peux pas imaginer comme ça fait mal. Mais quand arrive le moment de jouir, c'est plus fort que toutes les drogues qu'on pourrait imaginer.
- Tu déconnes !
- Non, c'est vrai. Quand on est branchés là-dessus, on a l'impression que notre bite va exploser ou se décrocher de nous. Je crois que la douleur que tu as connue quand je t'ai enculé est comparable à cela.
À nouveau je lui roulais une pelle.
- Tu es vraiment un grand malade.

Après le déjeuner, nous restâmes un moment sur la terrasse, puis décidâmes d'aller faire une sieste. Je me couchais dans les bras d'Hugo et sa bouche vint se coller sur la mienne. Nos langues se cherchaient avec avidité et nous nous embrassâmes durant de longues minutes. Puis Hugo se laissa glisser et vint gober ma bite :
- Maintenant, c'est l'heure du dessert.
Il me suça lentement et longuement et bientôt je sentis monter un long frisson le long de ma colonne vertébrale, je frissonnais et bientôt lui larguais dans la bouche de longs jets de sperme qu'il engloutit en se léchant les lèvres. Puis il suça longuement mes couilles en me doigtant le derrière. Enfin il revint se coucher contre moi, me pris dans ses bras musclés et me murmura à l'oreille :
- Maintenant, dodo ! Si tu es sage, au réveil tu auras une surprise !
Je me lovais contre lui, glissais mon nez au plus près de son aisselle et m'endormis. Je fus réveillé un peu plus tard par sa main qui me caressait mes fesses tandis qu'il me mordillait doucement les lèvres.
- Tu es réveillé ?
- Non, je rêve.
- Tu rêves de quoi ?
- Je rêve qu'un mec est en train de ma caresser le cul en m'embrassant.
- C'est un beau rêve, mais il faut quand même te réveiller. Paul et moi allons devoir partir bientôt, et je voulais t'offrir une surprise.
- Chouette, j'adore les surprises. C'est quoi ?
- Avant que je reparte, je voudrais que tu m'enfiles.
- Que quoi ?
- Que tu m'enfiles, que tu me sodomises, que tu me mettes, que tu m'encules, que tu me ramones le fion...
- Quoi ? Tu veux que je mette ma petite queue dans ta grosse rondelle ?
- Premièrement, ta queue est loin d'être si petite que tu le dis. Deuxièmement, ma rondelle est loin d'être grosse. Troisièmement, oui, avant de partir, je veux te sentir en moi !
Sur ce, il commença à m'embrasser avec la fougue dont il avait le secret. Sa langue avait envahi toute ma bouche, et bientôt je bandais comme un âne. Je me détachais de lui et descendis le long de son torse en l'embrassant. Quand j'arrivais à sa taille, il se mit sur le ventre et m'offrit des deux fesses musclées et velues.
Je collais mon visage à sa raie et commençais à le lécher. Il écarta les jambes et avec mes deux mains j'écartais ses deux fesses pour pouvoir accéder à sa rondelle. Elle était là, offerte, au milieu d'une couronne de poil. Je léchais longuement son orifice et je le sentais tressaillir sous ma caresse. Puis il se redressa et se mit à quatre pattes, les jambes bien écartées, entièrement offertes. Je me mis à genoux derrière lui, enduisit ma queue de gel, et collais mon gland à sa rondelle. Ça me faisait tout drôle d'être sur le point de défoncer de superbe mâle. Je décidais de le prendre comme il avait fait ce matin.
J'attrapais ses hanches à deux mains et m'enfonçais en lui d'une seule poussée, une pénétration lente et continue, je ne m'arrêtais pas avant de sentir ses deux fesses collées à moi.
Dès que je commençais à le pénétrer, Hugo se mit à gueuler et je me rendis compte que mon bel étalon, bien que monté comme un dieu, était fort étroit du cul et qu'il avait autant de mal à supporter mes 20 centimètres que moi ses 24. Mach, nul, justice était faite ! Hugo continuait à gueuler et heureusement que j'étais bien agrippé à lui. Je me retirais de quelques centimètres et rentrais à nouveau en lui d'un coup sec. Ses hurlements firent place à des gémissements de douleur. Je le pilonnais jusqu'à ce que je sente monter en moi la jouissance. Je sortis ma queue entièrement de son trou et l'enculais à nouveau à fond. J'étais à peine arrivé au terme de ma pénétration que je me mis à jouir en lui. Je le bourrais de coups de reins jusqu'à ce qu'il me reste plus la moindre goutte de jus à déverser en lui. J'étais couvert de sueur et frissonnais de la tête au pied. Hugo, lui restait à quatre pattes, gémissant de douleur.
Je me mis sur le dos entre ses jambes et me glissais sous lui. Quand je fus sous son visage, je fus stupéfait de découvrir que des larmes coulaient de ses yeux.
- Putain, tu m'as complètement déchiré ! C'était bon, mais j'ai le fion en feu !
- Excuse-moi, tu aurais dû me prévenir !
Il me roula une pelle bien baveuse.
- C'était ça la surprise. Si je t'avais prévenu, tu m'aurais pris tout doucement et moi, je voulais justement que tu me prennes avec puissance. Ne t'inquiète pas, ça fait super mal, mais c'était super bon.
Je le vis glisser sa main entre ses cuisses pour aller caresser sa rondelle en feu. Il la ramena, enduite du jus qui coulait entre ses cuisses et se mit à la lécher. Cette fois-ci, je ne résistais pas à l'envie et je me glissais derrière lui et commençais à lui lécher le cul pour le nettoyer. Il se mit à gémir, mais je savais que ce coup-ci, c'était du plaisir. Comme approchait l'heure de son départ, je me glissais à nouveau sous lui, toujours à quatre pattes, et me mis à lui sucer la queue jusqu'à qu'il se déverser dans ma bouche.
Quand il eut joui une dernière fois, il se mit sur le dos et je vins m'allonger sur lui. Nous nous embrassâmes à nouveau longuement, puis à un moment donné, il se recula et me dit :
- Désolé, mais il faut vraiment que j'y aille !
Il se leva et alla taper sur l'épaule de Paul qui était de son côté fort occupé avec Gaël. Il semblait bien que nos gendarmes aient voulu profiter jusqu'au bout de leur weekend.
Gaël et moi restâmes allongés sur nos lits, le temps qu'Hugo et Paul prennent une douche et se rhabillent.
Puis ils prirent leurs sacs et se dirigèrent vers la porte. Nous nous étions levés et nous les accompagnâmes. Dans le séjour, Ben et Édouard nous attendaient. Nous sortîmes tous les six, et les accompagnâmes jusqu'à la voiture d'Hugo. Je lui roulais une dernière pelle et le vis à regret se mettre au volant. Il ferma la portière et descendit la vitre, je m'approchais. Il me tendit un petit papier plié en quatre et me dit :
- Ce sont mes coordonnées. Nous avons encore une bonne dizaine de jours de stage, mais dans quinze jours, je passe le weekend à Toulouse, je suis libre, si ça te dit qu'on se revoie, viens chez moi.
D'un seul coup, la grosse boule que j'avais en moi s'évanouit et je vis disparaitre la voiture avec moins de regrets, je n'avais que quinze jours à tenir. Quoi qu'il en soit, dès qu'Hugo fut parti, je sentis le vide que son départ avait creusé en moi. C'était bizarre, nous ne nous connaissions à peine depuis 48 heures, et pourtant j'avais comme le sentiment que nous avions toujours été ensemble.
Durant le reste de notre séjour aux Pins, Gaël et moi reprîmes nos galipettes, parfois avec Ben et Édouard, mais ce n'était plus comme avant.
Retrouvailles
Quinze jours plus tard, je pris ma voiture le vendredi en début d'après-midi et partis pour Toulouse. J'y arrivais en fin d'après-midi et trouvais facilement l'adresse d'Hugo. Il habitait en banlieue, dans une petite résidence composée de quatre immeubles nichés au milieu d'un grand jardin.
Je me garais au pied de son immeuble et descendis. Sur la sonnette, il y avait une petite enveloppe collée avec mon nom. À l'intérieur, un petit message : " Antoine, si je ne suis pas encore là, va demander les clés de mon appart au gardien et installe-toi. J'arrive. Hugo "
J'allais sonner chez le gardien qui me tendit un trousseau de clés.
- Comme ça, monsieur Hugo, il a un copain. Ça me fait plaisir, c'est la première fois que je vois quelqu'un venir chez lui. Il est toujours tout seul. C'est dommage pour quelqu'un d'aussi gentil.
Je pris les clés et montais chez Hugo. Ça me faisait tout drôle d'entrer chez lui en son absence. Je fis le tour de l'appartement. Tout était clean et super bien rangé, rien ne trainait. Il y avait une grande pièce de séjour qui donnait sur un grand balcon, une cuisine américaine, et deux chambres avec des lits doubles. Une grande salle de bain. L'appartement était tout blanc, meublé avec soin et baigné de lumière. Je finissais à peine le tour du propriétaire quand j'entendis la clé tourner dans la serrure.
J'allais dans le hall et vis Hugo entrer. Il était vêtu de la même combinaison bleue avec laquelle je l'avais vu la première fois. J'étais un peu intimidé et me demandais comment allaient se passer nos retrouvailles. Nous ne nous étions vus qu'une fois et je craignais un peu que ce weekend ait un petit gout de réchauffé.
Hugo me regarda, sourit, posa son sac et m'attrapa. Il me serra entre ses bras puissants et me roula une pelle d'enfer. J'avais du mal à reprendre mon souffle. Nous restâmes ainsi de longues minutes bouches collées, nos mains caressant nos dos et nos fesses. Je crois que nous étions aussi heureux l'un que l'autre de nous revoir.
Puis Hugo me dit :
- J'espère que tu as fait bon voyage. Tu vas me raconter tout ça, mais avant, il faut que je prenne une douche. Je reviens d'un drôle de truc, nous avons eu un raid commando durant trois jours, qui viennent juste de se terminer. Trois jours à courir et crapahuter, je ne me suis pas lavé ni changé depuis mardi. J'ai l'impression de puer comme un bouc.
Je le regardais s'éloigner vers sa chambre.
- Tu as bu quelque chose ?
- Non, je t'attendais.
Il revint dans le séjour, il ne portait plus qu'un boxer blanc. Quand il passa près de moi, je fus saisi par l'effluve de sueur rance qui émanait de lui. L'odeur était puissante, mais j'adorais. Si ça n'avait tenu qu'à moi, il n'aurait pas eu besoin de douche et je l'aurais bien lavé uniquement avec ma langue. Il me demanda ce que je voulais, me servit un coca bien frais et retourna vers sa chambre. Comme il continuait à me parler, je le suivis et m'assis sur son lit. La chambre donnait directement sur la salle de bain. Il était juste devant moi, aussi beau et puissant que dans mon souvenir et commença à se déshabiller il fit glisser son boxer et se retrouva à poil devant moi.
- Bon, à la douche !
Il entra dans la salle de bains et en ressortit aussitôt.
- Je ne t'ai même pas proposé, mais si tu veux te doucher, n'hésite pas, il y a une deuxième salle de bains.
Il retourna sous sa douche. Je me déshabillais et décidais de le rejoindre. Après ce que nous avions vécu, il ne pouvait y avoir entre nous de souci de pudeur. J'entrai dans sa salle de bains. Il était en train de se savonner. Je le rejoignis et passais mes mains autour de sa taille et collais mon visage sur son dos. Il se retourna, me sourit et à nouveau nos lèvres se collèrent et nos langues se trouvèrent. L'eau ruisselait sur nous et nous nous embrassions toujours. Mes mains maintenant lui caressaient les fesses et lui de son côté me pétrissait le cul. J'attrapais du savon et me mis à le laver des pieds à la tête, j'insistais sous ses dessous de bras et son sexe qui pendait, toujours aussi impressionnant. Il se retourna et se pencha un peu en avant en écartant les jambes et je m'attaquais à sa raie velue, puis, de mon index, je lui massais l'anus et finis par enfoncer en lui tout mon index. Quand je le ressortis, il se tourna vers moi en souriant et je mis mon doigt dans ma bouche le suçant avec avidité pour récupérer son gout et son odeur.
Hugo prit du savon à son tour et commença lui aussi à me laver. Je sentais fondre en moi toute résistance et j'avais l'impression d'être une poupée désarticulée entre ses mains puissantes. Je bandais et il me caressa longuement la queue. Je finis par jouir dans sa main et il lécha toute ma semence avant de me rouler à nouveau une pelle.
Quand nous sortîmes de la douche, nous nous essuyâmes mutuellement.
Puis je suivis Hugo qui alla s'assoir, toujours à poil, dans le salon. Je m'allongeais à côté de lui sur le canapé et posais ma tête sur ses cuisses. Il me caressait la tête et nous racontâmes les deux semaines qui venaient de s'écouler. Hugo me dit :
- Je n'étais pas sûr que tu viendrais. Mais je suis très heureux que tu sois là.
- Le gardien m'a dit que tu ne recevais jamais personne chez toi. C'est vrai ?
- En fait, je suis plutôt sauvage.
- Tu n'as pas de copain ?
- Non, je suis homo depuis toujours, mais je n'ai jamais vécu avec quelqu'un. J'ai eu pas mal de rencontres, mais toujours sans lendemain. C'est mon côté fleur bleue, je dois attendre le grand amour.
Je souris en pendant à une fleur bleue de 2 mètres 10 pesant plus de 100 kilos.
Je me tournais et déposais un baiser sur le bas de son ventre. Nous restâmes ainsi un long moment, puis Hugo me demanda :
- Ce soir, que veux-tu faire ? Resto, boite, rester ici ?
- Pourquoi pas un resto, si tu connais une adresse sympa. Mais je voudrais qu'on ne rentre pas trop tard.
Nous nous habillâmes et partîmes pour diner. Hugo connaissait une adresse à l'extérieur de Toulouse, une ferme auberge qui était juste à côté du canal du midi. Il faisait très doux, le cadre était magnifique et il y avait peu de monde. Les patrons, un couple qui semblait bien connaitre Hugo était aux petits soins pour nous. En fait, je devais découvrir qu'Hugo avait un don incroyable de se faire aimer des gens. Tous ceux qui le connaissaient étaient touchés par son incroyable gentillesse.
Nous rentrâmes en milieu de soirée. Nous avions tous les deux hâte de nous retrouver seuls. Nous nous déshabillâmes et nous retrouvâmes sur le lit d'Hugo. Nos mains et nos langues redécouvrirent chaque centimètre de nos corps. Nous savions tous les deux que la nuit serait longue et qu'il convenait de ne pas hâter les choses. Je restais longtemps allongé sur Hugo, c'était ma position préférée, le laissant ma caresser le dos et les mains de ses deux mains puissantes. Nos deux sexes se frottaient l'un contre l'autre entre nos deux ventres. Puis monta en moi le désir de le sentir me prendre.
J'attrapais un tube de gel, laissais Hugo m'en enduire la rondelle. Je lui en enduisis la queue et comme j'avais fait la première fois, je vins m'empaler sur lui. Son énorme membre pénétra en moi et à nouveau je fus submergé d'ondes qui mêlaient à la fois la douleur et la jouissance. Je ne savais plus où donner de la tête. Hugo m'attrapa les hanches et me fit monter et descendre le long de sa colonne palpitante. Mon cul était en feu, mais j'aurais voulu que cela ne s'arrête jamais. Puis Hugo, sans se retirer, me fit pivoter, m'allongea sur le dos, pris mes jambes sur ses épaules et se mit à me défoncer le cul avec violence. J'avais l'impression que j'allais exploser. Mais si j'explosais, ce fut de jouissance. Je m'arrosais de mon sperme en même temps qu'Hugo jouissait en moi. J'étais couvert de sperme et Hugo vient me lécher pour me nettoyer. Puis il se retira de moi et je vins à mon tour sucer sa queue, maculée de son sperme. Hugo se coucha contre moi et me demanda à nouveau de lui cracher dans la bouche.
Je remplis ma bouche de salive et la laissais couler dans sa bouche grande ouverte. Je dois avouer que cela me répugnait un peu, mais à la fois m'excitait au plus haut point. Je savais qu'un moment viendrait où je lui demanderais la pareille. Ne voulant plus attendre, je lui demandais finalement de me cracher lui aussi dans la bouche. J'ouvris grand ma bouche et il laissa couler un long jet de salive tiède et épaisse. J'eus un haut-le-coeur. Il s'en aperçut et vient me rouler une pelle qui ma calma. Nous laissâmes alors nos langues jouer entre elles comme elles semblaient en prendre l'habitude. Je frissonnais de plaisir et c'est ainsi que je m'endormis.
Le lendemain matin, quand je me suis réveillé, Hugo était déjà levé. Je fis le tout de l'appartement, il n'était pas là. J'allais dans la salle de bains pour pisser un coup. J'étais en train de me soulager quand mes yeux tombèrent sur la corbeille de linge sale où Hugo avait jeté ses vêtements la veille. Sur le dessus, il y avait son boxer. Je tendis la main et m'en emparais. Hugo m'avait dit qu'il l'avait porté durant trois jours, ça se voyait et ça se sentait. Il y avait de larges auréoles jaunes et il dégageait une odeur puissante. Je la gardais à la main et retournais me coucher. J'enfouis mon nez dans le boxer sale et je laissais les odeurs qui en émanaient me submerger. C'était un véritable régal et je ne me souvenais pas avoir connu un tel plaisir.
Quand Hugo revint avec les croissants du petit déjeuner, il me trouva endormi, le nez dans son boxer.
Il me réveilla d'une bourrade :
- C'est tout ce que tu as trouvé comme doudou pour t'endormir ?
- J'ai hésité entre le teeshirt et le calbar, mais je garde le teeshirt pour demain.
- Allez viens prendre ton café, pervers pépère.

Il me tendit un peignoir et je l'enfilais. Il était imprégné de son odeur et n'avait pas de ceinture. Je le suivis donc, à moitié à poil et m'assis pour prendre mon café. Hugo me regardait et j'en profitais pour écarter largement les cuisses. Il n'en perdait pas une miette. Bientôt, j'attrapais une cuillère de gelée de framboise en m'en enduisit le sexe. Hugo vient s'agenouiller entre mes cuisses et me lécha la queue jusqu'à ce qu'elle soit toute propre. Puis il garda juste mon gland dans sa bouche et le suça longuement et tendrement. Je caressais ses cheveux ras. Bientôt je sentis monter la jouissance :
- Je vais jouir !
Hugo me suça de plus belle jusqu'à ce que je me décharge dans sa bouche. Il se redressa en se léchant les lèvres.
- Sperme au petit déjeuner, c'est la confiture que je préfère.
Hugo me laissa quelques instants puis il revint, il avait passé lui aussi un peignoir sans ceinture. Il s'assit en face de moi et prit un café. Son peignoir était ouvert et je ne perdais rien de la beauté de son corps musclé et recouvert de poils. Je ne dis pas un mot, mais me remis à bander. Je me levais et vins m'assoir sur lui à califourchon, je l'embrassais et sa bouche avait le gout du café. Puis nous allâmes au salon, Hugo s'allongea sur le canapé et je m'allongeais contre lui. Nous restâmes ainsi presque toute la matinée, sans parler, simplement en profitant du moment, de la sensation de plénitude que j'éprouvais à sentir son corps contre le mien, ses poils qui me caressaient. Ses mains et les miennes se promenaient sur nos deux corps.
En fin de matinée, nous habillâmes pour sortir déjeuner. Après un repas léger, nous nous sommes promenés dans Toulouse, il faisait beau et la ville rose était magnifique sous le soleil. En fin d'après-midi, nous sommes rentrés nous préparer, car nous devions passer la soirée chez un ami d'Hugo qui fêtait son anniversaire.
Il faisait encore jour lorsque nous sommes arrivés chez Axel, l'ami d'Hugo qui me présenta à lui. Axel était gay et vivait en couple. En les regardant tous les deux, je fus un peu jaloux et rêvais un moment à ce que pourrait être ma vie avec Hugo... La soirée fut belle, il y avait beaucoup de monde, pas mal de gays, mais pas seulement. Après le buffet, un DJ vint pour animer la soirée. Je fus très surpris de voir Hugo m'inviter à danser. C'était la première fois que je dansais avec un mec, en public en plus. Mais nous n'étions pas le seul couple de gars à danser ensemble. Hugo était un cavalier hors pair et je me laissais guider par lui. Bientôt arriva la série des slows et je me collais à lui. Sa chemise commençait à être humide de sueur et j'approchais mon visage au plus près pour profiter de son odeur. Hugo me proposa d'aller prendre un verre.
Nous allâmes nous assoir sur un petit banc qui se trouvait à l'écart et dans une quasi-pénombre. Je m'assis à côté de lui, je sentais sa présence à mon côté, une fois encore je me rendis compte à quel point il était magnétique.
Bientôt nous entendîmes marcher sur l'herbe. C'était deux frères, des jumeaux super mignons, d'une vingtaine d'années. Ils s'approchèrent de nous et le plus hardi se colla carrément à l'intérieur des cuisses d'Hugo.
- Bonsoir.
- Bonsoir. Nous sommes deux frères jumeaux et nous voulions te dire, au cas où tu le voudrais, que nous sommes prêts à te vider les couilles. On fait ça ensemble.
Hugo sourit et passa sa main sur les fesses de son interlocuteur.
- Merci bonhomme, proposition sympa, mais vois-tu, question couilles, en ce moment, c'est plutôt remplissage, vu que j'ai été pas mal pompé ces dernières heures. De plus, en ce qui concerne la vidange, je suis en train de négocier un contrat d'exclusivité avec monsieur, dit-il en me serrant contre lui.
- Dommage, dit l'un des deux. Du coup, on vous laisse. Même pas le droit à un petit bisou ?
Hugo sourit, choppa le plus proche des deux et lui roula une pelle magistrale. Je m'étais levé et fis de même avec le deuxième.
- Bon on y va. On vous laisse. Ciao.
Hugo me garda serré contre lui puis, ayant regardé sa montre, me dit qu'il souhaitait rentrer et qu'il avait du mal à se coucher trop tard. Nous rentrâmes donc et nous couchâmes simplement l'un dans les bras de l'autre, et nous endormîmes.
Au cours des six mois qui suivirent, nous réussîmes à nous retrouver à peu près régulièrement, soit à Toulouse, soit chez moi. Nous sommes même partis en voyage quinze jours ensemble. À chaque séparation, pour moi c'était plus douloureux, mais je n'osais pas en parler, car la situation semblait convenir à Hugo. De plus, compte tenu de son boulot, je comprenais qu'il souhaite être discret sur notre relation.
Cela faisait donc six mois que nous étions ensemble et j'étais à nouveau à Toulouse chez lui pour le weekend. Le samedi en fin d'après-midi, Hugo me prit avec lui sur le canapé et me dit qu'il avait à me parler.
- Voilà, me dit-il. J'ai quelque chose à te dire, mais je ne sais comment m'y prendre. Pour nous, nos rencontres, ça va devenir plus compliqué pour nous voir aussi souvent...
- Tu as quelqu'un d'autre dans ta vie ?
- Je n'ai pas dit ça. J'ai simplement dit que cela allait être plus compliqué.
- Explique-toi.
- Côté boulot, je ne t'ai pas tout dit. Je suis gendarme, mais je suis membre du GIGN.
- Et tu ne m'en as jamais parlé.
- Ne m'en veux pas, mais pour nous c'est une question de sécurité. Nous sommes très discrets sur ça et si je t'en parle ce soir, considère que c'est une vraie preuve de confiance.
- Je ne comprends toujours pas.
- Voilà. C'est tout simple. Je viens d'avoir une promotion et je suis muté à Paris. Je dois partir la semaine prochaine, tu comprends donc que moi là-haut, ça va être plus compliqué pour nous.
- Mais tu ne veux pas qu'on se quitte.
- Surtout pas.
- Alors qu'est-ce que tu proposes ?
- Ma proposition la voici : est-ce que tu accepterais de venir vivre avec moi à Paris ?
Je fus sidéré par sa demande. En fait, j'en rêvais depuis des semaines et ne savais comment lui en parler. J'avais même commencé à chercher du boulot à Toulouse.
- Tu ne dis rien ?
- Je t'avoue que je suis un peu scotché par ta proposition, as-tu pensé à ce que vont dire tes supérieurs, tes collègues...
- Tu sais, je suis gay et ne m'en suis jamais caché. Mes supérieurs le savent, mes collègues le sauront très vite. L'avantage avec moi, c'est que vu mon gabarit, les gens évitent de me chier sur les bottes et qu'en général on ne me cherche pas sur la question de mon homosexualité. Tu vois, un petit PD de 18 ans, qui mesure 1 mètre 70 et pèse 60 kilos, tout le monde se sent le droit de l'emmerder. Moi, mes 2 mètres 10 et mes 110 kilos semblent faire réfléchir les gens avant de dire trop de conneries. Quant à ce que les gens en pensent, il y a dans ma vie quatre ou cinq personnes dont le jugement m'importe. Le reste de l'humanité peut bien penser de moi ce qu'il veut, je m'en fous royalement. Je suis donc déjà allé à Paris pour vois la caserne où je serais logé. L'appartement n'est pas trop mal et j'ai directement demandé au colonel s'il verrait un problème à ce que m'installe avec mon " compagnon ". Il a souri et a simplement dit : " Ça sera une première. Au moins avec vous les choses sont claires, c'est un bon point mon garçon. "
Et c'est ainsi qu'Hugo et moi nous sommes installés ensemble. Le bonheur des premiers jours est resté intact, nous sommes toujours follement amoureux l'un de l'autre. Petit point particulier, le soir de l'anniversaire d'Alex, Hugo avait dit à l'un des jumeaux qu'il était en train de négocier " l'exclusivité " avec moi. C'est exactement ce qui s'est passé. Dès le début, Hugo m'a dit qu'il était sans doute de la vieille école, mais qu'il entendait que notre relation soit basée sur l'exclusivité.
- Je veux te dire qu'aussi longtemps que nous serons ensemble, et je souhaite que cela dure toujours, je n'aurais jamais personne d'autre dans ma vie et j'attends de toi en retour le même engagement.
C'est sur ce contrat que notre vie de couple s'est construite et qu'elle dure. Pour beaucoup de nos amis, cela provoque de l'incompréhension ou de l'admiration, je ne saurais trop dire. Moi, je vis avec Hugo dans ma vie, et il prend toute la place.
Après dix ans de vie commune, nous avons souhaité nous engager plus avant et avons décidé de nous marier. C'est ce que nous venons de faire et Ben nous a proposé sa maison des Pins, là où tout avait commencé pour nous.

Bad Boy

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