Je suis prof dans une fac, la trentaine efféminé. J'aime le sexe viril, certaines fois j'aimerais calmer des montées hormonales de mes étudiants dont la bosse de leurs jeans me donne envie, mais je me suis fait la promesse de ne pas avoir d'aventure avec un étudiant afin d'éviter des problèmes.
Un soir, un besoin de sexe me fait aller dans un square connu pour des rencontres gay.
Assis sur un banc, un motard passe devant moi en se caressant l'entrejambe et se dirige dans un buisson. Je le rejoins.
Je m'agenouille devant lui et prends sa bite à pleine bouche, elle durcit rapidement. Je le pompe en tâtant ses couilles. " Donne-moi ton cul ", me dit-il.
Je me redresse, baisse pantalon et caleçon, le motard pénètre mon cul mouillé de désir. C'est alors qu'un jeune, capuche de sweat sur la tête, entre dans le buisson, il me regarde et sort son portable. Il s'approche et je reconnais Karim, un des mes étudiants, il me souris et me tend un doigt d'honneur.
- approche gamin, c'est une bonne chaudasse cette pédale. Dit le motard dans mon dos en accélérant ses coups de bite et en claquant mes fesses.
Karim range son portable, il me regarde d'un air méprisant en se frottant l'entrejambe, alors que je m'attends qu'il sorte sa bite sous mon nez, il fait demi-tour et sort du buisson en me faisant un nouveau doigt d'honneur.
Le motard continue de me pilonner le trou du cul, il se retire et finit par décharger sur mes fesses.
Je me reculotte vite fait, sors du buisson avec l'espoir de retrouver Karim dans le square. Je fais le tour et entends du bruit dans un buisson, je vois un jeune rebeu se faire sucer par un blondinet, ce n'est pas Karim.
Déçu, je fais demi-tour et rentre chez moi, angoissé à l'idée qu'un étudiant est découvert mes gouts particuliers et le fasse savoir à la fac.
Je me couche et m'endors rapidement après une petite branlette en pensant au motard qui m'a défoncé le cul.
J'arrive à la fac, entre dans la salle de cours, je vois sur le tableau un dessin me représentant une bite dans la bouche et une autre dans le cul, avec une inscription " le prof est une tafiolle ".
Je me retourne, vois Karim et les autres étudiants pantalons et caleçons baissés en se trémoussant les parties viriles et me disant d'un ton ironique :
- prof j'ai mes couilles qui me grattent
- prof tu l'a veut dans ton cul
- prof j'ai le gland qui me démange
Ils m'entourent, je suce et branle leurs bites, bouffe leurs couilles. Puis ils m'enculent tour à tour sur mon bureau.
Le réveil sonne, ce n'était qu'un rêve. Je me douche et me prépare à aller à la fac dans l'espoir de ne pas avoir à subir des quolibets de la part de Karim et ses copains.
La suite au prochain épisode
Gilou 44
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