Mon beau-père
Nous sommes le 1/07/2018.
Je suis Étienne je suis un Rugbyman bien muscle 1m80 85 kg 39 ans. J'ai une femme 1m68, 60 kg, 85 d elle a le même âge que moi.
Nous nous sommes rencontrés au lycée et nous nous sommes mariés après l'université nous avions 23 ans. Nous avons eu un fils très tôt, Samuel, né en 1999, qui a 19 ans au moment des faits.
Ma femme est la seule femme avec qui j'ai eu des relations intimes et elle n'a jamais été folle de sexe. Moi, j'adore ça et j'ai toujours eu une obsession, voir ma femme faire l'amour avec un autre homme devant moi.
Avant de vous raconter ce qui a changé ma vie, je dois situer l'histoire.
Je suis né dans la banlieue parisienne. Ma mère et mon père avaient du mal à avoir un enfant et quand je suis né en 1979, ma mère avait déjà 30 ans. En 1989, mon père est décédé quand j'avais une dizaine d'années. C'est quand j'ai eu 18 ans que ma mère a refait sa vie et inviter un homme à venir vivre avec nous. J'ai dû vivre avec mon beau-père à partir de ce moment-là.
Mon beau-père s'appelle Roland. Il est menuisé d'origine africaine. Il est né à Abidjan en 1954. Il est arrivé en France à l'indépendance en 1960. Il est grand environ Im90 et très athlétique quand il a emménagé à la maison. Il pesait à cette époque environ 100 kg.
Ma relation avec mon beau-père a toujours été tendue. Du coup dès que j'ai pu je suis parti de la maison. Depuis nous nous sommes très peu vu. Ma mère passait quelquefois à la maison, mais sans Roland.
Ma femme
En 2017, nous avons dû faire face à des difficultés financières et nous avons dû aller vivre avec ma mère et mon beau-père. Ma mère était ravie.
Nous sommes arrivées le 14 juillet 2017. Ma mère toujours très coquette nous attendait sur le pas de la porte d'entrée. Mon beau-père Roland était dans le jardin. Il nous a vu arriver et s'est dirigé vers nous. À 64 il était devenu plus imposant que quand j'ai quitté la maison. Toujours aussi grand (1m90), mais plus épais musclé, mais aussi gras. Il était en t-shirt. Nous pouvions voir des épaules et des biceps énormes, mais son ventre plat avait été remplacé par un gros ventre. Il devait peser maintenant au minimum 130 kg. Il dégageait une impression de puissance, une domination physique immédiate. Quand il est arrivé à notre niveau, je me suis de nouveau senti comme un enfant. Il nous a souhaité la bienvenue puis nous sommes tous entrés dans la maison.
La maison est composée au rez-de-chaussée d'une cuisine, d'un salon et d'une salle à manger. À l'étage, une salle de bain et 3 chambres. Nous étions dans une des chambres entre la chambre " Parentale " de ma mère et mon beau-père et la salle de bain. Samuel était dans une autre chambre à l'autre extrémité du couloir.
Nous avons vécu tous les cinq pendant 2 mois environ. Ma femme a la maison avec ma mère. Moi, je cherchais du travail et passais des entretiens. En attendant la rentrée à l'université, Samuel avait du temps et a commencé à faire de la musculation dans le garage avec mon beau-père Roland.
Malgré la bonne atmosphère générale, la personnalité de Roland avait un impact important sur cette harmonie. Chaque fois qu'il arrivait dans la maison, il y avait une tension le bavardage cessait. Nous avons aussi réalisé que ma mère et Roland baisaient beaucoup, presque tous les soirs. Ils passaient ensuite l'un après l'autre devant notre chambre pour aller à la salle de bains avant de retourner dormir.
Moi qui suis habituellement très sexuel et toujours partant pour le sexe je suis devenu très calme. Intimidé par la situation. Ma femme était très amie avec ma mère et elles restaient souvent ensemble. Le seul qui côtoyait vraiment Roland était mon fils. En plus la musculation, Samuel allait souvent aider Roland dans le jardin.
Début septembre. Je venais de trouver un nouvel emploi et commençais tout juste à travailler. Nous pensions pouvoir bientôt laisser ma mère et mon beau-père tranquille et déménager quand la période d'essai serait terminée.
J'ai repris le boulot. Je partais le matin tôt et je revenais le soir vers 20 heures. Le mardi et jeudi soir, je revenais vers 22 h après le Rugby. Mon fils, Samuel a repris les cours à la fac et partait généralement le matin vers 8 h puis revenant l'après-midi, mais jamais a une heure vraiment fixe.
Ma femme se retrouvait seule avec Roland et ma mère. Tout se passait bien cependant, je remarquais que ma femme était de plus en plus dure avec moi et j'ai aussi vu que ma femme s'habillait plus sexy. Suspectant quelque chose, un jour que ma mère et mon fils étaient sortis voir un spectacle je décidais de ne pas aller au Rugby. Je suis rentré plus tôt pour voir si tout était normal à la maison.
Et là, je suis entrée dans la maison sans faire de bruit, j'espionnais sans bruit et j'ai surpris ma femme et Roland. J'étais furieux et excite en même temps. J'ai toujours voulu voir ma femme se faire mettre par un autre mec, mais pas par mon beau-père. Je les regardais.
Roland était dans le canapé et ma femme près de la cuisine. Roland s'est levé, s'est approché de ma femme et il a mis sa main sous sa robe.
- T'es toute mouille, salope.
Puis il a sorti son sexe......Je n'avais jamais vu ça... un énorme sexe noir... elle ne pouvait pas en faire le tour avec sa main. Il l'a pénétré et à peine commence elle a joui. Je ne l'avais jamais vu comme çà. Moi aussi, j'ai tout de suite éjaculé dans mon pantalon en les regardant.
J'ai fait un peu de bruit et Roland m'a vu...... mais pas ma femme.
Il lui a dit en rigolant :
- Tu n'es pas douée tu ne m'as même pas fait jouir
Puis il s'est dirigé dans l'autre pièce j'étais derrière la porte il m'a dit ;
- Tu as aimé ça.....T'as joui......
Honteux je n'ai rien dit.......
Mon fils, Samuel
Je n'ai pas eu le temps de gérer cet incident. Le lendemain ma vie a complètement changé.
Ma mère et ma femme ont eu un grave accident de voiture. Mon fils et moi les avons retrouvées à l'hôpital. Ma femme était déjà décédée quand nous sommes arrivés. Ma mère elle, est décédée dans nos bras 2 heures après. Roland est arrivée juste après qu'elle soit morte. Les seuls mots qu'elle nous a dits avant de mourir étaient de prendre soin de nous et de Roland.
Nous nous sommes donc retrouvé tous les trois mon fils Samuel, mon beau-père Roland et moi.
Pendant une semaine nous sommes tous restés à la maison, nous étions très tristes puis sont arrivées les funérailles et nous avons essayé peu à peu de reprendre le cours de notre vie. Nous avons dû nous ajuster, trouver une nouvelle routine.
Moi je travaillais toute la journée et j'allais toujours au Rugby deux soirs par semaine. Samuel étudiait à l'université. Il revenait le midi pour déjeuner avec Roland puis revenait le soir. Samuel et moi préparions le diner et faisions le ménage en échange du logement.
Nous commencions à avoir notre routine. Cependant je me suis aperçu que Roland et Samuel passaient de plus en plus de temps ensemble et devenaient de plus en plus proches. Une complice c'est installe entre eux dont je me sentais exclu.
En effet, ils déjeunaient ensemble sens moi tous les midis ainsi que deux soirs par semaine lorsque j'étais au Rugby. Par ailleurs, ils faisaient de la musculation dans le garage au moins une heure par jour ensemble. Mon fils a pris de la masse musculaire, il faisait maintenant près de 90 kg, mais Roland aussi était devenu plus imposant, plus musclé encore que quand nous sommes arrivés. 135 kg de muscle... Roland mangeait d'énormes quantités de nourriture.
Petit à petit j'ai senti que Roland prenait de l'emprise sur Samuel....Mon fils m'a toujours admiré et quand ma femme était encore là, mon fils venait voir mes matchs et quelquefois mes entrainements de rugby. Il était toujours le premier à me supporter ou me féliciter. Mais depuis la disparition de ma femme et ma mère, il a arrêté.
Roland devenait aussi de plus en plus directif envers Samuel, genre passes moi le pain, sert moi à boire.... Je trouvais cela bizarre, mais mon fils ne réagissait pas. Donc j'ai laissé faire. Je cuisinais quelques fois, mais la plupart du temps c'était Samuel qui préparait la nourriture. Il préparait souvent ce que Roland demandait.
Au fil des semaines je voyais bien que cette relation commençait à devenir étrange. J'avais l'impression de perdre mon pouvoir de père.
Mi - décembre j'appris une mauvaise nouvelle. Mon entreprise allait fermer et j'allais perdre mon emploi. Ce soir-là je rentrais à la maison déprime pensant que nous devrons rester chez mon beau-père pendant encore un temps. Je dus annoncer le soir au diner la mauvaise nouvelle à Samuel et Roland.
Roland me dit,
- " Heureusement que je suis là. Enfin vous pouvez rester ici le temps que vous le voulez. Même si j'ai hérité de la maison, c'est quand même la maison de votre mère et en plus vous me faites à manger. Mais il va falloir m'obéir si je paye tout ".
La semaine suivante, le vendredi était mon dernier jour de travail. Je décidais de rentrer un peu plus tôt. En arrivant à la maison, j'entendis du bruit dans le garage là où Roland et Samuel font leur musculation.
Je me suis approché de la porte et j'ai entendu une conversation entre mon fils et mon beau-père. Roland était énervé il traitait mon fils de bon à rien et d'inutile.
J'ai ouvert la porte et j'ai vu mon fils à genoux les yeux regardant par terre et s'excusant de ne pas être à la hauteur des exigences de Roland.
J'étais surpris et énervé en même temps. Je suis intervenue. Demandant à mon fils de me laisser seul avec Roland. Mais il n'a pas voulu sortir. J'ai insisté et il a commencé à me pousser dehors... Mais Roland est intervenu il a dit à mon fils de nous laisser seul. Mon fils est sorti du garage à contrecoeur.
Roland s'est approché.
- " C'est quoi ton problème "
Moi -
" Je trouve que tu parles mal à mon fils et que tu ne le respectes pas. Puis vous passer beaucoup de temps ensemble je voudrais que tu le laisses un peu tranquille. "
Roland (en souriant) " Mais pas de soucis, on va lui demander ce soir au diner. Par contre je te préviens, je ne suis pas sûr que cela va te plaire. ".... (Puis il est sorti du garage et m'a laissé seul)
Je ne savais pas quoi penser de cette discussion
Environ deux heures après, vers 20 h nous dinions tous les trois. Moi, mon fils et Roland. Après le diner, Roland a éteint la télé, a poussé la table pour avoir un peu de place devant lui et s'est adressé à Samuel.
- " Viens là, approche-toi ! "
Mon fils s'est levé de sa chaise et est venu près de Roland.
- " Mets-toi à genoux je veux montrer à ton père qui c'est le boss ici et qui tu préfères dans cette maison "
Mon fils s'est agenouillé et s'est mis entre les jambes de Roland. Il le regardait comme un chien regarde son maitre.
- " Aller occupe-toi de moi ? "
Mon fils a approché sa tête de l'entrejambe de Roland. Il a de-zipp la fermeture éclair. Roland n'avait pas de sous-vêtement.
Samuel a réussi a sorti un gros sexe noir épais et veineux avec des couilles énormes. J'ai vu mon fils baiser, lécher puis engloutir cet énorme sexe qui en se durcissant était devenu hors-norme. Mon fils n'arrivait plus à faire le tour de ce morceau de plus Samuel regardait Roland comme un dieu.
- " Regarde ton papa "
Samuel s'est mis à me regarder en même temps qu'il s'occupait de Roland.
- " Viens sur moi "
Samuel s'est relevé, il a mis un pied de chaque côté de Roland a pris son énorme sexe, l'a positionné sous son cul et s'est empalé très doucement. Son trou était déjà béant, ce n'était de toute évidence pas la première fois. Il grimaçait, mais à continuer à s'empaler pour mettre tout entière la bite de Roland en lui.
J'étais impressionné je ne savais même pas que c'était possible. J'étais figé sans réaction.
Samuel a commencé les vas et vient de plus en plus rapide. Puis d'un coup Roland s'est levé en soulevant Samuel. Il a marché jusqu'au mur et plaqué Samuel contre. Là, il s'est déchainé. Il a défoncé le cul de mon fils avec de grands coups de boutoir il a accéléré puis a gémis fortement et ralenti, le sperme sortait du cul de mon fils.
Roland a lâché Samuel qui s'est ensuite mis à genoux pour nettoyer la bite de Roland qui devenait molle et pendante. Puis il s'est mis à embrasser les pieds de Roland en le remerciant.
Puis Rolland a dit
- " Vas vers ton père fou plaque le au sol et décharge mon sperme que tu as dans le cul sur sa gueule. "
Mon fils s'est jété sur moi m'a frappé et maintenu au sol. Il a approché son cul de ma gueule et un pet et une énorme quantité de sperme se sont déchargés sur ma gueule.
Moi
Depuis l'épisode de la cuisine, je ne savais plus quoi faire. J'errais dans la maison essayant de retrouver mes marques. Mais je n'avais d'autre choix que de me faire petit. À part pour les quelques entretiens que j'avais, j'étais la plupart du temps seul dans la maison avec Roland.
Il ne parlait pas beaucoup, mais il imposait sa présence. Quand il était dans la même pièce que moi je le regardais, hypnotisé.
Un soir j'entends dans la salle de musculation une fois encore Roland crier sur Samuel. Je me suis approché de la porte j'ai vu par la serrure qu'ils se battaient et comme les bruits s'amplifiaient j'ai surgit, énervé j'ai commencé à les séparer.
J'ai envoyé un coup de poing à mon beau-père.
La mon fils est devenu enrage et m'a soulevé en me disant que j'aillais le regretter et il m'a foutu une énorme claque.
Je suis tombé et j'ai perdu connaissance.
Je me suis réveillé j'étais par terre attache contre un des piliers du salon.
Je voyais mon fils à quatre pattes et mon beau-père Roland derrière lui en train de l'enfiler.
Je ne pouvais que regarder le spectacle de mon beau père énorme monstre enfilant mon fils devenu une extension de sa bite. Celui-ci donnait de plus en plus de la voix. Il était certainement incapable en ce moment de faire autre chose que, de penser à sa jouissance. Puis mon fils a éjaculé d'un coup. Rolland a râlé et déchargé dans le cul de mon fils.
Roland s'est ensuite retiré de Samuel, s'est assis dans le canapé et a vu que je regardais.
Il a alors commencé à me parler.
" Tu vois c'est ton fils.....Tu veux toujours lui demander s'il veut passer moins de temps avec moi? "
" Tu sais ça fait un moment que tout a commencé. Cet été quand vous êtes venus vous installer à la maison. Il a voulu commencer à faire de la muscu dans le garage avec moi.
Je voyais qu'il était impressionné par moi. Puis je lui ai fait prendre de la masse musculaire et il est devenu plus sûr de lui. J'ai vu son regard changer, son envie de rester près de moi.
Puis quand nos femmes sont décédées il a encore passé plus de temps avec moi. Puis un jour il a voulu chahuter, tester sa force sur moi, nous nous sommes gentiment battus. Bien sur je l'ai remis à sa place de petit con. Je l'ai plaqué au sol et je l'ai écrase de tout mon poids. C'est à ce moment que j'ai senti son sexe très dur ....
J'étais moi-même en manque de sexe depuis qu'il n'y a plus de femme à la maison. Ça m'a donné des idées. Je l ' ai fait attendre encore une semaine, en lui montrant mon corps de plus en plus près puis un soir je lui ai laissé toucher mon sexe. Et le soir d'après je l'ai défoncé. Il est devenu acco à ma bite.
" Samuel, dis à ton père pourquoi tu fais ça "
" Roland est un monstre de muscle, de sexe ....Il est un dominateur né. -Il me fait jouir... Dès que je pense à lui, mon cul s'ouvre et je deviens humide. Je voudrais arrêter, mais c'est une drogue je n'arrive pas à m'en passer. Si je décide de résister, cela fonctionne un ou deux jours, mais ensuite je suis en manque. "
En souriant, Roland ajoute,
" Ton fils est fou de moi et de ma bite. Regarde ! "
Roland venait de se lève. Imposant, d'énormes épaules, pecs impressionnants, avec son ventre proéminent. Ses bras, ses cuisses et ses mollets son d'un autre monde, le double des miens qui suis rugbyman. Entre ses jambes, je vis alors un morceau formidable, un zob qui, bien que mou, offrait une impressionnante sensation de puissance. Sans avoir de compas dans l'oeil, sa colonne était aussi longue que mon sexe en érection. Celui-ci offrait un fier 22 cm. À l'instar de son corps, son sexe était épais, large, gras, veineux et luisant. Je voyais des reflets faire scintiller un fil qui le reliait encore à mon fils. Enfin, ses couilles étaient énormes, de grosses boules très noires au moins trois fois plus grosses que les miennes.
Il me laissa le temps d'admirer son corps. Il s'approcha de moi et dit en souriant.
" Je vais devenir ton cauchemar, j'ai baisé ta mère ta femme et maintenant ton fils.....Ton fils est le plus accros lol. "
Ses paroles m'ont mis la rage, d'un coup je me suis énervé, j'ai gueulé.
" - Enculé ! Connard ! Espèce d'enfoiré, je vais te défoncer la gueule ! Je vais te faire payer ce que tu fais. "
Je n'eus pas le temps de finir. Une grande claque me fit fermer la bouche. Une seconde. Une troisième. Bien fortes. J'avais mal.
" Ferme ta bouche. Tu ne vas pas me casser la gueule tu vois bien que tu es ridicule par rapport à moi. Moi, je suis gentil, je fais du bien à ton fils et c'est comme ça que tu me remercies ? Comment je dois le prendre, hein ? "
" C'est moi le boss ici "
Il s'était détendu. Il me donnait des petites claques. Je ne pouvais rien faire.
" Baisse les yeux ! "
Je baissais les yeux. Je sentais des larmes chaudes courir sur mes joues. J'entendis un claquement de doigts, puis vis mon fils venir à moi.
Il mit sa main dans son cul. Sa main était pleine de sperme. Il l'étala sur mon visage.
" Lèches papa c'est le sperme d'un vrai mec. T'es ridicule papa. T'as vu, te n'as rien entre les jambes ! "
Je ne reconnaissais pas mon fils.
Rolland posa son pied nu sur mes parties génitales recroquevillées, comme si elles voulaient se cacher. Je sentais ses orteils à l'intérieur de mes cuisses. Je regardais son pied comme s'il était le centre du monde. Mon sexe avait disparu dessous.
Je poussai un sanglot.
" Lève les yeux ! "
Mon regard s'arrêta à hauteur de sa bite. Elle était dressée, fièrement. Elle était effectivement plus longue, plus épaisse que la mienne, sans commune mesure.
"Samuel ajouta " 23 cm papa.... 23 cm et grosse comme une canette de bière. Il s'agenouilla et commença à sucer Roland ".
Les lèvres de mon fils couraient sur le gros zob de mon beau-père.
Il levait ses yeux vers Roland
Sa voix descendit doucement jusqu'à moi :
" T'as vu comme il aime ça ?... C'est foutu mec, ton fils ne sera plus jamais comme avant... Il faut que t'acceptes, maintenant... "
Je sentais sa main caresser mes cheveux. Il ramassa quelques larmes sur son index, qu'il plaça devant moi. Je baissais les yeux en l'acceptant en bouche. Mon corps était entièrement relâché. J'avais abandonné, devant l'évidence. J'avais beau être prisonnier, je me sentais lâche, faible. Je me sentais peu de choses. Je pleurais de nouveau, en regardant le pied de mon beau-père qui, lentement, me caressait la queue tantôt avec sa plante de pied, tantôt avec son talon. Je commençais à bander. Il prit mon sexe entre son gros orteil et le suivant pour le soulever, et faire quelques vas et viens. Il m'écrasait légèrement les testicules, la douleur irradiait peu à peu mon cerveau, mais une moite chaleur montait également de mon bas-ventre.
" Tu sais, si tu n'es pas content tu peux partir de la maison. Enfin sans revenu je ne sais pas comment tu vas faire. Mais si tu restes, ce sera à mes conditions. "
Il parlait calmement, doucement. Je l'écoutais et relevais un regard humide vers lui. Il se mit à genoux, après avoir écarté mon fils de son sexe. Il approcha son sexe du mien. Il était très épais. Ma gorge se nouait, mes sanglots reprirent et je devenais un peu mou.
" Regarde. Tu vois la différence ? C'est moi le vrai papa ici ".
Il avait raison.
Il dit -
" Viens ici, Samuel "
Mon fils se plaça à ma gauche, à genoux. Il le repoussa gentiment pour qu'il bascule en arrière, les jambes écartées, sur le dos. Je vis le cul de mon fils s'ouvrir pour laisser s'échapper sur le carrelage un flot de sperme épais.
Je pleurais.
Il mit sa main dans le trou de mon fils et y remua lentement les doigts. Puis il les retira, luisant de son épaisse crème. Il les plaça devant mes yeux.
" Regarde... "
Il avait littéralement rempli mon fils. Il lui faisait faire ce qu'il voulait.
" Tiens. On partage ".
Il dirigea lentement ses doigts vers ma bouche entrouverte, et les lava sur ma langue. Je goutais pour la première fois du sperme, et non seulement, ce n'était pas le mien, mais c'était celui de l'homme qui avait conquis ma femme ma mère et maintenant mon fils. Je ne faisais rien. J'étais humilié, car j'étais devenu incapable d'agir. J'avais abandonné. Mon sexe reprit du volume. Ses phalanges allaient et venaient sur ma langue, dessus, sur les côtés, dessous. Il replongea ensuite sa main dans mon fils, en retira encore une belle coulée, et revins à ma bouche. Cette fois-ci, il badigeonna mes dents. Il défit en même temps les liens qui m'enserraient les bras. Ceux-ci tombèrent, ballants.
" Tiens, c'est du dentifrice, c'est pour l'haleine... Attends, il te faut une brosse à dents aussi ".
Mon gros black de beau-père se releva. J'avais son sexe, dur, en face de moi. Je pris peur, mais il m'attrapa la tête entre ses deux mains puissantes et enfonça d'un coup sa puissance virile au fond de ma gorge. Mes dents s'écartaient seules sur son passage, ma mâchoire se distendit. J'eus un haut-le-coeur. Il avait d'un coup pris possession de ma bouche vierge ! Un homme m'utilisait pour glorifier sa bite ! Je ne voulais pas me laisser violer, et essayais de repousser ses hanches de mes mains, mais je me trouvais impuissant, une fois encore, devant sa force. J'avais beau être musclé, cet homme était beaucoup plus fort que moi. Il commença de longs et puissants vas et viens. Je subissais sa loi en geignant de petits cris aigus et en m'étouffant à moitié.
" Allez, suce salope, suce... Quoi, tu n'es pas content ? "
Il s'arrêta rapidement et se retira.
" Tu te plains ? Tu te plains de quoi ? Tu devrais être honoré. Ton fils pourrait te défoncer la gueule pour pouvoir lécher ma bite a ta place. Alors, suce ! "
Il me remit une grosse claque cuisante et sonore. Il prit mon menton entre ses doigts et releva mon visage vers le sien. J'essayai de reculer la tête.
" Non... "
Une deuxième gifle me projeta immédiatement à terre. Il me releva par les cheveux. Lui se tenait les mains sur les hanches, la verge en avant, droite et fière. Moi, je tenais mes joues entre les mains, les jambes relevées, je pleurais bruyamment, comme un enfant.
" Alors, tu suces ? "
Un petit " oui " de défaite lui répondit.
Il patienta une seconde.
" Alors, j'attends ! "
D'un rapide mouvement du bassin, il secoua sa puissante colonne sous mon nez. Alors moi, un solide rugbyman baissait les yeux, soumis, pris doucement son zob dans mes deux mains et posai mes lèvres sur son gland
" C'est bien pédé, suce salope, tu vas voir ce que c'est qu'un homme... "
Il m'avait battu. Humilié. Il m'avait pris mon fils. Réduit ma force à néant. Démontrer mon infériorité. Fait chialer comme un gosse. Et maintenant, je le suçais avec application devant mon fils. J'avais englouti le gland et progressé sur la hampe. Je n'arrivais pas à aller très loin. Il me mit la main droite sur la tête, et me dit de faire attention avec mes dents. J'ouvrais au maximum les mâchoires. Je lui obéissais.
Il me faisait faire de petits allers retours, reculait ses hanches et avançait sa pine alternativement. Je sentais son ventre écraser mon front. J'étouffais un peu sous son ventre, et cela me faisait bien sentir ma soumission face à cet homme. Bientôt, il me prit la tête entre ses deux mains pour accélérer le mouvement. Je n'avais pas dû me débrouiller très bien. Son zob allait de plus en plus profondément, jusqu'à pénétrer ma gorge. Je ne tenais plus en équilibre, et mes mains se raccrochaient à présent à ses cuisses muscle très dures et puissantes. Je ne maitrisais plus ma bouche qu'il utilisait selon son bon vouloir, comme un roi, et des flots de salive débordaient mes lèvres pour couvrir mon menton et tomber sur ma poitrine. Lui-même, sa virilité s'ornait de mon humidité buccale. Je ne pourrais plus jamais me regarder dans une glace sans me rappeler cette scène !
" Ah... Connasse, lèche mes couilles ! Mets-toi à quatre pattes ! "
J'obéissais. Je plaçais ma tête entre ses deux imposantes cuisses, et la tournais pour placer ma langue sous ses bourses. Je léchais, et goutais au gout un peu rance de ses burnes. Elles étaient déjà humides de ma première fellation. Je sentis mon dos ployer sous le poids de son ventre. Mon visage s'écrasait entre ses cuisses, ses couilles et son chibre, je m'affaissais sous son poids, et mes fesses s'écartaient mécaniquement, lui offrant une entrée royale vers mon petit trou qu'il commença à caresser.
Je me débattais.
D'abord, parce que je ne voulais pas qu'on me fasse ça, ensuite, parce que j'étouffais. J'étouffais réellement. Ne parvenant plus à respirer, j'abandonnais la lutte tandis que des étoiles apparaissaient devant mes yeux. Soudain, ma tête trouva de l'air. Elle venait de passer entre ses cuisses. Je pris de profondes inspirations, le corps abandonné à mon beau-père. Celui-ci me prit par le ventre, me fit coulisser et me reposa sur le dos.
" Tu vas voir, je suis gentil. Je ne vais pas te faire de mal. Je veux te faire du bien. Je sais faire beaucoup de bien, tu sais. Mais je sais que ce n'est pas facile, alors je vais prendre mon temps. "
Les gros doigts de mon beau-père couraient autour de mon petit trou. Il le chauffa quelques minutes, puis il commença à picoter.
" Tu commences à aimer, hein... "
Un grognement négatif essaya de se faire comprendre, mais en réalité, je devenais moite et mon corps commençait à remuer. Son index grattait ma corole. Il éclata de rire lorsqu'il vit entre mes jambes complètement écartées mon anus sauter vers son doigt. J'avais envie de le recevoir.
" Attends, lève-tôt chérie s'il te plait... Alors, t'as compris mec ? "
Un silence, je ne le voyais pas, mais le devinais souriant, satisfait. Cela s'entendait à son petit air sardonique.
" Alors, qu'est ce qui t'arrive ? "
J'avais chaud, mes jambes et mon bassin tournaient tous seuls. J'avais les yeux mi-clos.
" Alors, qu'est-ce que tu veux ? "
Mes idées n'étaient pas claires, mais l'instinct me faisait lui répondre.
" S'il te plait... S'il te plait... Je veux que tu me baises ".
Mon fils rit.
" D'accord, d'accord, je vais m'occuper de toi. Mais toi aussi, il faut que tu t'occupes de moi. D'accord ? Alors, pendant que je m'occupe de ton cul, tu vas t'occuper du mien. "
Il plaça ses fesses au-dessus de mon visage. Je projetais ma langue à la rencontre de son anus, sans dégoût mais avec envie, et rapprochais son énorme cul noir de mes mains. Il y avait un gout un peu âcre qui m'excitait encore plus. Sitôt mis à ma besogne, lui entreprit mon trou. Il y fit pénétrer une phalange qu'il fit lentement tourner. Il prenait tout son temps. Mon sexe était bouillant, mais je ne pouvais m'en occuper. À la place, je poussais des gémissements plaintifs, en écartant mes jambes comme si je voulais me déchirer moi-même en deux.
Bientôt, il fit entrer un doigt entier dans mon fondement. Roland a des mains et des doigts énormes épais comme ma bite. C'est un travailleur manuel depuis toujours. Il tourna pour élargir mes possibilités, et lorsque je fus un peu assoupli, il y joignit un second. De ses deux doigts, il entreprit de me masser la prostate. Je progressais dans la jouissance. De son autre main, il caressait Samuel, s'occupait de ses tétons, faisait courir sa paume sur sa nuque qu'il abaissa pour gouter sa verge. S'abaisser pour lui, le terme est bien choisi. Mon fils s'était abaissé pour sucer son zob, je m'étais abaissé à nettoyer ce qu'il a de plus sale. On s'abaisse pour lui.
Une caresse prodiguée par les doigts de Roland courant dans mon rectum. Je gémissais pour de bon, en continu. Il me défonçait l'anus avec ses doigts. Pendant ce temps, ma langue s'enfonçait de plus en plus loin, visitait plus profondément son intimité. J'avais envie, en léchant ce cul, de lui sucer la bite. Comme je ne pouvais pas le faire, c'était son anus qui contentait ma faim. Car c'était cela : j'avais faim de lui. Soudain, ses doigts arrêtèrent leur mouvement. Il les retira. J'eus brutalement froid, et ressentis un vide profond. De la déception, aussi. Il se leva.
Je le regardais, l'oeil implorant. Comme une vulgaire salope, je me touchais les tétons, effleurais ma bite qui, à présent, ne m'intéressait plus. J'avais envie de lui. Je voyais son zob viril et imposant, doté de tous les droits, son ventre proéminent qui me dominait, ses cuisses puissantes et ses énormes burnes. Lui me regardait de toute sa hauteur. Il mit son pied sur ma bouche. Avec délectation, dans une totale soumission, je passais ma langue entre ses orteils en gémissant. Je passais lascivement mes mains entre mes cuisses relevées, et approchai mes doigts de mon trou. Je le trouvais souple, humide et brulant.
D'un petit coup, il me fit tourner la tête et abandonner ma tâche. Il m'attrapa par la bouche, me cracha soudainement au visage.
" Salope ! "
Puis il me retourna sur le ventre, j'avais les fesses relevées, et le visage au niveau du sol.
Tournant légèrement la tête, je le vis se mettre à genoux, ses jambes enserrant les miennes, et son gland dépasser de ma raie. Il m'asséna une claque sonore sur la fesse.
" Écarte tes fesses, grosse pute ! "
Encore une fois, je m'exécutais. Je baissais les yeux, rouges de honte. Mon beau-père allait m'enfiler, comme une femelle. Et moi, je n'attendais que ça. Il avait raison. Je mouillais. J'étais une salope pour lui. Il rigolait. Il me faisait lécher les doigts avec lesquels il m'avait doigté.
Je n'en pouvais plus. J'étais humilié comme jamais mon anus s'ouvrait et se fermait tour à tour. Il était devenu vivant. Il avait faim. Son immense sexe coulissait dans ma raie humide. Sa main gauche pinçait mes fesses. Il prenait son droit. Je ne tenais plus. Je l'implorais, le cul ouvert.
" Baise-moi, baise-moi prends-moi ! Je ferai tout ce que tu veux, je te lècherai les pieds, je te tèterai la bite, mais pitié, BAISE-MOI ! "
J'essayai de happer sa bite avec mon cul. Mais ce n'était apparemment pas suffisant. Il ne me pénétrait toujours pas. Je dégoulinais littéralement. Je lui aurais dit n'importe quoi. Je commençais à pleurer. Il faisait durer le plaisir, je ne pouvais rien faire qu'attendre son bon vouloir. Puis d'un coup, une douleur fulgurante me traversa le cerveau. J'avais les yeux écarquillés et le souffle coupé.
Mon fils se pencha sur moi :
" Il en a enfoncé la moitié d'un coup. Tu dois avoir mal. Mais ne t'inquiète pas, tu aimeras ! "
Il me caressait le dos, lentement, en me parlant doucement.
" Calme, calme, détends-toi, ça va aller, je vais bien m'occuper de toi, va. Tiens, mange ça ! "
Il me présenta ses doigts à sucer.
Après quelques instants, je commençais à me détendre. Il le sentit et commença à reculer doucement sa bite, avant de me la ré enfoncer avec force.
Je me sentais... envahi. J'avais quelque chose de chaud, vibrant et puissant qui prenait possession de mon fondement. Des mains rassurantes me retenaient par les hanches.
Il prenait quelques instants pour me flatter la nuque, ou caresser mes flancs. Il jouait quelques secondes avec mes seins. Mon souffle revenait. Il devenait chaud, et profond... Je soupirais bientôt. Lorsqu'il était entré, je me sentais rempli. J'étais bien... Lorsqu'il se retirait, je me sentais vide, et je voulais qu'il reprenne sa place. Mais c'était la lente caresse de sa virilité dans mon humidité qui me procurait le plus de plaisir. Je commençais à sentir quelque chose au niveau des couilles. Une sorte d'électricité passagère. Soudain, dans un râle, il plongea entièrement en moi en m'attirant à lui.
" Voilà, c'est à moi ! "
Ses énormes couilles recouvraient les miens, plus modestes. Son bassin collé au mien témoignait de sa domination sur moi. Son ventre qui écrasait à présent mes reins, ses jambes qui contrôlaient les miennes, ses larges mains qui lui permettaient de m'enfiler. Il ressortit la longueur de son zob, et la replongea avec vigueur et détermination dans mon trou béant. Était-ce lui qui m'empalait, ou moi qui servais de gant à sa bite ? Je lui servais de sac dans lequel il plongeait sa virilité. Il accéléra peu à peu le mouvement, et moi je commençais à ahaner mon plaisir.
" Ah, putain, t'aimes ça hein ? Regarde Samuel ton papa il aime se prendre ma queue... "
Roland imprimait sa vitesse, de plus en plus grande, et c'est lui qui retenait réellement mon corps de ses mains et ses bras puissants.
Un bruit de succion se faisait à présent entendre, entre deux percussions par ses couilles. Mes fesses aussi claquaient. Je glissais tellement que sa verge sortit plus d'une fois de son fourreau. Elle en retrouvait tout aussi naturellement le chemin. Ses mains se dérobant également, il me prit par la tignasse. Moi, j'étais enculé en profondeur et je criais, le visage levé, les yeux fermés. Le plaisir avait fini de m'envahir.
J'aimais la manière dont il me chevauchait. J'aimais le sentir entrer, ressortir, prendre possession de moi. J'aimais être soumis à son énorme bite.
Il m'insultait en me baisant, entre deux souffles.
" Salope ! Grosse pute ! Tu l'aimes ma bite, hein connasse ? T'en veux hein ? "
Je sentais quelque chose monter profondément de mon ventre, toucher mon sexe avant d'atteindre mon cerveau et d'exploser partout en même temps. Pour la première fois de ma vie, j'avais un orgasme. J'hurlais mon bonheur, mon pénis débandé se répandait sous
" Ah, ah gros pédé ! T'aimes ça ma bite dans ton cul ! Elle te fait jouir hein ! "
Il accéléra sa cadence, affermit son emprise sur mes cheveux et d'un coup se bloqua dans mon cul. " HHHHHH ! Son long cri de jouissance retentit dans la pièce, et je sentis ses longs jets de foutre crémeux repeindre mon cul. Il s'était enfoncé avec force, mais finit par se détendre. J'avais encore son sexe épais planté dans le cul, et j'étais en nage. J'attendais le bon vouloir de mon maitre. Il ne se relevait pas. J'attendais sagement le temps que mon homme se relève.
J'entendis dans mon oreille un souffle fatigué, au bout d'un petit quart d'heure.
"Salope, va."
Mon beau-père se releva en s'appuyant sur ma tête il garda les doigts agrippés dans mes cheveux afin de me redresser.
- "Maintenant, nettoie avec ta langue. Fais attention à tes dents, ou je te cogne !"
Tombant à genoux, je m'appliquais immédiatement à reprendre son membre en bouche, mû autant par la peur que par la gratitude. Je léchais partout, avec gout cette fois. Son sperme avait un gout plus fort que ce que je pensais. Il y avait aussi une forte odeur de cul, et un gout que je supposais provenir de ma merde. Je nettoyais.
"Tu as le cul qui dégouline !"
Il me repoussa du pied vers le carrelage. En plaçant une main sous mon cul, je sentis celui-ci encore ouvert qui se vidait lentement. Je commençais à me branler avec la main qui avait recueilli le sperme.
"Suce mieux lopette !"
Aussi étonnant que cela puisse paraitre, il reprenait encore de la vigueur. Je m'exerçais à être meilleur encore, et faisais tourner ma langue autour de son gland. Je le lui tétais en levant les yeux par-dessus son ventre, lui lançant un regard excité.
"T'essaies de me provoquer, salope ? Tu la veux encore, hein ? Tu la veux dans ton cul tout blanc ?"
Il reprit son sexe, et me donna des petits coups de queue sur les joues quelques instants. Je poussai un petit cri surpris et légèrement indigné. Il bloqua alors ma tête entre ses mains, et s'enfonça d'un coup dans ma gorge. Comme précédemment, je dus me tenir à ses cuisses pour ne pas tomber. De nouveau, de la bave s'échappait de ma bouche. Son sexe devait être bien propre à présent.
Roland dit :
"Écoute petite pute, maintenant les choses sont claires. Apparemment j'ai trouvé mes deux salopes toi et ton fils. Il souriait puis sortit de la pièce".
Elmarginal
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