Salut à tous, moi c’est Mathias, black de 32 ans, Sénégalais par mon père et Alsacien par ma mère. Ça a produit un mec de 1m83 pour 75 kg, plutôt accro au sport et magasinier donc plutôt bien baraqué. Actif avec les mecs depuis longtemps même si j’ai été, à de très rares occasions, passif.
Cette histoire s’est passée vendredi 27 décembre 2019, sur le coup de 20 h, je ne suis pas près de l’oublier !
Avec quelques collègues, on s’est fait un petit apéro dans un bar cool histoire de fêter Noël ensemble. On était 5, comme souvent, à rigoler, à refaire le monde, à se vanner, à parler un peu de cul… C’est là que j’ai croisé le regard du black assis à la table d’à côté. Il était avec un autre mec et une meuf, les deux autres buvaient un cocktail et lui un coca. Il portait un costard noir, chemise gris foncé et cravate noire, la grande classe ! Une barbe bien entretenue, des cheveux bien coiffés, franchement, il détonnait un peu.
Je ne suis pas parano, mais là, j’étais sûr qu’il me matait ! Pesant qu’il cherchait à saluer l’autre black de la salle, j’ai regardé autour de nous, ben non, il y en avait d’autres. Je l’ai à nouveau regardé et là, il me décoche un putain de sourire, des belles dents blanches. Je me suis dit : « Il te drague le mec ! ». Bingo, ma libido se réveille et, plutôt que de détourner la tête pour revenir sur mes potes, je lui rends son putain de sourire. Comme un con, en même temps, j’attrape une olive sur sa pique et je la mets dans ma bouche. Là, son regard s’est posé sur ma bouche et son sourire est juste devenu carnassier. J’ai avalé l’olive et détourné le regard en me disant : « Mais quel con, il va croire que je veux le sucer ! ».
Je ne sais pas pour vous, mais je trouve difficile de s’empêcher de regarder quelqu’un qui, manifestement, vous fixe intensément. Je sentais son regard posé sur moi, mais je me forçais à rester concentré uniquement sur ma table et puis, évidemment, j’ai relevé le regard !
À nouveau ses yeux se sont plantés dans les miens, son sourire m’a encore une fois hypnotisé et, très doucement, il a posé sa main sur son nœud de cravate et a commencé à la monter et la descendre… Je commençais à fourmiller dans mon boxer, j’ai souri moi aussi et je me suis rendu compte que je faisais le même geste sur mon verre, j’ai lâché mon verre, il l’a vu et m’a lancé un petit bisou très discret. Là, je bandais pas mal déjà.
Après ça, plus rien, j’ai surveillé, mais rien, il ne m’a plus regardé da la soirée. J’en suis même arrivé à me dire que j’avais dû me faire des idées.
Un moment après, j’ai dû partir, j’allais faire un peu de sport et, surtout, j’embauchais super tôt le samedi. Je salue les potes, je paye mes consos et je sors.
Je suis resté planté sur le trottoir quelques minutes, le temps de regarder mes textos et de répondre. J’allais bouger quand j’entends : « Bonsoir, tu vas bien ? ». Je me retourne, le black me faisait face avec son sourire. Je l’avais vu carré, mais, une fois debout, c’est une belle armoire à glace ! 1m90 au moins, bien baraqué. « Tu fumes ? Je n’ai pas de feu ! ». Il tenait sa cigarette à la main, j’ai sorti mon briquet et je lui tends. Il me prend les mains dans les siennes, allume le briquet tout en me fixant. Il a bien fait durer puis finit par se reculer et me lâcher. Là, il m’a détaillé et me dit : « Tu n’es pas mal gaulé, tu fais quoi comme sport ? ». Je lui réponds mécaniquement, il fait mine d’être impressionné alors qu’il doit en faire bien plus que moi. Il me file une cigarette et me pousse un peu à l’écart pour fumer et parler tranquillement. On est à l’entrée d’une ruelle, on discutait et voilà une petite averse. Là, j’aurais pu partir ben non ! On s’est enfoncé un peu plus dans la ruelle pour nous abriter sous une sorte d’avant-toit.
Les cigarettes étaient quasiment terminées, il a jeté son mégot le premier, j’ai tiré une dernière taffe et j’ai fait de même. J’allais lui dire au revoir, mais là, il s’est mis devant moi, m’a plaqué au mur et m’a roulé une galoche de malade. Sa langue entrait dans ma bouche et prenait possession de tout mon corps. Moi, habituellement actif, j’étais sans réaction, pas paralysé, j’étais consentant, excité à mort et je me laissais faire docilement.
Je me suis dit qu’on risquait se faire griller, mais il faisait nuit noire dans cette ruelle, y’avait quelques fenêtres avec de la lumière, mais ça n’avait pas l’air d’être très passant. À vrai dire, la situation m’excitait.
Il a reculé son visage du mien, m’a souri et a appuyé sur mes épaules, je me suis agenouillé, ma bouche à hauteur de son pantalon déformé par une trique de cheval. J’ai embrassé sa queue à travers le tissu, j’allais lécher quand il m’a dit : « Non BB, pas de salive sur mon fut, va chercher et biberonne ! ». Sans me poser de question, j’ai défait sa ceinture, ouvert le bouton, descendu la braguette, baissé le boxer, j’ai pris sa queue en main, un beau morceau, long et épais, j’ai branlé, deux grosses gouttes de mouille ont jailli hors du gland, il m’a dit : « Vas-y BB, tu me fais bander depuis une heure, pompe-moi ! »
Ça faisait un moment que je n’avais pas sucé, mais c’est comme le vélo… Ma langue a recueilli la mouille, j’ai ressenti cette texture particulière, ce gout âpre et un peu salé puis son gland est entré dans ma bouche, mes lèvres se sont refermées dessus, ses mains se sont posées sur ma tête et je l’ai entendu pousser ce râle de plaisir que j’ai si souvent poussé moi aussi à ce moment précis. Comme beaucoup d’entre nous, son souffle a été suivi d’un « Putain, c’est bon, vas-y, suce BB ».
J’ai entamé ma pipe comme un pro affamé, une main sur ses couilles pour bien les masser et l’autre sous la chemise pour lui caresser le ventre et remonter sur son torse pour triturer un peu ses tétons. Ils étaient durs comme de la pierre, ses couilles roulaient dans ma main, sa queue, bien dure, coulissait dans ma bouche à un bon rythme. Le mec kiffait et moi je mettais le plus d’application possible pour lui donner un max de plaisir.
Son pied a frotté ma queue, il a dit : « Hummm, tu bandes, c’est bon ça, tu prends ton pied ! ». Par politesse, j’ai ressorti sa queue de ma bouche, je l’ai prise en main et j’ai dit : « Ouais, c’est bon ! Hummm, j’la kiffe ta queue ! », il a répondu : « Ouvre la bouche, tire la langue et fais-la claquer dessus ! », je l’ai fait, il s’est un peu penché, un long filet de salive est tombé sur son gland. Là, il a serré ma tête avec ses mains, a enfoncé sa queue le plus profond possible dans ma gorge, j’étouffais, j’avais des renvois, je bavais comme un malade, les larmes sont montées, il est ressorti, m’a félicité et a recommencé deux trois fois, j’avais ses couilles sur mon menton et mon nez dans ses poils.
Il a commencé à me donner de bons coups de reins pour, selon lui : « Baiser ma gueule de suceuse ! ». Je ne maitrisais plus grand-chose, j’encaissais, mais j’avoue avoir kiffé chaque seconde.
À un moment, il a retiré un peu sa queue, seul son gland était dans ma bouche, il m’a demandé d’ouvrir et de tirer la langue. Il a pris sa queue en main, deux trois aller-retour et il m’a rempli la bouche de gros jets de jus qui rebondissaient sur mon palais, une bonne partie s’accumulait dans ma bouche, mais déjà je le sentais couler dans ma gorge défoncée.
Une fois vidé, il a tapé sa queue sur ma langue, s’est reculé et m’a dit : « Fais voir ta bouche ! », je me suis relevé pour lui montrer son sperme, il a mollardé dans ma bouche et m’a dit : « Vas-y, avale ! », bien sûr je l’ai fait.
Il s’est rhabillé sans un mot et, une fois prêt, il m’a dit : « Merci BB, là, je vais au taff, je bosse en discothèque ! Ça te dirait qu’on se revoit ? », il m’a mis une main au cul et m’a dit, à l’oreille : « J’te casserais bien ton petit cul ! ».
J’aurais pu dire n’importe quoi, ben j’ai dit oui ! On s’est échangé nos 06 et on s’est quitté.
Je suis monté dans ma voiture, j’étais groggy, je me suis regardé dans le rétroviseur, une horreur ! Des yeux rouges, de la salive partout autour de ma bouche, sur mon menton, sur mon pull. Je bandais encore et une grosse tâche de mouille était dessinée sur mon jean… Là, je n’étais pas très présentable ! je suis rentré chez moi, je me suis douché, branlé et je suis parti au sport comme si de rien n’était.
Le samedi, je suis allé au travail, j’ai débauché, mangé vite fait et je suis allé faire un footing. Je suis rentré, j’ai mis mon portable à charger, je me suis douché, j’ai fait quelques courses et du rangement dans l’appart. Quand j’ai repris mon portable, y’avait un message : « Slt BB, ça te dit un dimanche aprèm au pieu toi et moi ? ». Y’avait des milliers de réponses possibles, j’ai juste répondu : « Oui ».
Franchement, je ne sais pas trop jusqu’où ça va aller… On est dimanche matin, il doit venir dans deux heures environ, je suis excité alors que moi, actif, je sais que je vais me faire défoncer…
J’espère que ça vous a plu. N’hésitez pas à me le faire savoir, je vous raconterais peut-être la suite.
Mathias
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