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Ma rencontre avec mon mec

Mon mec et moi n’en avons jamais assez. Le plus souvent je suis le passif. Mais de temps à autre, quand il était bien fatigué de m’avoir rempli et que moi je n’en pouvais plus d’attendre de me vider, je me retrouvais à le prendre. Nos rapports ont toujours été assez sauvages. Avec de l’amour, mais musclés, poussés, intrusifs même.

Je ne vais pas me cacher derrière mon petit doigt : j’adorai me faire démonter sans ménagement, être son insatiable exutoire de fin de journée. Presque je l’aurai payé pour qu’il soit encore plus agressif. Quand je l’ai rencontré, il n’avait jamais été actif et s’était bien souvent fait malmener par des coups d’un soir qui ne voulaient que prendre du plaisir sans en donner. Et lui était complètement soumis puisqu’il pensait que c’était là sa place : vide couilles à beaufs ! Une fois nu, il m’avait sucé avec conviction et gourmandise, un regard fuyant entre crainte et étonnement ; quand il m’avait jugé apte à le prendre, il s’était retourné et m’avait présenté son cul. Ne le connaissant pas encore, j’ai enfilé une capote, lui est collé un coup de langue et j’ai fait comme n’importe qui : j’ai tiré ma crampe avec mon coup d’un soir sans penser au lendemain ! Au petit matin, je l’ai retrouvé endormi accroché à moi, son bas ventre collé à mes fesses et bien en forme. Je le détache de moi et le pousse délicatement sur le dos : ce que je voulais hier soir et que je n’ai pas eu (la veille au soir, je voulais plus être pris que prendre), je vais l’avoir au matin. Je commence à le sucer, et son membre prend des dimensions prometteuses. Je m’active sur sa verge à quatre pattes et commence à me préparer le passage avec les doigts. Il se réveille et me voyant ainsi à l’astiquer a un mouvement de recul qui me prive de ma gourmandise…

Moi : - Hé. Du calme. Je commençais sans toi, mais je comptais bien t’attendre pour la suite. Lui : - Je… je ne peux pas faire ça ! Moi : - Tu ne peux pas faire quoi ? Te faire sucer ? Lui recroquevillé) : - Non… oui enfin ça et le reste ! Moi : - T’as pris un truc hier soir ? Parce que ça t’as pas dérangé là ! Lui : - J’ai… jamais pris un mec ! Ce que tu m’as fait hier c’est impossible que je te le rende !

J’ai du mal à saisir ce qu’il me dit tant ça me parait abscons. Il a mon âge, est légèrement plus petit que moi, bien plus baraqué, est membré au-delà de toute attente pour un coup fugace ; et il m’annonce comme ça qu’il est vierge… enfin vu comment j’ai coulissé facilement en lui je comprends que cette virginité n’est que pénienne, l’anale s’étant envolé depuis longtemps et n’étant pas prête de se reformer, vu comment il était dilaté ! Puis d’un coup je saisis de la détresse dans son regard. Je quitte le lit, enfile mon caleçon, pioche le sien dans son tas d’affaire et lui emmène.

Moi : - Désolé si je t’ai brusqué. Viens prendre un café, et tu me raconteras ta vie !

Je sors de la chambre et vais à la cuisine. Il me rejoint une minute plus tard tout habillé. Je l’interroge, pas en mode inquisition sur son passé, sur ce qu’il s’est passé pour qu’il n’ose jamais passé à l’acte. Il m’explique sa vie, ses premières fellations contraintes, sa première sodomie soumis, et dans la foulée la seconde douloureuse, mais suffisamment intense pour qu’il en redemande.

Lui : - Bref, je suis devenu une salope qui se fait tringler par tout ce qui passe et qui pense ne pas mériter mieux. C’est pour ça qu’hier je m’attendais à des gifles, des crachats, des insultes et que j’ai été surpris que rien ne vienne. Moi : - Bah moi hier je voulais surtout me faire démonter en fait… tu m’as pris de court et j’y suis allé, mais je n’ai pas vraiment de désir de violence ou de grossièreté. Je cherche que du fun… Lui : - Désolé. Moi : - J’espère que tu t’excuses parce que tu penses n’être qu’un dévidoir à bite ! Personne ne mérite ça ! Je ne te connais pas, mais du peu qu’on a échangé, je ne pense pas que tu sois un monstre ou une salope, t’as juste été trop brimé !

Notre conversation dure le temps de plusieurs cafés, j’ai depuis longtemps oublié l’envie de me faire ramoner quand il me dit qu’il doit rentrer chez lui ! Je me lève pour le raccompagner à la porte, et une fois qu’il est sur le palier je lui pique une bise sur la joue en guise d’au revoir en lui assurant que si il voulait parler, il savait où j’habitais désormais. Sur cet au revoir, il tourne son corps et commence à partir. Toujours en caleçon, je le mate s’éloigner, et me dit que mis à part la débandade de ce matin, ça avait été un bon coup d’un soir en tenant du fait que mes attentes n’avaient pas été comblées.

À peine de retour dans la cuisine, comme je m’y attendais, on frappe à la porte. Mon voisin du dessous vient se plaindre chaque fois que je m’envoie en l’air. Mais comme son chien passe la journée à aboyer, je continue à être bruyant exprès ! C’est une espèce de militaire retraité réac à fond et logiquement homophobe en plein ! Quand il me gueule dessus, je me demande s’il n’a pas une mi-molle… au moins je lui fais plaisir en lui donnant de bonnes raisons de me gueuler dessus : je rends service en somme. Je retourne à la porte en m’armant de patience : je sais que je vais me faire insulter, pédé, salope, enculé, et autres joyeusetés. Il n’est pas très original dans le genre. J’ouvre. Mon coup d’un soir est sur mon palier, le vieux est dans l’escalier et me jette un regard noir : il est déçu de ne pouvoir intervenir, il sait que je le taperai pas, mais il ne sait pas comment peuvent réagir les autres, donc il a peur.

Lui : - je n’ai pas mon téléphone. Il a dû tomber dans la chambre. Moi : - Tu ne sais où c’est vas y. Je referme la porte dès qu’il est rentré. Je le suis à la chambre, l’aide à chercher, le regarde se pencher ; il trouve son téléphone sous le lit, se redresse, me fixe, me sourit, et baisse ses yeux vers mon caleçon. Je lui souris aussi. Lui : - C’est pas que je n’ai pas envie. J’ai juste une peur bleue ! Des peurs en fait : ne pas savoir faire, mal le faire, faire mal, et surtout me transformer ! Moi : - Te transformer ? Lui : - Devenir un de ses mecs violents que j’ai connus, qui sous prétexte qu’ils ont un cul au bout de la pine se transforment en porcs ! Moi (m’approchant)
- Je t’initie tout en douceur si tu veux ? Lui : - Je…

Je ne lui laisse pas le temps de parler et lui roule une bonne pelle bien baveuse. Il me répond de la langue à ce chaud et profond baiser. Je lui caresse les fesses, il me frotte la bite à travers le tissu. Je recule un peu, lui déboutonne sa chemise, détache sa ceinture, dégrafe son pantalon : en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, nous sommes tous les deux en boxer. Nous reprenons fougueusement notre baiser, on recule et tombe sur le lit sans que nos lèvres ne se décollent plus d’une demi-seconde. Nous nous frottons, tant et si bien que bientôt nos glands émergent de nos morceaux de tissu et se collent l’un à l’autre. Quand nous nous arrêtons, nous sommes chauds, essoufflés. Nos yeux se croisent, se parlent, se sourient.

Moi : - Je t’initie en douceur, on le fait à ton rythme. Tu veux faire quoi maintenant ? Lui : - Je veux m’échauffer les sens en faisant un truc que je sais faire : te tailler une pipe. Moi : - Oh oui ! Tu sais le faire.

Le souvenir que j’en ai d’hier soir est au-delà de positif. Je quitte sa poitrine, me mets sur le dos, et lui me monte dessus. Il m’embrasse enfin de lui-même ; puis il commence à descendre, m’embrasse les tétons, joue avec sa langue sur mes muscles et mes poils, me fait des bises ; arrivé au nombril, il me jette un regard chaud, j’entrevois la chienne qu’on a faite de lui, il plonge bouche ouverte vers mon gland qui dépasse du boxer ! Et pour faire bonne mesure il me l’enlève bien vite pour entamer un va et viens frénétique sur mon manche. Si hier j’ai eu droit à une très bonne pipe, ce matin c’est d’un tout autre niveau : hier j’étais un coup d’un soir, maintenant je suis… je ne sais pas ce que je suis pour lui, mais on m’a rarement aussi bien sucer. Peut-être même jamais, sa bouche est pleine de salive, c’est chaud, humide, ça glisse : un avant gout de paradis. Il s’arrête juste avant que j’explose en lui, remonte et m’embrasse. À force de haleter sous ses coups de langue, j’ai l’impression d’avoir fait une séance d’abdos : je suis essoufflé et en sueur.

Lui : - En règle générale, c’est là que je me fais prendre… Moi : - Je comprends ça ! Je reprends où j’en étais ce matin, ça te va ? Lui : - Oui, mais si je te demande de t’arrêter… Moi : - Je m’arrêterai ! Promis

Je l’embrasse et prends la direction de sa queue. C’est tout un poème ! Et dire qu’elle est tout neuve n’est pas pour me déplaire. Après quelque temps à le pomper, je prends conscience qu’il est plus long et plus large que moi : un centimètre de plus de partout ; moi je suis long et presque fin, lui est immense et déjà épais. J’aime ce que j’ai en bouche : en règle générale, on les sent bien passer à l’entrée, et surtout on les ressent quand elle touche le fond, deux plaisirs pour le prix d’un ! Sa bite palpite dans ma bouche, il mouille abondement. Je lui caresse son torse imberbe, ses muscles sont bandés et suintants de sueur, ses tétons pointent, son rythme cardiaque est ultra rapide. Je lui soupèse les couilles et une question surgit. Je relève la tête.

Moi : - Ca remonte à quand ta dernière vidange ? Lui : - J’ai fait une carte de France il y a une dizaine de jours… Moi : - Je te finis comme ça alors : Si tu décharges dix jours dans la capote, elle va craquer et autant faire sans directement !

Je replonge, j’alterne des travaux manuels et oraux. Il prend son pied : son bassin décolle du lit, il pose une main sur ma tête, pas pour me contraindre, mais pour me caresser. Quand il vient, ma bouche est inondée : je me prends un tsunami de foutre ! Il est bon, épais, chaud, visqueux, tout ce que j’aime. Quand je remonte vers lui il a du mal à reprendre son souffle et ses esprits. Je me cale à côté de lui et lui câline la joue d’une main et son sexe encore gros et chaud de l’autre.

Moi : - Alors cette première pipe ? Lui : - Gé.. Géant ! Je ne savais pas l’effet que ça faisait ! T’es doué aussi. Moi : - J’en suis pas à mon coup d’essai. Lui : - C’est… c’est quoi la prochaine étape ? Moi : - Selon toi ? Lui : - En règle général les mecs se terminent dans ma bouche ; mais seulement après m’avoir pris… Moi : - Attends, quoi ? Ils ne te travaillent pas un peu la rondelle ? Lui : - Euh, non !

Je suis choqué. En fait, ce type s’est fait violenté, voir violé, pendant toute sa vie sexuelle. J’ai presque envie de pleurer pour lui quand je vois un sourire ingénu sur son visage ; je le prends dans mes bras et lui fais un gros câlin : pas de caresse, ni tripotage, je veux juste qu’il sente la chaleur de mon corps et les battements de mon cœur, qu’il sente qu’ici on est doux et délicat, que cet appartement, cette chambre, ce lit, mes bras qui l’enlacent sont tous des havres le protégeant des brutes de l’extérieur, sont autant de remparts imbriqués qui le mettent à l’abri de toute forme de violence. Il met un moment à comprendre ce qu’il se passe, de crispé, il se détend, me serre très fort, pas pour me faire mal, mais parce qu’il est bien là ! Quand il relâche un peu la pression de ses bras, nous nous faisons face, et il m’embrasse tendrement ; plus notre baiser dure, plus celà chauffe entre nous, notre baiser devient fougueux, nos bouches se quittent, j’attaque son cou, il soupire d’aise.

Lui : - Laisse-moi te faire l’amour s’il te plait ! J’en ai vraiment envie ! Moi : - Oh oui, moi aussi ! Je me sépare de ses bras et me colle le ventre sur le drap, les fesses à l’air. Moi : - Vas-y ! Mais commence avec ta langue et tes doigts ! Je te dirai quand on pourra changer d’échelle.

Il pose ses deux mains sur mes fesses, les caresse, puis les écarte pour faire apparaitre ma rondelle ; il en tripote les contours, puis pose ses lèvres dessus pour un baiser, se recule puis plonge à l’assaut avec sa langue : c’est le pied intégral ! Immédiatement, j’ai à nouveau la gaule ! J’halète et ahanne : pour sa première il y met tout son cœur, et surement aussi tout ce qu’il espèrerait d’un anulingus. Je mors les draps, je râle, il est doux, mais sans filtre : ce pourrait être violent si dans le même temps il ne me caressait le bas du dos, les fesses et les cuisses. Sensible et attentif à la moindre de mes réactions, il me sent frissonner de plaisir, une onde de chair de poule me parcoure l’échine, il retire alors sa langue de mon trou dégoulinant de salive et y présente un doigt. Un peu plus pataud il y va sans trop de douceur et me tire un cri ; mais la douleur n’est que fugage, elle est chassée par une vague de chaleur, de bien être, et de plaisir ! Je lui demande de prendre son temps : vu comment il me fait du bien, je vais atteindre l’extase quand tout à l’heure il me prendra, c’est sur ! Il s’applique à me tirer des cris de plus en plus graves et rauques !

Moi : - Arrête, il faut que je reprenne mon souffle. Je te redonne de la vigueur et on y va ? Lui : - Pas besoin. Tu m’as fait bander à fond avec tes vocalises !

Je me retourne et le vois, l’objet de tous mes désirs ! Il me tance de son gland turgescent. Je reste sans voix, viens lui caresser son phallus héroïque. J’en veux comme j’en ai rarement voulu ! J’attrape un condom et viens lui enfiler de ma bouche en salivant généreusement. Je me mets à quatre pattes et l’invite à venir se coller à moi ! Il s’approche à genoux et avant de sentir sa pine contre mon intimité, je sens à nouveau un grand coup de langue appuyé qui fait trépigner d’impatience mon propre sexe qui tire sur sa base d’une façon inhabituelle ! Je sens son sexe se poser sur ma raie, son ventre contre mon dos, ses mains sur les miennes, sa bouche contre mon oreille où il me chuchote : “J’y vais ?” - Oh que oui !

Il se redresse, pose ses mains sur mes hanches, puis du bout de sa tige dressée fait pression contre mon sphincter anal. Je vais dérouiller ! Sa première tentative de pénétration est un échec : son sexe ripe vers le bas et viens taper dans mes couilles, il s’excuse et se reprend ; vu la vitesse à laquelle il m’a percuté, j’ai envie de lui dire d’y aller moins vite, mais je n’en ai pas le temps. Il me force le passage me tirant un hurlement qui le freine à mi-chemin ; il veut se retirer, mais je sers mon anus, tourne ma tête en lui souriant - Vas-y continue, mais pas si vite ! On n’est pas pressé !

Il continue donc en douceur ; il fait de petits allers-retours, puis ses mouvements prennent de l’ampleur, de l’intensité, de la force ! C’est ainsi qu’a commencé un round effréné ! De l’amour musclé ! J’ai rarement pris un pied pareil. Un heureux qui reçoit son premier train électrique est moins extatique, enjoué, avide de jouer avec, que mon compagnon découvrant ce qu’il pouvait faire de son pénis dans un cul ! Il ne veut jamais s’arrêter, et moi non plus ; il en redemande, et moi aussi ! Nous aussi, nous jouons au petit train, ou plutôt au gros et grand train : quand je fais la locomotive, il est un wagon fidèle ; quand il fait la locomotive, je deviens le tunnel ! Nos tchoutchou à nous sont plus forts et profonds (plus grossiers aussi entre « putain ce que tu me mets » et « putain ce que c’est bon »). Pour continuer la comparaison, il y a un moment où notre petit jeu déraille : la loco est dans sa voie, le wagon sur une voie adjacent, mais toujours relié à la loco ! Sans en avoir assez, je suis étonné de sa performance ! Quand enfin il jouit, je sens son gourdin brinquebaler dans mes entrailles, et moi qui suis au bout de sa barre de chaire j’en prends pour mon grade : j’éjacule aussi, sans m’être même touché. Il tombe essoufflé sur mon dos et m’écrase sur le drap dans mon propre foutre.

Lui : - Je… je veux le refaire ! Moi : - Pareil. Lui : - Et je veux que tu me reprennes aussi ! Hier, j’étais crispé à cause de mon passif ! Mais là je te veux en moi par plaisir et sans peur ! Moi : - Vu ce qu’on vient de se coller, il va falloir qu’on se remette un peu. Tout à coup j’entends frapper à la porte, je regarde ma montre et me rends compte que notre session à commencé il y a plus d’une heure trente. Lui : - Tu ne vas pas ouvrir ? Moi : - Ca m’étonnerait que ce qu’il y a derrière cette porte soit aussi intéressant que ce que j’y ai trouvé la dernière fois que j’ai ouvert ! Lui : - Mais c’est peut être important… Moi : - C’est juste mon voisin qui vient râler contre le tapage. Et puis, là tout de suite, il n’y a rien de plus important que toi, que moi, que nous.

Nous nous enlisons et nous embrassons, tandis que le vieux du dessous et son chien piétinent en gueulant de l’autre coté de la porte.

Aujourd’hui, nous vivons ailleurs, nous n’avons plus de voisins chiants et c’est tant mieux, car nous ne sommes toujours pas discrets.

Ldan

Em@il

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