Court récit basé sur certains souvenirs de ma jeunesse.
Ça me démange, ça me gratte... une envie insistante me fait sortir de chez moi et me rendre dans ce parc réputé pour les rencontres que l’on peut y faire.
Arrivée sur place, l’adrénaline est au plus haut entre la recherche du "bon" et la peur du "pire", mais il ne semble pas y avoir de danger pour l’instant. Quelques silhouettes connues, souvent pour de bons souvenirs, parfois avec un arrière-goût de déception et là, au détour d’un chemin, collé au bosquet, un "fantasme sur pattes" : grand, un corps musclé avec un léger "enrobage" qui dégage une certaine bestialité ! Comment faire pour attirer son attention ? Ai-je une chance de lui plaire, moi, le filiforme, plus petit d’une bonne tête ? Je tente ma chance lors d’un premier passage... raté, il ne me regarde pas. Je passe mon chemin et continue mon exploration des fourrés et bosquets. Tout d’un coup, je le revois, mais cette fois-ci il me fixe du regard avec un large sourire ; je m’approche de lui et tente ma chance... il m’attire contre lui, m’enlace ; nos mains entament l’exploration de nos corps et il m’embrasse.
Sans dire un mot, nous nous glissons dans le bosquet qui nous abritera pour la suite et reprenons notre exploration. Lorsque je me mets à genoux et lui ouvre la braguette, il se laisse faire ; une fois son engin, en rapport avec son corps, libéré, il me tend un préservatif parfumé, il est tellement excité que je n’ai pas besoin de le raidir avant de le lui mettre et peux enfin m’occuper de son membre : je le lèche sur toute sa longueur, le prends en bouche, alterne, fais grimper son plaisir (et le mien) : j’aime régaler et me régaler d’un membre épais et bien dur en bouche. Après plusieurs minutes, il me fait me relever et m’embrasse et me propose de continuer chez lui afin de ne rien risquer, ce que j’accepte.
Il habite à quatre rues de là, s’appelle Mathias et travaille dans la construction, ce qui explique sa silhouette. Je me présente à mon tour, Chris, étudiant. Nous parlons du danger de draguer dans un parc, de ce que nous avons envie de faire là maintenant, de ce qui nous plait ou pas. Nous continuons cette discussion sur son canapé en buvant un verre, avant de les abandonner sur la table basse pour reprendre les activités commencées au parc, à la différence que nous sommes cette fois nus l’un contre l’autre, allongés sur le tapis confortable de son salon.
Il se place au-dessus de moi et, après avoir remis un préservatif, je reprends mes activités buccales. Lui, après m’avoir exploré le buste avec ses mains, s’approche de ma virilité qui se dresse fièrement maintenant et se met à me rendre mes caresses avec la même protection, tout en laissant glisser l’un de ses doigts vers mon sillon fessier, en direction de mon petit trou qu’il teste tout doucement en utilisant sa salive comme lubrifiant. Il commence à s’occuper plus particulièrement de mes couilles, les caressant presque brutalement tout en me suçant de plus belle et me demande de faire de même avec les siennes qui, elles, sont glabres ce qui me facilite la tâche. Puis il me demande d’y aller plus fort sur ses couilles, progressivement, jusqu’à ce qu’il me dise de cesser la progression. Puis il fait de même avec les miennes et, après un moment de surprise, je constate qu’il est très plaisant de se faire quelque peu maltraiter ses couilles. Au bout de 20 minutes, il m’annonce qu’il a atteint le point de non-retour et il jute dans la capote. Il continue jusqu’à ce que moi aussi je jute.
Chris Jean
chris_1974@infomaniak.ch
Autres histoires de l'auteur : Buisson garni