Je suis Camille, pour 4 jours sur une ville loin de chez moi, pour un congrès sur le tourisme.
Arrivé en fin d’après midi, je me suis installé dans ma chambre, sympa, confortable sans luxe, mais suis un peu surpris d’avoir 2 lits. Mais ils ont l’air un peu débordés à l’accueil…
Je descends pour faire un tour avant de diner et, passant devant la réception, j’entends un homme très en colère qui dit avoir réservé une chambre depuis plus de 2 mois alors que le réceptionniste affirme que c’est complet. Le jeune homme à l’accueil s’avance jusqu’à lui promettre de trouver rapidement une solution.
Après une petite 1/2 heure de balade, je rentre et demande à l’accueil si son problème est réglé. Le pauvre, désespéré par l’engueulade prise, m’avoue que non et que tous les hôtels autour sont pleins aussi. Après quelques instants de réflexion, je dis : « ma chambre comporte 2 lits, si cela peut dépanner pour cette nuit… ».
Le jeune réceptionniste esquisse un sourire puis dit : ce serait abuser, mais je vous remercie.
Je remonte dans ma chambre puis, 10 min plus tard, reçois un appel de l’accueil me demandant si ma proposition tient toujours. Devant l’affirmative, il m’annonce que le client accepte pour cette nuit. Je m’affaire à libérer sa partie de penderie quand on frappe à la porte. Je vais ouvrir. L’homme aperçu à l’accueil me remercie du bout des lèvres (quel gougeât !!!) et s’installe comme si je n’étais pas là.
J’en profite pour aller me doucher. Alors que je ressors avec ma serviette autour de la taille, il me tend au visage un jockstrap (visiblement oublié dans la penderie) et me dit, d’un air supérieur : c’est à toi ce truc de pute ? Je reste pétrifié et par la situation et par le tutoiement dominateur et vicieux de l’homme. À ma grande honte, je sens que malgré moi, cette situation humiliante m’excite et me mets à bander raide direct. L’homme me regarde et me vire une grosse baffe qui me fait culbuter sur le lit. Je me retrouve à plat ventre, la joue en feu. Je veux me relever pour lui demander s’il est fou, mais là, il m’arrache la serviette et je me retrouve à poil.
– Les putes, ça obéit et ça vit à poil, à dispo des vrais hommes. J’ai bien vu comme tu me matais à l’accueil. Tu as voulu jouer, alors assumes pétasse !
Je n’en reviens pas. Je rends service et me retrouve humilié, humiliée plutôt vu comme il me traite. L’homme s’approche et me met direct la main aux fesses.
– En plus, t’es toute lisse, une vraie chienne. Il me claque le cul et me fait couiner sous sa main.
– Ta gueule, encaisse salope. Et direct, je sens un doigt chercher ma rondelle. À peine trouvé, il m’enfonce direct et de l’autre main, me chope les cheveux.
– Alors on fait moins sa pétasse comme ça ? Et là je sens 2 autres doigts forcer mon trou, à sec.
Je râle, je tortille du cul. Heureusement que je suis du genre souple et qui mouille assez vite. Il me doigte sans ménagement, en m’élargissant la rondelle, en m’insultant comme une trainée. Puis il enlève les doigts, me tire par les cheveux et s’asseyant sur le lit, me couche en travers de ses genoux. Il me bloque les poignets d’une main, dans le dos, et de l’autre me fesse sans aucun ménagement, me faisant râler et même gueuler tellement il me claque. Je me tortille, je lui dis « stop », mais il s’en fout et me tape plus fort en disant :
– Quand on veut faire la pute, on assume.
Je sens mon pauvre petit cul rougir. Soudain il arrête et j’entends le bruit de photo… Ce salop a pris son portable et photographie mon cul rougi.
Là il se lève et me laisse tomber au sol. Le mâle dominant ouvre alors sa braguette et en exhibe une bite raide et hoooo énorme : au moins 20x6.
– Qu’est-ce que tu attends, suce salope ! Je m’agenouille pour lécher son gros gland déjà très baveux. Lui me plante son morceau direct en bouche et me tenant les cheveux, commence à me baiser la gueule. Puis il me bloque et tente de forcer ma gorge. J’essaie de le repousser, j’étouffe, mais il force encore en m’insultant :
– grosse pute bouffe ma bite tu as pas le choix.
Plus je résiste, plus ça l’excite, plus il est raide et gros. Juste avant que je ne vomisse, il me repousse et toussant, je respire enfin. Pas pour longtemps, il reprend sa baise, me baffant à l’occasion si jamais il sent un peu mes dents. Je me retrouve totalement soumis, dans un état second de salope, non, de lope. Il m’utilise pour son plaisir, comme un objet sexuel.
Après m’avoir bien forcé la gorge (mes amygdales vont s’en souvenir, je pense), il m’ordonne :
– à 4 pattes chienne, je vais te saillir comme une pute que tu es
Ne me maitrisant plus, j’obéis et je me retrouve à 4 pattes, cuisses écartées, cul lisse, cambré, totalement offerte au mâle. L’homme ne prend pas la peine de se mettre nu, il ouvre juste un peu plus son pantalon, sa grosse bite pointe vers mon cul. Il pose son gland baveux sur mon cul et bam, me baise direct à fond, en me faisant gueuler de douleur et aussi de plaisir !
J’espère que l’isolation phonique est bonne sinon tout l’étage va savoir ce qui se passe ici :(
Mais le mec me pilonne, sa bite super raide m’éclate la rondelle. Le plaisir m’envahit et je m’entends gémir :
– Oui, vas-y, baise-moi à fond, je veux ta grosse bite !
Pas besoin de lui dire, il me baise, il me saillit, m’enculant du gland aux couilles, me rougissant les fesses de quelques bonnes fessées. J’ai la tête dans le lit, le cul cambré, exhibé, totalement offert. Enfin, offert… il se l’offre oui, me lime sauvagement. Me dilate…
– Sale pute, tu fais moins ta fière là, hein, t’en voulais de la bite, là tu as de la grosse bite pétasse…
Son corps claque contre mes fesses, il accélère, me défonçant violemment, sans aucune pensée pour moi, tout à son plaisir de mâle dominant, sa queue devient dure comme du fer quand :
– haaaaaaaaaaaa je t’engrosse sale pute !
Je sens mon pauvre petit cul chaud se faire inonder de foutre… Je ne puis m’empêcher de le sucer jusqu’à la dernière goute entre mes fesses… Puis il décule et ordonne : nettoie ma bite, lave-moi !
Obéissante, je ne peux que lécher, sucer doucement ce gland encore gonflé de plaisir et baveux de sperme chaud.
Une fois satisfait, il m’a repoussé, s’est rebraguetté et m’a dit :
– Je vais garder la chambre ces 4 jours. J’avais besoin d’une pute-vide couilles. Tu as intérêt à être hyper discret en dehors de cette piaule où ce sera ta fête ! Là, tu m’appartiens c’est compris pétasse ?
J’étais toujours à genoux, le cul dégoulinant de son sperme, humilié et heureux de l’être. Comme je ne répondais pas assez vite, je pris une bonne baffe.
– Oui, j’ai compris
– Autre baffe.
– Oui qui ??
– Oui Maitre
Et là, il se retourna et sortit de la chambre. Me laissant seul, sans un mot, sans un regard. Hummm le séjour allait être plus animé que prévu…
Rêve, réalité ??? Allez donc savoir…
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Nature.f
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