Salut les loulous ! Cela fait quelques années que je lis vos histoires et maintenant j'ai envie de me lancer moi aussi dans l'écriture.
Cette histoire sera sur plusieurs chapitres, envoyez-moi vos commentaires et vos critiques !
J'espère vraiment que vous allez aimer ! XOXO
Chapitre -01, La Chute.
Alors moi c'est Jules, j'ai tout juste 19 ans. Parisien depuis que je suis tout petit, je viens de passer mes concours de première année de médecine et là je suis en vacances en attendant la rentrée.
Au milieu de la nuit parisienne je sortais de chez un mec rencontré en boîte. Je suis alors vidé, fatigué, encore bourré de ma soirée passée. J'ai alors qu'une seule envie : rentrer chez moi. Dans ma tête je me refaisais ma soirée tout en marchant. Je me revoyais bouffer son cul avant de l'enculer plusieurs fois tellement ce bâtard avait faim.
Je continuais de marcher, ou du moins de tituber, l'alcool n'ayant apparemment pas dit son dernier mot.
Je revoyais mon coup de ce soir en train de me sucer avec ses lèvres pulpeuses et jouer avec sa langue d'enfer sur mon sexe. Tout en continuant de penser à lui je manque de trébucher mais j'arrive à me rattraper.
Je m'en veux de ne pas avoir pris que de l'alcool. J'avais en effet aussi pris une pilule d'exta dans la soirée et plusieurs lignes de coke. Je suis ce que certains aiment appeler un drogué, j'ai commencé à prendre des pilules en soirée au lycée et depuis je n'ai jamais arrêté et ça a même empiré. J'en suis devenu dépendant avant même de m'en rendre compte et n'ayant jamais eu de problème à m'en procurer je n'en avais vraiment rien à foutre d'être dépendant de ça. De plus la pression des cours aidant et le travail aussi, un stimulant de temps en temps me permettait de travailler plus vite.
Enfin bref, j'étais surexcité, je n'arrivais pas à réfléchir je commençais à avoir la nausée.
Finalement j'arrivais à mi-chemin de chez moi sur le Pont Neuf au-dessus de la Seine.
Un haut-le-coeur me prit et je me penche au-dessus de l'eau pour vomir. Je m'assois sur la barrière du pont. L'heure tardive et l'alcool aidant, je commence à m'assoupir sur la balustrade. Je me penche en arrière pour reprendre mes esprits. Je perds l'équilibre et trop imbibé pour réagir, je tombe dans l'eau glaciale parisienne. J'ai immédiatement perdu connaissance.
Quand je me réveille, une vive douleur dans le cou me prend.
Arf mon cou, grognais-je en me réveillant.
J'essaye alors de bouger ma main pour le masser mais impossible, elle semble bloquée. L'autre aussi apparemment... mes pieds sont aussi attachés ainsi que mon cou. Je suis entièrement nu. J'ai les jambes légèrement relevées et écartées presque au maximum.
J'essaye alors de me débattre avant de ressentir une très vive douleur à mes couilles qui elles aussi sont attachées fermement. Je suis immobilisé. J'essaye d'ouvrir les yeux mais je sens alors une sorte de cagoule sur la tête avec un bâillon dans la bouche.
Je commence à paniquer et je gémis à l'aide. Rien. Juste mon gémissement qui résonne comme dans une caisse métallique. Je ne sais pas où je suis, ni même si quelqu'un est là. Je continue à me débattre pendant de longues minutes mais là douleur à mes boules réapparaît et je suis alors obligé de m'arrêter. J'attends quelques minutes puis je recommence. J'essaye de me débattre membre par membre mais rien n'y fait, je suis bloqué.
J'arrête alors de bouger et je cherche à entendre, sentir et ressentir tout ce qui m'entoure. Je n'entends rien si ce n'est ma respiration et un ronronnement de moteur, l'odeur me rappel de l'humidité, est ce une cave ? Le truc sur lequel je suis allongé tangue de gauche à droite. Je commence à me remémorer ma soirée, mon plan cul et ma chute dans l'eau. Mais après rien, c'est le trou noir. Je dois sûrement être sur un bateau ou quelque chose tout comme. J'identifie donc le ronronnement comme le moteur de l'engin, m'indiquant qu'on avance.
À force de me débattre, je me fatigue et une gueule bois commence à arriver. Finalement au bout d'une longue heure à essayer de me libérer, j'abandonne étant trop fatigué et je décide de dormir quelques heures pour reprendre des forces.
Un temps indéfini après je me réveille, je suis en nage, je tremble, mes articulations me font souffrir, je suis en train de haleter. Une forte pression se forme sur mon torse, je sens mon coeur battre dans ma tête, mon cou, mes bras, même mon sexe. Je connais cette sensation, et je sais que je commence à être en manque. Mon corps tremble tout seul, j'ai envie de pleurer et en même temps d'hurler à la mort. Je deviens un chasseur à la recherche de sa dose. Rien ne compte plus, je ne pense qu'à ma dose.
J'attends alors un bruit de porte. Puis des pas. Plusieurs personnes au moins trois.
Je veux demander à l'aide mais ce foutu bâillon m'empêche de sortir un son de ma bouche. Je gémis alors comme je peux mais je n'obtiens aucune réponse.
Je les entends tourner autour de moi, ils ne parlent pas. Des mains me touchent le torse ou les bras de temps en temps. Elles sont très légères au début mais deviennent de plus en plus insistantes. J'essaye de crier de rage, de fureur et de peur. Mais rien, ils m'ignorent. Tout ce que je peux déterminer d'eux c'est grâce à leurs caresses et leurs pas. Soudain ils s'arrêtent de marcher, je sens une main sur mes pieds et mes mains. Ils me les tournent dans tous les sens, ils m'auscultent. Leurs mains remontent doucement vers mon torse et mon bassin, balayant chaque centimètre carré de mon corps. Les deux mains que j'avais sur les miennes arrivent maintenant sur mes pectoraux tout en les caressant et en les claquants doucement mais en évitant toujours mes tétons. La situation me rappel alors des plans SM dont j'avais déjà entendu parlé mais que je n'avais jamais essayé. Je savais que le soumis se devait d'être silencieux et d'obéir à tout.
J'essaye donc de rester stoïque en espérant qu'ils me laissent en paix. Les mains que j'avais sur les pieds me caressent maintenant l'intérieur des cuisses se rapprochent de ma bite. Je suis terrifié et pourtant je sens ma queue gonfler. Je me dis que c'est pas possible, comment je peux pouvoir bander dans cette situation. Puis les caresses commencent à me faire du bien. Je me surprends même à sortir un gémissement presque inaudible de ma bouche. Les mains qui sont maintenant à l'intérieur de mes cuisses rejoignent mon périnée.
Je bande dur. La douleur dans mes couilles qui sont toujours attachées réapparaît et lorsqu'un doigt commença à me les titiller je gémis si fort que la pièce résonna quelques secondes. Les mains montent progressivement sur ma queue qui était au garde à vous. Les mains qui me semblent expertes me la caressent dans un premier temps. Puis elles me décalottent mon gland, le caressent, jouent avec mon frein tout en me massant les couilles.
J'attends alors une voix masculine, très grave, donner l'ordre " relève les ". relever quoi me dis-je ? Je sens alors mes jambes êtres soulevées par l'objet sur lequel je suis et il s'arrête quand je les ai en angle droit. Ma bite est alors lâchée, je bande toujours énormément. Je sens les mains qui me caressent les fesses alors que d'autres commencent à jouer avec mes tétons. Un doigt vient frotter mon trou pendant que d'autres me massent les couilles. Je sens une fraîcheur sur mon cul, sûrement du lubrifiant me dis-je. Un doigt essaye de rentrer difficilement. En effet je n'ai été que très rarement passif, je suis donc très serré. Le doigt arrive finalement à passer la bague de mon anus qui se détend et commence à me masser la prostate. Une forte chaleur m'envahit, je m'enivre de ce doigt expert. Après 10 minutes de doigtage je perds le contrôle. Je sens la sève monter dans ma bite sans que personne n'y touche. L'orgasme approche, mon doigteur le sens et accélère le rythme. Puis il passe le moment de non-retours. Je hurle de plaisir dans ma cagoule et j'éjacule partout sur mon torse, j'en sens sur ma cagoule, mes épaules. Au moins 7 gros jets sortent de ma bite. Mon doigteur ralentit le rythme pour m'aider dans ma descente. Il sort son doigt et les caressent s'arrêtent en même temps. J'ai les couilles en feu.
J'ai le temps de reprendre trois respirations avant d'attendre la même voix dire " Celui-là, on le prend, faites le préparer ".
On me place alors un objet aussi large que le doigt de mon doigteur dans les fesses. On commence à me nettoyer de mon sperme. J'entends un bruit de succion comme si celui qui me nettoie venait de goûter mon sperme.
Je reconnais alors une aiguille de seringue sur mon bras gauche. Je hurle à la mort pour qu'on ne m'injecte rien mais étant bâillonné cela ne sert à rien. Je sens le produit rentrer dans mon bras. Je perds alors connaissance en quelques secondes.
A suivre...
julesdu78
monsieur.cyrillogay13@gmail.com
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