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Le quintet sur le lac de Côme :
C'est moi Enguerrand qui raconte nos " vacances ".
De retour des USA nous avons eu le temps d'installer Aidan à l'écurie et dans les bras de Gaétan et Quentin. Ces deux-là semble nous suivre (moi et mes amours) comme des clones.
D'après ce que j'ai ressenti et mes amours sont d'accord avec moi. Les deux sont méchamment amoureux l'un de l'autre et pour l'avoir expérimenté, le fait de vivre dans l'entourage de Sasha fait que nos sentiments sont renforcés.
J'explique : alors que dans un milieu normal, on aurait tendance à papillonner d'un mec à un autre pour faire son expérience et donc d'éviter toutes accroches sentimentales, là, les opportunités que nous trouvons au blockhaus et, pour nous, avec nos clients, font que nous pouvons laisser nos sentiments personnels se développer et trouver l'expérience en même temps.
Donc, Gaétan et Quentin c'est sur les rails. Pour Aidan qui s'insère entre eux deux, l'exemple de Duke avec nous quatre semble l'interpeller. Ça et le fait qu'il kiffe de faire l'amour avec les deux gamins ! Mais bon, tous les 3 ce sont leurs premières amours car si Quentin avait une expérience précédente, celle de Gaétan n'avait pas été rose et pour Aidan néant !
Briefing de Sasha avant qu'on parte : " Suisse a demandé à pouvoir avoir des rapports sexuels sans kpotes avec vous. Vos analyses sont bonnes et les siennes que je viens de recevoir le sont aussi. Donc c'est d'accord et financièrement vous êtes gagnant. Par contre pas question de faire de même avec les autres hommes avec qui vous serez amené à baiser. Que ce soit Karl, Patek son boss ou tout autres mecs, vous sortez couverts. "
5 " oui Papa " ponctuent sa sortie.
Le jet de Suisse (je reprends l'appellation du client par Sasha) vient nous chercher et Bastien est dedans. En plus des maillots de bains (piscine et lac) nous amenons avec nous nos smokings. Bastien nous explique un peu la philosophie des vacances de son patron en Italie : 1 semaine de farniente puis grosse réception et de nouveau farniente pour la fin du séjour. Avec le passage de Patek et de Karl avant la réception.
Giant ! Je kiffe d'enculer Karl et de me prendre ses 21x6.5 et je ne suis pas le seul !!
Atterrissage au plus près puis déplacement en Porche Cayenne, les véhicules sont venus de Suisse. La villa (énorme, typée début du siècle dernier) apparait après un bon Km de chemin depuis le portail d'entrée. Elle surplombe le lac par une grande terrasse dont les marches viennent mourir dans l'eau. Sur le côté, devant un hangar à bateau est amarré au quai un inbord en bois. Il a l'air d'attendre un pilote pour se lancer sur la surface. Collé au flanc gauche de la villa, une grande verrière abrite des palmiers.
Nous laissons nos bagages au personnel et montons les marches pour atteindre Suisse qui nous attend en haut.
Si les grandes effusions seront pour plus tard, il ne peut m'empêcher de lui rouler un patin. Du coup le reste du quintet s'autorise le même " bonjour ".
Il est seul, enfin entouré d'une bonne 20aine d'hommes de services parmi laquelle je reconnais plusieurs têtes rencontrées cet hiver.
Les embrassades passées, il nous envoi à notre suite avec mission d'en revenir dans la tenue qu'il nous plait.
Nous suivons l'homme en charge de nous expliquer la villa, enfin pour les étages. Notre suite est collée à celle de Suisse et une porte permet l'accès direct à cette dernière. Le reste de l'étage comporte encore 6 autres suites. Le second est pareil et sous les toits, l'espace réservé au service.
On se met vite à poil pour une douche rapide mais complète (au cas, fort probable que nous attaquions les festivités dès notre descente). Puisqu'il fait bon et que nous avons le choix, nous descendons en maillots de bain. Contrairement aux autres années nos culs sont blancs (pas d'intégral en Californie). Je dois admettre que cela met plus en valeur ces parties de nos anatomies ! Le choix de nos maillots (Trunk) a défini précisément les limites de nos culs, c'est trop bandant !!
On dévale l'escalier en marbre avec de grands éclats de rires à l'idée de passer 15j dans ce palais.
Suisse nous rejoint dans l'entrée (au moins 60m²). Si j'en crois le gonflement de son entrejambe, notre choix vestimentaire lui plait ^^.
Nous visitons le Rez-de-jardin. Toute la face donnant sur le lac est occupée par une enfilade de 3 salons. Le mobilier est actuel mais de designer (pas de risque de casser des pieds des tables de style). Du coté parc, une grande salle à manger et un office et de l'autre côté de l'entrée un grand bureau puis une bibliothèque/ salle de billard. Le couloir de ce côté-là termine dans la grande serre. Les palmiers que nous y avions vus en arrivant cachent une grande piscine d'au moins 20m.
J'attrape Suisse par le bras et le surprend à nous faire tomber dans l'eau. Quand nous crevons la surface, j'entends 4 autres Plouf et tout de suite après une bonne engueulade de mes amours. Suisse dédramatise et il est vite déshabillé. Nous sortons de l'eau. Je bande, Suisse aussi et tous les autres pareils.
J'entame les hostilités et plonge entre les jambes de notre client pour sa première pipe de notre séjour. Je retrouve la sensation d'étouffement que me procure son gros gland quand il passe dans ma gorge, trop bon ! J'arrive à le pomper quelques minutes avant de me faire éjecter par mes comparses. Ça évolue vite vers une succession de trio, Suisse étant pompé et pompant l'un de nous. Les trois derniers participants s'occupent alors de détendre nos rondelles. Après plusieurs permutations autour de Suisse, nous l'entendons me réclamer sur sa queue. Moi, ça me va bien comme programme ! Comme il est encore couché, il bascule sur le dos et je viens m'assoir sur lui. Parfaitement positionné, sa queue retenue à 90° par Max, je plie les genoux et me plante doucement mais surement ses 23x6 jusqu'à ses 7 de diamètre (les derniers cm mais pas les moindres !!).
C'est là que nos heures de squat trouvent leur application. Il n'empêche qu'à force mes cuisses brulent et dans un denier relevé, je cède la place à mes amours. Ce n'est qu'après que nous nous soyons tous formaté à sa bite qu'il change de position. Il encule Jalil en levrette, ce dernier pompant Duke. Quand Suisse se penche en avant pour sucer notre américain à son tour, j'en profite. Je me plaque dans son dos et lui envoi mes 19cm dans sa rondelle. C'est bon car j'y suis bien serré. Il recule de Duke pour nous dire combien c'est bon d'autant plus qu'il n'avait donné son cul à personne depuis notre dernier passage !!
Là aussi nous alternons et chacun nous passons devant et derrière lui. Apothéose : tous les 5 nous lui jutons sur le ventre après qu'il se soit auto-maculé de son sperme.
Passage aux douches. Quand nous en sortons, Bastien se tient près d'un portant de peignoirs. Même au Blockhaus ils ne sont pas aussi épais mais il faut dire qu'ils ne sont quasiment jamais utilisés !! Nos maillots ont été repêchés dans l'eau. Suisse nous invite à nous changer pour le soir. Arrivé sur le palier, il me demande de le suivre.
Sa suite est encore plus grande que la nôtre. Le lit fait dans les 3m de large au moins, je pense que nous allons y passer plusieurs nuits ! Je l'accompagne dans sa salle de bain et sous la douche. Il me précise ce qu'il attend de nous. Dans quelques jours, Patek et Karl arriveront et il nous demande d'être avec eux deux comme avec lui-même. Ça je le savais, Sasha m'avait prévenu que c'était dans le contrat. La journée que nous soyons en maillot c'est OK mais pour le soir il aime que ses invités fassent un petit effort vestimentaire. Comme le smoking c'est un peu trop, nous trouverons dans les placards de notre suite des housses à nos noms. Il espère n'avoir pas fait d'erreur et me confie que c'est Karl qui s'est chargé des achats.
Il ajoute que comme nous sommes en vacances, si nous (les 5 escorts) tombons sur les plans intéressants au dehors, il ne fallait pas nous priver.
Je lui dis que c'est hors de question, nous sommes là que pour assouvir ses désirs à lui et à ses amis privilégiés. Il me répond que c'est sa volonté que nous soyons libres.
Alors que je vais pour le " détendre ", la vue de mon petit cul ayant fait redresser sa bite, il me chasse d'une tape sur les fesses.
Je retrouve mes 4 complices et leur donne les nouvelles instructions. Ils ont la même réaction que moi. Nous nous mettons d'accord que si cela arrive ce ne soit pas avec le personnel pour ne pas le mettre en défaut avec eux.
Nous ouvrons les housses à nos noms. Karl a dû jouer " à la poupée ". Nous y trouvons chacun une demi-douzaine de jeans plus " chaud " les uns que les autres (taille très basse, certain sans même de ceinturage ou avec une patte boutonnée dans le dos pour tenir une ouverture en V !!, moulants nos cuisses comme des secondes peaux, un seul Levis. Pour les hauts, certains collent comme les Léotards de nos gymnastes, les marques varient d'Abercrombie à Rufskin en passant par le haut de gamme US ou Japonais pour les Jeans, mais tous Slim !!
Après douches plus massage à l'hydratant, nous enfilons chacun un Jeans de marque différente. Ce sont tellement slim que nous les ôtons, le temps de retirer nos shortys. Sans, c'est nettement plus sexe !!
C'est ce que pense la bite de Suisse quand il nous voit descendre l'escalier en marbre. Comme c'est l'heure du déjeuner, il reste sur la béquille.
On profite du moment pour échanger. Lui nous parle des escorts qu'il a pris en juillet alors que nous lui contons notre périple Californien. Il s'amuse de nos plans. Avant le dessert il nous propose de nous initier au ski nautique. Le bateau que nous avons vu est suffisamment puissant pour nous tirer .... Évidement ça dérape !
Max : " oui, tout comme son propriétaire ! "
Nathan : " Aussi puissant que vous ? "
Duke : " Yes " assorti du geste.
Après le café, nous descendons voir les équipements. Le bateau est un Riva tout en bois super profilé. Le pilote nous explique la motorisation et nous conduit au hangar. Une 10aines de combinaisons avec leurs skis pendent contre un mur. Suisse nous montre les nôtres, au cas où la température de l'eau serait trop fraiche, ce qui peut arriver à quelques 10aines de cm sous la surface qui ne fait en moyenne que 19° l'été.
Excités, nous les essayons aussitôt quitte à les enfiler nus ! Si j'en crois le short du pilote, un Italien d'une 30aine d'année, nous sommes à son gout à lui aussi ^^. J'en aurais bien fait mon 4 heures si nous n'avions pas décidé du contraire juste avant !!
Les tailles sont ajustées mais nous pouvons les fermer sans désagréments. C'est juste qu'elles nous soulignent bien la raie du cul !! Je crois bien que nous réserverons les maillots pour le bronzage sur les ponts lorsqu'un autre sera sur les planches.
Suisse ne peut s'empêcher de nous caresser au-dessus du Néoprène. Mes collègues ont hérité de Quiksilver Hline assez bariolées, moi j'ai droit à une BILLABONG Furnace Carbon noire et blanche. Pour les retirer nous sommes obligés de nous entraider. Le pilote nous conseille et je sens bien sa main estimer mon paquet et l'autre s'insinuer entre mes fesses pour " m'aider ". Quand je sens un de ses doigts se poser sur ma rondelle, je la contracte et lui fais un " tsitt, tsitt " avant de le remercier de cette marque d'intérêt.
Le soir commence à tomber et quand nous remontons sur la terrasse, tous les salons sont éclairés, l'effet est impressionnant.
A l'offre de prendre un autre café, Jalil refuse et avec un grand sourire dit que nous préférerions gagner sa suite.
Passage par la nôtre pour vérifications techniques et nous déboulons dans la sienne encore à poil. Lui est dans le même appareil étendu sur son lit.
Quand nous sautons tous en même temps dessus, il se trouve projeté en l'air. Nous le rattrapons et le maintenons suspendu pour le garder à hauteur de nos bouches. Chacun léchant, mordant ou suçant la partie à sa hauteur.
Moi j'ai hérité avec Duke d'une partie intéressante puis que tous les deux nous soutenons son bassin !!! On alterne une pipe qui tient bien raide sa bite.
On se fait griller la politesse quand, juste après l'avoir déposé sur le lit, Jalil l'enjambe et se plante direct !! Heureusement que nous étions repassés à la maison et que nous avions pu " user " de Dylan et de ses 22x6 !! Il nous a " refaits " après 3 semaines à ne baiser que des formats normaux.
Nous passons les 3 heures qui suivent à user et abuser de son corps et de sa capacité à juter sans débander. Si nous avons démarrés à 6, ça s'est vite transformé en 2 trios après que nous ayons fait juter Suisse une première fois.
J'ai bien aimé sodomiser Suisse de face, ses jambes relevées alors que penché en avant je lui roulais une pelle et me faisais enculer par Duke.
Il s'est fait le trip de nous mettre en levrettes côte à côte sur le bord du lit pour nous enculer successivement. C'est venu après que tous les 5, dos sur le matelas et tête en dehors, il nous avait enfoncé sa queue bien derrière les amygdales. Comme il venait de juter, il a bien tenu et nous avons eu droit, chacun, a un bon moment de Suisse dans nos deux trous. Question sexe il est tout sauf " suisse " (dans le sens, je prends mon temps, j'y vais lentement).
5 petites gueules d'affamés ouvertes et réclamant d'être défoncées ça devait valoir le détour. Si nous refaisons ça et que Karl est dans les parages, je demanderais bien une ou deux tofs !!
Jardinier
Aux pilleurs de récits qui n'ont pas assez d'imagination, mes textes, depuis Soumission 5 ont tous été déposé chez " Copyright France " afin de prouver l'antériorité de ma propriété par rapport à vos publications plagiaires sur AMAZONE KINDLE !!