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Dylan : le Wyoming 4- fin de périple et de séjour
Alors qu'on grimpe le premier col (dans les 2 500m au-dessus du niveau de la mer) Aidan me demande s'il pourrait passer le reste de ses vacances avec moi à s'occuper de mes chevaux.
Il est gentil et très agréable à enculer mais je ne suis pas aussi libre qu'il le pense. Je lui dis que j'ai des patrons et que l'écurie ne m'appartient pas, donc je dois demander si sa demande est réalisable. De plus je ne pense pas que son père soit d'accord.
Il me dit se charger de ce dernier point comme de la compensation financière de son séjour.
Nous chevauchons toute la journée, la forêt succédant aux clairières ou à de grandes prairies pentues. Notre nombre dissuade les gros prédateurs de nous attaquer. Nous avons la chance de voir avec les jumelles plusieurs ours bruns.
Il faut beau mais la température descend avec l'altitude et les vestes que l'on a trainé jusque-là trouvent leur utilité.
L'ambiance est maintenant très détendue. Les hétéros ne font plus cas des gestes ou attitudes que nous ne bridons plus. Je surprends encore souvent John regarder son fils, mais c'est de la tendresse qui passe dans ses yeux. Ça ne m'étonne pas depuis que j'ai appris par Aidan que la meuf avec qui il vivait et qui l'avait mis au monde s'était barré quelques jours après son accouchement. John l'a élevé seul depuis sa naissance.
Pour un fils unique de parent unique, il est bien équilibré le gamin. Je comprends mieux aussi le fait qu'Aidan est sûr d'obtenir gain de cause pour venir en France.
C'est le lendemain soir que John aborde le sujet avec moi. Il me parle du désir d'Aidan de m'accompagner à mon retour et que si je suis d'accord, il l'accompagnerait pour voir (ce que je comprends, nous ne nous connaissons que depuis quelques jours). Il serait bien compris qu'il me dédommagerait de la présence de son fils.
Pour moi c'est Ok, mais je le préviens qu'il me faut l'accord du propriétaire de l'écurie et du propriétaire de l'exploitation sans compter celui de mon boss d'Escort car c'est évident qu'Aidan rencontrera des collègues à moi et les " petits frères ". Je lui explique en détail le montage entre la ferme et l'écurie. Il est étonné des relations spéciales qui nous lient tous. J'ajoute que durant son séjour, je pourrais, si Sasha est d'accord, faire intégrer Aidan aux séances de sport et surtout d'apprentissage du combat rapproché. Par contre il doit savoir que son fils élargira aussi et très certainement son expérience des mecs en plus de l'entretien des chevaux. Il va vivre parmi un bon nombre de mecs homos, Escorts et passionnés de sexe !
John me demande si 20 000 $ seront suffisants pour couvrir tous les frais. Je ne m'engage pas et lui dis que dès que nous aurons rejoint la civilisation et le réseau pour nos portables j'appellerai mes boss. En clôture de cette discussion, il me dit que ce n'est pas une histoire d'argent, notre prix sera le sien.
Coté baise, les soirs nous nous réchauffons avec force frottements de nos corps entre eux !
Coté trip, les paysages sont à couper le souffle. Les cols plutôt froids mais les vallées encaissées sauvages et désertes. Nous avons la chance que le temps reste fixé sur beau avec un ciel dégagé mordu par les cimes qui nous entourent.
À l'arrivé à CODY, le réseau revient. J'appelle Jalil qui est encore en Californie. Lui est d'accord surtout après avoir vu la tof du gamin. Sasha est d'accord aussi et se charge de convaincre son beau-père. Concernant le dédommagement la proposition de 20 K$ est largement suffisante. Il me dit qu'il les recevra au Blockhaus avant de les emmener à " l'écurie ".
Quand j'en fais part aux deux intéressés, c'est la joie pour Aidan et le soulagement pour John.
Le lendemain alors que nous somme en transit vers le Ranch initial, Jalil me contact pour me dire qu'ils ont modifiés leur retour pour rentrer avec nous.
Le Ranch :
Dans la journée nous participons aux travaux du Ranch : tri des bovins, marquage au fer des veaux, convoyages en pâtures. Les soirs sont consacrés à la baise. Zack, Josh et Ryan sont content de notre passage qui les change un peu de leur trio de " survie " et des meufs qu'ils lèvent à défaut de mecs.
L'arrivée deux jours avant notre départ des " petits frères " ne passe pas inaperçue. 5 jeunes mecs bronzés, extravertis et qui ne se gênent pas pour se toucher, se tenir par le cou ou même se rouler un patin ça détonne dans ce milieu rural où l'évolution en est encore à l'acceptation des gays s'ils ne sont pas trop visibles.
Aidan est fou ! Alors que je pensais qu'ils risquaient d'effrayer John, c'est le contraire qui se passe. Il semble rassuré du fait que de jeunes homos puissent être aussi heureux de vivre. Alors qu'ils nous racontent leurs 3 semaines en Californie, John les questionne sur leurs situations. Il s'aperçoit que les " gamins " sont solides aussi de ce côté-là et qu'ils savent exactement ce qu'ils veulent devenir sous leurs dehors de jeunes écervelés obsédés par le sexe !
Ils sont vite au jus et en fin d'après-midi, ils savent déjà que c'est " piscine " !
Alors que je trouve qu'ils ont pris du volume, Enguerrand me dit qu'ils ont bossés le " street " avec des mecs de Venice et qu'ils n'avaient que ça à faire en plus de baiser et de bronzer durant leur séjour à San Diégo.
Les cow-boys qui sont avec nous, même les hétéros sont bluffés par leurs physiques. Leurs traversées façon jeux olympiques des 100m de la réserve d'eau n'y sont pas pour rien non plus.
Dans la soirée le bungalow dans lequel notre hôte les avait " parqués " se transforme en boite à touze. Mon client et moi-même nous en sommes comme les trois cow-boys qui n'auraient manqué ça pour rien au monde.
Je retrouve avec plaisir la complicité qui lie les " petits frères " et Aidan en apprend encore un peu plus sur l'amour entre mecs.
Nos cow-boys testent les nouveaux arrivants en mode actif et passif, en duo ou plus, ils bandent, jutent et bandent encore à remettre ça trois fois de suite.
Etienne se fait plaisir entre & avec Enguerrand et Duke. Je ne pense pas qu'il m'en veuille d'avoir passé autant de temps avec Aidan qu'avec lui (pour le sexe). Lui avoir trouvé nos trois cow-boys, ce qui n'était pas au programme du départ, fera aussi pencher la balance, enfin je l'espère.
En attendant on se fait tous plaisir. Aidan passe quand même plus de temps avec une bite dans le cul qu'avec la sienne en action. C'est probablement temporaire comme nous tous. Ça permet aussi d'apprendre les positions ;)
Il en apprend deux nouvelles le premier soir ! L'enculage de face et en portée par son " assaillant " et la sodo en chandelle. La première par un Enguerrand endurant et la seconde par Max qui ne veut pas laisser sa place.
Retour de mes deux amis, " il est chaud le gamin ! ".
Au matin, alors que je me demande comment remercier nos " accompagnateurs " autrement qu'en leur donnant accès à nos culs, Etienne me parle de leur laisser à chacun une enveloppe de dollars bien repassés. Il s'est concerté avec John et me demande si 2 ou 3 000 $ seraient convenables. Je sais que les deux sont pétés de tunes. Je lui dis que 3 c'est toujours mieux que deux. Ça le fait rire mais il est d'accord avec ça.
Notre dernière journée au Ranch se passe à aider, mais ce coups ci à l'écurie pour préparer la rando des prochain clients. Nous rentrons une 20aine de chevaux pour qu'ils aient le choix et usons de nos bras pour les étriller et brosser leurs crinières. Quand nous en avons finis, ils sont encore plus beaux que ceux que nous avions eus.
La dernière nuit est courte (en sommeil). Nos cow-boys profitent de nous jusqu'à 3h du matin assurés de ne pas trouver une telle configuration de clients dans le reste de l'été.
J'encule un Zack qui est demandeur et quand je le laisse à Enguerrand je dis à ce dernier qu'il peut y aller franchement. Zack ne perd pas au change, ok la queue qui le défonce est plus petite (19x5 au lieu de 22x6) mais il sait s'en servir de façon magistrale !
Pour le remercier de m'avoir laissé sa rondelle, je me coule à reculons entre ses bras (il est à 4 pattes) et m'enfile sa belle bite dans ma propre rondelle. Chacun son tour !
À partir de là c'est lui qui gère. Il adapte sa cadence de sodos (recto et verso) en fonction de ses montées de plaisirs afin de durer. Mais cela ne dure qu'un temps. Il explose et remplit sa capote ce qui me fait jouir et fait de même à Enguerrand que ses contractions anales bloquent à chaque éjaculation (dixit l'intéressé un peu plus tard).
Etienne encule Max et se prend Duke dans le cul. Les deux autres cow-boys s'amusent avec Nathan et Aidan, Djalil abusant de leurs culs en alternance.
Je vais me doucher au cas où Etienne voudrait remettre ça avant de s'endormir. Mais quand j'en sors avec Zack, je le trouve endormi. Les cow-boys nous laissent et nous nous répartissons dans les lits.
Aidan se coule entre mes bras et même si ma queue de redresse et vient s'insinuer entre ses cuisses jusqu'à pousser ses petites couilles lisses, je ne profite pas de la situation.
Jour de départ :
Nos encadrants sont tous là et nous devons attendre que les aux revoir se terminent pour qu'Etienne puisse glisser dans les mains de Zack, Josh et Ryan leurs petites enveloppes bonus. Moi, à Zack je donne mes coordonnées (portable, adresse mail, adresse) et après un dernier patin lui dit que je serais très heureux de l'accueillir en France.
Nous faisons étape à Minneapolis prendre un vol Air France. En première le service est top.
Même John, habitué à prendre l'avion en première classe, trouve une différence avec les compagnies américaines.
Au milieu de la nuit artificielle, je vois Enguerrand et Duke suivre deux de nos stewards et disparaitre trois bon 1/4 d'heure. Leurs sourires quand ils reviennent à leurs places me disent qu'ils se sont vidé les couilles et qu'en plus ça été bon.
Roissy : Etienne nous quitte. Il me glisse à moi aussi une enveloppe que je trouve épaisse. J'y trouverai le double de mon salaire déjà bien conséquent avec un mot de remerciement comme quoi son voyage avait été plus qu'agréable grâce à moi.
Nous attrapons le train pour l'Ouest de la France.
A l'arrivée, Sasha nous attends avec Côme. Grandes embrassades et salutation des deux américains. On s'entasse dans la 300C et la DS5.
Etape au Blockhaus. Rafraichissements et restauration pour ceux qui le désirent. Les nouveaux venus sont dans le bain direct avec la déco du 4ème étage. S'ils avaient eu un doute, les tableaux peints ou vidéos leur auront ouvert les yeux.
Côme nous informe que la venue d'Aidan excite déjà Gaétan et Quentin qui arrivent demain à l'écurie. John s'entretient avec Sasha.
Dylan pour Jardinier
Sasha : je prends la main.
Prévenu et ayant bien discuté avec Dylan, je ne suis pas surpris par John et son salaire annuel à 6 zéros. Mais comme tous les américains, il n'en est pas moins simple d'accès. Pendant que les jeunes se rafraichissent, je le prends à part et lui explique que s'il laisse son fils Aidan, ce sera " chez nous ". C'est-à-dire qu'il aidera à l'écurie et parfois à la ferme de mon beau-père, qu'il sera en contact permanent avec des jeunes homos plutôt pas farouches et assez portés sur le sexe et qu'enfin il se fera une belle musculature et devrait rentrer à New-York capable de se défendre et de ne pas se laisser marcher sur les pieds.
La dessus nous partons pour l'écurie.
Jardinier
Aux pilleurs de récits qui n'ont pas assez d'imagination, mes textes, depuis Soumission 5 ont tous été déposé chez " Copyright France " afin de prouver l'antériorité de ma propriété par rapport à vos publications plagiaires sur AMAZONE KINDLE !!