Cet été, Marc et moi avons pris l'habitude de sortir ensemble en VTT, dans la forêt voisine. Rendez-vous des rencontres entre hommes dès la nuit tombée, rendez-vous qu'il m'est arrivé de fréquenter à l'occasion avouons-le, ses ombrages et sentiers isolés sont propices aux sorties vélo en toute quiétude. Rouleurs solitaires par le passé, nous avions décidé d'unir nos efforts pour rendre les sorties plus attrayantes. Du moins je le pensais, mais jusqu'à présent, nous nous étions contentés de rouler, et rouler encore, enchaînant les montées et descentes sans repos. Ce qui ne faisait guère mes affaires...
Ce jour là encore moins que les autres, effet de la chaleur sans doute, je n'avais pas la tête à pédaler. Je suivais tant bien que mal Marc dans une descente pentue. Ses cheveux flottant dans le vent, son maillot sous lequel saillaient des muscles durcis par l'effort, et sa culotte moulant ses fesses affermies par des heures de pratique inclinaient mes pensées vers des rêves où le VTT était absent, les vêtements aussi d'ailleurs... Ses fesses rebondissaient sur la selle à chaque trou du chemin, et je l'imaginais chevauchant une toute autre monture... Ce qui devait arriver arriva, je finis par chuter. Sans gravité heureusement.
Il remonte les quelques mètres qui nous séparent encore :
- Tout va bien, rien de cassé ?
- Non, non, juste un peu meurtri... Je ne regardais pas trop le chemin,... ta faute, j'ajoute en riant.
- Ma faute ?
- Ben oui... Je rougis et me lance... Je matais ton cul allant et venant, ça m'a donné des idées et je me suis déconcentré...
- Des idées que je pourrais aussi avoir ? il accompagne la demande en se rapprochant encore de moi, ses yeux verts dans mes yeux, sa bouche à portée de lèvres.
Je ne prends pas la peine de lui répondre, et ma bouche vient goûter la sienne. Il me prend par les hanches et me rapproche de lui, je le colle contre moi plus encore mes mains plaquées sur ses fesses. Vraiment très ferme son cul... Mon sexe est déjà tendu de désir de le sentir contre moi, de sentir sa langue me fouiller, ses mains jouer avec mes mamelons... Ma main part à la découverte, caresse doucement son sexe par-dessus le short. Il m'invite à le lui ôter, ce que je fais en me baissant. Ses mains sur les épaules me forcent à me mettre à genoux devant lui, puis prennent ma tête et l'approche de son sexe encore pas totalement excité par l'aventure. Je crois deviner où il veut en venir ; ma main flatte ses couilles, ma langue parcourt sa hampe, joue avec le frein, puis ma bouche commence à sucer son gland. Son sexe durcit sous les caresses, j'alterne les mouvements de langue et de bouche, ma main va de ses boules à sa tige, ses mains guident mes caresses, et sa respiration accélérée m'invite à penser qu'il apprécie... Peut-être trop d'ailleurs, car il propose une trêve, m'invite à me relever, et me déshabille à mon tour. Il a du mal à ôter mon short moulant tant je bande, mais y parvient, et commence à me branler d'une main, l'autre me caressant rudement les fesses. J'ai moi aussi envie de sa bouche, et l'incite à venir sur le bas-côté, où je me remets à le sucer et où lui aussi me prend dans sa bouche. Nos mouvement se font à l'unisson, nos mains caressent puis cessent leur manège, nos bouches sucent, attendent, nos langues titillent et excitent le frein... Il se fait enfin plus rapide, plus insistant et je comprends qu'il a envie du plaisir maintenant ; j'entreprends de me faire plus gourmand, et ma bouche gobe presque sa tige, se fait plus active, mes mains tirent ses fesses en moi pour le mieux goûter, et nous jouissons ensemble en tremblant de plaisir.
- J'en avais très envie aussi tu sais dit-il en se rhabillant, et je crois ne pas en avoir fini...
Nous achevons le parcours tant bien que mal, rangeons les vélos dans la voiture. Au moment de partir, sa main se pose sur mon short tâché...
- Tu passes à la maison, tu pourras prendre une douche et te changer avant de rentrer chez toi.
J'acquiesce, peu désireux de rentrer au foyer avec des traces apparentes de sperme sur ma tenue. Une petite caresse encore sur ma tige qui commence à en redemander, et nous voilà partis.
Son épouse nous voit arriver en sueur, et nous invite à utiliser les salles de bain, nous demandant quel plaisir on peut bien trouver à se mettre dans des états pareils... Et pourtant du plaisir on en a trouvé me dis-je... Marc monte avec moi et me montre la salle de bain des invités, m'embrasse et entreprend de me dévêtir. Je lui rends ses baisers tout en l'invitant à se calmer, mais la présence si proche de son épouse ne semble pas atténuer ses ardeurs...
- Elle reste toujours en bas, dit-il en triturant mes fesses, et j'ai très envie de toi après ces préliminaires.
Il se déshabille à son tour, et m'entraîne sous la douche où bien vite, après quelques caresses, nous sommes tous deux en érection. Nous nous savonnons l'un l'autre, en de douces caresses où nous nous découvrons partout ; j'entreprends de lui caresser le sexe dressé, les mains toutes glissantes de produit, et la caresse glissante dresse encore plus son sexe tremblant de désir. Je fais mine de m'agenouiller pour le sucer à nouveau, mais il s'y refuse. Lui me tourne, mains contre la paroi de la douche, jambes ouvertes ; il écarte mes fesses, et prend possession de ma rondelle d'un doigt enduit de crème... Il sait se montrer doux malgré l'excitation, puis glisse deux doigts qui vont et viennent, tandis que son autre main s'active sur mon sexe, que sa bouche embrasse goulûment la mienne... Je suis très excité par son manège, et m'apprête à jouir ainsi, sa queue dressée contre moi... Mais il coupe l'eau, m'entraîne hors de la douche, et me positionne à deux mains sur le lavabo, cambré, fesses offertes en arrière. Je sens son sexe jouer contre ma raie, sa main qui l'enduise d'un gel, son gland qui se fait plus pressant contre moi. Je vois son visage tendu de désir dans la glace, j'ai envie de le sentir en moi, me cambre plus encore pour mieux me rendre disponible. Je l'invite à me prendre, à me baiser, j'en ai une envie folle. Il force gentiment le passage, et le gland me pénètre enfin ; je me détends, il me prend un peu plus encore, puis plus et finit enfin par me remplir, reste ainsi sans bouger, déjà proche de l'orgasme peut être... Ses mains griffent mes hanches à force de les serrer, son visage est tendu de désir... Après quelques secondes, il commence ses vas et viens, doucement, puis plus vite et plus rudement. J'en redemande, tandis que sa main glissante de gel me branle tant et plus... Il s'interrompt à nouveau, à la limite du plaisir. J'en profite pour l'écarter, l'asseoir au bord de la baignoire. En appui sur mes pieds au fond de la baignoire, je viens m'empaler doucement sur sa tige ; à mon tour, je rythme les plaisirs, mes fesses vont et viennent sur sa queue, et je goûte cette tige sans selle qui me satisfait... Je le vois au bord du plaisir, sa main accélère son mouvement sur mon sexe, le perd et le reprend, je chevauche à la cadence donnée, et nous ne tardons pas à jouir ensemble en criant notre plaisir... Après quelques minutes de caresses et baisers, on toque à la porte de la salle de bain
- David, c'est Hélène. Je vous ai monté une serviette. Tout va bien ? j'ai cru vous entendre gémir...
- Heu... Ce n'est rien, une crampe... Laissez la serviette devant la porte s'il vous plaît. Je suis encore nu...
- Ah oui, et vous n'allez pas remettre votre tenue de clown sportif dégoulinante de sueur. Je vais chercher de quoi vous changer
Je récupère la serviette et me sèche. Marc s'éclipse, et laisse la porte entrouverte. Après quelques minutes, Hélène revient avec un short et un polo et les glissent dans la salle de bain.
- Voilà des anciennes affaires de Marc qui devrait vous aller... Désolée, je n'ai pas gardé de sous-vêtement.
- Marc doit sortir pour une réunion du conseil municipal. Voulez-vous rester manger et me tenir compagnie ?
- Avec plaisir Hélène, avec grand plaisir
Master23
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