Premier épisode
Le lendemain matin, en descendant prendre mon petit déjeuner, je retrouvais mon père dans le salon, ma mere etant déjà parti travailler.
- Bien dormi mon fils? me demande t'il.
- Super bien papa et toi? repondis-je amusé.
- très bien, meme si je suis surpris qu'on puisse decouvrir des choses surprenantes quand on fait semblant de dormir! me lache t'il avec un sourire pervers!
Je restais tétanisé et choqué....
Je ne savais plus où me mettre, partagé par la honte et la surprise. Il me fixait avec un air pervers, tout en posant sa main sur son paquet.
- "tu sais que ta mère aurait pu se réveiller ? me demanda t'il
Je restais bouche bée.
- "je vois que la queue de ton père te plait beaucoup mon fils" rajoute t'il en mettant son paquet en place (il etait habillé d'un debardeur et e son slip blanc).
La tension était forte. La surprise laissait place à l'excitation et je ne m'intéressais plus du tout à mon petit dej mais à mon paternel fierement posté devant moi, dans toute sa force et le regard perçant.
- "je suis désolé papa je ne sais pas ce qui m'a prit c'était plus fort que moi" je lui repondais avec un air faussement gêné mais qui en disait long sur mes intentions.
- "heureusement que tu as tout avalé sinon ça aurait laissé des traces" me repondit t'il moqueur.
- "je pensais que tu dormais. Et je déteste gâcher "
- "j'ai bien senti que c'était pas la première fois pour toi mon fils... depuis combien de temps tu suces des hommes?"
J'hésitais un peu avant de répondre...
- "ben heu... quelques mois... enfin... années... 4 ans..."
- "ah 4 ans et bien et bien tu as dû en sucer un bon nombre de queues pour savoir manier ta langue comme tu le fais..."
Le salaud ! Il savait comment réveiller le côté salope qui dormait en moi... il continuait à se remettre la bite en place, je constatais que son slip prenait de l'ampleur au fur et à mesure de la conversation. La situation m'excitait aussi et je commençais à bander sévèrement...
- "je n'imaginais pas mon fils aussi salope..." il commençait à etre vulgaire, ce qui me metta encore plus le cerveau à lenvers et me poussais à etre de plus en plus provoquant
- "une vraie salope se doit d'être à la bonne place" je me levais en prononçant ces mots et m'agenouillait devant lui a hauteur de son paquet, mes yeux enfoncés dans les siens.
- "tu es conscient que ce que nous faisons n'est pas bien mon fils" m'avertit il
- "et qui va s'en plaindre?" répondis je avec aplomb, tout en baissant d'un coup sec son slip pour liberer sa bie à demi-molle.
- "ta mère n'est pas aussi entreprenante"
- "dommage pour elle tant mieux pour moi "
Je passais ma langue sur ses couilles qui avaient repris une bonne taille. Je sentais mon pere gémir et prendre ma tete pour la guider directement sur sa queue.
- "suce moi comme cette nuit mon fils, ta mère n'est pas là et tu vas pouvoir me montrer tous tes talents..."
Soudain, alors que mon excitation et la sienne étaient à son maximum, quelqu'un frappa à la porte.
Je me relevais, appeuré. Mon pere remonta son slip et se mit à chuchoter:
- "tu attends quelqu' un?"
- "ben non et toi?"
Il se precipita à l'étage pour enfiler un pantalon pendant que j'essayais tant bien que mal de dissimuler mon érection et me calmer.
La personne refrappa à la porte. Mon père redescendit à toute vitesse me fesant signe de masquer la bosse qui déformait mon entrejambe.
Il se toucha une dernière fois le paquet pour verifier que cela restait discret mais on pouvait deviner une grosse déformation si on y pretait un peu d'attention.
Il ouvrit la porte et s'écria :
- "Ah Antonio salut comment tu vas? Vas y entre!"
- "salut Bernard ! Je ne te réveille pas ?"
- "non non ne t'inquiètes pas je prenais le déjeuner avec Julien"
Il se presenta dans le salon et vient me serrer la main, ce qui ne m'aida pas à me calmer, bien au contraire.
Mon père fit asseoir son ami et lui proposa du café.
- "quoi de prevu aujourd'hui ?" nous lança t'il tout joyeux. Antonio était de ceux qui sont toujours de bonne humeur, un sourire constant sur le visage. Cet homme etait une bombe atomique à 48 ans. Espagnol d'origine, et ancien rugbyman comme mon père, il avait un corps musclé par ces années de sport et un teint foncé. Il etait gardien de securité et sa stature en imposait. Ses dents tres blanches contrastaient avec sa peau foncé. Il fesait plus jeune que son age on pourrait lui en donner 30.
- "du déballage et beaucoup de nettoyage" répondis-je d'un air amusé en balayant mon regard sur l'entrejambe de mon pere qui tenta de dissimuler sa gêne.
- "la nouvelle machine à laver" s'empresse d'ajouter mon père. "On l'a reçu hier et on l'a toujours pas installé" précise t'il en me regardant avec gene et légèrement nerveux.
Antonio n avait pas saisi le sous entendu et cela me decevait un peu dans le fond.
Il trempa ses levres dans le café tout en contractant son bras et laissant entrevoir a travers son pull un bicep bien gonflé.
Toujours debout à coté de mon père je m' amusais de la situation alors que mon pere etait de plus en plus gêné.
- "vous voulez un coup de main pour la déplacer?" proposa Antonio.
- "non ça va merci ne t'inquiètes pas à deux ça devrait aller" repondit mon père.
Je voulais encore mettre mon pere dans l'embarras
- "merci Antonio on va se debrouiller tous les deux" ajoutais-je. "Tu penses que je devrais faire une vidange avant de l'utiliser ou la machine se met en route directement" en portant avec plus d'insistance mon regard sur le paquet de mon père et en passant ma langue sur les lèvres.
Mon pere masquait difficilement son malaise et je vis son entrejambe bouger dans son fut. La situation le gênait tout autant qu'elle l'excitait.
Antonio eut un moment d'hésitation, comme si enfin il sentait une ambiance un peu différente.
- "non non pas besoin de vidange la première fois" dit il un peu gêné
J'allais répondre "ah dommage" avant que mon pere prenne la parole.
- "D'ailleurs on va s'y mettre hein Julien"
Antonio se leva et demanda s'il pouvait passer aux toilettes avant de partir.
Mon père lui indiqua l'étage avant de me lancer un regard noir.
Une fois Antonio sorti du salon, il me tira par le bras avec force et me chucotta en colère:
- Non mais tu vas pas bien?! Tu es fou ou quoi ?"
- "Ca va detend toi Papa" en glissant ma main dans son pantalon. "Ou plutot tend toi a fond" continueais-je
-"Arrête ça tout de suite" dit il en essayant de retenir mon bras
- "pourtant ton corps montre le contraire" je chuchotais ces mots toit en empoignant sa bite avec ma main à travers le slip tendu et en le branlant fermement.
Il voulait réagir mais mes mouvements saccadés ne fesaient que faire grossir sa bite au maximum.
- "arrête stp tu es fou mon fils"
Je sentais du desespoir et de la peur, surmontés par de lexcitation dans ses yeux.
N en pouvant plus je baissais d'un coup son pantalon et son slip aux chevilles et me jetais affamé sur sa bite dressée.
Mes bruits de succion était fort et je m'amusais à pousser de petits gémissements de plaisir, sa bite me déformant totalement la bouche.
Son regard était perdu et son corps trahissait totalement son excitation. Je tenais fermement sa queue pour qu'il ne puisse pas se dégager pendant que j'activais avec frénésie mes lèvres sur son pieu hyper dur et chaud.
Il empoignant ma tete de sa main droite et accelera le mouvement en poussa fermemant ma tete sur sa bite. Il accompagnait le mouvement et me forçait maintenant à la prendre entierement. Le risque de se faire surprendre etait grand et c'est ce qui finalement l'excita.
Je le sucais à present en gorge profonde, m'empressant de le faire cracher et lui donner un maximum de plaisir.
Alors que son regard se posait sur mon visage ravi et imprimé de sa bite, une voix nous stoppa net. Antonio etait redescendu et nous regardait, totalement ébahi!
La suite si vous le souhaitez... envoyez vos impressions...
Story Hard
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