Comme tous les assidus des salles de sport j'ai mes habitudes auxquelles je ne me manque presque (!) jamais. En général j'occupe toujours la même armoire dans les vestiaires, j'effectue généralement mon parcours aux machines dans le même ordre mais surtout j'utilise toujours la même douche si elle est libre (celle du fond qui me permets de me branler tranquillement sans être vu directement, même et surtout si les autres douches sont occupées par de beaux étalons. Notez que chaque douche est séparée de la douche voisine par une paroi qui protège des regards indiscrets... je vous invite à lire l'histoire que j'ai déjà écrite à ce sujet, ainsi qu'aux nombreuses histoires similaires qui évoquent de troublantes rencontes dans les douches collectives des salles de sport). Dans mon sac de sport je trouve automatiquement un short, un T-short, des chaussettes de sport, mes baskets, deux serviettes éponges, un slip propre ainsi que tout ce qu'il faut pour la douche... jamais de surprise! Or ce matin au vestiaire, j'ouvre mon sac, je commence à me déshabiller... et zut je constate non sans embarras que je n'ai pas emmené de slip propre! Que faire dans ce cas? Que mettre après l'entraînement? Vous me direz ce n'est pas un problème, je n'aurai qu'a enfiler à nouveau mon slip de sport. Oui en théorie c'est possible, sauf que je transpire beaucoup sous l'effort, surtout des fesses et entre les jambes. En général après l'entraînement mon slip est tellement mouillé qu'il n'est pas question de l'enfiler à nouveau après la douche, surtout si j'ai une longue journée de travail qui m'attends! Ne voulant pas renoncer à ma séance d'entraînement, la seule idée qui me vient à l'esprit est donc... de renoncer à mon slip pendant l'entraînement! Mon short sera mouillé, certes, mais au moins j'enfilerai un slip sec après la douche. Le seul "problème": c'est un short de course plutôt léger et relativement serré sur mes cuisses, sans doublure à l'intérieur pour contenir mes attributs...
Je décide donc de retirer mon slip, je me retrouve la bite à l'air le temps d'enfiler mon short. Je ne fais pas très attention à ce moment là, vu qu'en général le vestiaire est peu fréquenté à cette heure du matin. Du coup je me fais surprendre au moment même où, complètement nu, j'enfile mon short. C'est un type avec une barbe de 3 jours comme moi, mais qui a l'air vraiment bien plus musclé que moi, qui entre dans le vestiaire à ce moment! Je ne l'avais jamais vu auparavant. Lui a l'air assez surpris et me mate de manière assez insistante pendant que je m'habille rapidement... comme si j'avais été pris en flagrant délit d'exhibitionisme! Je lui souris, pour le rassurer et lui faire comprendre que tout est normal. Lui entre temps a "libéré" le haut... quel corps! Ses abdos et ses pectoraux massifs me font déjà rêver, mais surtout me motivent à sortir du vestiaire pour aller entretenir mon corps, et peut-être un jour en arriver là moi-aussi.
Comme à mes habitudes je me dirige d'abord vers les machines pour muscler les bras. Je m'assoie et commence mes séances d'exercice. Je passe en suite au travail des pectoraux. Par habitude j'écarte les jambes pendant cet exercice, sauf que sans slip le frottement de ma bite contre le fin tissu de mon short génère une excitation nouvelle qui se combine à la douleur de l'effort des pectoraux. Cet à ce moment que mon athlète inconnu s'installe à la machine en face de moi pour faire la même séance d'exercices, avec quelques kilos en plus bien sûr. Lui aussi écarte bien les jambes pour assurer la stabilité de son corps sur la machine. Je ne peux m'empêcher de porter le regard sur son entrejambe, où je devine une petite bosse bien marquée sur son survêtement. Lui me fixe également, ce qui automatiquement génère chez moi un début d'érection... et donc un frottement plus intensif de mon membre sur mon short. Quel cercle vicieux! Avant qu'il ne soit trop tard et que mon érection devienne clairement visible je me lève et me dirige vers les tapis pour travailler mes abdos, en prenant soin d'y aller en dissimulant mon sexe avec ma serviette. Je me sens de plus en plus excité dans cette situation et je vois très bien que bientôt plus rien ne pourra contenir mon érection, je dois tout faire pour la dissimuler coûte que coûte, je ne me vois pas aller me soulager dans les WCs, ce serait un gros gachis!
Sur le tapis pour les exercices au sol l'inclinaison des cuisses me permettra facilement de camoufler mon érection et la concentration générée par la douleur de l'effort me fera passer l'excitation causée par mon athlète inconnu. Je commence donc les mouvements et j'alterne avec les pompes qui malheureusement (ou heureusement?) ne font qu'augmenter les stimulations... vu qu'à chaque flexion ma bite effleure légèrement le tapis au sol. Je m'y suis vraiment mal pris, j'ai désormais un pieu entre les jambes. Je sens que je commence à mouiller et que la conclusion de cet entraînement est inévitable: tôt ou tard il me faudra éjaculer!
Je suis vite rejoint par mon athlète qui décidément suis le même programme que moi, je crois deviner chez lui aussi une augmentation de la taille de sa bosse au niveau de l'entrejambe. Sera-t-il excité lui aussi par cet entraînement commun, par nos muscles respectifs gonflés par l'effort? Entre temps j'ai déjà tellement mouillé que les mouvements répétés me font décaloter automatiquement, mon gland étant déjà naturellement lubrifié... vous imaginez déjà l'état de mon short! Un pli prononcé laisse deviner le profil de mon gland saillant au travers de mon short et une tache trahit clairement mon état d'excitation, mélange de sueur et de precum...
Que faire à ce moment? Mon érection est désormais incontrolable si je me tiens debout, mon short n'ayant pas de doublure pour contenir mon membre qui se sent de plus en plus à l'étroit! Je ne vais quand même pas me branler ici sur le tapis, devant mon athlète inconnu, même si j'en meurs d'envie?! La machine la plus proche des tapis est la presse à cuisses... je prends donc mon courage à 2 mains, me lève rapidement et me dirige vers la première presse à cuisses en camouflant tant bien que mal la bosse énorme qui déforme mon short et la tache de mouille bien visible à l'emplacement de mon gland gonflé de désir. Je m'assois sur la presse et commence l'exercice qui contribue naturellement à faire gonfler mes cuisses sous l'effort, et donc à reserrer encore plus mon short sur ma bite. Automatiquement mon membre se cale entre ma cuisse et le short et mon gland finit par pointer son nez avant la fin de la première série. Après une courte pause durant laquelle mon compagnon d'entraînement s'est placé à mes côtés pour entamer la même séance, je me rends compte qu'il est dans la même situation que moi: la protubérance qu'il a entre les jambes trahit clairement son érection! Nous échangeons un regard et à ce moment il se lèche les lèvres et ferme les yeux, quel clair signal!
Je reprends mes exercices avec les cuisses en augmentant la charge de 5 kilos, ce qui renforce encore la contraction de mes muscles. Chaque mouvement de cuisse agit comme une carresse supplémentaire sur ma bite... je sens que ce sera la dernière série... Je regarde mon voisin qui commence à se malaxer l'entrejambe pendant l'exercice... en me regardant! C'en est trop, au bout de la vingtième flexion de cuisse je me sens éjaculer et mon gland gonflé comme jamais finit par déposer trois épais jets de sperme le long de ma cuisse encore tendue par l'effort... L'intensité du plaisir me fait encore prolonger la séance de 10 répétitions pendant lesquelles ma bite continue à déverser sur sperme qui coule le long de ma cuisse et commence à tomber par terre... C'est à ce moment que mon voisin s'approche de moi, ouvre sa main remplie de son propre sperme (!) et me carresse la cuisse de manière à étaler son propre sperme et le mélanger au mien et à ma sueur, comme s'il me faisait un massage. Je veux le retenir mais il enlève rapidement sa main et disparait dans les vestiaires. Je reste donc seul assis sur la machine, du sperme plain les cuisses... et bien satisfait de mon programme d'entraînement, et d'avoir oublié mon slip propre à la maison.
Spermechaud
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Autres histoires de l'auteur : Sans slip à l'entraînement