Bonjour, je me présente : Marc, 33 ans, 1m90 et 85 kg et plutôt bien membré ahah. Cette histoire se passe l'année de mes 18 ans.
Lorsque j'étais au lycée, en terminale, il y avait un cours que j'aimais par-dessus tout, c'était le cours d'anglais. La personnalité du prof y était pour beaucoup. C'était un playboy approchant de la quarantaine. Il avait beaucoup de succès, bien sûr auprès des filles, mais d'un charisme tel que même les mecs le recherchaient. Beaucoup de nanas allumées ne venaient en cours que pour le draguer et le reluquer. Son aspect physique ne gâtait rien, mais ce que j'appréciais surtout en lui, c'était sa gentillesse. J'étais parmi les mecs de la classe, celui avec qui il parlait le plus longuement après les cours. Une chose m'étonnait, pourquoi un aussi beau gars ne s'était-il pas marié ?
Un jour à la fin du cours, j'étais venu le trouver parce que j'avais des problèmes pour faire un exposé sur Coleridge. Contrairement à son habitude, il ne prit pas le temps de parler avec moi.
- Ça tombe vraiment mal, me dit-il, je serai extrêmement occupé au lycée les jours à venir, à cause des conseils de classe.
Puis il me regarda un moment avant de proposer :
- Il y a pourtant une solution, pourriez-vous passer chez moi en dehors des heures de cours ? Nous aurions alors tout le temps de discuter de votre exposé.
J'étais au fond de moi complètement émoustillé d'être invité chez lui, et je m'apprêtais à le raconter à tout le monde, fier de moi, mais :
- Je vous demande d'être discret, ajouta-t-il, vous comprenez, je ne veux pas recevoir trente élèves chez moi.
À son sourire, je comprenais qu'il me faisait une grande faveur. Le jour venu, je me suis pointé chez lui. Il était habillé cool, en jeans et seulement un tee-shirt moulant son torse développé. Il me fit entrer, me pria de m'asseoir. Puis il est venu s'asseoir près de moi après m'avoir offert un verre. Il me demanda de lui montrer ce que j'avais fait, en se penchant sur mes feuillets. Je ne pouvais pas ne pas sentir la tiédeur et l'épaisseur de ses cuisses contre les miennes. Mais la timidité me paralysait. Il se pressait, petit à petit, contre moi, et je sentais sa respiration devenir rapide et défaillante. Tout d'un coup, je comprenais d'où venait notre étrange complicité en cours, ses sourires et ses regards appuyés. Quelque chose en lui me faisait soudainement pitié. Je crois qu'à ce moment là, ma décision était prise. Je voulais aller plus loin que les regards avec lui.
Il posa la main sur mon genou, et je lui souris. Il me prit alors entre ses bras et je sentis son torse puissant se presser contre le mien. Nous nous sommes embrassés très tendrement, avant qu'un désir violent ne monte en nous. Il avait des fesses très musclées et un sexe déjà à moitié gonflé. Me prenant par le bras et me serrant très fort contre lui, il m'appelait " son chéri ", tout en promenant ses mains partout sur moi.
Il aurait pu être mon père, et cette idée, bizarrement, m'excitait encore plus. Tout en m'embrassant goulûment, sa main empoignait mon sexe tendu, il était expert ! C'était bon, très bon, et je sentais mon anus réclamer, comme s'il sentait ce qui se passait, il passa la main sous mes fesses, et fit ensuite entrer un doigt dans mon anus puis, très vite, deux doigts. J'étais cloué par le plaisir, les jambes écartées et gémissant.
- Comme tu vas être bon à baiser, dit-il, il y a si longtemps que j'en ai envie.
Je fermais les yeux, me laissant faire. Je sentais soudain quelque chose de froid, il était en train de me pénétrer l'anus avec un gode.
- Ce n'est pas tout, murmura-t-il.
Et il posa un cockring à la racine de ma queue, mes couilles se gonflaient encore plus. Il s'était allongé à côté de moi et dans le sens inverse, tendant le bout de sa queue vers mes lèvres. Sa tête entre mes jambes pour plus d'efficacité, il s'est mis à me pomper. Puis il changea légèrement de position afin de m'obliger à passer ma langue entre ses fesses. Il les écartait de plus en plus pour que je puisse vraiment lui sucer l'anus. Je voyais son cul musclé tressauter de plaisir. Il me pompait tellement bien que j'étais sur le point d'éjaculer. Je l'en ai alors prévenu, mais il m'a interdit de jouir. Il me demanda aussitôt de me mettre debout devant lui, en serrant les fesses pour que le gode reste bien planté dans mon cul. Il était à genoux devant moi, ses mains et sa bouche à hauteur de mon sexe.
- Je continuerai à te branler, mais seulement si tu me frappes avec cette ceinture, exigea-t-il d'un ton déterminé.
J'eus un moment d'hésitation, mais j'avais tellement envie de sentir encore l'épais gode agité par sa main, que je fis ce qu'il voulait. Je frappai alors son dos et ses fesses mollement, et avec peu de conviction.
- Plus fort, cria-t-il !
Je me mis à frapper et à frapper ! À chacun de mes coups, je sentais le gode me limer plus énergiquement Plus je frappais fort, et plus je me sentais baisé fort. Il me léchait les couilles, me bouffait la queue dans tous les sens Ce beau gosse à mes pieds me donna envie d'inverser les rôles...
Marc18
Autres histoires de l'auteur : La piscine | Le prof d'Anglais