Quand nous avions 18 ans, dans notre campagne natale, nos parents, très religieux, nous faisaient faire la communion et nous avions une retraite.
Autant dire qu'à 18 ans, nous nous amusions plus que nous priions.
Nous étions une petite vingtaine, mix équitable entre filles et garçons. Je n'étais pas gay, du moins je ne m'étais encore pas vraiment posé la question, étant d'avantage attiré par les filles, pour, vous savez, avoir une relation " normale ", pour mon âge et dans le milieu dans lequel nous vivions. Néanmoins, le porno que je regardais sur l'ordinateur familial était parfois bi, et la situation m'excitait d'avantage.
Notre préparation impliquait notamment un weekend de retrait dans un couvent du coin.
Le soir, nous dormions ensemble dans des dortoirs partagés (attention, filles en haut, garçon en bas), à deux, parfois à trois, et nous faisions généralement nuit blanche, à jouer à la console, rire, bref, nous avions 18 ans quoi. Je partageais mon dortoir avec Jérôme, mon meilleur ami d'enfance, avec qui nous faisions les quatre cent coups. Ce soir d'octobre, nous étions donc tous les deux, dans cette chambre. Jérôme était un grand et beau garçon, mince mais musclé, footeux, EXTRÊMEMENT excité et porté sur le cul, il en parlait sans arrêt et faisait toujours une allusion salace.
Aux alentours de deux heures du matin, après une soirée de jeux, nous allions nous coucher, lui dans son lit, moi dans le mien. Ça n'a pas duré longtemps que j'entendais la couette de mon voisin bouger dans tous les sens.
" Tu fais quoi là ? " lui demandais-je. " Rien du tout ", me répondit mon complice, en étouffant un rire. Je pris alors mon téléphone et éblouis mon voisin avec mon flash. Ou plutôt sa bite. Je le voyais, devant moi, la bite à l'air, en train de se branler avec deux doigts. Il n'était même pas gêné, certainement happé par le plaisir qu'il était en train de se procurer. " Tu veux que je t'aide ? " lui demandais-je, non sans ironie. Lui ne répondit pas. Et là, tout bascula. Sans vraiment réfléchir aux conséquences, je me rapprochais de son lit, et lui saisit son chibre tout droit debout. Il sursauta, mais n'empêcha pas ma main d'atteindre son objectif. Je lui souris, il me sourit. Je commence alors de petits va-et-vient, lents, puis de plus en plus rapides. Il mouillait. Il se rapprocha également, et saisit mon entrejambe, encore couvert par mon pyjama qu'il souleva. Nous étions là, dans un couvent, en train de nous branler mutuellement. Je me rapprochais alors de sa bite et, sans lui demander la permission, l'enfourne dans ma bouche encore vierge de tout organe masculin. Je l'ai vu tressaillir. Il bougeait dans tous les sens, au même rythme que ma langue tournait autour de son gland. J'étais hypnotisé sur sa bite, je n'arrêtais plus de la lustrer, je lui léchais les boules, le gland, le frein, jouait à enfourner ma langue dans son prépuce et tourner à l'intérieur. J'y allais de plus en plus vite jusqu'à presque le faire jouir. C'est là que je me suis levé, est stoppé net ce que je faisais. " Ça te dit d'aller plus loin ? ".
Il a juste fait un signe de la tête, sans vraiment savoir à quoi je pensais. Je me suis levé et je me suis assis sur sa bouche. " Lèche ", ai-je rapidement ordonné. Pendant quelques minutes, mon ami m'a limé le trou du cul. Je sentais sa langue faire de lents va-et-vient d'abord hésitants, puis déterminés, sur ma raie, mon trou, mes boules de jeune puceau. Je bandais tellement fort. Il rentra plusieurs fois sa langue dans mon cul, signe qu'il avait compris où je voulais en arriver avec lui. Il me mit un doigt. J'eus mal quelques secondes, avant de ressentir un plaisir encore jamais atteint. Après ça, je redescendis au niveau de son entre jambe que je n'avais pas besoin de stimuler à nouveau. Mais dans les films que j'avais pu voir, le lubrifiant était de mise. Je m'en inspirais sur l'instant et le suça quelques instant avant de cracher sur sa bite et la branler activement. Sans grande hésitation, je dirigeai alors mon cul vers sa bite tendue et enfonça son gland dans mon trou. Je pris une grande respiration, et faisais rentrer sa bite de plus en plus, doucement, jusqu'à sentir ses boules contre mes fesses. J'attendais quelques instants, tout en plongeant mes yeux dans ceux de mon partenaire.
Nous nous sommes souri. Puis là aussi, en inspirant du porno vu ici et là, j'entamais des va et vient de plus en plus rapides sur sa bite. J'étais en extase. Chaque coup de bite dans mon cul faisait jaillir une petite goutte au bout de ma queue. Je ne me branlais pas, sachant que si j'y touchais, j'exploserai dans la seconde. Je voulais profiter encore de cet instant. Je le chevauchais pendant quelques minutes, j'étais dans un autre monde. Il me demanda d'arrêter, et me coucha alors sur le ventre. Il pris alors les choses en main et m'enfonça, d'un coup sec, sa bite par derrière. Il me défonça, à chaque coup de rein, ses grosses boules venaient cogner mon cul. Il ne s'arrêtait plus, il me bourinait le cul à en faire cogner le lit contre le mur. Il me releva, me pris à quatre pattes cette fois. La position permettait à sa bite d'aller encore plus loin au fond de mes entrailles. Et il me niquait, encore et encore, sans que je rechigne une seconde. J'adorais ça. Moi-même je balançais mon cul en arrière pour encore plus de rythme. Il allait cette fois très vite. " Ne t'arrête pas ", susurrai-je.
Et là, sans que je ne la touche, ma bite explosa et venait tacher les draps de ce lieu saint par quelques grands et longs jets de foutre, alors que Jérôme continuait à me défoncer le trou. Je ne bougeais plus, étalé sur le lit, à la merci de sa bite qui continuait à me bouriner. Il se retira soudain, et se mis à se branler. J'avais là affaire, à quelqu'un d'extrêmement endurant pour son âge, avec le recul. Je me mis à son niveau, pris sa bite en bouche et le suçait tout en le branlant frénétiquement. Il lâcha au fond de ma gorge son jus, sans même me prévenir. Je n'ai pas perdu une seule goutte. Je nettoyais les quelques gouttes qui restaient, tout en fixant à nouveau Jérôme dans les yeux. Il tomba sur le lit, et m'enlaça, alors que nos boules s'entrechoquaient.
Il se releva, me regarda, et m'embrassa, longtemps, langoureusement, avant de s'endormir, un peu plus tard, serré dans mes bras.
Papadontpreach
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