NEWS :
20 Nov.

"Sodomie"
"Handgag"
"bbk"

115 pages en accès
avant-première.
C’est quoi cet accès ?

OFFRE 50%

Valable tout 2024.
Simple,
CB ou Paypal,
Discret

Shop Gay

Cyrillo20 ans
site gay gratuit

PUBLIER

HISTOIRE

Sextoy
Sexshop

Signaler ici si l'histoire ne respecte pas les mineurs, ado, enfants (-18ans) ou toute autre infraction. Merci !

One shot impromptu

Tout est parti d'une rencontre banale, puis d'un enchaînement de circonstances qui l'étaient un peu - voire beaucoup - moins. La jeune femme que je côtoyais depuis quelques mois (à défaut de pouvoir la fréquenter vraiment d'une façon amoureuse) éprouvait des réticences à s'engager avec quelqu'un, malgré mes efforts distillés et soignés pour la séduire. Du moins, c'est l'impression qu'elle laissait paraître.

Son amitié avait prix beaucoup d'importance pour moi, et je me suis dit que peut-être, avec le temps, les choses pourraient changer favorablement. Alors, je me suis accroché. De fil en aiguille (je passe les détails d'un cheminement qui a duré plusieurs semaines...), il m'a fallu découvrir qu'en réalité, elle préférait les femmes, mais qu'elle éprouvait quand même une certaine affection pour moi et comprenait mes problèmes de solitude sentimentale passagère. C'est ainsi qu'elle m'a entraîné dans son sillage, et ouvert les portes d'un monde parallèle dont je ne connaissais absolument rien.

Là aussi, de fil en aiguille, elle m'a présenté Philippe, un jeune trentenaire dans une situation comparable à la mienne, un peu désabusé, avec qui j'ai sympathisé rapidement. Puis le Philippe en question s'est mis en tête de me draguer, et des circonstances (compliquées) ont fait qu'on s'est retrouvé un samedi après-midi dans son appartement bruxellois. Je ne devais pas être dans mon état normal pour me trouver là, et quand dans la conversation il m'a fait des avances, exprimé ses envies sans détour ni faux-fuyant, je ne me suis pas enfui. Quand il m'a montré sa chambre, je n'ai rien dit, et j'ai implicitement accepté que les choses aillent ainsi. Je me sentais assez fou et assez curieux pour tenter l'expérience, jouer le jeu, avec toutes ses règles. Il savait ce qu'il voulait, ce qu'il faisait, et avec les limites balisées pour chacun et (bien entendu) la garantie de toutes les précautions d'usage, je me suis laissé tenter par l'idée de partager quelque chose avec lui, au moins pour un après-midi.

Il a commencé par s'éclipser quelques instants, quatre à cinq minutes peut-être. Le temps qui était laissé à ma réflexion, pour décider de ce que j'allais faire, m'enfuir en claquant la porte ou répondre positivement à ses avances. Mais dans ce cas, que se passerait-il ? Je n'avais pas d'idée claire, car toutes s'entrechoquaient dans ma tête à un rythme insensé. J'ai entendu le bruit d'un jet d'eau à proximité. Le bruit caractéristique d'une douche.

Quand il est revenu de sa salle de bains, mon coeur s'est mis à battre plus fort. Il était trop tard pour fuir. Il était nu comme un ver et bandait déjà. J'avais une idée concrète de ce qui m'attendait, et quand il a commencé à me déshabiller, j'ai compris que je ne pourrai plus faire marche arrière. D'une manière douce et progressive, les barrières ont sauté les unes après les autres, parce que le climat était favorable, parce que la confiance s'était installée entre nous.

Les choses se sont dessinées par petits pas. Après un déshabillage lent et hésitant, j'ai jeté le slip au vent, et avec lui mes dernières inhibitions. Me retrouver dans le plus simple appareil devant lui avait un côté on ne peut plus insolite. Je me sentais vulnérable, mais intrigué par ces sensations piquantes qui m'habitaient, et que je ne pouvais pas freiner. Il y avait une forme d'attirance vers l'inconnu, une sorte de mise au défi personnelle. Visiblement beaucoup plus à l'aise que moi en tenue d'Adam, il s'est approché de moi, m'a tapoté affectueusement les fesses nues, pour m'indiquer le chemin de la salle de bains (j'avais moi-même demandé à pouvoir l'utiliser avant de ...) et m'y a laissé seul.

Je ne sais pas pourquoi, j'aurais trouvé humiliant de prendre une douche devant lui. De même qu'il n'a pas osé me proposer qu'on la prenne ensemble, sans doute de peur que je déclare forfait. Avec le recul, je me dis que c'est bien vu, car je n'en aurais pas été capable sur le moment. Je me suis douché, rafraîchi puis séché. J'ai inspiré profondément avant de faire le pas d'aller le rejoindre. Un petit pas pour l'homme, un grand pas pour mon humanité. Était-ce le verre de porto qui m'avait désinhibé à ce point ?

Je suis sorti, j'ai regagné la pièce où il m'attendait et me suis avancé vers lui, sans pouvoir masquer ni mon anxiété, ni mon excitation. Car moi aussi, en revenant de la salle de bains, je m'étais mis à bander très fort. Pour lui, c'était un signe positif, qui lui arracha un sourire. Pour lui, c'était in the pocket. Il m'a pris par le bras, pour m'entraîner vers la chambre, vers son lit. Mais qu'allait-il se passer ? J'en tremblais de peur et d'envie en même temps. Nous étions égaux, nus face à face, face à l'adversité. Et après ? Comme je ne savais que dire ni que faire, je l'ai laissé prendre l'initiative, et il s'est immédiatement proposé de m'apprendre, de m'initier, à mon propre rythme.

Et quel apprentissage ! J'ai appris à ranger ma pudeur de côté, à exposer mon corps nu dans une situation que je qualifierais d'embarrassante, sinon invraisemblable, en étant allongé nu au milieu de son lit, totalement impudique. Mais la situation s'est rapidement révélée plus confortable que je ne l'imaginais avant de commencer. J'étais pourtant on ne peut plus nerveux, avec le coeur qui cognait dans ma poitrine à l'en faire éclater.

Graduellement et sans précipitation, il m'a fait découvrir des choses que j'ignorais, il m'a initié à des sensations nouvelles, et un peu apathique, je n'ai pas cherché à m'y soustraire. C'était comme une douce euphorie, tout à fait inattendue. Il fallait transgresser plusieurs tabous, ce qui n'est pas évident quand on est plutôt timide et pudique. La simple nudité n'est pas si simple pour moi. Toucher un sexe l'est encore moins. J'allais être propulsé dans une épreuve absolument inédite, avec des tonnes de questions. Jusqu'où pourrai-je aller avant de m'enfuir en courant ? Je me demandais ce dont je serai capable dans une situation comme celle-là.

L'apprentissage fut à mes yeux un tantinet laborieux. J'ai essayé de me montrer bon élève, malgré la complexité de l'épreuve. Difficile pour moi de prendre l'initiative, mais les gestes sont venus petit à petit. J'ai appris à toucher un sexe, à le caresser, à le porter à mes lèvres, à le prendre en bouche avant de le sucer longuement. Tout cela, bien sûr, était nouveau pour moi. Les gestes se sont enchaînés, et je suivais maladroitement, guidé par mon partenaire d'un jour, qui m'enseignait les caresses les plus osées, les unes après les autres, me faisant découvrir au passage des zones érogènes insoupçonnées ou du moins inhabituelles.

Il se montrait doux, rassurant, agréable, sans négliger l'humour, qui aide bien à faire passer la saveur baroque de ces moments très spéciaux. J'avais manifestement laissé ma pudeur et mes inhibitions au vestiaire. Malgré mes hésitations et mon côté un peu gauche, il ne me trouvait finalement pas si maladroit que ça dans mes gestes, pourtant mal assurés, et il souhaitait que nous allions plus loin, si toutefois l'envie était partagée.

En clair, il voulait me prendre, et ne s'en cachait pas. Son invitation était on ne peut plus explicite, et sans ambiguïté, sans tourner un temps fou autour du pot. Pour lui, j'étais mûr pour tenter la chose. Étrangement, si l'idée ne m'avait pas effleurée jusque là, j'en avais subitement très envie. C'était venu comme ça, de façon plutôt naturelle, et surprenante. Le bons sens m'aurait plutôt incité à refuser ses avances, particulièrement audacieuses et ambitieuses. Je pouvais renoncer, décider de m'arrêter là, et m'en aller au pas de course. Au lieu de cela, toujours habité de la même euphorie, je lui ai dit que, oui, j'avais envie qu'il me prenne. Ou du moins qu'il essaye, sans certitude aucune que cela se passerait bien.

Évidemment, je redoutais ce moment délicat. L'idée d'une pénétration n'est pas quelque chose de facile à aborder, mais mon partenaire a su faire preuve de douceur, d'attention, de délicatesse, de patience. Il faut oser franchir le pas, être décidé et motivé. J'étais surtout très nerveux, car ce n'est pas évident, d'autant que je me disais que ce serait difficile, et forcément douloureux.

Il m'a indiqué la position la plus favorable pour la phase de préparation comme il l'appelait, et du bout des doigts, il m'a délicatement massé les bords de l'anus à l'aide d'une pommade ou plutôt d'un gel frais et décontractant. Il étendit du gel entre mes fesses - c'était un peu froid -, puis il commença à me doigter doucement. J'avais un peu d'appréhension, c'était un drôle de sentiment. Il commença à me mettre un deuxième doigt, et je ne sais pas trop comment dire ce que je ressentais. C'était une intrusion dans mon intimité, plutôt agréable.

Après quelques minutes de caresses diverses, par la grâce de sa langue et de ses doigts, il s'est allongé, le sexe recouvert d'un préservatif, et m'a demandé de me mettre à califourchon au-dessus de lui. C'était à moi de prendre les choses en mains, d'être à la manoeuvre. Fébrilement, j'ai attrapé son sexe entre deux doigts, pour le guider entre mes fesses, jusqu'à l'entrée interdite. J'ai senti le gland me toucher, et j'ai essayé de descendre lentement sur lui, non sans une certaine appréhension.

Je m'attendais à tout, surtout au pire. Au début, on ne sait pas trop à quoi s'en tenir. Comment faire ? En vérité, c'est avant tout une histoire de patience et de délicatesse, ce dont mon partenaire, fort heureusement, ne manquait pas. J'ai senti un petit quelque chose de froid qui poussait, une légère pression sur l'anus qui a eu pour effet que je me suis contracté. Puis le bout de chair s'est retiré, pour ensuite revenir plus doucement encore. Après plusieurs mouvements identiques, une sorte d'hésitation feinte, le bout de chair gainé de caoutchouc s'est avancé plus franchement pour finalement s'introduire, provoquant une vague impression de déchirement.

Il est entré lentement, sans forcer, pour ne pas me faire mal, et pour me laisser m'habituer à cette intrusion, centimètre par centimètre. Son avancée était progressive, sans à-coup, de sorte que j'ai eu l'impression trompeuse d'un serpent rampant sur ma peau.

Au début, lorsque le sexe a cherché son passage, j'ai ressenti une forte gêne, comme une sensation de brûlure. J'ai essayé de me détendre pour m'habituer à ce corps étranger et envahissant, qui s'enfonce progressivement. Le gel aide beaucoup je crois, et après quelques dizaines de secondes à peine, je me suis rendu compte avec une certaine surprise qu'il avait réussi à me pénétrer presque entièrement, sans grande difficulté ni douleur excessive. Mais fort heureusement, son sexe n'affichait pas à l'effort des dimensions démesurées...

Il est ressorti tout aussi lentement et doucement, après quelques secondes. L'impression était vraiment bizarre. Ce premier " contact " établi, il m'a fait mettre à quatre pattes au milieu du lit, et il a pris place derrière moi, pour recommencer l'exercice. Il a posé ses mains sur mes fesses, et son sexe est entré avec la même douceur, progressivement, toujours sans à-coups mais cette fois plus profondément. C'est une sensation particulière, indéfinissable, et il m'a surtout fallu chasser la peur pour que ça se passe le mieux possible, pour que la douleur relative s'estompe. La respiration est importante également, surtout quand il commence à bouger. On a l'impression que le ventre va se déchirer, et qu'il faudrait courir aux toilettes en urgence. On sent presque les battements du coeur dans cette verge que l'on sent encore grandir et durcir.

Il était très attentionné, très prévenant, à l'écoute de mes réactions, me demandait régulièrement comment je me sentais, s'il pouvait continuer. Mais je lui répondais à chaque fois d'un signe positif de la tête, en même temps que je me rassurais. Oui, tout allait bien pour moi. Je me sentais onduler sous ses caresses, et je découvrais l'émotion troublante d'être pénétré, d'être rempli.

Par de petits mouvements du bassin, il a entamé ses va-et-vient, lentement et tout en douceur, en prenant soin de ne pas me faire mal. Ce bout de chair dur mais souple qui se déplace donne d'étonnantes sensations, insolites et stupéfiantes. D'un rythme régulier, sans être trop rapide, il a poursuivi ses mouvements de balancier, à la façon d'un métronome, et j'ai fermé les yeux pour essayer de compter ses coups de reins, le corps tout humide de transpiration.

Petit à petit, la sensation de brûlure s'est estompée, les va-et-vient sont devenus supportables, puis agréables, au fur et à mesure que je suis parvenu à me relaxer. Une fois qu'on est habitué à la présence de ce sexe, ça va beaucoup mieux. La gêne demeure, mais on se sent bien malgré tout, et le plaisir apparaît peu à peu. Je ne pensais pas que l'on pouvait ressentir du plaisir de cette manière. C'était une véritable surprise, comme une petite vague de chaleur qui me secouait de partout, et je tanguais doucement à chacun de ses coups de reins, de plus en plus rapprochés, car imperceptiblement, il avait légèrement haussé le rythme.

Je le sentais aller et venir avec plus de fougue que précédemment, en me secouant les hanches. Des frissons parcouraient mon corps, une chaleur se faisait ressentir intensément, tandis qu'il me massait les fesses de ses grandes mains. J'avais la bouche grande ouverte pour aspirer le plus d'air possible, et pour gémir à chacun de ses coups de reins. A la fin, je lui ai demandé d'accélérer encore la cadence, tant les sensations étaient délicieuses. Je ne sais pas si son sexe entrait à chaque fois en entier, mais je ne sentais plus les muscles de mes fesses, comme endormis. Pour le reste, j'avais décollé du sol. Je n'avais encore jamais rien ressenti de tel, et je n'arrêtais plus de gémir. On se sent planer, transporté au-dessus d'une autre planète. Je pense que lui aussi éprouvait beaucoup de plaisir à me prendre, car il miaulait à la façon d'un petit chat.

J'ai joui avant lui, sans pouvoir me retenir, arrosant copieusement les draps et serrant instinctivement les fesses sur son membre, alors que sa main droite s'était refermée sur mon sexe, le masturbant en douceur. Par prudence, je lui ai demandé de se retirer avant d'éjaculer, ce qu'il a bien sûr accepté. Au dernier moment, il est sorti d'un coup sec (aie !), pour arracher le préservatif, et j'ai senti sa semence se répandre sur mon dos. Je me suis effondré en sueur sur le lit, vidé de mes forces, les jambes coupées et la bouche sèche, avec des élancements au creux des reins et entre les fesses, mais j'étais satisfait.

Heureux de l'avoir fait, d'y être arrivé, et d'avoir éprouvé un réel plaisir à le faire. C'est très plaisant en tout cas, et ce fut une expérience intéressante, même si je n'ai pas l'intention d'en faire une habitude. Je vois ça plutôt comme un one shot, un caprice de la vie et du corps, qui demeurera sans suite.

Esteban Brusselas

emmanuel3246@outlook.com

Autres histoires de l'auteur : One shot impromptu

TEXTE IMPLIQUANT DES MINEURS,
UN ENFANT OU ADO (-18ANS)
IL FAUT ME LE SIGNALER :
CYRILLO@CYRILLO.BIZ

Signaler aussi tout texte incitant à la haine, au racisme, à la violence et à la cruauté. Sous peine de fermer ce site !

Cyrillo.biz ne revendique aucun droit sur les textes publiés.
Les textes publiés ont tous été envoyés directement à cyrillo.biz
Les auteurs sont libres de retirer leurs textes sur simple demande à cyrillo@cyrillo.biz

💦 Dernère mise à jour:
13 Novembre | 74 pages

Les nouvelles | 9 pages

Lopé sur l'autoroute NicoLope
Comment se taper son prof marié Ceven-X
Nouvelle expérience Lolo
Mon garagiste GL
Ton plaisir est le mien Greg
Mon journal intime Chopassif
Premier pas Rik71
Le vendeur et la cabine d’essayage Glenn
Embauche Glenn
Envoie ta première histoire !

Les séries : 65 pages

L’enterrement de vie de garçon | 2 | +1 JulesP
1 | 2
Vie étudiante | 5 | +1 Alexandre
1 | 2 | 34 | 5
Le vrai visage de mon fils | 5 | +1 Adreprofeco
1 | 2 | 3 | 4 | 5
Arthur et Maxime | 12 | +1 Sylvainerotic
1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | 11 | 12 FIN
En groupe à la piscine | 3 | +1 Meetmemz
1 | 2 | 3
Mon beau-frère | 18 | +1 Meetmemz
1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | 11 | 12 | 13 | 14 | 15 | 16 | 17 | 18
L’ensemenceur | 4 | +1 Meetmemz
1 | 2 | 34
L’amant de ma femme | 8 | +1 Meetmemz
1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8
Bénévolat en Australie | 8 | +1 Meetmemz
1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 67 | 8

ET CE N'EST PAS TOUT !
Il y a 115 pages en + ici

RETOUR AUX HISTOIRES

21 ans d'histoire :
2023 | 2022 | 2021 | 2020 | 2019 | 2018 | 2017 | 2016 | 2015 | 2014 | 2013 | 2012 | 2011 | 2010 | 2009 | 2008 | 2007 | 2006 | 2005 | 2004 | 2003 | 2002 | 2001

IMPORTANT
Rêve ou réalité, ces histoires ne sont pas un art de vivre
N’oublie pas les dangers d'une relation sexuelle sans protection,
que tu sois sous Prep ou pas.
PROTEGE-TOI ET METS DES CAPOTES !

Sextoy
Sexshop
L'Impact Bar | Cruising gay à Paris'

L'Impact Bar | Cruising gay à Paris

Chercher sur le site

ATTENTION

HISTOIRE AVEC DES MINEURS, ADO, ENFANT(-18ANS)
IL FAUT ME LE SIGNALER :
CYRILLO@CYRILLO.BIZ

Signaler aussi tout texte incitant à la haine, au racisme, à la violence, à l'absence de consentement ... à la cruauté. Sous peine de devoir fermer ce site !

Plan du site


Merci !

J'aime ce site et je souhaite faire un don,
du montant que je veux, juste pour aider


Simple, en CB ou Paypal, Discret.


VISITEURS : 151K / 30 JOURS

Ce site utilise des cookies uniquement pour faciliter la navigation. Aucune données personnelles ne sont collectées ni conservées pour du partage, ou a des fins marketing. ©2000 Cyrillo.biz. Hébergeur : Planethoster Canada

À jour : Saturday 11 January 2020 à 11:21 .

Retourner en haut