En juin 1986, pour des raisons professionnelles, je me retrouve huit jours à camper sommairement sur le toit du bureau des douanes à Roicy. Nous sommes deux, j'ai fait la connaissance de mon binôme la veille, lors de la distribution des postes.
Il se prénomme Denis, il a 19 ans, mesure 1.70 environ, pour une cinquantaine de kilo, et surtout il est blond et vraiment très mignon. Même si je le regarde avec envie, je ne lui montre rien et me cache bien de lui dire que je suis bi.
Nous sommes accueillis par l'équipe de douaniers, ils sont vraiment très sympa, nous indique ou sont les sanitaires et la douche, et nous propose même d'utiliser leur cuisine si besoin. Quand nous prenons possession de notre lieux d'observation, je veux parler du toit, nous avons la chance qu'il fait un temps superbe. Le seul problème est que le lieu est très bruyant, avec tout ces avions qui décollent et atterrissent. On monte notre toile de tente, oui nous n'en avons qu'une pour deux, ce qui m'arrange bien. A même le sol nous étalons nos sacs de couchage et garde le matelas pour m'étendre dehors. J'ai bien fait d'apporter mon maillot de bain. Mais nous devons faire attention, car durant cette période, notre chef passe une fois par jour et jamais à la même heure. Donc la bronzette se fera uniquement après son passage.
Avec Denis, nous discutons, faisons connaissance, il avait une copine, qui l'a laissé tombé il y a un mois et demi, et depuis il est célibataire, moi je lui parle de ma situation familiale, sans jamais faire allusion à mes tendances sexuelles. Et la matinée se passe tranquillement. Vers midi, notre chef, arrive, il apporte les repas pour la journée, ce qui est cool du coup, car on est sûr comme ça qu'il passera toujours avant midi. Sitôt qu'il est parti, on s'installe et prenons notre déjeuner, pas très copieux, mais bon on fera avec... L'avantage c'est que comme on pique-nique, on a pas de vaisselle à faire. Après ça, je descend voir les douaniers, afin de nous faire un café.
Quand je remonte, avec mes deux tasses, je remarque que Denis est torse nu, en short trop grand pour lui à mon goût. Qu'il est beau, il est imberbe ce que j'apprécie beaucoup chez un mec, l'est-il aussi au niveau du sexe... Je viens m'installer à côté de lui, lui tends une des deux tasses, et reprenons une discussion sans grand intérêt. Quand on a fini nos cafés, Denis se lève en prenant ma tasse et me dit " je vais faire la vaisselle " et à son tours il descend. J'en profite pour enfiler mon maillot de bain, un petit slip taille basse, rouge qui ne cache même pas mon pubis rasé et m'allonge sur mon matelas que j'ai pris soin de placer en face du sien pour pouvoir mater son entre cuisses en toute discrétion. Je ne vois pas revenir, car ayant le soleil dans les yeux, je les garde fermés et reprenant sa place il me dit "tes plutôt bien foutu, en plus tu es poilu sur le torse, et je trouve ça très beau chez un homme ce qui n'es pas mon cas". Je lui répond, qu'au contraire il est très beau, et le fait qu'il soit imberbe lui donne beaucoup de charme. La conversation continue sur le sujet et se redressant il me demande si je me rase la bite, je lui répond qu'en plus de mon sexe, mes fesses et mon anus le sont aussi, et rajoute " c'est pas ton cas ?" . Non me dit-il, pas depuis que ma copine est partie, elle me rasait même les jambes, je lui dis que de mon côté ma femme refuse que j'en rase plus et qu'elle n'apprécie pas vraiment mon sexe tout lisse, de toute façon sexuellement avec elle se n'est pas le pieds. Il me demande si du coup j'ai une maîtresse, je lui répond que non.
C'est vers 17 heures trente qu'un douanier, portant un carton et un thermos, fait son apparition, il pose le carton à nos pieds en nous disant qu'il nous laisse de la lecture pour la soirée et que l'on s'inquiète pas il viendra le changer demain, car avec tout ce qu'ils saisissent, il en ont des pleines armoires. Pour lui c'est l'heure de la débauché, la nuit il n'y a pas de permanent, et nous indique que la porte d'accès reste fermée, donc on ne sera pas dérangé.
Il n'a pas tourné les talons que Denis glisse sa main dans le carton, saisi un livre, il n'est pas choqué, alors que moi je choisi parmi les vingt livres de cul assez hards et il y en a même avec des bisexuels et des gays et en prends un avec des bisexuels, des les premières pages, je ne peux retenir mon érection et a la cinquième je glisse ma main dans mon maillot, je regarde Denis, lui aussi se caresse discrètement la bite, alors pour l'inciter à aller plus loin, je me lève et me fou à poil, lui permettant de contempler ma bite bien rasée, mes grosses couilles et surtout mon érection. Je prends mon livre et mon matelas et viens l'installer à côté de lui, car je commence à avoir une grosse envie... Je lui fait facebet restant assis j'écarte bien les jambes pour une bonne éxib. Je fais semblant de lire alors que je le regarde se tripoter, je le regarde et lui dis fais comme moi, c'est plus agréable... Je craignait le pire, mais au lieu de me répondre, il fait glisser son short sur ses chevilles et cela me permet de constater qu'il ne porte rien en dessous. Sa bite est superbe, un bon 18 cm bien dur, le poil court et blond comme ses cheveux, mais quand il tire sur son prépuce, je me rends compte à quel point son gland est très gros. Alors qu'il reste allongé, je me rapproche de lui et pose ma main sur ses petites couilles, dans l'attente de sa réaction, j'avais peur qu'il me repousse et au lieu de ça il retire sa main en me disant, si tu veux me branler ne te gène pas, je ne répond pas, prend son cuivre et au lieu de le masturber, je l'enfile directement dans ma bouche et commence à lui faire une bonne grosse pipe. Quand je sent qu'il ne va pas tarder à venir, je délaisse sa queue pour m'occuper de la mienne. C'est comme ça que je change de place pour être en position de 69, car moi aussi j'ai envie de me faire sucer. Mais cela n'a pas l'air de lui venir à l'esprit, c'est certain, il est hétéro. Donc je m'active de plus belle sur sa bite, et fini par recevoir en bouche de grands jets de sperme. Je lèche et repêché son gland, pour ne pas en perdre une goutte. Il a l'air heureux, soulagé, cela ne l'empêche pas de continuer sa lecture, et même si sa bite n'est plus aussi dure, je suis certain qu'il ne va pas lui falloir longtemps pour recharger.
Après ce premier contact physique, nous prenons notre repas, ni lui ni moi ne pensons à nous rhabiller, et alors que le soleil se couche, je tire de mon sac mes affaires de toilette et vais pour lui dire que je vais prendre une douche, il me dit, tu aimerais qu'on la prenne ensemble ? Je lui répond que oui, et lui avoue que je suis bi, passif.
- Passif ?, cela veut dire quoi ?
Alors je lui explique que si j'adore sucer, j'aime aussi me faire sodomiser, et en plaisantant, je rajoute que pour un hétéro, la bouche et le cul d'un mec est semblable à celui d'une fille... Il a bien compris ma remarque et me dit :
-Si tu veux que je t'encule, il te faudra me raser la bite.
-OK pas problème. Dis avec un grand sourire.
Nous descendons donc nu vers la salle de bain, l'impression est étrange, les bureaux sont vides et plongé dans le noir. Alors que l'on sait que nous sommes seuls, nous fermons la porte a clé.
Alors au Denis commence a se mouillé, je sort ma bombe de mousse à raser et mon rasoir et commence à le débarrasser de tous ses poils, ça va vite ils sont court, et alors que je termine, il me demande de lui faire la total et le cul aussi. Cela me prends plus de temps, et lui cela le fait bander comme un âne, surtout quand je lui demande de se pencher afin que je puisse lui raser la rondelle. Au fur et à mesure il se rince, et quand j'en termine avec son cul, étant à hauteur de sa bite, je commence à le sucer. Il retire sa bite de ma bouche et me dit : "tu n'as pas éjaculé tout à l'heure, alors là c'est à ton tour, tu as huit jours pour s'occuper de ma bite." je prends place sous le jet d'eau, alors que je me savonne le haut, Denis s'occupe du bas, et après m'avoir rincer il commence à me sucer et a me glisser un doigt dans le cul. Pour un hétéro, il suce bien... Il me pompe la bite un long moment, et quand je sent que je vais venir, j'essaye de retirer ma bite de sa bouche, et au lieu de ça, lui se l'enfonce au fond de la gorge en me mettant un 3ème doigt dans le trou, ce qui a pour effet de me faire éjaculer. Après ça, on se sèche et remontons sur le toit. Il commence à faire frais, je fume une cigarette, alors que lui installe notre couche pour la nuit. Quand je termine j'entre a quatre pattes dans la tente et le trouve cuisses écartées sur son duvet, en train de lire un bouquin gay. Contrairement à Denis moi je m'installe a quatre pattes, lui offrant ainsi mes fesses et je ne suis pas à la quatrième page, que je sent sa main me caresser la croupe. Je fais mine de rien, sauf en me cabrant un peut plus, et il me dit : "tu m'excites plus qu'une fille, je me demande si comme toi je ne suis pas bi !" et lui répond "si tu prends du plaisir avec moi, c'est que tu l'es! Et quand je termine ma phrase, je sent un doigt qui me pénètre. Denis me dis " si je te baise, je peux me vider dans ton cul ?" et moi de lui répondre, je te l'aurai demander, car j'adore ça, surtout si tu en décharge autant que ce que tu m'as mis dans la bouche." Je me penche en avant pour prendre un petit tube de lubrifiant dans mon sac, et lui donne en précisant, mon cul est habitué, mais ta bite sûrement pas..." et il répond, non ma copine n'a jamais voulu m'offrir le sien ! Pas grave le tien me plaît plus que le sien "
Et voilà je ne l'ai pas vu arrivé, mais si sa bite est fine, son gland est épais, et je le sent bien entrer en moi, ce qui m'arrache un petit cri de plaisir. Denis s'interroge et le demande si il m'a fait mal, et en réponse je lui dis, non baise moi, défonce moi, vante toi de ta copine sur mon cul, vas y prends ton pieds et fait moi jouir. Personnellement j'ai trouvé que cela n'a pas duré assez longtemps, car très vite je l'ai sentir se raidir et m'inonder de son bon sperme. Quand il se retire de mon cul, je me retourne et viens le sucer et lui lécher le gland et les couilles , espérant le faire durcir à nouveau, mais j'ai beau m'acharner sur sa bite sans y parvenir. Alors que je le libère il me dis " tu veux pas m'enculer ?" je lui répond que non mais je veux bien jouer avec son cul. Je le fait mettre à quatre pattes, me glisse sous lui et commence à lui bouffer la rondelle, je lui plante ma langue dans le trou et essaye de lui mettre un doigts, il est réceptif et son anus s'ouvre assez facilement. Un doigt, bien enfoncé, je l'entend pousser des petits cris de plaisir. Ce qui me donne envie de lui en mettre plus, je verse du gel sur ma main, et commence à lui en glisser un second, c'est au troisième que alors qu'avec ma langue je lui caresse le gland, que je peut me délecter de sa mouille je sent que si je continue il va éjaculer à nouveau. Je lui défonce la rondelle et le suce en même temps, et très vite dans un râle profond il se vide les couilles dans ma bouche.
On s'est endormis dans les bras de l'autre, comme deux amoureux et je n'ai pas pu m'en empêcher et je lui est roulé une pelle. Au matin je l'ai réveillé par une bonne pipe et j'ai eu la crème avant même de boire un café... Dans la matinée, j'ai redescendu le carton au douaniers, et l'un d'eux me dis en plaisantant, alors ça vous à permis de vous rapprocher ? Oui lui ai je répondu, et a ce sujet, vous pourriez nous prêter que des livres gay ? Oh le mieux est que vous veniez les choisir, et il se mis à rire. Après que notre chef, soit venu nous voir, nous en filons nos maillots de bain et descendons choisir nos livres de chevet. Je remarque que le plus jeune d'entrés eux, il a bien 35/40 ans et nous reluque avec envie. On en prends que quatre, et les remercions et remontons. Sitôt en haut, je retire mon maillot et Denis commence à me sucer. Je ne l'ai pas vu arrivé, le jeune douanier, nous apporte du café, et nous voyant à poil dans cette position il ne peut s'empêcher de caresser la croupe de Denis, qui ne peut intervenir car il est trop occupé a me sucer. Je dis donc au douanier, tu peux l'enculer, il aime ça ! Je ne pensais pas qu'il ouvrirait son pantalon et libérant une très belle queue toute raide, lui enfonce dans le cul sans ménagement. Denis à hurler au début et très vite il s'est déchaîner sur ma bite et nous avons éjaculé en même temps, lui sur mon bras et moi dans sa bouche, au moment où il se faisait remplir le cul de sperme. Le douaniers est reparti, et nous nous sommes restés la a nous embrasser et nous caresser.
Durant ces huit jours, nous n'avons cesser de faire l'amour et encore plus les deux jours du week-end car la douane est fermée. Sinon si Denis m'a enculer plusieurs fois par jour, son fion en a eu pour son grade, car le douanier venait plusieurs fois par jour se vider lui aussi les couilles.
Après notre séjour à Paris, nous nous sommes revu plusieurs fois jusqu'au jour où il m'a annoncé qu'il était à nouveau en couple, mais pas avec une fille...
Je ne l'ai jamais oublié !
Clément54
clement57@live.fr
Autres histoires de l'auteur : Mon premier hétéro